Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 4 – Chapitre 4 – Partie 6

« Je t’ai enfin trouvée, Alice, » déclara Shizuku. Du haut plafond, Shizuku descendit tout en étant entourée dans une masse d’eau. Dès qu’il vit sa silhouette, l’expression d’Arisuin avait pâli à un point qu’elle n’avait jamais atteint jusqu’alors. « Pourquoi es-tu venue ici ? Je t’ai dit de m’abandonner, non ? » demanda Arisuin. « Oui, je t’ai entendue, » répondit Shizuku. « Si c’est le cas, alors…, » commença Arisuin. « Mais je ne me souviens pas l’avoir accepté, » répliqua Shizuku. « Qu...! » Face à cette réplique, Arisuin était resté sans voix. Il ne se souvenait certainement pas qu’elle soit d’accord, mais — . Pourquoi… ? Se demanda Arisuin. « Shizuku, je suis une meurtrière, tu t’en rends compte, non ? Je t’ai toujours trompée, n’est-ce pas ? » demanda Arisuin. L’esprit d’Arisuin était revenu sur les lieux de ce jour-là. Les visages effrayés de ses petits frères et sœurs qui la voyaient couverte de sang. C’était un meurtrier que personne ne devrait regarder. Il ne méritait pas l’aide de Shizuku. « Alors pourquoi… ? » demanda Arisuin avec une expression angoissée. À cette question, Shizuku avait simplement répondu — . « Qu’est-ce qu’il y a avec tout ça ? Tu es précieuse pour moi, donc ça n’a pas d’importance. » Sans détour, sans peur, sans dédain — sans aucun changement…

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J’ai été réincarné en une Académie de Magie ! – Tome 4 – Histoire secondaire 2 – Partie 2

Je m’étais précipité sur la gauche et j’avais planté mon épée à travers les côtes de cet homme, droit dans son cœur. Avec une armure magique ou pas, contre des armes enchantées comme les nôtres, une telle chose n’était pas quelque chose sur laquelle on devait compter. C’est mon frère qui m’avait appris ça… Après tout, dans la vie de chaque guerrier, il y a un moment de stupidité où l’on croit que l’armure magique peut tout résoudre. « Deux de moins…, » avais-je dit. Braigun en avait tué un autre. « Plus que sept ! » sourit-il. Entre nous, une petite compétition avait commencé alors que nous fauchions nos ennemis, l’un après l’autre. Comme je l’avais dit, ils étaient faciles à vaincre, et lorsque nous avions atteint la porte, elle s’était ouverte comme si elle nous avait attendus. Il n’y a jamais eu de raison de douter du talent de Mayana. La chambre d’accès de la porte était probablement fermée à clé et couverte par les corps des gardes. C’était aussi maintenant qu’Ellen avait lancé son attaque. Sept rochers s’étaient abattus sur la forteresse, frappant les murs et les fenêtres, tuant plus de personnes qu’aucun de nous deux l’avait fait. Voyant cela, le draconien…

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Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 4 – Partie 2

En passant devant Julian, Hertrude arriva elle aussi dans la prison. Le geôlier avait quitté les lieux après avoir reçu quelque chose de Hertrude. À ce moment-là, Julian m’avait jeté un coup d’œil et était sorti de la pièce. « Vous êtes dans une situation délicate, » déclara Hertrude. « Et je suis sûr que vous savez exactement qui est à blâmer pour ça. En fait, avez-vous au moins le droit de vous promener dans le palais royal ? » demandai-je. « Ce n’est pas pertinent. J’ai obtenu la permission. Et ce n’est pas moi qui vous ai fait arrêter. En effet, j’ai demandé à ce que vous soyez restreint, mais le traitement brutal que vous avez reçu est le résultat des nobles du royaume, » déclara Hertrude. Je sais que vous y êtes pour quelque chose. Alors que je faisais une expression aigre, elle s’était penchée vers les barres de fer. Choisir d’approcher spécifiquement quelqu’un lorsqu’il n’avait pas de chance était un tour tordu. « Voulez-vous que je vous laisse sortir ? Plutôt que de servir un pays comme celui-ci, vous pourriez servir la Principauté de Fanoss. Je vous promets que vous recevrez un traitement approprié. Je peux vous laisser vivre la vie paisible que vous avez toujours…

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Le Maître de Ragnarok et la Bénédiction d’Einherjar – Tome 4 – Chapitre 5 – Partie 8

« HAHAHAHAHAHA ! Enfin, je l’ai fait, j’ai passé le mur ! » Hveðrungr se mit à rire bruyamment en triomphant alors qu’il se frayait enfin un chemin au milieu de la formation de son ennemi. Il avait fait usage de la puissance de l’art secret de sa femme, le seiðr Fimbulvetr. Hveðrungr lui avait ordonné de le lancer non pas sur ses hommes, mais sur leurs chevaux. Cela avait éliminé la peur instinctive qu’ils ressentaient en essayant de sauter la tête la première par-dessus les obstacles, mais aussi toute hésitation naturelle de leur esprit, leur permettant de libérer toute leur force et d’atteindre les limites de leur capacité à sauter. « Hors de mon chemin ! » cria Hveðrungr. Hveðrungr coupa une zone avec sa lance, fauchant les soldats du Clan du Loup qui étaient les plus proches de lui. « Urgh... ! » « Gyaahhhh ! » Derrière lui, les autres cavaliers vêtus de noir du groupe de l’embuscade avaient suivi son avance et avaient sauté par-dessus les murs du fort. Cependant, il n’y en avait pas eu beaucoup. Les chevaux poussés dans une furie sauvage par Fimbulvetr étaient trop violents pour être contrôlés par des moyens normaux. Les seuls capables d’un tel exploit étaient l’élite de l’élite, les…

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Neechan wa Chuunibyou – Tome 2 – Chapitre 8 – Partie 2

Le bras bestial s’était mis à tourner sur lui-même alors qu’il s’envolait dans les airs. Kyoya le regardait voler, mais il ne comprenait pas exactement ce qu’il regardait. Cela avait tracé un arc de cercle vers le plafond, alors que du sang semblait le suivre pendant son trajet. Ses griffes étaient sur le point de percer le cœur d’Aiko… mais c’était maintenant Yuichi qui se tenait devant lui. Les bras de Yuichi étaient croisés et tendus devant lui, puis il les avait baissés. Il devrait déjà être hors jeu… Qu’est-ce qu’il fait là ? Mais au moment où cette pensée était entrée dans l’esprit de Kyoya, Yuichi avait disparu de son champ de vision. La vision de Kyoya s’était alors inclinée sur le côté. À l’instant d’après, il s’était rendu compte que c’était lui qui tombait. Tout semblait bouger au ralenti. La douleur dans son bras et sa jambe lui était arrivée simultanément. Kyoya s’était soudain rendu compte qu’il lui manquait une main et que sa jambe gauche était tordue à un angle bizarre avec le genou vers le bas. Ses souvenirs quant à la façon dont les choses en étaient arrivées là étaient flous. Que s’était-il passé ? Qui lui avait…

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Il ne voulait pas être le Centre de l’Attention – Tome 2 – Chapitre 40

Rigel, Lia et McKinley partirent ainsi pour le nord avec Aileen, qui avait été convaincue par Queue. Leur destination était la grotte de l’eau. Plus ils s’en approchaient, plus la température chutait, et après une heure de voyage à cheval, l’air commençait vraiment à se refroidir. Pourtant, ils n’en avaient pas ressenti une gêne, car plutôt que de s’inquiéter de faire fondre de la glace pérenne pour pouvoir la boire avec de la chaleur, ils avaient amélioré leur résistance au froid. L’équipe de Rigel avait appris que la température du deuxième étage de la grotte de l’eau était si basse que l’eau ne pouvait être trouvée sous forme liquide, alors ils s’étaient préparés à cela et avaient mis un épais manteau dans leur équipement. « Les gars, habillez-vous chaudement et essayez de ne pas attraper froid, » déclara Aileen. « D’accord, Mlle Aileen. Mais je résiste bien au froid, » déclara Lia. « Vraiment, Lia ? Au fait, Queue t’a-t-il parlé du village de la race des tigres ? » demanda Aileen. « Oui, il l’a fait. C’est en fait mon lieu de naissance. J’ai une autre faveur à rendre à Sire Queue, » déclara Lia. Comparé au Lia que Queue avait rencontré lorsqu’il avait aidé Timis pour la première fois,…

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Wortenia Senki – Tome 1 – Chapitre 1 – Partie 1

Le soleil matinal ne faisait que commencer à apparaître de l’autre côté de l’horizon. Dans le jardin d’un certain domaine du quartier Suginami de Tokyo, deux hommes se faisaient face, avec une épée à la main. « Dépêche-toi et viens vers moi ! ». Le cri d’un homme en colère résonnait dans les locaux, s’opposant au silence habituel d’un quartier résidentiel à l’aube. Cependant, ce domaine était spacieux. Des bosquets de bambous poussant dans la cour et des murs en mortier séparaient ce domaine du reste du quartier. Peut-être en raison de cela, aucune personne n’était là pour assister à leur entraînement. La source de ce cri était un vieil homme. Il avait les cheveux blancs attachés au dos. Il mesurait environ 170 centimètres. La poitrine épaisse qui jaillissait de la fente de sa tenue de kendo était finement façonnée et divisée en un six-pack bien défini. Son bras était épais et musclé, et il tenait un katana incurvé de 63 centimètres de long. Sans les rides gravées sur son visage et ses cheveux blanchis, personne n’aurait jamais pu deviner que c’était un vieil homme. Son corps était si bien formé et entraîné. Et pour couronner le tout, son regard avait un reflet…

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Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 10 – Chapitre 296

Aujourd’hui encore, Caroline regarda les croyants prier. Enveloppé de mon aura de camouflage, j’avais veillé sur elle tout en étant invisible. Les croyants offraient leurs prières, et quand ils l’avaient fait, Caroline leur montrait « la lumière de leur âme ». La plupart des gens qui voyaient la lumière de leur âme étaient convaincus. Tout d’abord, ils avaient l’idée préconçue que « c’est leur propre personne ». Ensuite, il y avait l’influence de ce qui leur avait été montré l’« Enfant de Dieu ». En plus, la lumière devenait plus forte après leurs prières… il semblerait que cette partie dépendait de la force de la foi et de la prière de la personne en question. La nouvelle avait été diffusée partout par ceux qui venaient régulièrement, ce qui avait conduit au rassemblement des croyants de tout le continent autour de Caroline. D’un autre côté, Caroline elle-même regardait ceux qui priaient. Elle apprenait à aimer regarder les gens, elle observait ceux qui venaient la voir. « Ah… ! » Soudainement, Caroline éleva la voix. L’enfant de Dieu qui s’occupait d’eux d’une manière pratique et fluide avait montré une réaction différente que d’habitude. Les environs avaient été agités. La fille que Caroline observait semblait confuse. « Ai-je fait quelque chose…

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Vivre dans ce monde avec la compétence Couper & Coller – Chapitre 158

« Dans ce cas, je m’en vais. » Nous étions actuellement au palais royal, en visite chez le Roi. Nous lui avions dit que nous nous occuperions de la demande qu’il nous avait faite, à savoir l’exploration du donjon nouvellement né. C’était un must que de dire à la personne qui nous avait demandé la tâche que nous allions nous en occuper maintenant. De plus accéder au palais royal était une tâche aisée pour nous en ce moment, vu qu’on utilisait la [Magie Unique – Espace Temps]. « D’accord, faites attention pendant que vous serez dehors. Même si c’est votre groupe, si vous deviez être négligents à un moment donné, vous pourriez vous blesser. Parfois, c’est mieux d’être prudent. » « Oui, je ne me forcerai pas et je ne serai pas imprudent pendant l’exploration. » Après nous être présentés au roi, nous avions pris le carrosse fourni par les Chevaliers de Konoe et nous étions partis vers le nouveau Donjon ! « … Alors, j’y suis allé et je l’ai dit ! … Est-ce qu’au moins vous écoutez, Madame Sylphide ? » Pendant le trajet à l’intérieur de la voiture, celui qui avait raconté beaucoup d’histoires à Sylphide était l’un des Chevaliers de Konoe, le nouveau nommé Carl.…

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Bienvenue au Japon, Mademoiselle l’Elfe – Tome 1 – Chapitre 7 – Partie 3

Nous avions quitté la bibliothèque avec le sac de livres à la main. Des enfants étaient entrés alors que nous partions, vers lesquels j’avais souri et je m’étais demandé s’ils se dirigeaient aussi vers la section pour les enfants. Marie avait eu une réaction similaire en marchant à côté de moi maintenant qu’elle comprenait quel genre d’endroit était la bibliothèque. Le soleil était presque directement au-dessus de nos têtes maintenant, et c’était le bon moment pour commencer à réfléchir à ce qu’il fallait manger. Je m’étais tourné vers Marie, qui tenait le sac de livres dans ses bras, et j’avais dit : « Je veux m’arrêter dans un magasin avant de rentrer à la maison. Je peux aussi transporter les livres si tu veux. » « Bien sûr. Mais je peux moi-même tenir les livres, » déclara Marie. J’avais déjà tendu la main pour les prendre, mais elle me l’avait refusé. J’avais rétracté mes mains qui n’avaient nulle part où aller. Puis Marie m’avait dit. « Tu peux parfois être un peu trop protecteur, tu sais. Je pense que tu oublies que je suis bien plus vieille que toi. » Bien sûr que je m’en étais souvenu, mais peut-être que je commençais à oublier…

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