Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 13 – Partie 3

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Chapitre 13 : Jeu Achevé

Partie 3

J’étais vraiment enragé alors que j’étais de retour dans ma chambre.

« Ce fils de pute ! Même si je lui ai dit que je ne voulais pas être promu, il a fait exprès de me promouvoir au rang de comte ! » m’écriai-je.

J’avais jeté le coussin qui était placé sur le canapé.

Jeter un objet fragile faisait peur, donc je ne pouvais pas le faire.

Mon père et ma mère se chuchotaient en me voyant.

« Dis-moi, comment devrais-je parler à mon fils maintenant qu’il est devenu comte ? Dois-je utiliser un langage poli avec Léon comme je le pensais ? » demanda ma mère.

« Peut-être ? Mais, c’est impensable que cet enfant soit dérangé par quelque chose comme ça, » déclara mon père.

« Mais il est comte maintenant. Et un troisième rang inférieur, c’est une existence divine pour nous, » déclara ma mère.

« Alors, cela sera du langage poli avec lui, » déclara mon père.

Je m’étais tourné vers mes deux parents et j’avais crié avec mon doigt pointé vers eux.

« Un comte en nom seulement sans aucune subsistance n’est qu’une plaisanterie ! Quelque chose comme ça n’est qu’une intimidation de la part du palais ! De plus, des parents qui utilisent un langage poli, c’est dégoûtant et totalement rejeté ! » m’écriai-je.

Mon grand frère s’était souvenu de quelque chose et avait parlé. « Tu sais, il y a ça. Si notre père te rend l’atelier, Léon, ton revenu augmentera aussi. »

« Je ne serais pas dérangé si cela pouvait être résolu avec juste ça ! » m’écriai-je.

Les revenus de l’atelier étaient considérables. C’est considérable, mais ce n’est pas bon.

La position de comte était très élevée.

Ce n’était pas quelque chose qui pouvait être couvert par les revenus d’un seul atelier.

Mon père avait frappé sa paume avec son poing et avait dit. « C’est ça ! ».

« Et si tu devenais un noble du palais ? Écoute, tu recevras alors un salaire annuel du palais. Tu n’auras pas à t’inquiéter même si tu n’as pas de territoire ! » déclara mon père.

« C’est impossible. Absolument impossible ! Avec mon rang, c’est au niveau des ministres ! Je ne peux pas faire le travail d’un ministre ! » déclarai-je.

« C’est ce qu’on dirait. Je pense que ce pays serait fini si tu devenais un ministre, » déclara mon père.

J’avais jeté un coussin sur mon père trop franc, puis j’avais couru hors de la pièce.

« Je vais quitter ce genre de pays ! » m’écriai-je.

Ma mère avait crié dans mon dos. « Reviens avant le dîner ! »

— Oui, maman.

***

 

Une voix m’avait appelé alors que je marchais dans le couloir.

« Oh ! »

C’était Anjie qui courait vers moi en soulevant légèrement sa jupe des deux mains pour qu’elle ne trébuche pas.

Aujourd’hui, elle portait une robe pour participer à la cérémonie.

Après qu’elle m’ait rattrapé, elle avait calmé sa respiration.

Elle avait dû m’apercevoir et s’était précipitée sur moi. Ses joues étaient légèrement rouges.

« Qu’est-ce que ça veut dire, tout à l’heure ? Étais-tu au courant ? » demanda Anjie.

Elle devait penser ce qui s’était passé dans la salle d’audience. Je secouai la tête avec impuissance.

« C’est quelque chose que Sa Majesté a décidé arbitrairement. Même moi, je n’étais pas au courant de ça avant qu’il me l’annonce en pleine face, » déclarai-je.

« Eh bien, tu ne peux certainement pas être rétrogradé après avoir obtenu ce rang. C’est aussi un fait qu’il est pratique pour le royaume de te promouvoir. Mais, même Père ne le savait pas, » déclara Anjie.

Ce type, avait-il vraiment décidé de faire ça sans consulter personne ?

Quelle famille ennuyeuse !

Que ce soit Son Altesse Julian ou ce fils de pute de Roland, ils étaient tous les pires.

« Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Qu’est-ce que tu crois que je devrais faire ? Je suis troublé même si je suis sérieusement promu comte, » déclarai-je.

« D-D’accord. Même si on te donne de pairie, en ce moment, tu n’as même pas de maison ou de territoire. Il y aura un problème même si tu deviens un noble du palais, je pense que la meilleure façon ici sera d’épouser docilement quelqu’un dans une famille noble, » déclara Anjie.

Se marier dans une famille ?

« Si tu te maries dans une puissante famille de noble, ils pourraient préparer une nouvelle maison et un nouveau territoire pour leur fille. Si tu peux te marier dans une telle famille, tu obtiendras également un bailleur de fonds. Ce sera une très bonne affaire pour toi, » déclara Anjie.

Il y a donc aussi un moyen de le faire. Pendant que je pensais ça, Clarisse était arrivée avec une robe.

« Oh, ce n’est pas comme si tu avais besoin de te marier dans une famille noble, tu peux aussi établir une nouvelle maison. En ce moment, les nobles du royaume sont trop réduits en nombre. Ce sera une bonne occasion pour devenir indépendant, » déclara Clarisse.

En raison de l’incident de cette fois, le royaume avait écrasé de nombreuses maisons.

Cela allait sans dire pour les maisons liées à la principauté, mais ceux qui avaient ignoré l’appel aux armes du royaume avaient également été détruits et leur territoire confisqué sans qu’on leur pose de questions. Diverses punitions les attendaient.

En d’autres termes, il y avait un manque de personnel, il y avait aussi un excès de territoire, donc il serait facile de devenir indépendant.

« Clarisse, c’est quoi ton problème ? » demanda Anjie.

« Ce serait gênant si tu te mariais dans une maison noble. Ce sera aussi mauvais pour ta réputation si un comte se marie dans une autre maison, » déclara Clarisse.

« Le cas de Léon est une exception, » déclara Anjie.

Les deux filles avaient commencé à se disputer.

« Se marier dans une autre maison, ou devenir indépendant — mais dans les deux cas, c’est comme devenir indépendant, n’est-ce pas ? » C’est alors que Deirdre qui portait une robe voyante s’approcha par ici.

 

 

« J’ai écouté pendant un certain temps, mais je me demande de quoi vous parlez toutes les deux ? » demanda Deirdre.

Clarisse avait fusillé du regard Deirdre, mais la personne elle-même avait fait une expression calme.

« Puis-je vous demander de ne pas nous déranger, Deirdre ? » déclara Clarisse.

« En prétendant qu’il n’y a que l’option d’être un noble seigneur féodal quand il s’agit de devenir indépendant, je pense que vous êtes toutes les deux trop étroites d’esprit, » déclara Deirdre.

Anjie plissa les sourcils et demanda. « Qu’entendez-vous par là ? »

Deirdre avait bombé sa poitrine et avait parlé effrontément de mon avenir. « En ce moment, la Maison Roseblade envisage d’avoir un palais comme maison annexe. Il semble que le nombre de palais ait également beaucoup diminué, c’est donc quelque chose à viser. Quant à la substance — la Maison Roseblade le préparera pour que le comte puisse utiliser ce statut et ce prestige à son entière satisfaction. »

En d’autres termes, me disait-elle de devenir le chef de famille d’une branche de la Maison Roseblade ?

Est-ce que c’est aussi se marier dans une famille ?

Les trois filles avaient commencé à se regarder fixement l’une et l’autre, alors j’avais suivi mon instinct qui me disait qu’il valait mieux s’échapper bientôt et s’éloigner de cet endroit en cachette.

Puis, « Kyah », j’avais entendu une voix si adorable et mes jambes s’étaient naturellement dirigées dans cette direction.

J’avais marché dans le couloir pendant un moment et j’avais tourné à un coin. Là-bas, j’avais trouvé Livia portant une robe.

On aurait dit qu’elle avait marché sur la jupe de sa robe parce qu’elle n’avait pas l’habitude d’en porter une et qu’elle était tombée.

Il y avait un homme qui tendait la main à Livia qui était tombée comme ça.

« Allez-vous bien, jeune fille ? » demanda l’homme.

« Oui, oui, » répondit Livia.

« C’est une bonne chose. Et si on se détendait dans la chambre là-bas ? » demanda l’homme.

Le regard de Livia erra, le regard troublé, alors je m’étais approché de ce fils de pute.

Cet enfoiré de play-boy qui avait parlé à Livia était quelqu’un de détestable selon moi.

« Votre Majesté, n’êtes-vous pas gênée de draguer une fille comme ça dans le palais ? » demandai-je.

« Imbécile. Tout le monde a fait quelque chose comme ça — mu, alors c’est toi, » me déclara-t-il.

Quand il avait remarqué que c’était moi, il s’était retourné et il m’avait démontré un sourire très heureux.

« Hé, comte. Qu’est-ce que ça fait d’avoir une promotion ? » demanda-t-il.

« C’est horrible. Qu’est-il arrivé à la discussion sur la rétrogradation ? Si j’ai une promotion, ce sera difficile de me rétrograder plus tard pour que ma pairie reste telle qu’elle est, n’est-ce pas ce dont on a parlé ? » demandai-je.

« Ça ? Ah, c’est ce que je pensais. Mais, c’était vraiment gênant. Si le héros qui a sauvé le pays est traité comme ça, ma dignité sera mise en doute. Après mûre réflexion, j’ai conclu que, comme prévu, tu devrais être promu, » déclara le roi.

« Je serai rétrogradé de ce rang, n’est-ce pas ? » demandai-je.

« C’est si tu fais quelque chose qui nécessite une rétrogradation, » déclara le roi.

Ce type, il avait l’air excessivement heureux de s’amuser avec moi.

« C’est différent de la promesse, » déclarai-je.

« Ah, en effet. Cela me fait aussi mal au cœur. Mais tu vois, je te déteste. Alors j’ai décidé que je ne ferais rien qui puisse te rendre heureux, » me déclara-t-il.

Ce type, il me disait en face qu’il me détestait.

Alors que j’étais décontenancé, Roland était resté de bonne humeur et avait continué à parler avec des gestes théâtraux de la main et du corps.

« C’est impardonnable que tu te sois encore plus distingué que moi avant la guerre. Qu’est-ce que c’est que ça “Si c’est ce que Votre Majesté souhaite”. Agir comme ça, c’était impardonnable. C’est ta faute d’être sur mon chemin même si c’était enfin mon heure de frimer, » déclara le roi.

« Hein ? Est-ce la raison ? » demandai-je.

Livia avait l’air agitée.

Son expression troublée était mignonne.

Mais le problème, c’était le vieil homme devant moi.

« C’était la seule fois où j’aurais pu frimer. Je voulais t’énerver avec mon discours et me moquer de toi avant de montrer ma dignité d’adulte, mais tu as ruiné mon plan. Ta conversation avec le marquis après cela a également été remarquable. C’était irritant, » déclara le roi.

« N’est-ce pas parce que j’ai battu votre fils ou courtisé votre femme ? » demandai-je.

Le fils de pute Roland avait croisé les bras et m’avait regardé des orteils jusqu’au sommet de la tête.

« Tu es vraiment une ordure. Mais, je ne serai pas bon pour la vie au palais si je me mets en colère à cause de tout ça. C’est la responsabilité de mon fils de s’être fait tabasser, et même si tu courtises ma reine, à ce stade, je ne penserai que “Et alors ?”. Mais je te condamnerais à mort si tu posais la main sur mes concubines. »

— Hein ? Ce type n’est-il pas une ordure ? N’est-il pas pire que moi ?

Roland se retourna vers Livia, redressa sa posture et lui tendit la main.

« Maintenant, jeune fille. Devrions-nous créer le souvenir d’une nuit ensemble ? » demanda le roi.

À bien y penser, la reine était aussi l’ennemie du personnage principal.

Mais, dans le scénario de jeu, le roi était une personne compréhensive pour une raison inconnue.

Je n’avais jamais pensé que c’était parce que c’est un vieil homme sale qui aimait les jeunes filles.

Un Jeu Vidéo Otome devrait avoir un roi qui laissait le joueur rêver !

« Est-ce que je serai rétrogradé si je vous frappe maintenant ? » demandai-je.

« Sale gosse. On dirait que tu veux être condamné à mort. Très bien, je vais appeler les gardes du palais ici ! » déclara le roi.

Même sa dépendance envers les gardes est pathétique. Pendant que je pensais à ça,

« — Votre Majesté. » Mylène était venue avec des domestiques qui la suivaient.

Roland avait essayé de s’enfuir quand il avait entendu sa voix, alors je lui avais attrapé la main.

« Lâ, lâche-moi ! » cria Roland.

« Où allez-vous, Votre Majesté ? » demandai-je.

Il avait fait une tête étonnante quand j’avais souri et que je lui avais serré le bras. Cela m’avait donné envie de rire.

« T-Toi ! Je vais te condamner à mort pour de vrai ! » s’écria le roi.

« Mylène ! Sa Majesté le roi veut m’exécuter. À l’aide ! » criai-je.

« Tu fais encore une avance à une jeune fille ! Et puis tu veux exécuter celui qui te reproche ça ! Qu’est-ce que c’est que ça, alors même que le comte est le héros du royaume ? Je ne te pardonnerai pas aujourd’hui, » déclara Mylène.

« Tu, Tu te trompes ! C’est mon devoir en tant que membre de la royauté ! Faire un enfant est comme un devoir royal. Il n’y a rien de mal à ce que je mette la main sur une jeune fille ! » déclara le roi.

« Combien de maîtresses gardes-tu déjà avec cette excuse ? » demanda Mylène.

Mylène avait emmené Roland quelque part.

Ma querelle avec Roland avait clos le rideau avec ma victoire.

« Le mal est chassé, » déclarai-je.

Livia avait souri ironiquement. « D-Disons, Léon. Euh — . »

« Hm ? Ah, cette robe. Cela te va bien, » déclarai-je.

« Je te remercie beaucoup. C-Ce n’est pas ça ! » déclara Livia.

Livia posa ses mains sur sa poitrine et prit une grande respiration. « À propos de l’affaire d’avant — . »

Elle m’avait attrapé la main quand j’avais détourné le regard.

« Pourquoi ne nous réponds-tu pas correctement ? » demanda Livia.

Ce qui m’était venu à l’esprit quand j’avais regardé Livia me regarder en levant ses yeux vers moi avec des yeux humides, c’était à quel point je serais heureux si j’avais une fille comme ça comme épouse — ce genre d’illusion.

Même moi, je voulais hocher la tête comme si tout allait bien, mais pourquoi sont-elles toutes les deux amoureuses de moi ?

Devrais-je choisir entre elles ?

Est-ce vraiment moi ?

« Ça ne me dérange pas si tu nous dis que nous ne sommes pas les bonnes. Mais nous voulons une réponse adéquate, » déclara Livia.

Et aussi — j’avais agi comme si ce monde était un jeu, mais était-ce acceptable pour quelqu’un comme moi de tomber amoureux de ces filles qui vivaient dans ce monde en faisant le maximum d’efforts  ?

Qu’est-ce qui est différent entre Marie et moi que j’avais complètement critiqués ?

— C’était pour ça que j’étais troublé.

Livia avait fait une expression encore plus sérieuse, puis elle avait légèrement écarté ses pieds avant de me le dire avec audace. « Léon, si tu ne veux pas donner une réponse claire, alors j’ai aussi mon propre plan. »

« Quoi, quoi !? » demandai-je.

« Je vais absolument — absolument faire que tu te tournes vers moi, Léon ! » déclara Livia.

Quelle pensée virile !

Quand ces cinq-là avaient dit la même chose, j’avais pensé : « Ces gars sont vraiment idiots », mais en regardant Livia, j’avais senti une émotion qui m’avait donné envie de dire « Grande Soeur ! ».

Je tomberais amoureux d’elle instantanément si j’étais une femme.

« C’est pourquoi, s’il te plaît, sois avec moi. S’il te plaît, reste avec moi pour toujours, » déclara Livia.

L’attitude de Livia avait complètement changé et elle avait l’air de vouloir pleurer. Je m’étais gratté la tête et je lui avais répondu. « Désolé, mais c’est impossible. »

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

4 commentaires :

  1. NOOONNNN mais ce jfiskdhdo.
    Merci pour ce chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre.

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