Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Prologue

« Liscia, tenez ces documents pour moi, » Demanda Souma. « ... D’accord. J’ai compris, » lui répondis-je. Dernièrement, Souma avait agi étrangement. Alors que je prenais la pile de documents des mains de Souma, une pensée me vint à l’esprit. Récemment, Souma avait travaillé sur la paperasserie avec encore plus de zèle et d’enthousiasme qu’auparavant. C’était comme si nous étions revenus à cette époque, peu de temps après que mon père lui ait remis le trône. Il ne devrait pas avoir été aussi occupé maintenant alors que nous étions dans une telle situation, mais il me semblait qu’il cherchait encore plus des travaux à faire et s’en attribuait bien plus que de raison. Et pourtant, quand il s’était soudainement retrouvé avec du temps libre devant lui, il n’avait rien fait en particulier, il avait simplement regardé par la fenêtre pendant tout ce temps. Auparavant, quand il avait eu du temps libre, il venait dans ma chambre et travaillait sur des poupées, ou aurait cherché pour des tenues mignonnes afin d’habiller Tomoe, mais ces derniers temps, il ne l’avait même pas fait. Je regardai actuellement Souma traiter silencieusement les documents se trouvant devant lui. Le changement était subtil, et j’étais sûr que personne d’autre…

Lire la suite


Béni par la Déesse et Transféré dans un Autre Monde ! – Chapitre 9

« Haaa, je suis en vie. » (Jin) Oui. La raison principale pour laquelle nous avions choisi cette auberge nommée Ohuro était la présence d’un bain. Ce n’était pas une salle privée, mais un bain pour tous, bref il s’agissait d’un bain public. Nous le savions tous deux, et j’avais donc payé les frais de l’auberge sans regret. Quand j’avais vérifié ce détail, j’avais vu qu’il y avait des bains publics dans la ville. Mais nous n’avions aucun problème au fait d’utiliser des salles de bains réservées aux clients. Sakura était allée laver Dora dans le bain des femmes. Il y a du savon dans ce monde et il ne s’agissait pas d’un objet coûteux. Je lavai mon corps et mes cheveux, puis j’allais lentement m’immerger dans la baignoire. C’était virtuellement comme si la salle m’était réservée, car aucun autre client n’était présent. J’essuyais ensuite mon corps avec la serviette fournie. Je m’étais alors revêtus avec mes sous-vêtements et le peignoir que j’avais apporté. Mon uniforme scolaire était un souvenir de mon Ancien Monde, alors je voulais changer mes vêtements dès que possible. En passant, les vêtements que j’avais apportés et préparés étaient très analogues à un uniforme scolaire japonais. Il semblerait…

Lire la suite


Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 1 – Extra

Les Aventuriers. En tant que personnes qui allaient contester et nettoyer des donjons et qui découvraient de nombreux mystères qui s’y trouvaient, leur profession était remplie d’aventures romanesques. Cependant, en même temps, ils étaient également des touches à tout concernant les métiers, effectuant ainsi des quêtes délivrées par la guilde (protéger les commerçants, tuer des bêtes dangereuses et plus) en échange de récompenses. Maintenant, voici quelque chose à propos de ces aventuriers. Elle se trouvait présente parmi les plus récentes légendes urbaines qui se propageait dans Parnam, la capitale d’Elfrieden. « L’aventurier qui porte un kigurumi. » On disait que cet aventurier portait en permanence un kigurumi, une sorte de costume couvrant l’intégralité de son corps et qui faisait 1 mètre 70 de hauteur. Son arme était un naginata, posé sur son dos. Il possédait un corps assez rondelet, mais pouvait se déplacer rapidement et était apparemment très talentueux. Il ne formait aucun groupe, prenait en solo des quêtes de subjugation de bêtes dangereuses, mais de temps en temps, s’il y avait un groupe à la recherche de membres temporaires, il les rejoindrait le temps de nettoyer un donjon. Par ailleurs, son nom enregistré dans la guilde était Le "Petit Musashibo". *** « Hm...…

Lire la suite


Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 1 – Épilogue

La ville centrale du duché de Carmine, Landel. En ce moment, au centre de cette cité, dans la salle de réunion du château de Landel où résidait le Duc Georg Carmine, les trois ducs qui contrôlaient les forces terrestres, maritimes et aériennes de ce pays s’étaient rassemblés. Tout d’abord, à la pointe de la table se trouvait le seigneur de ce château, Georg Carmine. Ce homme-bête à tête de lion avait une carrure large et musclée qui était apparente même à travers son uniforme militaire. Il avait l’apparence d’un guerrier qui avait fait face à de nombreuses batailles. Les hommes-bêtes ne vivaient pas plus longtemps que les humains, mais même à l’âge de cinquante ans, il ne montrait aucun signe de déclin. Sa présence était suffisante pour que l’atmosphère soit tendue. Assise à la droite de Georg se trouvait l’amiral de la marine, Excel Walter. Vêtue d’un kimono de style similaire à ceux portés au Japon, elle était une belle femme-serpent de mer avec des petits bois poussant hors de ses cheveux bleus. Les serpents de mer étaient une race qui pouvait vivre pendant plus de mille ans, et elle-même avait déjà atteint plus de cinq cents ans, mais elle…

Lire la suite


Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 1 – Chapitre 6 – Partie 2

« J’ai reçu un message de mon père, le chef du village des elfes sombres, » dit Aisha. « “La nuit dernière, un glissement de terrain soudain a emporté près de la moitié du village”, a-t-il déclaré. Récemment, il y a eu beaucoup de pluie dans la Forêt Protégée par Dieu. Oui. Il y a... beaucoup de personnes disparues... Ohh... » La voix d’Aisha dérailla. Sa patrie et sa famille venaient d’être touchées par un terrible désastre. C’était sûr que ce serait un choc pour elle. ... Je suis préoccupé, mais je n’ai pas le temps de la réconforter, pensai-je. Dans cette situation, en tant que roi, que devrais-je faire ? Pendant que je pensais à cela en silence, Hal déclara. « Hé, vous pourriez au moins la réconforter... » Mais Kaede le tirait déjà par l’oreille avant que je puisse dire quelque chose en réponse. « Actuellement, le roi réfléchit. » Elle lui fit un sermon. « Tu sais, tu ne dois pas l’interrompre. » Je l’avais alors vue traîner Hal. Quelle bonne amie d’enfance, elle était ! ... D’accord, je dois mettre de l’ordre dans mes pensées. Je levai la tête, et immédiatement, je m’étais mis à agir. « Cette unité va aider le village des elfes sombres ! » Déclarai-je. Hal s’arrêta…

Lire la suite


Chargez sa magie avec un sourire – Tome 2 – Chapitre 62

Le matin suivant, dans mon bureau se trouvant dans le Manoir du Seigneur. L’esclave de Seiya s’était réveillée et se tenait actuellement devant moi. « Est-ce que votre corps est guéri ? » (Akito) « ... » Hocha-t-elle la tête tout en restant silencieuse. Elle n’avait rien fait de plus afin de communiquer avec moi. Elle me regardait, mais elle ne voulait pas me parler. « Savez-vous où est Seiya ? » (Akito) « ... » (esclave de Seiya) Elle resta silencieuse, mais cette fois-ci, je pouvais sentir une certaine hostilité. « Ne vous méprenez pas, je ne le poursuivrai pas. » (Akito) « Alors... pourquoi ? » (esclave de Seiya) « Si je ne sais pas où il est... alors je ne pourrais pas vous y conduire. » (Akito) Elle avait l’air étonnée. C’était complètement en dehors de ses attentes. « Vous allez me reconduire jusqu’à lui ? » (esclave de Seiya) « Évidemment. » (Akito) Je m’étais alors assis sur ma chaise, appuyant mon dos contre le dossier avant de regarder le plafond. « Un Maître est uniquement un Maître quand il reçoit son premier esclave. C’est la même chose pour un esclave... s’il n’a pas de Maître, alors un esclave n’est pas un esclave... ai-je raison ? » (Akito) Elle me répondit en hochant en silence la tête. « Je ne vais pas…

Lire la suite


Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 1 – Chapitre 6 – Partie 1

Je m’appelle Halbert Magna, 19 ans. Je suis le fils aîné de la famille Magna, bien connu dans les forces terrestres du Royaume d’Elfrieden. J’avais l’habitude d’appartenir à cette armée, mais après que quelque chose me fut arrivé, j’ai été transféré de force dans l’Armée Interdite. Pour ajouter une insulte à ma blessure, mon commandant était mon ami d’enfance, la mage de la Terre, Kaede Foxia, qui commençait ses phrases avec des "Tu sais". Pour résumer, maintenant, je devais suivre ses ordres... Je souhaiterais que ce soit tout simplement une blague. Et pour couronner le tout, que faisais-je maintenant ? En ce moment, plutôt que de tenir une épée, j’utilisais un outil afin de faire des tranchées (une pelle à arêtes rondes qui peut aussi être utilisée lors des combats au corps à corps). Les ordres de marche étaient venus pour l’Armée Interdite, et quand j’étais arrivé sur le site, j’avais été chargé d’empiler la terre, de creuser au milieu, puis d’y verser un liquide poisseux (?), puis de renforcer les côtés avec du gravier, et enfin, de planter des pousses d’arbres de chaque côté. Ensuite, je devais mettre en place les lampadaires remplis d’éponge à lumière qui sont communs dans…

Lire la suite


Chargez sa magie avec un sourire – Tome 2 – Chapitre 61

J’étais en train de faire une petite pause pendant mon travail et donc, je restais là, à rêvasser. Je m’étais moi-même nommé en tant que Roi, mais ma vie quotidienne n’avait pas changé du tout. J’avais comme toujours obtenu des rapports d’Yuria puis j’avais donné des ordres à mes esclaves. La plupart des tâches pouvaient facilement leur être laissées, mais grâce à l’augmentation de la population, ma charge de travail n’avait pas vraiment diminué. Et ainsi, avec mon DORECA en main j’avais couru ici et là. Si quelque chose avait changé, alors cela serait que je pouvais prendre une petite pause de temps en temps afin de boire un thé qui était fabriqué sans avoir besoin d’utiliser mon DORECA. Après avoir fini ma pause ainsi que ma tasse de thé par la même occasion, je m’étais levé. « Et bien ! J’ai obtenu une demande pour un parc, alors je suppose que je devrais aller en faire un. » (Akito) J’avais alors quitté mon bureau avant de marcher dans les environs de Ribek. « Madame. Combien pour ça ? » (Villageois) « C’est 1 990 yens. » (Vendeuse) « Ho ! Ce n’est même pas 2000, alors je vais le prendre. » (Villageois) « S’il vous plaît, revenez me voir une prochaine fois. » (Vendeuse)…

Lire la suite


Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 1 – Chapitre 5 – Partie 2

Vous souvenez-vous de ce que j’avais dit quand j’avais parlé de la façon dont la technologie de ce pays était totalement désordonnée. J’avais mentionné qu’il y avait des cuirassés d’acier, uniquement tirés par de grands dragons des mers. Lorsque Liscia et moi étions arrivés au site prévu pour la nouvelle ville, nous avions été accueillis par l’un de ces cuirassés d’acier. Le Cuirassé Albert. Portant le nom de l’ancien roi, il s’agissait du seul cuirassé en possession de l’Armée Interdite et il était par la même occasion le navire amiral de la Marine Royale. Sa forme était semblable au Mikasa, qui était le vaisseau amiral de la Flotte Combinée à l’époque de la Bataille de Tsushima. Il possédait deux batteries principales, l’une à l’avant et l’autre à l’arrière, pour un total de quatre canons, avec des canons auxiliaires le long des flancs. Bien que les batteries principales et les canons auxiliaires soient tous placés sur un navire, ils ne l’étaient pas en tant qu’artillerie fixe. En outre, parce qu’il n’était pas équipé d’un moteur à combustion interne, l’absence de cheminée était une autre différence entre les deux. Sa source d’énergie était un dragon des mers. (Ceux-ci ressemblaient à des plésiosaures,…

Lire la suite


Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 1 – Chapitre 5 – Partie 1

Dans la salle d’audience du château de Parnam. Un grand nombre de personnes avaient été alignées dans l’endroit même où la convocation du héros ainsi que la cérémonie de remise des talents avaient eu lieu. Il s’agissait des bureaucrates du ministère des Finances. Chacun affichait une expression d’extrême épuisement sur leur visage. Leurs joues étaient enfoncées, ils avaient des poches sous leurs yeux, certains affichaient des sourires secs, tandis que d’autres cherchaient un accotement afin d’éviter de s’effondrer. Malgré tout ça, chacun d’entre eux possédait un scintillement dans leurs yeux. Il s’agissait là des yeux des guerriers qui avaient survécu à une bataille sanglante. Depuis que j’étais devenu roi et j’avais lancé mes réformes afin de sauver une économie qui était au bord de l’effondrement, ils m’avaient servi en tant que mains et pieds, travaillant durement, tels des chevaux tirant une voiture. Quiconque travaillait pour s’enrichir avait été renvoyé, ne laissant en fonction que les plus sérieux. Il s’agissait de personnes qui avaient travaillé durement, étant même réticentes à prendre du temps afin de dormir. L’un d’entre eux pourrait passer une journée entière en comparant les nombres dans un ensemble de documents, tandis qu’un autre pourrait passer la plus grande…

Lire la suite