Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 4 – Prologue

— 20e jour du 11e mois de l’année 1546 du Calendrier Continental — Capitale Royale, Parnam La température s’était un peu refroidie en ce jour clair dans un automne tempéré. On dit que l’automne est la saison pour manger, lire et pour l’art, mais pour moi, en ce moment, l’automne était la saison des sports. « Allez, trois tours de plus ! Soulevez encore plus ces jambes ! Concentrez-vous sur les biceps de vos jambes ! » beugla Owen. « Arg..., » gémis-je. J’étais en train d’effectuer des tours autour du terrain d’entraînement des gardes du château pendant plus d’une demi-heure pendant que mon conseiller et éducateur, Owen Jabana, me criait de sa voix rauque. Pour certaines personnes, cela n’avait pas l’air de grand-chose, mais pour un gars comme moi, c’était plutôt dur. Si j’avais pris ça à mon rythme, ça aurait été facile, mais en trébuchant, j’avais été soumis aux encouragements autoritaires d’Owen. « Gahaha! Les muscles ne trahiront jamais votre dur labeur ! » cria-t-il. « On dit qu’un esprit sain réside dans un corps sain ! Les politiques saines résident sûrement aussi dans le corps d’un dirigeant en bonne santé ! Maintenant, testez vos limites ! Tourmentez plus vos muscles du mollet ! » « Ne suis-je pas déjà en train... de me tourmenter..., » bredouillai-je.…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 3 – Épilogue

Cet endroit était maintenant la garderie qui avait été créée depuis un bon moment dans le château. C’était surtout un endroit où les personnes qui travaillaient dans le château, comme les femmes de ménage, laissaient leurs enfants. « Monsieur le Roi ! Viens jouer avec nouuus ! » cria l’un des enfants. « Monsieur le Roi, laisse-nous aller sur tes épaules ! » Je ne disais rien. Assis sur le tapis, un adorable petit garçon aux oreilles de loup d’environ trois ans jouait avec une fillette humaine. Pendant ce temps, une fille aux oreilles de chat qui avait à peu près le même âge avait occupé mes genoux et elle s’amusait dessus. La queue de chat qui avait poussé à son arrière-train se balançait frénétiquement d’avant en arrière. « Hmm, je ne peux pas actuellement me lever. Alors, monte par toi-même, » dis-je. « « Super ! » » les enfants crièrent. Deux enfants qui étaient couchés sur le sol avant ça commencèrent à grimper sur mon dos. Eh oui, ils étaient sacrément adorables. Je m’étais habitué à les prendre sur mes épaules et à ce qu’il touche mon visage. « Hehe. Votre Majesté, vous êtes vraiment populaire auprès des enfants, » Tomoko, la mère biologique de Tomoe, ma petite sœur bien-aimée, nous regardait avec un…

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Bienvenue dans une guilde de monstres – Tome 1 – Chapitre 10

De sombres nuages couvraient le ciel de Dekuch. Et avant que la pluie n’arrive, les habitants rentrèrent chez eux d’un pas empressé. « Il va pleuvoir, » chuchota Raiz, alors que Licorne était en train de guérir le mal de dos des anciens de la ville. « Tu as raison. Ce soir pourrait devenir orageux, » commenta son subordonné, tandis que les personnes qu’il guérissait regardaient le ciel, s’inquiétant de la météo changeante plutôt que penser à obtenir leur traitement. « Ce serait mauvais si cela arrivait, » Raiz affichait une expression aussi sombre que le ciel. « Hmm ? Qu’est-ce qui serait mauvais ? » demanda Licorne. « Eh bien ! puisque notre guilde est tout simplement une cabane construite avec peu d’argent, une tempête pourrait la détruire, » répondit Raiz. Cela n’était nullement une blague ou une exagération. Raiz avait acheté un terrain en dehors de Dekuch, mais étant donné la taille du dragon, le fait d’acheter assez de terrain s’était révélé très coûteux. Puisque le dompteur était le premier à porter son nom de famille, il ne voulait pas vivre dans la terre de quelqu’un d’autre tel un roturier. Il voulait posséder la terre dans laquelle il vivait. Évidemment, même s’il était techniquement un noble, l’acquisition ou la vente d’un…

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Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 3 – Chapitre 1 – Partie 9

Après l’avènement du flash qui avait brûlé les rétines de toutes les personnes présentes, une profonde obscurité de désespoir était apparue. De cette tristesse, Shizuku se réveilla lentement. En levant ses lourdes paupières, elle vit le monde flou se concentrer devant elle. Ce qui lui sauta aux yeux était le plafond blanc d’un cabinet médical sans taches... « Es-tu réveillée, Shizuku ? » Le visage — de son colocataire put être vu dans son champ de vision. « ... Alice, » murmura Shizuku. Shizuku leva lentement du lit son corps. Quand elle regarda autour d’elle, elle vit qu’il ne s’agissait pas seulement d’Arisuin qui était présent ici. Derrière lui, les silhouettes de son frère Ikki Kurogane et Stella Vermillion étaient également présentes. De cette vue... Ah, je vois. Shizuku comprenait sa propre défaite. « Ai-je perdu ? » Face à ces mots qu’elle avait murmurée tout en toussant, un lourd silence tomba. Ne vous inquiétez pas, courage. Les personnes qui faisaient partie de ce monde des matchs et des combats savaient combien ces paroles seraient sombres. Dans ce monde, il n’y avait pas de tels mots à donner pour les vaincus. « ... Shizuku, hum, tu sais ? » « Je suis désolée... » Les mots que Stella avait essayé de commencer à…

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Chargez sa magie avec un sourire – Tome 3 – Chapitre 100

Dans la périphérie de Ribek Le ciel s’était éclairci et avec lui une grande foule s’était rassemblée. Une simple clôture en bois avait été érigée et la foule se tenait d’un côté. À une courte distance de là se trouvaient divers stands. Ils vendaient de la nourriture et des boissons, c’était presque comme une situation de festival. J’étais sur une majestueuse chaise qui avait été faite pour moi... c’était très proche d’un trône et je regardais ce qui se passait depuis là. « Maître, c’est l’heure, » Risha était celle qui avait parlé. Mes cinq esclaves se tenaient à mes côtés. « Commencez, » dis-je. « D’accord, » répondit Risha avant de faire un pas en avant et de lever la main. Puis à ce moment... cela bougea. La forme métallique géante se trouvant à une distance éloignée se mit alors à se déplacer. Il s’agissait d’une forme non raffinée qui avait chatouillé mon cœur de garçon alors qu’il commençait à bouger. Le Navire de Guerre, la Première Esclave, Risha. Il s’agissait d’un cuirassé magique créé par la magie des sourires de mes esclaves et par le pouvoir de mon pays. — Ooooooo ! – La foule laissa échapper une acclamation. Les acclamations de plus d’un millier de…

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Kimi to Boku no Saigo no Senjo – Tome 1 – Chapitre 2 – Partie 3

La terre brûlante était craquelée par la chaleur incessante qui s’y déversait. Il s’agissait d’un désert où l’on voyait seulement quelques mauvaises herbes qui poussaient ici et là. Si l’on marchait pieds nus ici, il était probable que les pieds seraient brûlés avant même qu’une seconde puisse s’écouler. Les terres désolées de Vuishada. Un buggy tout seul avait parcouru ce chemin à travers ces immenses terres désolées à une vitesse intense. « Iska-nii, lève-toi, lève-toi. Nous sommes presque à Ayin. » « Hm, déjà ? » demanda Iska. Après avoir été bousculé par Néné depuis le siège du conducteur, Iska frotta ses paupières alors qu’il se trouvait dans le siège du passager. Il se souvenait de tout jusqu’au moment où ils avaient quitté la Capitale Impériale avant le lever du soleil, mais il ne se souvenait de rien après cela. « Il est déjà près de midi, » déclara Néné. « Ce type a dormi pendant six bonnes heures. Franchement, Iska-nii, peu importe le nombre de fois où je t’ai parlé, tu as dormi comme une souche. » « Désolé..., » répondit Iska. « Hmm. Mais, Néné a aussi pu voir le visage endormi d’Iska-nii pour la première fois depuis très longtemps, » déclara Néné avec une voie gaie et animée. « Tu m’as…

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Kimi to Boku no Saigo no Senjo – Tome 1 – Chapitre 2 – Partie 2

Il y a deux ans... Son assignation dans un peloton avait été déterminée. Au lendemain de cette annonce, son maître avait disparu sous ses yeux. Non, il serait plus correct de dire que son maître avait hardiment pris congé juste devant lui. « Ceux qui ne pouvaient pas m’enfuir, c’était juste toi et Jhin, n’est-ce pas ? » Lors de son départ, il avait laissé ces mots cyniques derrière lui. « Mais... eh bien, je suppose qu’il vaut mieux que vous soyez deux. » L’épéiste le plus fort de l’Empire, Crosswell Ness Livergate — également connu sous le nom de l’« Acier Noir ». Après avoir servi comme chef des Saints-Apôtres dans la Capitale Impériale, il avait repéré des garçons et des filles de tout l’Empire et les avait entraînés dans l’espoir de se trouver un successeur. Non, il serait plus correct de le décrire comme leur faisant subir un enfer afin de les tester. Après seulement une demi-journée de formation, environ la moitié des personnes sélectionnées avaient déjà abandonné. À la fin de la journée, quatre-vingt-dix pour cent des participants avaient jeté l’éponge. Trois jours plus tard, la moitié des membres restants avaient déclaré forfait. Après ça, un, puis trois, puis cinq ans s’étaient écoulés, et…

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Bienvenue dans une guilde de monstres – Tome 1 – Chapitre 9

Dragon soupira profondément. Il n’avait toujours pas reçu le moindre emploi. Mais en tant que monstre le plus fort, il ne pouvait exprimer sa détresse sur quelque chose d’aussi banal. Car après tout, les dragons étaient d’orgueilleuses bêtes. « Salut, Dragon ! » Alors, quelqu’un l’appela. « Maître. Comment puis-je t’être utile ? » demanda Dragon. Il fit face à Raiz alors qu’il masquait son anxiété. « Dernièrement, tu n’as pas l’air de bien aller. Y a-t-il quelque chose qui ne va pas ? » demanda Raiz. Mais le dompteur avait vu à travers sa façade, et la surprise fit que la bouche de Dragon s’ouvrit et qu’il souffla quelques flammes hors de sa bouche. « Woaw ! Regarde où tu souffles ! » s’écria Raiz. Après que Raiz avait esquivé les flammes, Dragon ferma la bouche avec sa patte avant. « Mes excuses, Maître. Mais qu’est-ce qui te fait penser que quelque chose ne va pas ? » demanda Dragon. Bien que son dompteur eut déjà découvert le pot aux roses, le puissant se devait de bluffer avec force en raison de sa fierté. Il ne pouvait laisser personne connaître ses sentiments, et en particulier Raiz. « Eh bien, tu soupires beaucoup. C’est donc assez évident, » répondit Raiz. « ... » Raiz devina que la bête rougissait, même…

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Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 3 – Chapitre 66

Le Royaume Comotoria, sa capitale, Krades. Nous étions tous allés au palais. Mélissa était également venue avec moi. J’avais mon apparence habituelle, avec mes deux Épées Démoniaques, Éléanore et Hikari, attachées à ma ceinture. Mélissa marchait à mes côtés dans son habit formel de l’Église de Solon. Elle portait ses habits de sainte. Alors que nous étions guidés par une dame de la cour, nous nous dirigions vers la salle d’audience. « On a l’impression que tout ici est quelque peu sombre, » murmurai-je. Le décor lui-même était ce qui était attendu en tant que palais royal d’un royaume, c’était donc tout à fait splendide. La façon dont c’était construit et son ampleur, les décorations étaient également de hautes qualités, et tout ce qui était présent semblait très chère. Mais il y avait une ambiance sombre qui nous submergeait totalement, Mélissa et moi. « C’est très différent de la dernière fois où je suis venue ici, » déclara Mélissa, semblant confuse. « Ce n’est pas seulement le bâtiment, mais les personnes présentes sont aussi ainsi, » dis-je, ce à quoi Mélissa hocha la tête. Même la dame de la cour qui nous guidait, ainsi que les gardes qui se tenaient ici et là étaient ainsi. Pour…

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Womanizing Mage – Chapitre 43

Long Yi était stupéfait en regardant le visage complètement rouge de Lu Xiya. Il y a quelques instants, le feu de la luxure était presque à son paroxysme. Mais juste lorsqu’il avait voulu la conquérir d’un seul coup, elle avait soudainement dit qu’elle voulait faire aller aux toilettes. N’est-ce pas comme supplier pour sa vie ? « Long Yi, je veux vraiment faire pipi, je peux presque plus tenir. » Le corps entier de Lu Xiya tremblait légèrement, elle semblerait qu’elle ne pouvait plus se retenir plus longtemps. Voyant une expression inconfortable sur le visage de Lu Xiya, Long Yi retira sa main qui était pleine de nectar d’amour, et la partie inférieure de son corps encore dur exprimait à quel point c’était difficile pour lui. Lu Xiya se dépêcha de replacer ses vêtements et regarda Long Yi plutôt déprimé. Puis, serrant les dents, elle dit d’une très faible voix. « Long Yi, ne sois pas comme ça, plus tard tu pourras me faire ce que tu veux. » Les yeux de Long Yi s’illuminèrent, mais avant qu’il ne puisse parler, Lu Xiya le tira du lit. « Accompagne-moi, j’ai peur. » Voyant l’éclair et le tonnerre illuminant le ciel tandis qu’une violente tempête faisait rage à…

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