Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 13

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Chapitre 13 : Jeu Achevé

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Chapitre 13 : Jeu Achevé

Partie 1

Marie, qui avait été transférée de la prison dans une chambre d’amis, avait fait une tête insatisfaite.

« Mais je ne veux pas vivre à la campagne, » déclara Marie.

« C’est quoi, cette attitude, même après que je t’ai sauvé la vie ? » lui avais-je demandé.

Parce que je voulais lui demander diverses choses, je parlais en étant seul avec Marie alors qu’elle de son côté se plaignait.

J’avais gardé cette fille en vie pour lui demander en détail ce qui était arrivé à mes parents — ce qui leur était arrivé après ma mort.

En y réfléchissant avec calme, je m’étais dit que mes parents dans ma vie antérieure seraient tristes si je la tuais.

Personnellement, je ne pouvais pas du tout lui pardonner, et même si elle pouvait être pardonnée, je voulais frapper ces cinq-là.

Non, attends. Serais-je pardonné si je les frappais si c’est maintenant ?

« Je suis une femme qui brille dans la grande ville ! » déclara Marie.

« Veux-tu te plaindre du territoire que j’ai mis beaucoup d’efforts à établir ? » demandai-je.

« Grand frère, tu as cette pensée négative et rétrograde sur la vie lente ou autre, c’est pour ça que ce n’est pas bon, » déclara Marie.

La lenteur de la vie n’est ni arriérée ni négative, espèce d’idiote.

« Je suppose que ta bonne action dans la vie précédente est de permettre à notre père et à notre mère d’avoir un petit-enfant. Mais à part ça, c’est vraiment pitoyable ce qui arrive à nos parents, » déclarai-je.

« Grand frère, toi aussi tu es mort plus tôt que nos parents ! » déclara Marie.

« C’est toi qui es la cause de ma mort ! » criai-je.

« Grand frère, tu souriais tout le temps en jouant à un jeu où les filles apparaissent dedans ! C’était impossible pour toi de mourir juste sous cette forme ! » déclara Marie.

« Tu as également souri en jouant à un jeu qui a des hommes qui sont présents en masses, non ! » répliquai-je.

Tout en se disputant, cela s’était peu à peu transformé en un discours de qui était dans l’erreur.

« C’était la faute de mon Grand Frère ! » cria Marie.

« C’était ta faute ! » criai-je.

Luxon flottait avec légèreté tout en nous regardant sans intérêt.

« Luxon, dis-lui aussi. Dites-lui que c’est de sa faute si elle a visé quelque chose comme un harem inversé et qu’elle a fait en sorte que la situation atteigne presque le pire résultat ! » déclarai-je.

« Grand frère, toi-même, tu as gardé la méchante et la protagoniste pour toi ! » déclara Marie.

« Dans mon cas, c’est une relation pure et simple ! Ce n’est pas une relation aussi licencieuse que la tienne ! » criai-je.

« Grand Frère, c’est juste que tu es incapable de poser la main sur elles parce que tu es un trouillard et une mauviette ! » cria Marie.

« Luxon ! Dis-lui vite. Dis-lui que c’est une femme stupide et ennuyeuse ! » demandai-je à Luxon.

« Le truc rond là-bas, dit lui qu’entre nous, c’est lui le grand frère pitoyable et inutile ! » cria Marie.

L’œil unique de Luxon nous regardait alternativement tous les deux avant qu’il ne réponde. « Alors, permettez-moi de dire mon opinion. N’est-ce pas vos parents de votre vie antérieure qui sont les plus pitoyables pour avoir des enfants comme vous deux ? »

— Ce type, il dit ça ? Il dit vraiment ça ?

Je m’étais calmé brusquement et la culpabilité s’étendit à l’intérieur de ma poitrine. Puis Marie me parla d’une petite voix.

« N’est-ce pas trop cruel ? Ne sait-il pas lire l’humeur ? » demanda Marie.

« Il poignarde dans le cœur. Je ne voulais pas entendre ces mots dits calmement comme ça, » déclarai-je.

« Peut-être que ça te fait mal au cœur parce que c’est la vérité ? En plus, Marie peut-elle faire face à sa fille dans sa vie antérieure comme ça ? » demanda Luxon.

Marie appuya sa main sur sa poitrine et son regard erra autour d’elle.

« Mais cette enfant n’est pas là, d’ailleurs, il m’arrivait parfois de la rencontrer et de lui parler, même après l’avoir laissée sous la garde de mes parents. C’est pourquoi je comprends — cette enfant ne m’abandonnera pas à cause de quelque chose comme ça, » déclara Marie.

Donc même quelqu’un comme cette fille avait au moins la conscience de soi en tant que mère ?

« Quand nous dînions ensemble, c’était une fille gentille qui s’inquiétait pour moi et me demandait “Maman, tu vas bien ?”, » déclara Marie.

— On dirait que ma nièce a grandi à merveille.

C’était vexant qu’en tant qu’oncle, la seule chose que je puisse faire était de souhaiter le bonheur de ma nièce et de mes parents.

« Si cette enfant apprenait que sa mère avait séduit six hommes et avait formé un harem inversé, elle pleurerait sûrement, » déclara Luxon.

Marie était tombée à genoux. J’avais tenu mon ventre et j’avais ri en la voyant comme ça.

« Tu entends ça ! Comme je le pensais, tu es vraiment la pire ! » déclarai-je en riant.

« Le Maître est aussi comme elle, » déclara Luxon

« Eh !? »

Luxon avait énuméré mes points faibles. « Même en ce moment, le maître fuit la confession de ces deux-là. Et si le maître prenait son courage à deux mains, et résolvait le problème ? »

Oui, ce jour-là.

J’avais été appelé par ces deux-là et — .

***

Dans un jardin situé sur le toit du palais.

Là, elles se tenaient toutes les deux devant moi avec nervosité.

Moi aussi, j’étais nerveux.

Le soleil couchant était beau, mais je n’avais aucune marge de manœuvre pour y penser.

« Léon — Je t’aime. » Anjie m’avait regardé droit dans les yeux et elle me l’avait avoué.

J’avais dégluti.

« Je me demande quand ça a commencé. Les moments où je pensais à toi plutôt qu’à Son Altesse ont augmenté. Je me suis bien amusée quand je suis avec toi. Je me sens bien à tes côtés, » déclara Anjie.

Ma bouche s’ouvrit et se ferma à plusieurs reprises. Anjie m’avait montré un sourire radieux.

« Je t’aime. »

— Il s’agissait de la deuxième confession de ma vie.

À côté d’elle se trouvait Livia qui m’avait fait ma première confession.

Quand j’avais bougé la tête raide et regardé Livia, elle souriait aussi.

— Que faire ? Je ne comprends pas ce que ça veut dire.

Pourquoi sourit-elle ?

Dois-je demander l’aide de Luxon ? En pensant ainsi, j’avais essayé de demander de l’aide avec mon regard, mais il y avait un faux Luxon là avec le corps sphérique blanc.

« Qui es-tu !? » lui demandai-je.

« C’est Creare-chan. Ça fait un bail, » déclara la sphère.

Ça fait-il longtemps qu’on ne s’est pas vus ? Juste au moment où je pensais que le son électronique féminin me semblait familier, j’avais compris que c’était en fait l’IA qui avait géré la ruine dans le village des elfes.

« Où est Luxon !? » demandai-je.

« Je lui ai demandé de se retirer parce que sa présence serait grossière ici. Quand je lui ai dit que le maître serait sûrement troublé s’il n’était pas là, il est parti avec joie, » déclara Creare.

— La personnalité de ce type n’est-elle pas trop tordue ?

« Léon, » déclara Livia.

« Oui, oui, oui ! » répondis-je.

J’avais redressé le dos et tourné mon corps pour faire face à Livia.

« Je t’aime Léon même maintenant. Je crois que ce sentiment ne perdra contre personne, » déclara Livia.

« Je, je vois, » balbutiai-je.

J’avais essayé de dire que je comprenais, mais je n’avais jamais imaginé ce genre de situation.

Je n’avais aucun plan dans ma vie pour une situation où je recevais la confession de deux personnes en même temps.

« C’est pourquoi, s’il te plaît, dis-le-nous. Nous voulons connaître la réponse ici, » déclara Anjie posant sa main sur sa poitrine en le disant.

« Moi et Livia — non, c’est correct même s’il y a quelqu’un d’autre que tu aimes. Nous n’aurons aucune rancune, peu importe qui tu choisis entre nous, et c’est aussi très bien si tu ne choisis ni l’une ni l’autre. C’est pourquoi, dites-nous ce que tu penses, » demanda Anjie.

J’avais alors réfléchi à un moyen d’esquiver la question et de m’enfuir, mais en voyant le visage sérieux des deux filles, je m’étais résolu.

Le vent avait soufflé, les cheveux des deux filles devant moi s’étaient mis à se balancer.

Les deux filles qui étaient illuminées par le soleil couchant avaient l’air divinement radieuses.

J’étendis les mains — .

« Je vous aime toutes les deux ! » déclarai-je.

— Elles m’avaient toutes les deux giflé les joues avec des visages souriants.

***

— C’était incroyable.

Anjie m’avait d’abord giflé la joue, et juste après, la gifle de Livia était arrivée sur ma joue opposée.

C’était une combinaison étonnante.

« Tu es le pire, » me déclara Luxon, après que je me sois remémoré de cette scène.

« Tu sais, c’est ma deuxième vie, mais me faire confesser par deux charmantes filles en même temps, c’était la première fois pour moi, » lui déclarai-je.

Quand j’avais fait cette excuse, la femme de merde qui avait fait le harem inversé m’avait regardé avec une expression consternée.

« C’est incroyable. Tu es le plus vil, » déclara Marie.

« Quoi ? Qu’est-ce qu’une femme qui a six amants veut me dire ? » demandai-je.

Elle avait eu l’air vexée quand je l’avais provoquée.

Et puis, Marie avait dit ce qu’elle pensait. « — J’y ai beaucoup réfléchi. Le harem inversé est vraiment difficile et pourtant il ne me rend pas du tout heureuse. C’est pourquoi j’ai voulu y mettre fin, et pourtant — . »

Même ses connaissances réduites de la réalité lui avaient maintenant fait comprendre ça.

Cette fille n’avait joué le jeu que jusqu’à mi-chemin et elle n’avait regardé que les scènes animées et les illustrations pour la partie suivante. Depuis le début, la quantité d’informations qu’elle possédait était différente de la mienne.

En conséquence, elle était devenue la Sainte et avait gâché la situation — maintenant six hommes la suivaient partout.

« Cependant, je compatis à cette partie, » déclara Marie.

Marie qui en avait assez du harem inversé avait essayé de dissoudre sa relation avec les cinq autre que Kyle.

Mais, tous les cinq avaient proclamé à Marie une réponse positive inattendue : « Je jure qu’un jour je te ferai tomber amoureuse de moi. »

La situation actuelle de Marie en était une où elle devait subvenir aux besoins de cinq hommes qui seraient sans emploi à l’avenir.

Bon sang, nous sommes des frères et sœurs bons à rien ici.

« Eh bien, fais de ton mieux, mais laisse-moi en dehors de ça, » lui déclarai-je.

« Haaa ? » demanda Marie.

Marie avait fait une tête très surprise, mais de mon point de vue, je pense que j’avais déjà travaillé assez dur.

« J’ai travaillé plus qu’assez dur dans ce monde. Je ne pensais pas que Hertrude avait une petite sœur, et c’était vraiment difficile avec toi qui as gâché la situation, » déclarai-je.

J’avais travaillé dur. Je pensais même que j’avais travaillé trop dur.

« Petite sœur ? Tu veux dire Hertrauda ? » demanda Marie.

« C’est bien ça. Il y a aussi beaucoup d’autres choses qui étaient subtilement différentes, c’est peut-être ça ? Le schéma en pensant que ce monde est un monde de jeu est peut-être mauvais, non ? De toute façon, j’ai sauvé le pays du danger. Je descends de la scène dès maintenant, » déclarai-je.

En premier lieu, est-il possible qu’il y ait plus d’événements que celui-ci ? S’il s’agit d’un jeu, c’était ici que le jeu était fini.

Le personnage principal Livia ne rencontra personne, tandis que Marie avait fait de six hommes les siens.

Par conséquent, même si ce n’était pas une mauvaise fin, il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait d’une situation délicate.

Mais, soyons heureux que le jeu ait été fini en toute sécurité.

Marie ouvrit en grand les yeux.

Elle hocha la tête plusieurs fois comme si elle savait quelque chose et.

« Je ne pense pas que grand frère le sache, mais —, » Marie m’avait dit cela et m’avait parlé d’une vérité de ce monde que je ne connaissais pas.

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Partie 2

Quelques jours plus tard. Dans un cimetière de la capitale. 

Il y avait beaucoup de monde pour pleurer ceux qui étaient tombés au combat.  

Ceux qui avaient perdu leur famille. 

Ceux qui avaient perdu leur amoureux.  

Ceux qui avaient perdu leur ami.  

Quoi qu’il en soit, l’autre côté de l’histoire m’était clairement montré, quel que soit mon souhait.

Ce n’était pas fini après la victoire, ce n’était que le début.

Je regardais en ce moment cette vue depuis l’intérieur d’un carrosse.

« C’est inexcusable pour les familles, mais je voulais te parler ainsi. Bien que ça doive être décevant pour toi de ne pas parler avec une jeune fille. »

Celle qui était assise devant moi, c’est Milaine.

J’avais été invité après la cérémonie et nous étions montés dans un carrosse comme celle-ci.

« Milaine, la façon dont tu l’as dit est un peu épineuse. Es-tu en colère ? » lui demandai-je.

« Tu es toujours comme ça. Tu as l’air d’en rire tout en gardant les problèmes pour toi. Je vois même qu’il y a des cernes sous tes yeux, » déclara Milaine.

J’avais touché sous mes yeux avec mes doigts. — Je n’avais pas vraiment dormi hier.

Devrais-je peut-être demander à Luxon de me préparer un somnifère ?

« Merci beaucoup pour ce que tu as fait cette fois-ci. Il ne reste plus qu’une seule cérémonie, » déclara Milaine.

Diverses cérémonies étaient organisées, comme la célébration de la victoire et d’autres cérémonies semblables. Les journées chargées se poursuivaient sans fin.

« Est-ce à propos de mon renvoi et de ma récompense ? » demandai-je.

« C’est bien ça. Bien que ce ne fût que temporairement, tu es quand même devenu le commandant suprême. En plus, tu as démontré des résultats au cours de cette période, » déclara Milaine.

À la surface, je recevrai d’énormes récompenses du royaume.

En vérité, c’était moi qui donnais diverses choses au royaume, mais ce ne serait pas bon s’ils ne faisaient pas une représentation publique concernant le fait que j’avais reçu une récompense.

Le royaume serait troublé s’ils ne le faisaient pas.

Parce que s’ils ne donnaient pas de punition et de récompense de manière stricte, les rangs inférieurs seraient insatisfaits.

« C’est la première fois qu’en récompense, il y a quelqu’un qui souhaite être rétrogradé, » déclara Milaine.

Même s’il était impossible de me rétrograder immédiatement, mais en le faisant petit à petit au cours de plusieurs années — je deviendrai un simple chevalier à la fin.

« Le titre de vicomte avec un quatrième rang inférieur dans la cour est trop lourd pour moi. J’ai aussi perdu mon territoire. Alors, être un simple chevalier me convient parfaitement. Je suis inutile maintenant que je ne peux plus utiliser Partenaire et Arroganz, » déclarai-je.

Milaine avait fait une tête désolée.

Quand je lui avais dit que tout cela, c’était une récompense pour ce que j’avais fait, elle avait détourné le regard avec un visage boudeur.

Quelle adorable trentenaire ! Je veux la pousser vers le sol si cela continue.

« Aussi, à propos du reste, cela a été accepté sans aucun problème, » déclara Milaine.

« C’est génial, » répondis-je.

Une situation qui me convenait parfaitement était en train de se former.

« Ce qui me dérange, c’est tes Artefacts Disparus. Ne pourraient-ils pas être restaurés ? » me demanda-t-elle.

« Je les ai récupérés, mais cela sera difficile. Ils sont stockés dans l’atelier de mon père en ce moment, » lui répondis-je.

« — Nous avons vraiment compté entièrement sur toi, Léon. S’il te plaît, dis-moi s’il y a quoi que ce soit que je puisse faire. Je répondrai au mieux de mes capacités, » déclara Milaine.

Pendant un instant — vraiment juste un instant, j’avais imaginé une illusion érotique, mais l’autre personne était la reine.

Ma tête volerait si je posais ma main sur elle.

« Je considérerai ça comme une dette. Ce sera plus intéressant comme ça, » déclarai-je.

« Nous avons beaucoup de dettes importantes envers toi, » déclara Milaine.

Nous n’arrêtions pas de parler de ce genre de choses et, peu de temps après, le palais était apparu à la fenêtre du carrosse.

Maintenant, faisons le dernier travail.

***

Dans la salle d’attente.

Ma famille était bruyante et pressée.

« E-Est-ce bien comme ça ? »

« Chéri, ton bouton est mal fixé. »

Il y avait ma mère qui arrangeait la tenue désordonnée de mon père. Alors qu’à un autre endroit, mon grand frère vérifiait sa tenue vestimentaire devant un miroir.

En raison de sa participation à la guerre, il était décidé que le père passera au sixième rang supérieur.

« Pourquoi dois-je aussi venir ? Il ne devrait pas y avoir besoin que de Père et de Léon ici, » déclara mon frère.

J’avais calmé le grand frère qui se plaignait. « N’est-ce pas parce que mon grand frère sera le prochain baron ? C’est génial que ta première campagne se soit terminée par une victoire éclatante. »

« Mais je n’ai rien fait. Plus important, que s’est-il passé avec le grand frère Lutart ? Non, il n’est pas vraiment notre frère, mais, je suis curieux de savoir ce qui va arriver à leur famille à partir de maintenant, » déclara mon frère.

Un dirigeable s’était écrasé pendant la bataille de la défense de la capitale sur le manoir de Zola et ils avaient tout perdu.

La capitale elle-même était en ruine. Elle sera occupée avec les travaux de reconstruction pendant un certain temps.

Mais ce monde avait des armures qui agissaient comme une aide importante, donc le travail avançait sans problème.

« Lutart a même perdu son titre de chevalier parce qu’il a déserté sous l’attaque ennemie. Tout d’abord, Zola n’est qu’une fille de noble. Elle n’a pas de rang de cour, donc elle est négligeable. Lutart n’est même pas un chevalier, alors ils sont peut-être traités comme des roturiers ? » répondis-je.

Zola, qui avait été abandonnée par mon père, ne pouvait que retourner dans sa famille.

Mais même sa famille s’était enfuie de la guerre et il avait été décidé que leur maison serait effacée des registres.

Beaucoup de maisons nobles avaient ainsi été détruites. La famille de Zola en faisait également partie. — C’était tout ce qu’il y avait à faire.

« Tu es détaillé dans ta réponse, » déclara mon frère.

« J’ai eu des nouvelles directement de Milaine, » déclarai-je.

Mon grand frère avait fait une expression vraiment conflictuelle.

« Pourquoi es-tu proche de la reine comme ça ? — Je ne pense pas que ce soit possible, mais tu ne poses pas ta main sur elle, n’est-ce pas ? Arrête ça. Franchement, arrête ça ! Je ne veux pas me laisser entraîner dans tes problèmes encore plus que ça ! » s’écria mon frère.

Comme c’est grossier. Même moi, j’ai compris ça.

« Plus important encore, où est notre grande sœur ? Je pensais que si c’était elle, elle viendrait à ce genre de cérémonie en étant heureuse, » demandai-je.

« Jenna s’est enfermée dans sa chambre. Elle a râlé après que notre père ait tué son serviteur exclusif. Yumeria s’occupe d’elle, » répondit mon frère.

J’avais le sentiment qu’elle sortirait tout de suite de sa chambre si on lui donnait un nouvel esclave.

Mais, il semblait que l’académie allait changer radicalement sa politique, donc même cela allait être impossible.

On parlait d’abolir le système du serviteur exclusif. Les pourparlers progressaient bien dans cette direction.

Il semblait que le serviteur exclusif de Jenna, Meole, qui m’avait piégé, soit également devenu un problème. De plus, le camp des hommes était impatient de profiter de cette occasion pour écraser complètement le système des serviteurs exclusifs.

La rancune des femmes était effrayante, mais la rancune de l’homme était aussi incroyable. Le camp des hommes était uni pour réexaminer le système.

La porte de la salle d’attente avait été frappée. Il semblerait que le moment soit venu.

« Maintenant, finissons ce dernier travail, » déclarai-je.

Ce sera vraiment le dernier.

***

La salle d’audience.

Je m’étais agenouillé sur le tapis rouge qui menait au trône en écoutant les paroles de Sa Majesté.

Les actions de tout le monde cette fois-ci étaient vraiment splendides — à partir de là, Sa Majesté avait également loué les nobles se trouvant là qui avaient participé à la guerre avec un discours grandiose.

Alors que je me demande s’il pouvait se dépêcher avec le discours, Sa Majesté avait dit.

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« Vicomte — non, comte Léon Fou Baltfault. Vous êtes démis de vos fonctions de commandant suprême des armées. Et puis je vous accorde un avancement à la pairie de comte et au rang de cour du troisième rang inférieur ! »

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Tandis que les nobles environnants se répandirent en murmures, j’avais continué à regarder vers le bas pendant que mes yeux s’ouvraient en grand

— Cet idiot, qu’est-ce qu’il raconte ?

« Vo, Votre Majesté. S’il vous plaît, permettez-moi de parler ! » balbutiai-je.

J’étais vraiment sous le choc provoqué par cet événement soudain, mais lorsque j’avais demandé la permission de parler, Sa Majesté avait tortillé sa moustache en me regardant et m’avait dit.

« Je l’autorise. »

« Vous avez ma plus profonde gratitude ! Puis-je demander à Votre Majesté ce que vous entendez par comte, ainsi que le troisième rang inférieur de la cour ? Une telle position pour un jeune comme moi est —, » commençai-je.

Au début, j’avais d’abord essayé de dire à Sa Majesté : « Moi, en tant que comte, c’est impossible ! Et je ne peux rien faire même si vous me donnez un rang dans la cour ! ».

Même mon entourage était dans le même état que moi.

Parmi les voix qui étaient entrées dans mes oreilles, j’entendis des choses comme « Être comte à cet âge-là ? » « C’est extrême même pour un arriviste. » « C’est sans précédent de devenir un comte en une seule génération » « Troisième rang inférieur — n’est-ce pas effectivement un haut rang ? » et ainsi de suite.

Lorsqu’on parle du troisième rang inférieur dans la cour, c’était déjà le rang de la classe des ministres du Cabinet.

Le troisième rang supérieur qui était au-dessus de ce rang était un rang pour les personnes apparentées à la famille royale.

Je ne suis pas heureux du tout même si je reçois un tel rang !

Même si vous dites à un étudiant qu’il va devenir ministre du Cabinet à compter de demain, il allait tout simplement devenir « Ha ? » n’est-ce pas ? C’est comme être le patron d’une entreprise. Cet étudiant ne sera pas capable d’assumer ses responsabilités, encore moins de faire le travail !

Quand j’avais levé la tête, Sa Majesté, ce fils de pute de Roland, me regarde en souriant.

« Le royaume doit vous décerner la pairie et le grade de cour appropriés après que vous ayez réalisé des faits d’armes de ce niveau-là. Haha, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Si c’est vous, alors un jour vous montrerez sûrement une performance et une contribution qui conviennent à vos pairs et à votre rang. »

Merci pour votre haute évaluation de moi, je vais vomir maintenant !

Ce type le sait.

Ce type avait fait quelque chose comme ça en sachant que je n’allais pas aimer ça.

Quand j’avais regardé autour de moi, j’avais vu que les fonctionnaires étaient aussi paniqués.

Milaine avait aussi les yeux écarquillés. On dirait qu’elle n’avait rien appris à propos de ça avant ça.

— Ce salaud, il m’a promu sans le dire à personne avant.

Ne fais pas l’imbécile.

Alors que j’étais sur le point de dire quelque chose, Roland avait ouvert la bouche en premier.

Il avait parlé avec un numéro de théâtre qui puait. « Si quelqu’un a une plainte à formuler, qu’il le fasse savoir. »

Personne ne s’était avancé.

Même s’il y avait quelqu’un qui n’avait pas aimé ma promotion, il serait troublé si ma promotion était annulée.

Mais c’était parce qu’ils avaient tous compris que si je n’étais pas promu, à l’avenir, il deviendrait difficile d’accéder à un rang supérieur, peu importe le type de réussite qu’ils auraient obtenu.

Lorsque leur promotion serait prise en considération, leurs réalisations seraient comparées à mes efforts et beaucoup d’entre eux deviendraient incapables d’obtenir la promotion.

« Comte Baltfault, j’anticipe votre contribution à l’avenir, » déclara le roi.

« C’est un grand honneur d’entendre cela de Votre Majesté, » déclarai-je.

Comme ce serait bien si je pouvais crier « Ne déconne pas ! » ici.

Il y avait aussi ma famille ici.

Ma famille pouvait aussi avoir des problèmes selon mon attitude.

Ces merdeux de père et de fils me causaient des ennuis comme ça.

En regardant le sourire de ce bâtard de Roland, j’avais juré dans mon cœur.

— Je te revaudrais ça un jour.

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Partie 3

J’étais vraiment enragé alors que j’étais de retour dans ma chambre.

« Ce fils de pute ! Même si je lui ai dit que je ne voulais pas être promu, il a fait exprès de me promouvoir au rang de comte ! » m’écriai-je.

J’avais jeté le coussin qui était placé sur le canapé.

Jeter un objet fragile faisait peur, donc je ne pouvais pas le faire.

Mon père et ma mère se chuchotaient en me voyant.

« Dis-moi, comment devrais-je parler à mon fils maintenant qu’il est devenu comte ? Dois-je utiliser un langage poli avec Léon comme je le pensais ? » demanda ma mère.

« Peut-être ? Mais, c’est impensable que cet enfant soit dérangé par quelque chose comme ça, » déclara mon père.

« Mais il est comte maintenant. Et un troisième rang inférieur, c’est une existence divine pour nous, » déclara ma mère.

« Alors, cela sera du langage poli avec lui, » déclara mon père.

Je m’étais tourné vers mes deux parents et j’avais crié avec mon doigt pointé vers eux.

« Un comte en nom seulement sans aucune subsistance n’est qu’une plaisanterie ! Quelque chose comme ça n’est qu’une intimidation de la part du palais ! De plus, des parents qui utilisent un langage poli, c’est dégoûtant et totalement rejeté ! » m’écriai-je.

Mon grand frère s’était souvenu de quelque chose et avait parlé. « Tu sais, il y a ça. Si notre père te rend l’atelier, Léon, ton revenu augmentera aussi. »

« Je ne serais pas dérangé si cela pouvait être résolu avec juste ça ! » m’écriai-je.

Les revenus de l’atelier étaient considérables. C’est considérable, mais ce n’est pas bon.

La position de comte était très élevée.

Ce n’était pas quelque chose qui pouvait être couvert par les revenus d’un seul atelier.

Mon père avait frappé sa paume avec son poing et avait dit. « C’est ça ! ».

« Et si tu devenais un noble du palais ? Écoute, tu recevras alors un salaire annuel du palais. Tu n’auras pas à t’inquiéter même si tu n’as pas de territoire ! » déclara mon père.

« C’est impossible. Absolument impossible ! Avec mon rang, c’est au niveau des ministres ! Je ne peux pas faire le travail d’un ministre ! » déclarai-je.

« C’est ce qu’on dirait. Je pense que ce pays serait fini si tu devenais un ministre, » déclara mon père.

J’avais jeté un coussin sur mon père trop franc, puis j’avais couru hors de la pièce.

« Je vais quitter ce genre de pays ! » m’écriai-je.

Ma mère avait crié dans mon dos. « Reviens avant le dîner ! »

— Oui, maman.

***

 

Une voix m’avait appelé alors que je marchais dans le couloir.

« Oh ! »

C’était Anjie qui courait vers moi en soulevant légèrement sa jupe des deux mains pour qu’elle ne trébuche pas.

Aujourd’hui, elle portait une robe pour participer à la cérémonie.

Après qu’elle m’ait rattrapé, elle avait calmé sa respiration.

Elle avait dû m’apercevoir et s’était précipitée sur moi. Ses joues étaient légèrement rouges.

« Qu’est-ce que ça veut dire, tout à l’heure ? Étais-tu au courant ? » demanda Anjie.

Elle devait penser ce qui s’était passé dans la salle d’audience. Je secouai la tête avec impuissance.

« C’est quelque chose que Sa Majesté a décidé arbitrairement. Même moi, je n’étais pas au courant de ça avant qu’il me l’annonce en pleine face, » déclarai-je.

« Eh bien, tu ne peux certainement pas être rétrogradé après avoir obtenu ce rang. C’est aussi un fait qu’il est pratique pour le royaume de te promouvoir. Mais, même Père ne le savait pas, » déclara Anjie.

Ce type, avait-il vraiment décidé de faire ça sans consulter personne ?

Quelle famille ennuyeuse !

Que ce soit Son Altesse Julian ou ce fils de pute de Roland, ils étaient tous les pires.

« Qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Qu’est-ce que tu crois que je devrais faire ? Je suis troublé même si je suis sérieusement promu comte, » déclarai-je.

« D-D’accord. Même si on te donne de pairie, en ce moment, tu n’as même pas de maison ou de territoire. Il y aura un problème même si tu deviens un noble du palais, je pense que la meilleure façon ici sera d’épouser docilement quelqu’un dans une famille noble, » déclara Anjie.

Se marier dans une famille ?

« Si tu te maries dans une puissante famille de noble, ils pourraient préparer une nouvelle maison et un nouveau territoire pour leur fille. Si tu peux te marier dans une telle famille, tu obtiendras également un bailleur de fonds. Ce sera une très bonne affaire pour toi, » déclara Anjie.

Il y a donc aussi un moyen de le faire. Pendant que je pensais ça, Clarisse était arrivée avec une robe.

« Oh, ce n’est pas comme si tu avais besoin de te marier dans une famille noble, tu peux aussi établir une nouvelle maison. En ce moment, les nobles du royaume sont trop réduits en nombre. Ce sera une bonne occasion pour devenir indépendant, » déclara Clarisse.

En raison de l’incident de cette fois, le royaume avait écrasé de nombreuses maisons.

Cela allait sans dire pour les maisons liées à la principauté, mais ceux qui avaient ignoré l’appel aux armes du royaume avaient également été détruits et leur territoire confisqué sans qu’on leur pose de questions. Diverses punitions les attendaient.

En d’autres termes, il y avait un manque de personnel, il y avait aussi un excès de territoire, donc il serait facile de devenir indépendant.

« Clarisse, c’est quoi ton problème ? » demanda Anjie.

« Ce serait gênant si tu te mariais dans une maison noble. Ce sera aussi mauvais pour ta réputation si un comte se marie dans une autre maison, » déclara Clarisse.

« Le cas de Léon est une exception, » déclara Anjie.

Les deux filles avaient commencé à se disputer.

« Se marier dans une autre maison, ou devenir indépendant — mais dans les deux cas, c’est comme devenir indépendant, n’est-ce pas ? » C’est alors que Deirdre qui portait une robe voyante s’approcha par ici.

 

 

« J’ai écouté pendant un certain temps, mais je me demande de quoi vous parlez toutes les deux ? » demanda Deirdre.

Clarisse avait fusillé du regard Deirdre, mais la personne elle-même avait fait une expression calme.

« Puis-je vous demander de ne pas nous déranger, Deirdre ? » déclara Clarisse.

« En prétendant qu’il n’y a que l’option d’être un noble seigneur féodal quand il s’agit de devenir indépendant, je pense que vous êtes toutes les deux trop étroites d’esprit, » déclara Deirdre.

Anjie plissa les sourcils et demanda. « Qu’entendez-vous par là ? »

Deirdre avait bombé sa poitrine et avait parlé effrontément de mon avenir. « En ce moment, la Maison Roseblade envisage d’avoir un palais comme maison annexe. Il semble que le nombre de palais ait également beaucoup diminué, c’est donc quelque chose à viser. Quant à la substance — la Maison Roseblade le préparera pour que le comte puisse utiliser ce statut et ce prestige à son entière satisfaction. »

En d’autres termes, me disait-elle de devenir le chef de famille d’une branche de la Maison Roseblade ?

Est-ce que c’est aussi se marier dans une famille ?

Les trois filles avaient commencé à se regarder fixement l’une et l’autre, alors j’avais suivi mon instinct qui me disait qu’il valait mieux s’échapper bientôt et s’éloigner de cet endroit en cachette.

Puis, « Kyah », j’avais entendu une voix si adorable et mes jambes s’étaient naturellement dirigées dans cette direction.

J’avais marché dans le couloir pendant un moment et j’avais tourné à un coin. Là-bas, j’avais trouvé Livia portant une robe.

On aurait dit qu’elle avait marché sur la jupe de sa robe parce qu’elle n’avait pas l’habitude d’en porter une et qu’elle était tombée.

Il y avait un homme qui tendait la main à Livia qui était tombée comme ça.

« Allez-vous bien, jeune fille ? » demanda l’homme.

« Oui, oui, » répondit Livia.

« C’est une bonne chose. Et si on se détendait dans la chambre là-bas ? » demanda l’homme.

Le regard de Livia erra, le regard troublé, alors je m’étais approché de ce fils de pute.

Cet enfoiré de play-boy qui avait parlé à Livia était quelqu’un de détestable selon moi.

« Votre Majesté, n’êtes-vous pas gênée de draguer une fille comme ça dans le palais ? » demandai-je.

« Imbécile. Tout le monde a fait quelque chose comme ça — mu, alors c’est toi, » me déclara-t-il.

Quand il avait remarqué que c’était moi, il s’était retourné et il m’avait démontré un sourire très heureux.

« Hé, comte. Qu’est-ce que ça fait d’avoir une promotion ? » demanda-t-il.

« C’est horrible. Qu’est-il arrivé à la discussion sur la rétrogradation ? Si j’ai une promotion, ce sera difficile de me rétrograder plus tard pour que ma pairie reste telle qu’elle est, n’est-ce pas ce dont on a parlé ? » demandai-je.

« Ça ? Ah, c’est ce que je pensais. Mais, c’était vraiment gênant. Si le héros qui a sauvé le pays est traité comme ça, ma dignité sera mise en doute. Après mûre réflexion, j’ai conclu que, comme prévu, tu devrais être promu, » déclara le roi.

« Je serai rétrogradé de ce rang, n’est-ce pas ? » demandai-je.

« C’est si tu fais quelque chose qui nécessite une rétrogradation, » déclara le roi.

Ce type, il avait l’air excessivement heureux de s’amuser avec moi.

« C’est différent de la promesse, » déclarai-je.

« Ah, en effet. Cela me fait aussi mal au cœur. Mais tu vois, je te déteste. Alors j’ai décidé que je ne ferais rien qui puisse te rendre heureux, » me déclara-t-il.

Ce type, il me disait en face qu’il me détestait.

Alors que j’étais décontenancé, Roland était resté de bonne humeur et avait continué à parler avec des gestes théâtraux de la main et du corps.

« C’est impardonnable que tu te sois encore plus distingué que moi avant la guerre. Qu’est-ce que c’est que ça “Si c’est ce que Votre Majesté souhaite”. Agir comme ça, c’était impardonnable. C’est ta faute d’être sur mon chemin même si c’était enfin mon heure de frimer, » déclara le roi.

« Hein ? Est-ce la raison ? » demandai-je.

Livia avait l’air agitée.

Son expression troublée était mignonne.

Mais le problème, c’était le vieil homme devant moi.

« C’était la seule fois où j’aurais pu frimer. Je voulais t’énerver avec mon discours et me moquer de toi avant de montrer ma dignité d’adulte, mais tu as ruiné mon plan. Ta conversation avec le marquis après cela a également été remarquable. C’était irritant, » déclara le roi.

« N’est-ce pas parce que j’ai battu votre fils ou courtisé votre femme ? » demandai-je.

Le fils de pute Roland avait croisé les bras et m’avait regardé des orteils jusqu’au sommet de la tête.

« Tu es vraiment une ordure. Mais, je ne serai pas bon pour la vie au palais si je me mets en colère à cause de tout ça. C’est la responsabilité de mon fils de s’être fait tabasser, et même si tu courtises ma reine, à ce stade, je ne penserai que “Et alors ?”. Mais je te condamnerais à mort si tu posais la main sur mes concubines. »

— Hein ? Ce type n’est-il pas une ordure ? N’est-il pas pire que moi ?

Roland se retourna vers Livia, redressa sa posture et lui tendit la main.

« Maintenant, jeune fille. Devrions-nous créer le souvenir d’une nuit ensemble ? » demanda le roi.

À bien y penser, la reine était aussi l’ennemie du personnage principal.

Mais, dans le scénario de jeu, le roi était une personne compréhensive pour une raison inconnue.

Je n’avais jamais pensé que c’était parce que c’est un vieil homme sale qui aimait les jeunes filles.

Un Jeu Vidéo Otome devrait avoir un roi qui laissait le joueur rêver !

« Est-ce que je serai rétrogradé si je vous frappe maintenant ? » demandai-je.

« Sale gosse. On dirait que tu veux être condamné à mort. Très bien, je vais appeler les gardes du palais ici ! » déclara le roi.

Même sa dépendance envers les gardes est pathétique. Pendant que je pensais à ça,

« — Votre Majesté. » Mylène était venue avec des domestiques qui la suivaient.

Roland avait essayé de s’enfuir quand il avait entendu sa voix, alors je lui avais attrapé la main.

« Lâ, lâche-moi ! » cria Roland.

« Où allez-vous, Votre Majesté ? » demandai-je.

Il avait fait une tête étonnante quand j’avais souri et que je lui avais serré le bras. Cela m’avait donné envie de rire.

« T-Toi ! Je vais te condamner à mort pour de vrai ! » s’écria le roi.

« Mylène ! Sa Majesté le roi veut m’exécuter. À l’aide ! » criai-je.

« Tu fais encore une avance à une jeune fille ! Et puis tu veux exécuter celui qui te reproche ça ! Qu’est-ce que c’est que ça, alors même que le comte est le héros du royaume ? Je ne te pardonnerai pas aujourd’hui, » déclara Mylène.

« Tu, Tu te trompes ! C’est mon devoir en tant que membre de la royauté ! Faire un enfant est comme un devoir royal. Il n’y a rien de mal à ce que je mette la main sur une jeune fille ! » déclara le roi.

« Combien de maîtresses gardes-tu déjà avec cette excuse ? » demanda Mylène.

Mylène avait emmené Roland quelque part.

Ma querelle avec Roland avait clos le rideau avec ma victoire.

« Le mal est chassé, » déclarai-je.

Livia avait souri ironiquement. « D-Disons, Léon. Euh — . »

« Hm ? Ah, cette robe. Cela te va bien, » déclarai-je.

« Je te remercie beaucoup. C-Ce n’est pas ça ! » déclara Livia.

Livia posa ses mains sur sa poitrine et prit une grande respiration. « À propos de l’affaire d’avant — . »

Elle m’avait attrapé la main quand j’avais détourné le regard.

« Pourquoi ne nous réponds-tu pas correctement ? » demanda Livia.

Ce qui m’était venu à l’esprit quand j’avais regardé Livia me regarder en levant ses yeux vers moi avec des yeux humides, c’était à quel point je serais heureux si j’avais une fille comme ça comme épouse — ce genre d’illusion.

Même moi, je voulais hocher la tête comme si tout allait bien, mais pourquoi sont-elles toutes les deux amoureuses de moi ?

Devrais-je choisir entre elles ?

Est-ce vraiment moi ?

« Ça ne me dérange pas si tu nous dis que nous ne sommes pas les bonnes. Mais nous voulons une réponse adéquate, » déclara Livia.

Et aussi — j’avais agi comme si ce monde était un jeu, mais était-ce acceptable pour quelqu’un comme moi de tomber amoureux de ces filles qui vivaient dans ce monde en faisant le maximum d’efforts  ?

Qu’est-ce qui est différent entre Marie et moi que j’avais complètement critiqués ?

— C’était pour ça que j’étais troublé.

Livia avait fait une expression encore plus sérieuse, puis elle avait légèrement écarté ses pieds avant de me le dire avec audace. « Léon, si tu ne veux pas donner une réponse claire, alors j’ai aussi mon propre plan. »

« Quoi, quoi !? » demandai-je.

« Je vais absolument — absolument faire que tu te tournes vers moi, Léon ! » déclara Livia.

Quelle pensée virile !

Quand ces cinq-là avaient dit la même chose, j’avais pensé : « Ces gars sont vraiment idiots », mais en regardant Livia, j’avais senti une émotion qui m’avait donné envie de dire « Grande Soeur ! ».

Je tomberais amoureux d’elle instantanément si j’étais une femme.

« C’est pourquoi, s’il te plaît, sois avec moi. S’il te plaît, reste avec moi pour toujours, » déclara Livia.

L’attitude de Livia avait complètement changé et elle avait l’air de vouloir pleurer. Je m’étais gratté la tête et je lui avais répondu. « Désolé, mais c’est impossible. »

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Je ne suis plus venu depuis un moment, mais j’ai u l occasion de lire 4 chapitres d’affile.

    Merci pour les chapitres et bonne continuation

  2. Merci pour le chap ^^

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