100 en Chance et une Compétence en Domptage de Dragons – Tome 1 – Chapitre 4

J’entendis un grondement sourd et bruyant derrière moi. Une paire de dents acérées essayait de mordre ma chair succulente au moment où je me baissais sous un arbre. Il n’en restait que des éclats tandis que je continuais à courir à travers la forêt dense. Qu’est-ce que je faisais exactement ? Je courrais pour ma vie aussi vite que mes jambes me le permettaient. Apparemment, j’étais tellement chanceux que j’avais fini par tomber sur le dos d’un énorme chien à quatre têtes qui pouvait faire des souffles de feu, d’eau, d’éclair et envoyer de puissantes attaques de vent. Sa fourrure noire, ses dents acérées et ses grands yeux rouges le rendaient féroce et incroyablement dangereux. Des branches et de vieux arbres abattus étaient pulvérisés sous ses puissantes pattes ornées de dangereuses griffes noires. Quant à moi, je ne savais pas comment j’étais encore en vie, mais tant que mes jambes étaient intactes et que je pouvais courir, je ferai de mon mieux pour m’éloigner de cette chose. Honnêtement parlant, je me sentais comme un personnage de niveau 1 face au boss de fin de jeu. Normalement, je devrais déjà être mort, mais ma chance me tenait probablement en vie parce que l’énorme…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 4 – Chapitre 3 – Partie 4

— Quelques jours plus tard. « D’accord, tout le monde, » dis-je. « Passons maintenant à la table des trois. Trois, allez-y ! » « Un et trois font trois. Deux et trois font six. Trois et trois font neuf... » Selon mon instruction, les esclaves avaient commencé à chanter leur table des trois. À côté d’eux, un autre groupe d’esclaves pratiquait leur écriture, utilisant de l’eau pour mouiller une ardoise. Le papier et l’encre coûtaient cher, alors c’était ce que nous utilisions comme substitut. Je voulais les avoir disponibles, mais... Mais après tout, je n’avais vraiment pas beaucoup de marge de manœuvre financière..., pensai-je. « Qu’est ce que vous faites cette fois-ci ? » demanda San, semblant exaspéré. Elle venait de rentrer des commissions où je l’avais envoyée. « Hm ? Je pensais enseigner à tout le monde à écrire et à faire de l’arithmétique, » dis-je. « ... Pourquoi ? » demanda San. « J’y ai beaucoup réfléchi, » dis-je. « Quand il s’agit d’outils, ceux qui ont des fonctionnalités supplémentaires sont mieux pris en charge, n’est-ce pas ? Eh bien, quel type de fonctionnalité supplémentaire pouvez-vous donner aux humains ? Je me demandais ça, et la réponse que j’ai trouvée était : “l’Éducation, peut-être ?” » La triste vérité était que beaucoup de gens ne considéraient les esclaves que comme une source…

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Comment NE pas invoquer un Seigneur-Démon – Tome 1 – Chapitre 1 – Partie 11

Maintenant qu’il y pensait, ils avaient été prévenus de ne pas être trop bruyants. Serait-ce la réceptionniste ? Diablo s’était alors éloigné de la porte. Quand il avait fait ça, il avait marché dans la direction de Rem sans s’en rendre compte. Shera avait l’air d’être sous le choc, mais il prétendit ne pas l’avoir vue. S’il ouvrait cette boîte de Pandore, il allait rester bloqué là pendant un moment. Rem, en tant que celle qui avait payé pour la chambre fut celle qui avait répondu à la porte. « ... Veuillez entrer ! » « Pardonnez-moi pour l’intrusion ! » Il s’agissait d’une voix apaisante qui sonnait comme une cloche. La porte s’ouvrit après ça. Leur visiteuse était une très belle femme. Elle semblait être une personne aimable. Ses longs cheveux bleus étaient tressés derrière sa tête, et le restant se déversait vers l’avant, recouvrant sa poitrine. Elle portait une cape rouge extravagante brodée d’or, qu’elle portait comme un manteau quand elle était entrée, mais elle l’avait ouverte et l’avait placée uniquement sur le dos telle une simple cape avant qu’elle ne salue tout le monde dans la pièce. Elle était vêtue d’une robe bleue qui la couvrait des épaules jusqu’aux chevilles. Il n’avait pas montré…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 4 – Chapitre 3 – Partie 3

« Hé, ici, monsieur ! » déclara l’un des marchands. « C’est un bon esclave qui vous sert là. » « Combien vous a-t-elle coûtée ? Êtes-vous un enfant riche d’une bonne famille ou quelque chose du genre ? » « Hm... heu... Merci..., » dis-je. Alors que je repoussai poliment les personnes qui m’avaient parlé dans l’argot des marchands, San et moi avions marché dans une rue commerçante de la capitale à midi, portant des sacs. Les sacs contenaient principalement de la nourriture et du savon, ainsi qu’une grande quantité de tissu pour faire des vêtements simples. J’étais sûr que vous pourriez comprendre cela sans que je le dise, mais presque tout cela était pour les esclaves. « Eh bien, nous avons réussi à mettre la main sur une bonne quantité de tissu de qualité, » dis-je. « Ce magasin, Le Cerf d’Argent, était plutôt bon. Le commerçant était un vrai dandy, et quand il a entendu que nous utilisions le matériel pour faire de nouveaux vêtements pour les esclaves, il nous en a vendu beaucoup pour pas cher sans avoir l’air mécontent de ça. » « Comme c’est très bien pour vous, » dit-elle. « Ah... ! Désolé, San, » dis-je. « Je parle du fait de t’obliger à me suivre et à transporter des choses pour moi. » « Vous…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 4 – Chapitre 3 – Partie 2

Je m’appelle Ginger Camus et je suis âgé de 17 ans. Je viens du Royaume d’Elfrieden... Oh, je suppose que c’est maintenant le Royaume de Friedonia, Hmm. En tout cas, je suis un marchand d’esclaves présent dans la capitale du Royaume de Friedonia. ... Eh oui. Je suis un marchand d’esclaves. Ce n’était pas vraiment un travail respectable, n’est-ce pas ? Après tout, il s’agit de commerçants qui achetaient et vendaient des personnes. Eh bien ! Hormis les esclaves condamnés, la plupart d’entre eux étaient des esclaves économiques qui ne pouvaient pas se permettre de manger et ne voulaient pas avoir faim, ou qui s’étaient vendus parce qu’ils avaient besoin d’argent. Et donc, d’une certaine façon, cela aurait pu être considéré comme une sorte de système de protection sociale, mais... ce n’était pas un travail que vous pouviez faire sans avoir une peau épaisse. Moi ? Vous savez, la mienne était mince ! Mince comme un fin papier, compris ? Je me suis battu avec des douleurs à l’estomac tous les jours. Maintenant, vous vous demandez peut-être ce qu’un gars comme moi faisait en tant que marchand d’esclaves. C’était parce que mon grand-père, qui était aussi un marchand d’esclaves, était décédé. Mes parents étaient déjà…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 4 – Chapitre 3 – Partie 1

— 30e jour du 11e mois de l’année 1546 du Calendrier Continental — Capitale Royale, Parnam Après que la confusion causée par l’annexion d’Amidonia se soit résorbée, le peuple avait retrouvé son calme. C’était maintenant l’hiver, et ce matin, je trouvais plus difficile de quitter la chaleur du lit. Quand je m’étais réveillé au son d’une porte qui se fermait à la hâte, j’avais commencé à bouger, et mon esprit était toujours à moitié éveillé. Brr... Il fait froid, pensai-je. De plus, ma tête est lourde. Ai-je attrapé quelque chose ? Je devrais avoir plus de couvertures pour ce lit dans le bureau des affaires gouvernementales. Je vais demander plus tard pour ça aux servantes. Pendant que je pensais ça, je m’étais retourné et quelque chose de doux avait touché mon front. « Ahn, » dit une voix étrangement amoureuse. ... Quelque chose d’étrange se produisait en ce moment. En tentant de déplacer ma tête, j’avais finalement compris ma situation actuelle. Tout d’abord, ma tête était bloquée. Il semblerait que quelqu’un la tenait serrée. Était-ce la raison pour laquelle elle m’avait semblé lourde ? Eh bien ! Au moins, ce n’était pas un rhume... Attendez, ce n’était pas le problème ici ! Mon front était pressé contre la…

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Comment NE pas invoquer un Seigneur-Démon – Tome 1 – Chapitre 1 – Partie 10

Il y avait un grand lit dans leur chambre au deuxième étage. N’y a-t-il pas trois lits !? Il n’y avait même pas de distinctions comme de « grandes chambres » ou de « petites chambres » dans le jeu. Les frais pour rester une nuit étaient toujours fixes, donc il y avait déjà beaucoup de choses différentes dans la réalité. Le lit lui-même était un cadre en bois rempli de paille et quelques draps jetés par-dessus tout ça. L’odeur du foin flottait dans toute la pièce. Il semblerait que c’était le genre de choses sur lequel les personnes dormaient au moyen âge... Il n’avait jamais pensé qu’il finirait par dormir sur un lit de paille. Et encore moins avec deux filles. S’il s’était dit hier soir que « Demain soir, je vais dormir dans le même lit qu’une Elfe et une Panthérienne, » il aimerait penser qu’il aurait répondu : « Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? » Sur le lit, il n’y avait qu’une seule couverture pour les trois. Il ne pensait pas qu’il pourrait attraper froid ce soir, mais... Il y a juste une couverture, hein !? Il n’y avait rien d’autre comme meuble dans cette pièce. Les fenêtres étaient faites de planches de bois, sans verre…

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Bienvenue dans une guilde de monstres – Tome 1 – Chapitre 12

Bam, bam, bam ! Le bruit de marteau résonna dans l’air. Raiz et ses camarades travaillaient sur le chantier de construction de la nouvelle base pour la guilde La Livraison de Monstres. Depuis que leur ancien bureau avait été détruit par la tempête, ils avaient besoin d’un nouveau foyer. Le charpentier lui avait fait une faveur concernant le temps de paiement, mais Raiz était à la fois reconnaissant et désolé. Étant donné les circonstances, il avait périodiquement essayé d’aider son sauveur, essayant de couvrir au moins les dépenses de base. Il avait également offert le salaire de Lamia, mais son salaire n’était pas vraiment important, donc les gains de Dragon étaient devenus fondamentaux pour lui. Nous devons payer les charpentiers dès que possible. Nous devrons essayer de ne pas les déranger, pensa Raiz. Ils savaient tous que la vie des travailleurs était très stressante, alors Raiz se creusait la tête pour trouver plus de moyens de gagner de l’argent et pour pouvoir rapidement régler ses dettes. Mais les travailleurs en question semblaient satisfaits de la situation. « Lamia, je dois descendre, peux-tu m’aider ? » « D’accord, » répondit Lamia. L’un des travailleurs sur le chantier l’avait appelée depuis le deuxième étage, et ainsi, Lamia prolongea…

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Chargez sa magie avec un sourire – Tome 4 – Chapitre 106

« Je m’appelle Khorkina. » Je me trouvais à l’intérieur du pont principal du cuirassé Risha qui était retourné à Ribek. Le Regret que nous avions brillamment ramassé venait de se présenter à nous. Elle avait des cheveux d’argent et une peau brune... elle était l’exemple parfait d’un Regret. Elle semblait plus gaie que Mira et même plus jeune que Lilia. « Je suis Akito, » dis-je. « Akito-chan ? Est-ce possible que vous soyez le Roi Akito-chan ? » demanda Khorkina. « Chan... !? » m’exclamai-je. Pendant un moment, je m’étais même demandé si nous nous étions connus auparavant. « C’est exact. Je suis le Roi Akito. Vous êtes le Regret qui était avec Svetlana, n’est-ce pas ? » demandai-je. « C’est bien ça. Attendez, où est Svet-chi... est-ce qu’elle va bien ? » demanda Khorkina. « Svet-chi... ne vous inquiétez pas, elle est..., » commençai-je. « Khorkina ! » Alors que je parlais, Svetlana était apparue sur le pont. Elle avait étreint Khorkina avant de commencer à pleurer. J’avais envoyé un message l’informant qu’elle avait été retrouvée, mais il semble qu’elle ne pouvait pas attendre et qu’elle était venue la voir. « Tu es sauve ! Merci Déesse..., » déclara Svetlana. « Je ne vais pas bien, ça fait vraiment mal... Hein... attends ? Pourquoi suis-je en vie ? J’aurais dû être en pièces, » déclara Khorkina.…

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Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 3 – Chapitre 78

En ce jour, j’étais venu au Restaurant Purosu après une longue période. « Bienvenue ! Ah ! Monsieur Kakeru ! » Une jeune fille portant un tablier et étant le porte-étendard du restaurant était là, Fiona. « Cela fait longtemps. Oh, vous n’étiez pas venu récemment, alors je pensais que vous en aviez marre de nous, » Fiona avait dit cela en plaisantant. Cet acte était très semblable à ceux d’une idole, elle savait comment briser la glace avec des blagues modérées. C’est pourquoi j’avais aussi répondu en plaisantant. « Le fait d’avoir un enfant rend plus difficile à sortir pour manger à l’extérieur. » {Ne fais pas comme si c’était la faute d’Hikari !} Éléanore s’était fâchée bien que ce n’était qu’une blague. Elle disait toujours que j’étais un parent passionné, mais je pensais qu’elle était encore plus une parente passionnée que moi. C’était juste qu’elle ne pouvait pas se transformer dans ce monde en forme humaine, alors elle ne pouvait pas le faire ressortir. « Ahaha, Hikari-chan fait pitié si vous dites quelque chose comme ça. À ce propos, n’est-elle pas avec vous aujourd’hui ? » demanda Fiona. « Non, elle est sortie pour aller jouer. Elle a dit quelque chose comme s’il y avait une fleur qu’elle voulait aller voir ? C’est…

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