Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 3 – Chapitre 1 – Partie 9

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Chapitre 1: Lorelei VS Raikiri

Partie 9

Après l’avènement du flash qui avait brûlé les rétines de toutes les personnes présentes, une profonde obscurité de désespoir était apparue. De cette tristesse, Shizuku se réveilla lentement. En levant ses lourdes paupières, elle vit le monde flou se concentrer devant elle. Ce qui lui sauta aux yeux était le plafond blanc d’un cabinet médical sans taches...

« Es-tu réveillée, Shizuku ? »

Le visage — de son colocataire put être vu dans son champ de vision.

« ... Alice, » murmura Shizuku.

Shizuku leva lentement du lit son corps. Quand elle regarda autour d’elle, elle vit qu’il ne s’agissait pas seulement d’Arisuin qui était présent ici. Derrière lui, les silhouettes de son frère Ikki Kurogane et Stella Vermillion étaient également présentes. De cette vue...

Ah, je vois.

Shizuku comprenait sa propre défaite.

« Ai-je perdu ? » Face à ces mots qu’elle avait murmurée tout en toussant, un lourd silence tomba.

Ne vous inquiétez pas, courage. Les personnes qui faisaient partie de ce monde des matchs et des combats savaient combien ces paroles seraient sombres. Dans ce monde, il n’y avait pas de tels mots à donner pour les vaincus.

« ... Shizuku, hum, tu sais ? »

« Je suis désolée... »

Les mots que Stella avait essayé de commencer à dire au milieu du silence douloureux, Shizuku les avait coupés en morceaux.

« ... mais j’ai besoin d’un peu de temps... juste pour un peu de temps. Pourriez-vous me laisser seule ? Je suis fatigué aujourd’hui. »

Shizuku couvrait son visage et suppliait tout le monde de partir. À l’heure actuelle, elle ne voulait rien entendre et ne voulait rien voir. Elle voulait juste être seule.

« Je comprends... Allons-y, Stella, » déclara Ikki.

« ... D’accord, » répondit Stella.

Ikki sympathisait avec les sentiments de Shizuku. Il fit immédiatement sortir tout le monde du cabinet médical. Elle en était reconnaissante. Le regret causé par sa défaite qui coulait à travers son cœur se faisait déjà sentir dans sa gorge. Son corps tremblant misérablement en raison de l’amertume, elle ne voulait pas que son frère, Stella, ou n’importe qui le voit ainsi. Parce que Shizuku était une fière petite fille.

C’était ce qu’elle demandait, mais...

« ... Pourquoi es-tu encore ici ? » demanda-t-elle.

Pour quelques raisons, Arisuin était resté dans la chambre avec un doux sourire sur le visage.

« Eh bien, je me demande pourquoi j’ai fait ça, » déclara-t-il.

« Je t’ai dit de me laisser tranquille, » insista-t-elle.

« Oui, je t’ai entendue, » lui répondit-il.

« Alors... ! » commença Shizuku.

Au moment où elle prononçait des mots emplis de violence, Arisuin enlaça Shizuku.

Hein !? 

« ... Ali... ce ? »

« Tu as vraiment combattu de toute tes forces, n’est-ce pas ? » demanda Arisuin.

Arisuin transmit ce message avec un ton calme près des oreilles de Shizuku qui avait été surpris par la soudaine étreinte.

« Ton frère, il t’a regardé jusqu’à la fin. Il a dit que tu étais splendide, » continua Arisuin.

Et en caressant ses cheveux d’argent comme pour les brosser...

« Et pour moi, Shizuku, tu n’es ni quelqu’un qui veut protéger ni quelqu’un qui ne veut pas perdre. Donc... tu n’as pas à faire semblant d’être dur, tu sais. »

C’était sa limite. Face aux doux mots qui avaient été annoncés, à l’étreinte enveloppée autour d’elle, les sanglots qui montaient dans sa gorge s’étaient répandus dehors. Après qu’il fut déversé une fois, tout cela déborda comme la rupture d’un barrage.

Frustrant.

Frustrant. Frustrant.

Frustrant. Frustrant. Frustrant !

Le vœu qui ne s’était pas réalisé. Le rêve qu’elle n’avait pas atteint. Ces vestiges tourmentaient Shizuku. La frustration qu’elle ne pouvait pas mettre en mots, Shizuku les avait pleurées alors qu’elle s’accrochait à la poitrine d’Arisuin. Elle avait mis assez de force pour couper avec ses ongles, mais Arisuin n’avait pas desserré son étreinte. Parce que le partenaire de cette fière petite fille qui crachait son amertume, il savait qu’il était le seul. Par conséquent Arisuin gardé étreignant son petit corps jusqu’à ce que les sanglots de Shizuku soient terminés.

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