Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 9 – Partie 2

« Hahhhhhhhhh ! » (Liscia) Pendant ce temps, dans l’aile droite de l’armée du royaume, Liscia laissa échapper un cri de guerre. Tout en agissant en tant que commandante de l’aile droite, elle était également montée sur un cheval, se déplaçant tout près de la ligne de front. Chaque fois que Liscia poussait sa lance vers l’ennemi, des lames de glace s’étaient formées dans l’air et avaient déchiqueté des soldats amidoniens. Son apparence lui donnait l’air d’être une valkyrie. Il y avait même une certaine beauté dans ce spectacle. Mais d’un autre côté, Liscia semblait agir à la hâte, comme si le sang s’était précipité dans sa tête. Elle donnait l’impression d’avoir perdu son calme. Bien sûr, si elle se détachait autant vis-à-vis des autres soldats, l’ennemi allait certainement la cibler en priorité. « Ne faiblissez pas ! Entourez-la et prenez-lui sa tête ! » ordonna l’un des commandants d’une unité ennemie. Des soldats ennemis s’étaient alors dirigés vers Liscia. Peu importe combien Liscia était courageuse, elle était désavantagée numériquement face à un tel nombre. Si elle se laissait entourer par des lanciers, elle ne pourrait pas s'éloigner d'eux en utilisant la mobilité supérieure de son cheval. Les lances de l’ennemi s’étaient refermées autour de Liscia quand...…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 9 – Partie 1

Il semble que plus tard, de nombreuses dramatisations de cette époque aient représenté Souma Kazuya comme étant un dirigeant sage et courageux. Ils le dépeignaient comme un dirigeant qui avait été sur le champ de bataille, et qui avait tué de nombreux adversaires puissants lors de combats face à face. On disait aussi qu’il avait vaincu les armées ennemies avec son ingéniosité et qu’il avait apporté le bonheur à tout son peuple avec les excellents changements dans la politique du pays. Cependant, les historiens contestent cette évaluation qui a été faite de lui. Pour commencer, de toute sa vie, Souma n’avait pas combattu dans suffisamment de guerres étrangères pour être compté sur plus qu’une main. Il avait donc eu très peu d’occasions de montrer ce genre de prouesses martiales. Presque toutes les réalisations qu'on lui attribuait avaient été accomplies par ceux qui avaient servi sous ses ordres. Quant à l’ingéniosité qu’il avait démontrée afin de faire face à ses ennemis, il n’y avait aucune preuve que ses idées soient venues vraiment de lui. À l’époque où il vivait, il y avait beaucoup de personnes, dont le Premier ministre, Hakuya, qui était maître dans l’art de la tromperie, alors Souma n’avait…

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Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 2 – Chapitre 2 – Partie 10

Dix minutes avant le rendez-vous, Ikki était sorti de sa chambre, prenant soin de ne pas réveiller Stella. Il passa le couloir sans faire un seul bruit et sortit. Utilisant le clair de lune pâle comme guide, il se dirigea vers le bâtiment de l’école. Alors qu’il s’approchait du bâtiment de l’école baigné par le clair de lune, ses pas résonnaient. Normalement, il s’agissait d’un endroit animé. Mais maintenant, il y avait une atmosphère presque mortelle, sereine. Ikki s’était dirigé vers le toit, tout en endurant le silence qui avait presque fait que ses oreilles se mettent à bourdonner. Il grimpa les marches de l’escalier, les unes après les autres avant de finalement se tenir devant la porte de fer du toit. Il l’ouvrit. Le vent soufflait et les doux rayons de lune le douchèrent alors. Une scène insipide se répandit devant lui. Un plancher en béton et une clôture en acier rugueux qui souillaient le ciel nocturne. Un paysage froid. Le vent soufflait lors de ce clair sombre de lune, et même si c’était déjà au début de l’été, il faisait quand même froid. Et debout, au milieu de ce paysage, avec son dos contre la clôture, se trouvait…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 8 – Leçons 4

“Laissez-les attaquer la campagne pour prendre la capitale. ” Type: Proverbe Sens : Accomplir quelque chose avec un effort minimal. Origine: Pendant la Guerre d'Une Semaine, Souma avait utilisé la ville de campagne Altomura en tant qu'appât, puis avait utilisé cette occasion qui avait été créé afin de permettre une attaque sur la capitale de la Principauté d'Amidonia. Synonymes: « Perdre une bataille afin de gagner la guerre. »

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 8 – Partie 3

Il y avait un groupe de personnes parmi les arbres qui observait ce portrait de l’enfer qui se déroulait sur ce versant de montagne. Ce groupe était vêtu d’une armure peinte en noir, avait des arcs et des baguettes magiques et portait du tissu noir enroulé autour de leurs visages. Ce groupe était une unité commando qui venait à l’instant d’attaquer ceux de la Principauté d’Amidonia. Ils étaient environ 2000 soldats. La personne centrale de ce groupe vêtu de noir était de faible corpulence, mais ses proportions avaient clairement indiqué qu’elle était une femme, et cela même à travers cette tenue. Elle était la chef de l’unité de commando. Les personnes se trouvant devant eux n’essayaient même pas d’aider leurs camarades qui s’étaient enfoncés dans la boue. Quoi qu’il en soit, les troupes amidoniennes marchaient comme si elles effectuaient une retraite. Alors qu’elle pensait que les humains pouvaient devenir cruels afin de survivre, ceci la fit un peu frémir. Il y a des moments où un roi doit donner des ordres cruels, pensa-t-elle. Cependant, alors qu’il afficha si peu d’hésitation, je me suis mis à le détester en tant que personne et non pas en tant que roi. Alors qu’elle…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 8 – Partie 2

« Leur but sera de capturer la capitale de la Principauté, Van. » Quand ils eurent entendu Souma déclarer cela, les 30 000 soldats amidoniens assiégeant Altomura partirent dans une retraite précipitée. Du haut du mur, l’Amirale de la Marine Excel Walter et le seigneur d’Altomura Weist Garreau avaient tous deux regardé l’extérieur tandis que le soleil couchant brillait sur les clôtures et les banderoles qui avaient autrefois entouré les camps que les envahisseurs avaient laissés derrière. Quand Weist se tourna vers le côté, il vit le visage d’Excel de profil, le soleil couchant lui donnant une beauté envoûtante. « ... est-ce correct de ne pas les attaquer maintenant ? » demanda Weist, comme s’il essayait de dissimuler le fait qu’il était presque totalement fasciné par sa beauté. Une course-poursuite pourrait être une occasion d’infliger des dégâts considérables à l’ennemi. Cependant, Excel secoua négativement et en silence la tête. « Il y a de la cavalerie wyverne dans leur arrière-garde. Si une armée sans cavaleries-wyvernes telle que la nôtre devait quitter le château et que nous les poursuivions, alors nous subirions une contre-attaque punitive. Gaius VIII... Comme vous pouvez vous y attendre de l’homme qui a aiguisé ses crocs et se prépare à frapper notre pays…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 8 – Partie 1

— Le soir du 1er jour du 10e mois de l’année 1546 du Calendrier Continental — près d’Altomura. L’armée amidonienne avait accepté de lever le siège à la demande du seigneur du château, Weist Garreau, mais à midi, il n’y avait toujours pas eu de signes annonçant l’ouverture des portes d’Altomura. Le Prince Souverain d’Amidonia, impatient de voir évoluer la situation, avait ordonné que le siège soit repris. Puis, une fois l’encerclement de la ville terminé, il avait donné l’ordre d’effectuer une attaque frontale de toute l’armée en même temps. Cependant, après avoir levé le siège de la ville, il avait fallu beaucoup de temps pour encercler à nouveau la ville. Nous nous trouvions proches du début de la soirée quand la tâche fut enfin terminée. « Soyez maudit... » Jura Gaius. « De penser que je serais pris pour un imbécile par un petit homme sans importance tel que Weist. » Alors qu’il était assis sur un tabouret dans le camp principal d’Amidonia, Gaius frappa du pied dû à son impatience. Quand ils le virent agissant ainsi, tous ses officiers et soldats se placèrent le plus loin possible de lui. Ils savaient tous que si quelque chose arrivait et que cela déclenchait sa colère, cela…

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Chargez sa magie avec un sourire – Tome 3 – Chapitre 68

Une forte brise soufflait sur la région. Je devais donc me tenir fermement, serrant mon épée. Devant moi, une boule de lumière tournoyait dans les airs. Je la regardais attentivement, suivant ses mouvements seulement à l’aide de mes yeux. « ...fu! » Une frappe fut effectuée à ce moment-là. L’épée avait laissé dans l’air une traînée de lumière noire. Un son métallique aigu avait alors retenti. {Onii-chan est incroyable, vous l’avez abattu d’un seul coup !} s’exclama Lilia. J’avais écouté les éloges de Lilia pendant que j’étais allé chercher la boule sombre après qu’elle ait perdu sa brillance. « Avec lui, ça fait dix... » dis-je. {Combien en avez-vous besoin, desu ?} demanda-t-elle. « Autant que nous pourrons en trouver, » lui répondis-je. « Il s’agit de matériaux nécessaires afin de créer les trains qui vont filer sur les rails du chemin de fer. Car bien sûr, un seul train ne suffira pas. Je veux en avoir assez pour avoir un itinéraire vers chacune des villes. Et je veux qu’il y ait des allers-retours. Donc j’ai besoin de deux trains pour chaque trajet. Et dans le cas où il y a de la casse, j’en veux un de plus comme assurance... donc finalement, il m’en faut au moins 3…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 7 – Partie 3

Examinons les détails de la bataille jusqu’à ce moment-là. Tout d’abord, cette série de batailles avait commencé lorsque les trois ducs s’étaient opposés à l’abdication de l’ancien roi, en choisissant de ne pas me jurer fidélité. Depuis que j’avais reçu le trône, les trois ducs s’étaient retranchés dans leurs duchés avec les armées qu’ils contrôlaient. Les trois ducs n’étaient pas coopératifs pendant la période où je rassemblais du personnel et essayais désespérément de remettre le pays sur pieds. Ensuite, un certain nombre de nobles sur qui il y avait une enquête pour corruption dans le cadre de ma reconstruction de l’économie avaient fui. Après qu’ils furent réfugiés dans le Duché de Carmine, il s’agissait clairement de l’événement qui nous avait poussés vers un état d’opposition encore plus marqué. Puis, quand l’autre jour, j’avais lancé un ultimatum, les choses s’étaient finalement développées au point où le roi et les trois ducs étaient en conflit ouvert. Cependant, l’un des trois ducs, l’Amiral de la Marine, Excel Walter, avait juré loyauté envers moi lors de l’ultimatum. Ceci avait empêché l’Armée Interdite et la Marine d’entrer en conflit. Après cela, Georg, qui avait rejeté mon ultimatum, et Castor, qui était prêt à devenir lui-même…

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Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 2 – Chapitre 7 – Partie 2

La cavalerie-wyverne survola les murs de Randel. Leur chef, Tolman, regardait vers le bas alors qu’une explosion se produisait. Des flammes apparurent rapidement, et de la fumée noire s’éleva dans le ciel. Leurs cibles, les lanceurs de carreaux à répétition antiaériens, avaient toutes disparu, ainsi que des morceaux de mur où ils s’y trouvaient avant. Les barils de poudre utilisés par l’Armée de l’Air étaient de conception analogue aux flèches incendiaires que les pirates avaient utilisé pendant la période de Sengoku afin de couler des navires ennemis. Donc en gros, il s’agissait de munitions explosives. Le temps qu’il fallait avant d’exploser pouvait être ajusté avec la longueur de la corde imbibée d’huile utilisée comme mèche. Une fois que la mèche était allumée et que la bombe était larguée, elle s’arrêterait après le temps réglé. Ils n’étaient pas comme des bombes incendiaires, qui explosaient avec la force de l’impact, mais les Forces Aériennes pouvaient ajuster leur longueur de la mèche en fonction de l’altitude à laquelle elles allaient être utilisées, de sorte qu’elles pourraient être utilisées de la même manière. Cependant, comme la poudre à canon des barils qui n’avaient pas été correctement réglés et qui avaient frappé le sol sans…

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