Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 18

La société commerciale de Conanna Curtrude en arrivant dans la ville l’avait rendue encore plus animée. Et pourquoi ne serait-il pas là où une si grande quantité d’êtres humains arrivaient sans cesse dans la ville en une si courte période ? Et ceci en sachant que c’était ainsi à la suite de l’utilisation par le commerçant de ses contacts afin de promouvoir notre ville. Les aventuriers avaient également aidé avec le plaisir qu’ils avaient eu quant à la grande variété de produits amenés par la société — les produits que le magasin géré par les filles-renardes n’avait pas. Cela dit, cela ne signifiait pas que les ventes du magasin géré par les filles-renardes avaient diminué, car nous avions toujours des pommes bénies par les pouvoirs des Elfes et les épées forgées par les Naines forgeronnes qui ne pouvaient être trouvée nulle part ailleurs. Donc, fondamentalement, nous vendions nos produits spécialisés alors que la société Curtrude s’occupait des autres produits. Nous étions en parfaite harmonie sans interférer les uns avec les autres. En revanche, la ville avait bénéficié de l’ouverture d’une succursale de la société commerciale en créant des emplois. Les employés permettaient d’augmenter le nombre d’habitants. Bien que le marchand et…

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Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 17

Avec ma remarque préventive, le marchand sembla déprimé. « Oh mon Dieu ! Abattu avant même d’avoir eu une chance. Pour l’instant pourriez-vous au moins écouter ma proposition, s’il vous plaît ? Si je vendais les épées que vous vendez à Eclaba, je pourrais les vendre quatre fois le prix de vente actuel. C’est si vous me permettez de les acheter en vrac à trois fois le prix. Je pense qu’il s’agit là d’un marché profitable à nous deux. » (Conanna) « Je ne peux pas approuver cet accord. Pour des raisons que je ne discuterai pas, mon but est de rassembler beaucoup de personnes dans cette ville, même si je dois le faire seul. Et donc, je ne peux pas vous vendre les épées que j’utilise pour attirer les gens. » (Procell) Si j’avais l’impression d’avoir besoin d’argent, je pourrais simplement en créer autant que nécessaire. Ce qui était important pour moi était les humains eux-mêmes. « Hmm, c’est surprenant. Il devrait pourtant être plus facile pour vous de les vendre en masse... De toute façon, que diriez-vous de vendre le procédé pour créer vos épées ? Si vous le faites, je suis prêt à vous donner une pièce d’or pour chaque épée vendue. Comme ça, vos…

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Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 16

Une semaine après avoir fini de créer ma ville et son ouverture aux humains, le nombre d’humains avait très vite augmenté. Les chiffres indiquaient qu’au moins 300 humains passaient par jour dans ma ville et au moins 50 d’entre eux passaient la nuit dans notre auberge. Les DP avaient aussi rapidement augmenté. Une moyenne de 5 DP était gagnée pour chaque humain et cela par jour. S’ils passaient juste momentanément, ce nombre tombait à une moyenne de 2 DP. Dans l’ensemble, je gagnais 500 DP quotidiennement. Il semblait que cette ville stimulait les désirs humains, les émotions humaines avaient plus fluctué que prévu, mes revenus étaient équivalant à cela. À l’heure actuelle, Kuina et les autres en chassant dans la [Caverne Cramoisie] me fournissaient plus de DP, mais cela devrait devenir moins intéressant au fur et à mesure que je gagnais des habitants. Puisque j’avais finalement obtenu un apport régulier de DP, je pouvais maintenant me préparer à une [Guerre] et construire sans soucis un donjon vicieux. Ce serait une mauvaise idée de ne pas commencer à se préparer à une [Guerre]. J’avais l’avantage de devoir faire un donjon uniquement axé sur l’anéantissement des intrus alors que les autres Seigneurs-Démons…

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Chargez sa magie avec un sourire – Tome 2 – Chapitre 57

Dans la ville de Ribek, au sein même du Manoir du Seigneur. J’avais en main mon DORECA et je regardais actuellement dans mon menu. Pendant ce temps, Yuria me faisait son rapport. « Les personnes qui ont été sauvées de l’esclavage de Maxim ont déclaré que leurs villes étaient entièrement détruites. Après avoir discuté avec eux, elles ont dit qu’elles voulaient vivre dans les villes du Maître. » (Yuria) « Quelles villes ? Ou serait-il préférable de créer de nouvelles ? » (Akito) « De nouvelles villes seraient vraiment bien mieux. Leurs corps et leurs esprits sont en miettes. Une nouvelle ville ferait des miracles pour eux. » (Yuria) « Je comprends, » dis-je tout en hochant la tête. Je me remémorais les informations qu’Yuria m’avait données plus tôt, et les organisais dans ma tête. Puis je commençais à donner mes ordres. « Pour le moment, laissez-les vivre à une courte distance de la ville dans la place habituelle. Puis, une fois que l’emplacement de la nouvelle ville aura été décidé, je m’occuperais des travaux. » (Akito) « Compris. Je vais les déplacer vers la Ville Refuge. » Répondit Yuria tout en hochant la tête, puis elle écrivit quelques choses sur un papier qu’elle avait avec elle. Récemment, nous avions eu de plus en plus…

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Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 15

Dans le but de voir comment se débrouillait la Renarde mythologique, j’étais allé voir les réactions des aventuriers et bien qu’il y ait eu des plaintes au début, j’ai été soulagé de voir qu’ils avaient aimé nos produits. Cependant, la conversation qu’ils avaient eue juste après m’avait amené à croire qu’ils avaient besoin d’une auberge et de quelques équipements. J’avais donc décidé d’aller leur parler. « Si vous le souhaitez. Je peux vous montrer ma ville, il y a un forgeron qui vend et répare des armes. Nous avons également une auberge. » (Procell) Bien qu’ils fussent déconcertés par ma soudaine apparition, ils retrouvèrent leur sang-froid. « Que voulez-vous dire par père des Demi-Humains ? Et vous êtes un grand sage ? Et qui êtes-vous ? » « Il s’agit d’une ville que j’ai construite pour les Demi-Humains qui sont persécutés par la société et je suis leur gardien. » (Procell) J’avais un peu trop encensé mes paroles et était peut-être allé trop loin avec mon bluff. Ils me regardaient avec des yeux suspicieux. J’avais fait une erreur, du moins, c’est ce que je croyais. C’était un peu embarrassant. D’accord, changeons de sujet. « ... Et en ce qui concerne cette visite ? » (Procell) « Oh, oh, oui. Pouvez-vous nous montrer l’auberge ? »…

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Chargez sa magie avec un sourire – Tome 2 – Chapitre 56

Sur le versant d’une montagne, un endroit ouvert. Au moment où je les avais vus, l’image d’une colonie de fourmis Amazone était alors apparue dans mon esprit. Les fourmis-soldats se détendaient en dominant les autres, alors que les fourmis ouvrières de diverses provenances travaillaient désespérément. Voilà quel était le sentiment que j’avais. « Qu’est-ce que c’est ? C’est horrible ! » déclara Mira, emplie de colère. Mira était généralement assez réservée devant moi, mais vis-vis des choses qui ne lui étaient pas liées, elle était celle qui avait toujours exprimé ses émotions le plus distinctement. Elle sympathisait avec les personnes se trouvant là-bas... ils travaillaient à mort... ils n’étaient même pas des Esclaves Éternelles qui pourraient au moins en tirer une certaine satisfaction. « S’ils avaient conquis la ville, alors la population de Pelmi serait devenue comme ça. » (Mira) « C’est vraiment terrible ! » (Akito) « En dehors de cela... Maître, que faisons-nous ? Attaquons-nous avec vous à l’avant ? » (Mira) « Hmm... » (Akito) J’y avais déjà pensé. Même si nous allions attaquer de cette façon, alors je pensais que cela serait correct. Mais cela ne ferait pas de mal d’y aller un peu plus intelligemment. C’était semblable avec ce qui s’était passé avec Marato. Dans ce monde, neuf fois sur dix, tout était…

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Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 14

« J’irai alors, Monseigneur Procell et Grande Sœur Kuina. » « Oui, fais de ton mieux. » (Procell) L’une des deux renardes mythologiques sous forme humaine avait alors fait ses au revoir avant de sortir de la ville. En tant que garde, elle avait un golem de mithril qui possédait une force comparable à un démon de rang B. Kuina lui fit un signe de la main. Sa destination était une certaine route à l’extérieur d’Avalon, qui était une route souvent empruntée par de nombreux aventuriers au début de la journée, donc à l’heure où nous étions. Notre plan était d’effectuer une approche simple afin d’attirer l’attention des humains. Le fait que la belle renarde portait un panneau d’enseigne devrait suffisamment se distinguer. Le message écrit sur le panneau indiquait que du pain, de la viande séchée et de l’eau étaient en vente dans ma ville pour 40 % du prix qu’on pouvait trouver actuellement dans la ville d’Eclaba. Afin de profiter de l’occasion, il était également écrit que notre auberge n’offrait nullement le repas avec la nuit, mais que tout dans la ville était bon marché. Les aventuriers qui se dirigeaient vers le donjon avaient probablement déjà assez de provisions sur eux, mais en…

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Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 13

Ma prochaine destination était le troisième des cinq bâtiments spéciaux de ma ville : le magasin. Il était dans un endroit facile à trouver. Il s’agissait d’un grand magasin qui allait vendre des produits alimentaires et les armes fabriquées par les naines. Les produits alimentaires disponibles étaient des pommes crues, de l’alcool fabriqué par l’Elfe Antique, du pain salé et aromatisé, à croûte dure, et de la viande séchée achetée dans une ville humaine. Outre les pommes, tous étaient nécessaires pour l’exploration de donjons. J’avais toutes les raisons de penser que chacun de ces éléments seraient populaire puisque notre ville se trouvait entre le donjon du Seigneur-Démon du [Temps] et la ville d’Eclaba. Une fois que nous aurions gagné quelques habitants et marchands, nous pourrions disposer d’un éventail plus large de produits, mais pour l’instant, afin de ne pas avoir de pression sur les ventes, nous avions choisi de nous limiter aux produits de première nécessité. En plus de ces articles, nous offrirons également un service de réparation d’équipements. Bien que je suppose déjà que cette tâche ira aux Naines-forgeronnes. « Mon maître, vous êtes venu. » (Elfe Antique) Elfe Antique, portant un baril rempli de pommes, me salua ainsi. « Ouais ! Nous allons…

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Maou-sama no Machizukuri! – Tome 2 – Chapitre 12

Six jours s’étaient écoulés depuis la fondation de ma ville. Le lendemain, nous avions l’intention de commencer à sérieusement recruter des humains. C’était inhabituel, car j’étais seul à m’occuper de la ville puisque mes subordonnées étaient occupées avec leurs préparatifs. Les canalisations d’eaux avaient déjà été installées dans la ville et les puits étaient également en place. Enfin, nous avions également préparé une cinquantaine de maisons ainsi que beaucoup de terres labourées. Les matériaux utilisés pour construire ces maisons étaient les arbres qu’Elfe Antique faisait pousser avec ses capacités, ainsi que les pierres et les métaux prélevés dans la mine. « Oui, la vue semble bonne. » (Procell) Je surveillais les terres agricoles depuis une petite colline où se trouvait le champ où nous cultivions nos précieuses pommes. Le blé cultivé dans une partie des terres agricoles était prêt à être récolté. Sa croissance avait été accélérée par les pouvoirs d’Elfe Antique. J’espérais que cela pourrait convaincre les candidats humains que notre ville avait des terres fertiles. En outre, les intimidants golems étaient dans toute la ville. En tant que gardes et gardiens de la ville, environ une vingtaine d’entre eux étaient déployés. Mais en aucun cas, ce n’était leur nombre total,…

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Chargez sa magie avec un sourire – Tome 2 – Chapitre 55

Je traversais seul le désert. J’étais couvert de la tête aux pieds par un manteau alors que je me trouvais sous la forme d’un enfant. Si l’on m’avait découvert au cours de mon voyage, alors il n’y aurait aucun sens à tout ce que je faisais, et donc j’avais pris le médicament avant de partir. Mais finalement, cela, c’était révélé être une erreur. « Marcher en étant qu’un enfant ne me permet vraiment pas d’aller bien loin... » Murmurai-je pour me plaindre. Il était surprenant de voir quelle faible distance j’avais pus parcourir. C’était assez évident maintenant que j’étais dans la situation et que j’avais le temps d’y réfléchir... avec mes enjambées qui étaient au moins deux fois plus petites qu’avant. ( Humm, Maître ) J’entendis alors Risha me parler dans ma tête. Mes quatre esclaves avaient été placés à l’intérieur de mon épée. Tout tomberait à l’eau si elles étaient découvertes, de sorte que je les avais toutes placées directement dans mon épée et cela dès le départ. L’épée était dissimulée par le manteau. Mon épée et moi étions donc cachés par le manteau et j’étais sous la forme d’un enfant... dans une telle situation, personne ne penserait que j’étais le…

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