Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 3 – Épilogue

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Épilogue : La Paix est Encore Lointaine

Cet endroit était maintenant la garderie qui avait été créée depuis un bon moment dans le château. C’était surtout un endroit où les personnes qui travaillaient dans le château, comme les femmes de ménage, laissaient leurs enfants.

« Monsieur le Roi ! Viens jouer avec nouuus ! » cria l’un des enfants.

« Monsieur le Roi, laisse-nous aller sur tes épaules ! »

Je ne disais rien.

Assis sur le tapis, un adorable petit garçon aux oreilles de loup d’environ trois ans jouait avec une fillette humaine. Pendant ce temps, une fille aux oreilles de chat qui avait à peu près le même âge avait occupé mes genoux et elle s’amusait dessus. La queue de chat qui avait poussé à son arrière-train se balançait frénétiquement d’avant en arrière.

« Hmm, je ne peux pas actuellement me lever. Alors, monte par toi-même, » dis-je.

« « Super ! » » les enfants crièrent.

Deux enfants qui étaient couchés sur le sol avant ça commencèrent à grimper sur mon dos. Eh oui, ils étaient sacrément adorables. Je m’étais habitué à les prendre sur mes épaules et à ce qu’il touche mon visage.

« Hehe. Votre Majesté, vous êtes vraiment populaire auprès des enfants, » Tomoko, la mère biologique de Tomoe, ma petite sœur bien-aimée, nous regardait avec un sourire alors qu’elle pliait le linge des enfants.

Quand nous avions pratiquement forcé Tomoe à devenir ma petite-sœur adoptive, nous avions aussi demandé à Tomoko de s’installer ici pour travailler à l’école maternelle. À ce propos, le petit garçon qui utilisait sa main couverte de bave pour toucher mon visage en ce moment était son fils aîné (le vrai petit frère de Tomoe), Rou.

« Grand frère, » déclara Tomoe. « Je suis contente que vous jouiez avec Rou et ses amis. Mais êtes-vous sûr que ça va ? Est-ce que Grande Sœur ne sera-t-elle pas encore en colère contre vous... ? »

Tomoe, qui était restée ici afin d’aider sa mère alors qu’elle n’avait pas à travailler avec des rhinosaurus, était occupée à apaiser un bébé. Quand j’y pense, Tomoe n’avait que dix ans. Quelle enfant bonne et fiable qu’elle était !

« C’est bon, » dis-je. « Je n’ai plus de gros arriérés de travail à franchir. D’ailleurs, j’ai laissé mes Poltergeists Vivants dans le bureau des affaires gouvernementales pour continuer le travail. »

« Oh, je vois, » répondit Tomoe. « Alors, vous pouvez jouer pendant la journée. N’est-ce pas gentil, Rou ? »

« Ouais ! » Rou leva la main droite.

Il est trop mignonnnnnn, pensai-je.

J’aimais vraiment les enfants. Je pourrais les regarder marcher avec de petits pas hésitants pendant toute la journée. Cela stimulait une envie protectrice présente en moi. Quand ma grand-mère et mon grand-père étaient en vie, j’avais après tout souvent été aidé à lire des livres à l’école maternelle locale.

Après ça, j’allais jouer avec les enfants pendant un certain temps.

« C’est une vision incroyable de votre personne, Maître, » déclara une voix féminine.

Au moment où je m’étais retourné pour voir qui m’avait parlé, Carla se tenait là. Elle était dans une tenue de femme de ménage.

« Eh bien, je ne veux pas entendre ça de votre part, Carla, » dis-je.

« ... Je suppose que c’est vrai, » dit Carla, en baissant les épaules. Car franchement, quand je la regardais...

« C’est terrifiant à quel point cet uniforme de femme de chambre vous va mal, » dis-je.

« S’il vous plaît, ne me dites pas ça... J’ai la même impression que vous, » dit-elle.

Pour commencer, Carla était un dragonewt, donc elle était déjà venue avec plus d’accessoires qu’une personne normale. Elle avait une queue, des ailes de dragon et de petites cornes. Si vous lui faisiez porter un uniforme de femme de chambre, c’était trop de traits de caractère empilés sur une personne, et elle rayonnait de trop de personnalité.

« Pour couronner le tout, la jupe de cette tenue n’est-elle pas très courte ? » demandai-je.

« N-Ne regardez pas ! » dit Carla en tenant le devant de sa jupe.

Les servantes du château portaient des tenues de femmes de ménage classiques avec des jupes longues, mais avec celui que Carla portait en ce moment, elle semblait plus appropriée pour travailler dans un café à servante. La jupe ne descendait qu’au-dessus de ses genoux, et c’était une tenue de femme de chambre très aérée. Cela faisait d’autant plus ressortir sa silhouette.

« Arg... la femme de chambre en chef... a dit de porter celui-ci..., » Carla marmonna, énervée.

« Ahh... Je pensais bien que ce pourrait être le travail de Serina, » dis-je.

La femme de chambre en chef, Serina, était une femme de chambre talentueuse, mais elle avait un côté sadique réservé aux filles mignonnes comme elle. Apparemment, elle aimait leur faire porter des tenues embarrassantes, puis regarder les filles passer par la honte et l’agonie provoquée par ça.

De plus, plus une fille était forte, plus elle aimait les brimer, ce qui signifiait que Liscia et Carla étaient au milieu de sa zone de frappe favorite. Liscia m’avait raconté des histoires avec un regard distant et mélancolique dans les yeux.

Que Bouddha sauve ces deux-là.

« Mais bon... Cela ne fait-il pas une semaine depuis le début ? » demandai-je. « Votre période d’entraînement est-elle maintenant terminée ? »

« E-Entraînement... Argg... Ahh..., » Carla avait serré sa tête.

Non, mais, sérieusement, qu’est-ce qui vous est arrivé ? Me demandai-je. N’étiez-vous pas sensé seulement être formé aux compétences de base dont vous aurez besoin dans le cadre de votre travail de femme de chambre ?

« Le... Le fouet..., » murmura-t-elle.

« Fouet !? » m’exclamai-je.

« Elle a utilisé le fouet... pour me frapper..., » continua-t-elle.

« Était-ce si violent ? » demandai-je.

« De plus, c’était spécial, avec un sortilège magique présent dessus, » répondit Carla. « Ça ne laissait pas une marque là où elle m’a frappé... Mais... Il générait pour moitié de la douleur et pour moitié un grand plaisir. »

Qu’est-ce qu’il y a avec ce fouet ? Ce n’est pas pour discipliner, alors n’est-ce pas pour les briser ? pensai-je.

« Selon la femme de chambre en chef, “La douleur vous empêche de céder au plaisir, tandis que le plaisir vous permet de supporter la douleur en chatouillant vos côtes.” Bien que je sois tombée pour devenir une esclave et une servante, je ne me laisserai pas réduire à l’inutilité, alors j’étais déterminé à apprendre correctement mon métier, mais... ce fouet me fait peur. Peut-être que ce serait plus facile si j’avais pu tomber dans le plaisir... »

« C’est parce que les troupes de servantes sont les chiennes du maître, » une voix déclara ça, toute joyeuse. « Nous n’avons aucune utilité pour une truie pervertie. »

« HAAAAA!? » Carla hurla.

Quand elle se retourna, Serina se tenait là avec un léger sourire. Étant donné ce que venait de faire Carla, qui avait courageusement plongé dans le champ de bataille et qui là avait hurlé comme ça... à quel point Serina était effrayante ?

« Y a-t-il un problème, Sire ? » demanda Serina.

« ... Non, ce n’est rien, » dis-je.

Désolé, mais tant qu’elle n’a pas de vue sur moi, je vais jouer l’ignorance, pensai-je. Ça va aller, Carla. Je suis sûr que vous ne mourrez pas... Physiquement, au moins. Émotionnellement, je n’en suis pas si sûr.

« Alors, Carla, » déclara Serina en faisant un large sourire. « Je crois que je vous ai demandé de faire le lit de Sa Majesté dans le bureau des affaires gouvernementales, n’est-ce pas ? »

« Heu, eh bien... Ramasser les couvertures d’un homme que je connais personnellement est bien trop embarrassant, alors je..., » commença Carla.

« Qu’est-ce que vous racontez ? » demanda Serina. « Si vous vous appelez vous-même une femme de chambre, alors quand Sa Majesté et la princesse seront [censuré], et vous devrez faire le lit où ils auront [censuré] et [censuré] alors que tout sera [censuré] de [censuré], tout en gardant un visage impassible. »

« Je-j’espère vraiment qu’au moins, vous m’épargnerez ça ? » Carla avait dit ça alors que son visage tournait rapidement vers une nuance de rouge vif.

Attendez, hein ? Liscia et moi n’avons-nous pas été indirectement mis dans l’embarras ici aussi ? Je me sentais vraiment gêné en ce moment.

Cerise sur le gâteau, Tomoe avait demandé à sa mère, « Maman, c’est quoi [censuré] ? », laissant sa mère dans une situation où elle avait du mal à répondre.

Ne dites pas des choses devant un enfant qui vont affecter leur développement émotionnel, pensai-je.

Alors que je pensais ça, Serina inclina la tête sur le côté. « À ce propos, Sire. Est-ce que ça va aller pour vous ? »

« Hein !? » m’exclamai-je.

« Eh bien, c’est juste que je vois quelqu’un courir après vous, Sire, » déclara Serina en souriant.

Après que Serina avait dit cela avec un sourire, je m’étais retourné pour voir.

« Oh, merde ! » dis-je.

J’avais fait descendre Rou de mon dos, puis j’avais essayé en toute hâte de fuir, mais... J’avais été saisi fermement par le col.

« Gwah! » criai-je.

« Gahahah! Je vous cherchais, Votre Majestééééé ! »

Au moment où je m’étais retourné, un homme musclé qui commençait tout juste à montrer des signes de vieillesse, avec ses cheveux gris peignés en arrière et une barbe de la même couleur, se tenait là avec un sourire autoritaire.

Quand j’avais jugé Castor et Carla, il était l’un des deux nobles qui n’avaient pas été intimidés par moi et avaient continué à les défendre. Il s’agissait du chef de la Maison de Jabana, Owen Jabana.

Après le procès, je l’avais embauché en tant qu’éducateur personnel et conseillé (et entraîneur d’arts martiaux). Je parlerai plus à ce sujet plus tard dans une parenthèse.

Oh ! Au fait, comme pour l’autre personne qui les avait défendus, Piltory Saracen de la Maison des Saracen, quand j’avais expliqué les mauvaises actions de l’ancien chef de la maison (son père), il avait dit. « Ma parole... Je ne peux pas croire que mon père ait fait de telles choses. Je ne peux pas vous offrir une excuse appropriée. Sachant ce que je sais maintenant, je suis prêt à vous servir jusqu’au bout, Sire. Je passerais par n’importe quel péril pour vous. »

Il semblait penser de la façon dont vous pourriez attendre d’un jeune homme sérieux de la noblesse, alors je lui avais donné la mission très dangereuse qu’il cherchait. La mission d’être « l’Ambassadeur spécial dans l’Ambassade du Royaume d’Elfrieden qui sera établie dans l’Empire du Gran Chaos ». Nous étions encore dans une phase expérimentale, donc on ne pouvait pas dire jusqu’à quel point l’extraterritorialité le protégerait.

Maintenant, retour à Owen.

Owen était le type qui pouvait vociférer la vérité à ceux qui le dominaient.

De son propre aveu. « Ces vieux os n’ont plus rien à perdre. Je vais vivre le peu qui reste de ma vie pour être fidèle à moi-même ! »

Il avait dit qu’il ne lui restait pas beaucoup de temps, mais j’avais l’impression que même si je le tuais, il reviendrait d’une manière ou d’une autre jusqu’à moi...

Si je gardais quelqu’un comme ça à mes côtés, qui pouvaient dire en toute franchise la vérité à son dirigeant, cela réduirait mes chances de m’éloigner du bon chemin. Alors même que j’avais peut-être ordonné à Carla de mourir pour m’arrêter si cela arrivait, je préférerais partir à la retraite sans me faire tuer.

Donc, après quelques discussions, j’avais pris Owen à mon service pour qu’il m’aide à m’éduquer, mais...

« Gahaha, Sire ! Si vous étiez libéré de tout travail administratif, vous auriez dû me le dire ! Venez, nous allons commencer notre entraînement pour la journée ! » déclara Owen.

J’étais resté silencieux.

Il semblait que, dans l’esprit d’Owen, l’éducation comprenait l’éducation physique, et chaque fois que j’étais libéré de mes tâches administratives, il essayait de m’entraîner. S’il m’attrapait, cela signifiait que je devais courir, faire des exercices, simuler des batailles, tout ce qui se trouvait au menu d’entraînement pour un soldat nouvellement recruté.

« Non, j’ai Aisha qui m’entraîne déjà, donc..., » dis-je.

« Qu’est-ce que vous dites là ? La Princesse de la Forêt Protégée par Dieu, madame Aisha, est trop gentille avec vous, Sire ! Elle ne fait que vous entraîner avec vos marionnettes ! » répondit-il.

« Vous êtes trop bruyant ! » dis-je. « Mais, si j’utilise mes marionnettes, au moins je peux me battre. »

« Et que ferez-vous quand vous vous trouvez dans une situation où vous ne pouvez pas les utiliser ? » demanda Owen. « Votre vie est la vie de ce pays lui-même. Si un assassin vous attaquait, si vous pouvez repousser les attaques de l’ennemi pendant quelques passes d’armes, ou même uniquement une passe d’armes, vos gardes du corps pourront arriver à temps jusqu’à vous. Cette passe d’armes décidera de la vie ou de la mort de notre pays. Cette passe d’armes apportera la gloire à notre pays. »

Arg. Parce qu’il avait raison, il n’y avait rien que je puisse dire. Alors que j’avais baissé mes épaules, Carla, que Serina avait également saisie par le col, me regarda avec un peu de sympathie.

« Maître, je vois que vous avez aussi du mal..., » déclara Carla.

« Vous aussi, » dis-je sans émotion.

« Venez ! Venez ! Sire ! Nous allons au terrain d’entraînement ! » déclara Owen.

« Vous aussi, Carla, » gronda Serina. « Vous devez vous dépêcher et apprendre à faire un lit. »

Et donc, nous avions tous deux été traînés dans des directions différentes.

Quelques jours plus tard, nous avions reçu un rapport qu’une rébellion avait éclaté à Amidonia.

***

« Après tout, c’est comme si mon frère ne pouvait pas gagner, » déclara Roroa.

Dans une chambre d’une auberge dans une ville près de Van, la première princesse d’Amidonia regarda les deux personnes se trouvant avec elle. L’un d’eux, l’ancien ministre des Finances, Colbert, secoua la tête.

« Ce pays a déjà été vaincu, » déclara Colbert. « Les négociations visaient seulement à limiter les dégâts. Je pense qu’il est trop dur de blâmer le Seigneur Julius. »

Julius dégagea une impression froide, mais il évalua à sa juste valeur la capacité de Colbert en matière de finance et, en partie à cause de leur âge rapproché, les deux avaient formé une amitié. Colbert n’avait pas pu se résoudre à critiquer son employeur et ami.

Roroa sourit ironiquement à Colbert, le voyant agir ainsi. « Peut-être pas, mais s’il y a des réparations de guerre à payer, ceux qui souffrent seront les habitants de la ville. Nous l’appelons la capitale, mais c’est juste une cité. La zone autour d’elle n’est pas si productive. Ne devrait-il pas laisser le royaume la garder un moment et éviter de prendre la responsabilité de la guerre ? Nous ne sommes pas encore totalement battus, et si nous laissions le territoire tel quel, l’Empire et le Royaume ne pourraient rien dire de plus. Si cela nous avait permis de surmonter la crise actuelle, il lui resterait un certain nombre de mouvements qu’il aurait pu jouer. »

Roroa avait dit ça comme si ce n’était pas une grosse affaire.

Sébastien, l’autre personne qui était avec elle, haussa les épaules. « Tout le monde ne pouvait pas accepter cela si facilement. Les personnes n’agissent pas uniquement sur l’arithmétique des profits et pertes. Vous voyez, nous avons tous des choses auxquelles nous sommes émotionnellement attachés. Le Seigneur Julius en a, vous en avez aussi... et je suis sûr que le jeune roi d’Elfrieden en a aussi. »

« Moi et Souma également ? » demanda Roroa.

« Oui, » répondit Sébastien. « De la même manière que l’esprit d’Amidonia était précieux pour le Seigneur Gaius et le Seigneur Julius, les sourires des hommes et des femmes qui vivent dans la principauté sont précieux pour vous, n’est-ce pas ? Seriez-vous capable de les mettre de côté parce que votre arithmétique vous le dit ? »

« ... Je vois, » répondit Roroa.

C’est vrai, c’est ce que je veux protéger, pensa Roroa. Est-ce que Souma a aussi quelque chose à quoi il est attaché, que cela soit rentable ou non ?

« Tu as rencontré Souma, n’est-ce pas, Sébastien? » demanda-t-elle. « En regardant les émissions, il semblait être un gars intelligent et drôle. Qu’as-tu pensé en le rencontrant en personne ? »

« Eh bien, laissez-moi réfléchir... Il ressemblait à un jeune homme ordinaire, capable d’écouter les opinions des autres et, plus que toute autre chose, il donnait l’impression d’être quelqu’un qui appréciait les personnes qui lui étaient proches. »

« Le contraire complet de mon vieux père, hein, » Roroa hocha la tête. « Mais, dans ce cas, il y a encore une chance. »

Roroa secoua son poing fermé en cercles. C’était le geste qu’elle avait fait avant de lancer des dés en jouant à un jeu de société.

« Cela fonctionnera-t-il en ma faveur ou non ? Je pensais que mes chances étaient de cinquante-cinquante, mais peut-être qu’après tout ce n’est pas si mal comme pari. Il fera un bon adversaire pour le plus grand pari de la vie d’une fille célibataire. »

« Princesse... Êtes-vous absolument certaine de cela ? » demanda Colbert.

Colbert affichait un regard inquiet, mais Roroa avait dit d’un air sérieux. « Nous devons le faire. Oncle Herman va garder les choses sous contrôle dans le sud. Mais quelque chose sent le poisson mort au nord. Nous avons des informations disant que les forces de l’État Pontifical Orthodoxe de Lunaria s’étaient approchées de la frontière. »

Sur ce continent, il y avait deux religions majeures, les adorateurs de la Matriarche Dragon et l’Orthodoxie Lunaire. Le centre de cette dernière foi, l’État Pontifical Orthodoxe de Lunaria, était une théocratie dangereuse dotée d’un système de valeurs unique. Avec ce pays qui semblait sur le point de mourir, ils pourraient essayer quelque chose.

Roroa se leva, se tourna vers les deux autres personnes puis elle frappa dans ses mains. « Maintenant, voici où nous allons devoir agir. À partir de maintenant, nous ne laisserons pas mon frère, l’État pontifical, ou Souma faire ce qu’ils veulent. Nous serons les derniers à en rire ! »

Roroa parlait fièrement, gonflant sa maigre poitrine.

Puis, mentalement, elle ajouta. Et, Souma, vous allez rire avec nous. Bien que, contrairement au nôtre, le vôtre sera probablement un sourire crispé !

Roroa sourit comme une enfant espiègle qui venait de trouver un nouveau tour à faire.

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4 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Barthélémy Lelièvre

    Merci pour le chapitre.

    Ça promet un nouveau tome intéressant.

  3. Merci pour le chapitre

  4. amateur_d_aeroplanes

    Merci pour la traduction 🙂

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