Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 14

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Épilogue

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Épilogue

Partie 1

Le retour avait été un peu plus rapide.

J’étais rentré chez moi et je m’étais présenté à l’atelier.

Devant moi, je voyais un dirigeable d’une taille de 200 mètres avec une seule corne comme caractéristique, l’Einhorn.

Son aspect était très décoré.

« C’est beaucoup de décoration, » déclarai-je.

« Le fait de préparer un dirigeable qui ne sera pas honteux en tant que représentant de Hohlfahrt est une exigence du Palais, » déclara Luxon.

Des humains et des robots travaillaient dans l’atelier.

Les robots travaillaient pendant que les gens s’occupaient de diverses tâches.

L’atelier n’avait fonctionné que depuis plusieurs mois, il n’y avait donc rien de tel qu’un technicien qualifié ici.

Peut-être y en aurait-il parmi eux qui pourraient se voir confier le travail après plusieurs années.

D’ici là, les robots feraient le travail à leur place.

« Partenaire ne peut pas être montré même si sa réparation est terminée. C’est vraiment gênant. Hein ? Et Creare ? » demandai-je.

« Elle est restée dans la capitale. On dirait qu’elle a pris goût à Olivia et Anjelica, » répondit Luxon.

« C’est une IA qui est encore plus libre que toi, » déclarai-je.

« Je ne peux pas le nier. Elle ne nous trahira pas, donc tout ira bien. Plus important encore, le maître aura la vie dure à partir de maintenant, » déclara Luxon.

La raison pour laquelle j’avais préparé un nouveau dirigeable était — pour étudier à l’étranger.

« De penser que ce jeu vidéo Otome — ait eu une suite. C’est complètement inattendu, » déclarai-je.

Je m’étais remémoré de ma conversation avec Marie.

***

Ce jour-là, quand j’avais parlé à Marie au palais.

J’avais appris une nouvelle vérité de ce monde — et j’avais tremblé.

« Je ne pense pas que tu le sache, Grand Frère, mais — ce jeu est devenu une série de jeux, tu sais ? » déclara Marie.

« — Hein ? »

Il semblerait que le jeu avec un mauvais équilibre et qui avait causé l’insatisfaction massive de la part des utilisateurs était devenu une série.

C’est bien que Marie m’ait appris diverses choses, mais qu’est-ce que c’était que cette attitude d’auto-importance ?

« Hertrauda est un personnage qui est sorti dans le troisième jeu, » déclara Marie.

« Tr-Troisième jeu !? Oh, attends. Attends un peu ! » m’écriai-je.

S’il y avait un troisième jeu, cela signifie qu’il y a le deuxième jeu entre les deux.

— Je n’ai jamais rien entendu de tel.

« C’est évident que mon Grand Frère ne le sache pas. Grand frère est mort après avoir fini le premier jeu. La suite est sortie après ça. Le petit frère de Julian est apparu dans le troisième jeu, » déclara Marie.

« Ce type a un petit frère !? » m’écriai-je.

« Il en a bien un. Le roi a des concubines et il est né d’une mère différente. C’est pourquoi c’est un personnage cool et un peu sombre. Il a cette allure de hors-la-loi, » déclara Marie.

Je ne veux pas entendre parler de ce cadre sans importance.

Mais, maintenant qu’elle l’avait mentionné, j’avais vu quelqu’un comme ça plusieurs fois dans la salle d’audience.

Je pensais vraiment que Julian était le seul prince.

Réfléchis bien, ce sera certainement un problème s’il n’y a qu’un seul prince.

« Se pourrait-il que les deux monstres dont j’ignorais l’existence soient les derniers boss du troisième jeu ? » demandai-je.

« C’est exact. Les divinités gardiennes du ciel et de la mer étaient les derniers boss du troisième jeu. D’ailleurs, la période de départ du troisième jeu est quand Julian et les autres sont en troisième année. C’est pourquoi, non seulement il est lié aux événements du premier jeu, il est également venu avec des avantages spéciaux où tu peux profiter de l’événement après leur diplôme. »

Je n’ai pas besoin d’une telle information — c’est ce que je pensais, mais y avait-il eu ce genre d’événement ?

Je n’étais au courant d’aucun événement où le petit frère de Son Altesse Julian se soit inscrit à l’académie.

« Non, dans le jeu, il n’y a pas eu d’événement où le petit frère de Julian s’est inscrit quand il est en troisième année, » déclarai-je.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? — C’est évidemment un fait qui est ajouté plus tard, » demanda Marie.

— Merci pour l’explication directe.

Bien sûr que ça l’est. C’est plus fort que moi. Tu crois que je vais l’accepter, hein ?

« Mais les derniers boss ont été vaincus, alors c’est déjà bien, n’est-ce pas ? Le danger pour le royaume est parti, n’est-ce pas ? » demandai-je.

Marie avait souri.

« Grand frère, la scène du deuxième jeu n’est pas Hohlfahrt, c’est la république d’Alzer. »

Hein ? J’ai déjà entendu ce nom de pays.

« Attends. Attends un peu que je comprenne ! Alors…, » déclarai-je.

« Le dernier boss du deuxième jeu est en bonne santé, » déclara Marie.

Je regardais le visage souriant de Marie tout en tenant ma tête et je m’étais assis sur place.

« IMPOSSIBLLLLLEEE ! » criai-je.

Il n’y avait aucune chance que cela se produise. Ce monde — ce jeu avait une suite et le danger pour le monde n’était pas fini. Je ne voulais pas le croire. Alors même que je pensais que tout était fini !

Marie faisait preuve de sang-froid devant moi avec un sourire triomphant.

« Maintenant, négocions, » déclara Marie.

Quand elle avait compris que je n’avais aucune connaissance des événements à venir, elle avait jugé qu’il y avait matière à négociation.

Elle avait fait avancer les choses avec beaucoup d’assurance.

« C’est quoi cette attitude hautaine ? » demandai-je.

« Grand frère, est-ce bon pour toi de dire ça ? J’ai la connaissance du jeu que mon cher grand frère n’a pas, » déclara Marie.

« Qu’est-ce que tu veux ? » demandai-je.

« Voyons voir. D’abord, je veux de l’argent de poche ! Je souhaite des frais de subsistance ! » déclara Marie.

Marie s’était soudainement agenouillée. Sa demande était pour de l’argent de poche.

« Tu n’en as pas besoin, hein ? Tu vas être fourré dans une île flottante, tous les articles nécessaires doivent être préparés pour toi. Ou plutôt, cette île a déjà les objets nécessaires pour vivre, » déclarai-je.

« Ce n’est pas ça ! Notre vie là-bas devra être autosuffisante pour enseigner à tout le monde un peu de privations ! Tous les articles nécessaires et autres seront préparés pour nous, mais c’est de ces cinq-là que nous parlons, tu sais ? Kyle et Cara iront bien, mais penses-tu que ces cinq-là peuvent faire quelque chose comme de l’agriculture ? Ils vont absolument échouer, » déclara Marie.

Eh bien, ils étaient de jeunes maîtres ignorants, se faire dire soudainement de cultiver la terre sera un obstacle trop important pour eux.

Ou plutôt, Cara va-t-elle aussi venir avec toi ?

« J’enverrai de temps en temps au grand frère du riz et d’autres choses de ce genre, alors s’il te plaît, donne-moi des frais de subsistance ! La famille de tout le monde est aussi très en colère, donc je ne peux pas m’attendre à ce qu’ils me donnent de l’argent de poche ! » déclara Marie.

La raison pour laquelle Marie s’inquiétait de comme elle vivra à partir de maintenant, c’est parce que ces cinq-là avaient une attitude du genre. « L’agriculture doit être facile ».

La cause de son anxiété venait de leur insouciance à penser que la vie d’autosuffisance ne sera pas bonne.

« C’est impossible. Si je laisse à ces cinq-là s’occuper de ça, cela échouera sûrement. C’est mon instinct qui me l’a dit. Parce que tout le monde dit les mêmes choses que mon ex-petit ami dans ma vie antérieure. C’est la même chose avec mon ex qui avait la naïveté de penser et de parler de rêve et de ce qu’il ne peut pas faire ou qu’il réussira d’une façon ou d’une autre même s’il comptait sur moi pour son argent ! » déclara Marie.

Quelle coïncidence ! Je ressentais la même chose. Je peux déjà clairement imaginer ces types qui échouent.

Plus important encore, Marie était très populaire parmi les hommes inutiles. Est-ce les hommes inutiles qui se sont approchés d’elle, ou est-ce elle qui a transformé les hommes en hommes inutiles — maintenant, qu’est-ce que c’est ? Peut-être qu’elle envoie même un signal qui attire des hommes inutiles vers elle ?

Marie m’avait sérieusement et sincèrement demandé.

« C’est pourquoi je vendrai l’information à mon grand frère. Alors s’il te plaît, donne-moi de l’argent de poche ! » demanda Marie.

Je voulais aussi les informations, alors j’accepterai sa demande.

« Je te donnerais de l’argent de poche. Alors, parle-moi de cette République d’Alzer, » déclarai-je.

« Merci, grand frère ! » déclara-t-elle.

Marie s’était réjouie de pouvoir recevoir de l’argent de poche et s’était levée en faisant une petite danse.

Quand je lui avais dit de parler, Marie avait toussé et avait parlé de la République d’Alzer.

« La République d’Alzer est un pays où la noblesse est très présente. C’est plus avancé que le royaume et il y a une académie où même les roturiers peuvent s’inscrire. Là, le personnage principal s’entendra bien avec les garçons qui sont les cibles de la conquête. »

C’est donc un cadre académique comme le premier jeu.

« Et puis, le personnage principal est une fille qui descend d’une grande maison noble qui aurait dû être écrasée, » déclara Marie.

« Hm ~ »

« À la fin, ce personnage principal et la cible de la conquête feront revivre la maison noble, mais —, » expliqua Marie.

J’étais abasourdi par les informations de Marie.

***

« S’arrêter là alors que le monde est en danger…, et si la conquête amoureuse échoue vis-à-vis des cibles de captures. Épargne-moi ça, ô monde cruel, » déclarai-je.

Bref, le monde serait condamné si les choses ne se passaient pas bien avec le personnage principal du deuxième jeu.

Ce monde est toujours sous le risque de destruction à cause d’aventures amoureuses, hein ?

« Le Maître est vraiment un inquiet, » déclara Luxon.

« Je ne peux pas ignorer un danger pour le monde ! Merde, même si je pourrai vivre ma deuxième année tranquillement à l’académie si je ne savais rien, » déclarai-je.

« Le Maître est après tout maintenant un comte avec un rang de cour du troisième rang inférieur, alors tu seras sûrement très populaire. La situation du mariage va également s’améliorer cette fois-ci, les garçons seront donc en mesure de choisir cette fois-ci et pourtant — le maître doit étudier à l’étranger, cela doit être difficile, » déclara Luxon.

On pouvait dire que la situation du mariage avait changé de 180 degrés.

Au milieu de tout ça, les filles intelligentes avaient commencé à paniquer.

« Si le maître reste ici, une vie d’académie heureuse pour le maître l’attendra, et pourtant…, » déclara Luxon.

« Même moi, je veux rester ici. Mais, je ne peux pas non plus laisser ce problème tranquille, » déclarai-je.

Le problème concernait l’existence de réincarnée comme nous.

Ce genre d’existence n’avait pas été confirmé, mais s’ils existaient — et s’ils faisaient ce qu’ils voulaient comme Marie et qu’ils mettaient le monde en danger à la fin. Je ne pouvais pas avoir l’esprit tranquille quand j’y pense.

Même si j’avais travaillé dur jusqu’à présent, cela ne servirait à rien si le monde était détruit.

« Nous allons observer la situation pendant nos études à l’étranger. S’il ne se passe rien, je vais simplement étudier à l’étranger, » déclarai-je.

« Est-ce que ça ira pour la langue ? » demanda Luxon.

« J’ai appris des choses simples comme saluer, mais je pense qu’il sera impossible d’avoir une conversation, » déclarai-je.

« Devrais-je traduire ? » demanda Luxon.

« Alors, dis-le dès le début ! J’ai déjà beaucoup étudié, ce qui ne me ressemble pas du tout ! » déclarai-je.

« Le maître pouvait faire de son mieux comme ça, » déclara Luxon.

Mon grand frère était venu me chercher pendant que je faisais du bruit.

« Léon, papa t’appelle, » déclara-t-il.

« Papa m’appelle ? » demandai-je.

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Partie 2

Ce qui m’attendait quand j’avais montré mon visage dans le bureau de mon père, c’était une discussion sur le mariage.

« Cérémonie de mariage ? » demandai-je.

« Non, c’est une cérémonie de fiançailles. Je te fais y participer, alors prépare-toi bien, » déclara mon père.

« Pourrait-il s’agir de ma grande sœur ? » demandai-je.

« Jenna n’est pas bonne pour ça. Ta maman dit qu’elle ne peut même pas faire le ménage correctement, alors on ne peut pas l’envoyer se marier. En ce moment, c’est après tout la fille qui a du mal à se marier. Si nous voulons marier Jenna, il est essentiel de la former aux arts ménagers, » déclara mon père.

Si l’on faisait abstraction de l’académie, en général, le nombre d’hommes était inférieur à celui des femmes.

La position de l’homme à l’égard du mariage était plus forte.

Au milieu de ça, Jenna qui ne savait pas faire le ménage était hors de question.

Elle était en pleine rééducation avec sa mère.

Elle serait capable de se trouver un mari si nous utilisons mes connexions ou mon statut de héros.

Mais, mes parents semblaient penser que ce ne serait pas bon si l’on faisait ça. Ils ne le permettraient absolument pas.

Alors, ces fiançailles doivent être pour mon grand frère.

En ce moment, mon grand frère était l’héritier d’une maison de baron et il aidait son père dans son travail.

Il était aussi diplômé de l’académie, donc il ne serait pas étrange pour lui de se marier.

« Pourquoi ne s’agit-il pas de mariage ? » demandai-je.

« Il y a plusieurs circonstances. Désolé que ce soit trop précipité comme ça. Mais tu dois aussi y participer maintenant, vu que tu vas étudier à l’étranger pendant un an, » déclara mon père.

D’après la façon dont mon père avait parlé, ce serait donc la cérémonie de fiançailles de mon grand frère, comme je le pensais.

« Ça ne me dérange pas vraiment, » déclarai-je.

« Je vois. Alors, va te préparer, » déclara mon père.

***

J’étais sorti de la salle et j’avais descendu les escaliers. J’y avais trouvé Jenna, qui avait été promue de deuxième fille à la fille aînée.

Yumeria lui apprenait à nettoyer.

« Ma dame, ce n’est pas bon si vous l’essuyez grossièrement. Vous devez essuyer à fond comme ceci, » déclara Yumeria.

La grande sœur qui restait silencieuse avait l’air extrêmement insatisfaite.

« Ah, ne faites pas ça ! Faites-le comme ça —, » déclara Yumeria.

Même si Yumeria, qui était si adorable malgré le fait qu’elle soit mère d’un enfant, lui avait appris à balayer, et ma grande sœur avait jeté le tissu à poussière.

« Je ne peux pas faire ça ! Une telle corvée peut être laissée au serviteur ! » déclara Jenna.

« Mais on m’a dit d’apprendre à milady à nettoyer, » déclara Yumeria.

On dirait que ma grande sœur n’avait pas encore compris la réalité. Elle rêve encore tout le temps.

« Il y aura des héritiers de Maison de Baron quand je retournerai à l’académie. Je peux me marier avec eux. Ah, Léon ! Présente-moi tes amis. Cette fois, je tolérerai même s’ils ne sont que seigneurs féodaux de la campagne, » déclara Jenna.

Yumeria avait l’air paniquée. Elle avait baissé la tête vers moi.

Je lui avais dit. « Ha, c’est bon, » avec un sourire gentil, puis j’avais fait un sourire ridicule vers ma grande sœur.

« Tu as du cran de parler comme ça à un comte. De plus, mes amis reçoivent déjà une approche passionnée de la part des filles. Ils ont beaucoup de choix disponibles. Quelqu’un comme toi, grande sœur, n’entrera même pas dans leur champ de vision, » déclarai-je.

— Je les envie vraiment.

Ma position de comte était devenue une gêne et les filles qui m’avaient approché étaient toutes de jeunes filles de maisons avec qui il ne fallait pas rigoler. J’étais content que beaucoup de jeunes filles s’acharnent sur moi, mais je ne pouvais pas jouer avec elles avec insouciance, car si je posais la main sur elles, je serais obligé d’en prendre tout de suite la responsabilité.

« Toi ! C’est quoi cette attitude envers ta grande sœur ? » déclara Jenna.

« J’aimerais que tu n’oublies pas comme je t’ai couverte après que tu aies causé des ennuis en raison de la faute de ton esclave, » déclarai-je.

En fait, parce que son esclave avait aidé le marquis Frampton, ma grande sœur elle-même avait failli se faire demander d’en prendre la responsabilité.

C’était moi qui l’avais réglé avec le pouvoir de l’argent.

Quand j’avais regardé ma grande sœur se mordre les lèvres avec frustration, mon humeur s’était éclaircie. Aujourd’hui était vraiment une journée rafraîchissante.

« E-Euh, jeune maître ? Non. Seigneur Comte ? Euh, hein ? De toute façon, Monsieur Léon, Lady Jenna est pitoyable, » déclara Yumeria.

Je suis vraiment guéri par Yumeria.

Pour moi qui n’avais que des sœurs à la personnalité trash, cette personne était une existence qui était comme une adorable petite sœur.

Bien qu’en réalité, elle soit plus âgée que moi et mère d’un enfant.

Son attitude un peu maladroite était sympa. De plus, elle était sérieuse et gentille.

Cette personne était la meilleure.

« Je te pardonne par respect pour Madame Yumeria, mais travaille un peu plus fort. Sérieusement, il n’y aura pas de perspective pour une grande sœur comme toi de te marier à ce rythme, » déclarai-je.

« Si je peux retourner à l’académie, j’y trouvais un choix de garçons, » déclara Jenna.

« Regarde la réalité. À l’heure actuelle, le nombre d’hommes est moins élevé alors que le nombre de femmes est plus élevé, » déclarai-je.

Quand je m’étais moqué d’elle, ma grande sœur avait ramassé le chiffon et me l’avait jeté à la figure.

Elle s’était énervée et son visage était devenu rouge vif. C’était vraiment drôle.

J’avais esquivé proprement le projectile. Notre mère avait vu ce qui s’était passé.

« Jenna. On dirait que tu ne comprends toujours pas, » déclara ma mère.

« Maman ! Pardonne-moi pour cela ! » cria Jenna.

J’avais vu Jenna s’enfuir en criant.

J’avais entendu dire que la situation du mariage s’était améliorée, mais le fait de voir ma grande sœur m’avait fait sentir que le chemin à parcourir était encore long.

***

La nuit.

Je m’étais allongé dans ma chambre et je parlais sans rien faire avec Luxon.

J’avais sommeil et je n’étais pas vraiment conscient de ma réponse.

« Donc le frère aîné du maître sera fiancé à partir de demain, » déclara Luxon.

« On dirait que oui. Je dois le féliciter, » déclarai-je.

« Au fait, maître, entre Olivia et Anjelica, est-ce que le maître a envie de choisir l’une ou l’autre d’entre elles ? » demanda Luxon.

« Même moi, je ne comprends pas ce que je ressens. Je les aime bien toutes les deux, mais, comme je m’y attendais, j’ai peur quand je pense à la responsabilité et ainsi de suite, » déclarai-je.

Je m’étais un peu assoupi et j’avais bâillé, puis Luxon avait tiré une conclusion à sa guise.

« En d’autres termes, avec un maître comme toi, tu ne peux pas choisir ni l’une ni l’autre ? » déclara Luxon.

« C’est vrai. C’est pour ça que j’ai dit que je les aimais toutes les deux et que je me suis fait gifler. Même si j’ai répondu honnêtement, c’était horrible, » répondis-je.

« Le maître a-t-il l’intention d’épouser l’une d’elles ? » demanda Luxon.

« Ce serait bien si je pouvais faire ça. D’abord, je ne serai pas dérangé si je peux le faire. Mais je les adore. C’est parce que je les aime que je veux qu’elles soient heureuses — mais, je ne suis pas fait pour elles, » déclarai-je.

Elles étaient trop gentilles pour que quelqu’un comme moi leur convienne.

Ces filles s’étaient même agenouillées pour moi.

Si elles voulaient se marier, autant qu’elles se marient avec un homme encore meilleur et qu’elles deviennent heureuses.

« En ce moment, le maître est un comte et un héros. Le maître est assez bien pour elles, » déclara Luxon.

« Je ne veux pas utiliser mon statut. — Après tout, j’aurai l’impression de leur avoir fait du mal, » déclarai-je.

« Vraiment, maître ? J’ai hâte à demain, » déclara Luxon.

« Ouais. Laisse-moi maintenant dormir. Je dormirai — et demain matin —, » déclarai-je.

Quand j’avais fermé les yeux, j’avais vu Livia et Anjie souriantes joyeusement.

***

Le lendemain matin.

Je portais une tenue extravagante dans la salle d’attente pour la famille du fiancé.

« N’est-ce pas étrange ? Grand frère est la star d’aujourd’hui, n’est-ce pas ? » demandai-je.

Mon grand frère portait aussi un costume cher, mais le mien était plus accrocheur.

« Tu sais, c’est parce que tu es comte. Je ne suis que l’héritier d’une maison de baron. C’est peut-être la différence, non ? » répondit-il.

« Non, ce n’est pas bon. Ce serait mieux si c’était mon grand frère qui s’habillait ainsi, » déclarai-je.

Mon petit frère Collin m’avait regardé. « Les vêtements de Grand Frère Léon sont incroyables ! Ils sont étincelants. »

Mon père se tient nerveusement devant la porte.

C’était peut-être juste mon imagination, mais il semblait être prudent avec moi.

Quand j’avais regardé autour de moi dans la pièce, ma mère était aussi agitée sans aucune raison.

« Luxon, la situation n’est-elle pas étrange ? » demandai-je.

« Tout le monde doit être nerveux, » répondit Luxon.

Peut-être qu’on ne peut rien y faire parce que c’était la cérémonie de fiançailles de mon grand frère, mais cela faisait bizarre.

« N’allons-nous pas saluer les parents de l’autre côté ? » demandai-je.

Mon grand frère avait détourné son regard de moi.

« Il y a aussi ce genre d’arrangement, mais l’accueil aura lieu quand tout sera terminé, » déclara mon frère.

Cette cérémonie de fiançailles était vraiment précipitée selon moi.

J’avais réfléchi en attendant dans la chambre, et mon père avait regardé l’horloge — .

« C’est l’heure. Bon, allons-y. Léon c’est par ici, » déclara mon père.

« O-Oui, » déclarai-je.

C’était la première fois que j’assistais à quelque chose comme une cérémonie de fiançailles, alors j’avais un peu hâte d’y être.

Aujourd’hui, la vedette principale était grand frère, donc j’étais quand même assez détendu. J’avais l’intention de le taquiner plus tard.

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Partie 3

« — Père, qu’est-ce que ça veut dire ? » demandai-je.

« C’est comme tu peux le voir, » répondit-il.

La cérémonie de fiançailles avait lieu dans un endroit qui était comme une église dans ma vie antérieure — un temple.

Un tapis rouge était posé sur le sol et il y avait des canapés alignés à côté pour que les invités puissent s’asseoir.

Et quant à ceux participant à cette cérémonie, il y avait des individus de la maison ducale — y compris Vince. Il y avait beaucoup de grosses pointures ici.

Mon grand frère s’était mêlé nonchalamment parmi les invités.

Plus profondément à l’intérieur de la salle, il y avait deux femmes vêtues d’une robe d’un blanc pur qui attendaient.

« Vous m’avez piégé ! » m’écriai-je.

« Ne parle pas comme ça d’un truc qui résonne si mal dans l’oreille des gens. Je n’ai jamais dit que c’était la cérémonie de fiançailles de Nicts. Ce n’était qu’un malentendu que tu as toi-même eu, » déclara mon père.

Les deux femmes qui m’attendaient étaient Livia et Anjie, peu importe comment je le voyais.

Leurs visages étaient cachés derrière un voile, mais je les avais immédiatement identifiées à partir de leur silhouette.

De plus, même Vince était présent. Je n’avais nulle part où m’échapper s’ils étaient allés aussi loin !

« Je n’en ai jamais entendu parler ! » déclarai-je.

« C’est parce que tu es irrésolu et pathétique. Si ce n’est pas clair avant d’étudier à l’étranger, qui sait ce que tu y feras ? » déclara mon père.

Même moi, j’y ai beaucoup réfléchi ! — Ne me traite pas d’irrésolu.

Je ne veux pas prendre de responsabilités !

Mon père regarda le duc Vince.

« Tu vas jeter de la boue sur le visage du duc si tu t’enfuis ici, » déclara mon père.

« Tu es le pire. Créer ce genre de situation où je ne peux pas m’enfuir est vraiment la pire chose à faire ! — Attends une seconde. Luxon, ne me dis pas que tu étais au courant ? » demandai-je.

Luxon flottait à proximité. Pour une raison ou une autre, il m’avait semblé ravi. « Oui. Je pense que ce maître qui ne veut pas être clair est pathétique en tant qu’homme, alors j’ai arrangé ça. »

Qu’est-ce que tu as fait ?

Gilbert était venu ici pendant que nous nous disputions à l’entrée.

Il souriait, mais cela n’avait pas atteint ses yeux.

« Léon, elles vous attendent toutes les deux. Vous ne pouvez pas les faire attendre éternellement. Ou peut-être êtes-vous insatisfait d’Anjie ? » demanda-t-il.

« Ne soyez pas absurde, » répondis-je.

Je n’avais aucune insatisfaction.

Mais, en tant qu’homme, j’ai encore envie de jouer un peu plus, et pourtant !

Je n’avais jamais entendu parler de fiançailles avant ça !

 

 

Mon père avait fait une tête troublée et m’avait parlé de la situation. « Tu n’en sais rien, mais il y a beaucoup de demandes d’entrevues de mariage qui me parviennent. Il y a aussi beaucoup de demandes d’entrevues de mariage qui ne se soucient plus des apparences, ce qui est troublant. L’aînée a cinquante ans alors que l’âge de la plus jeune n’a même pas atteint les deux chiffres, tu saisis ? Même toi, tu ne veux pas ça, hein ? »

— La société de noble est vraiment pourrie.

Auparavant, on parlait aussi du mariage avec une sorcière de cinquante ans, mais une fille dont l’âge n’a même pas atteint les deux chiffres, n’est-elle pas encore une enfant ?

— Il n’y a aucune chance que je le fasse. Ce n’est pas possible.

Gilbert avait ajouté sur le discours de mon père. « Si vous vous fiancez avec ma sœur, Anjie, vous serez libéré de tous ses problèmes ennuyeux. En plus, vous ne la détestez pas, n’est-ce pas ? »

Quand j’avais regardé Luxon, il avait détourné son regard de moi.

Ce type, il a parlé de mes sentiments à d’autres personnes.

« Mais je vais étudier à l’étranger, » déclarai-je.

« Je le sais, et c’est exactement pour ça que vous devriez vous fiancer avant de partir. Quand nous avons aussi consulté Sa Majesté, il a volontiers approuvé ce mariage. Il m’a également confié un message, » déclara Gilbert.

Il avait sorti un papier et quand je l’avais ouvert, je l’avais immédiatement écrasé dans ma main.

.

« Bienvenue au cimetière de la vie. Aussi, quand j’ai entendu parler de la façon dont tu courrais partout pour échapper au mariage, j’ai fait tout ce que j’ai pu pour diriger la conversation dans la direction de ton mariage avec ces deux filles. Tu peux pleurer de gratitude et me remercier. De la part d’un roi compétent et merveilleux. »

.

— Je ne pardonnerai jamais à ce fils de pute.

Mon père m’avait poussé sur le dos.

« Vas-y maintenant ! Ces deux jeunes femmes sont trop bien pour toi. Ou plutôt, tu es vraiment un type problématique. Ces deux-là disent qu’elles vont t’épouser malgré ça. Sois plus heureux. Qu’est-ce qui te fait être si irrésolu comme ça ? Je me suis déjà marié et je m’énerve rien qu’en te regardant, » déclara mon père.

Je m’abstiens parce qu’elles sont trop bonnes pour moi !

Quand j’avais regardé vers la salle, j’avais senti le regard de Vince.

— Son regard était si effrayant que j’avais fait un pas en avant.

Quand j’avais marché sur le tapis, des applaudissements avaient surgi.

Mon grand frère avait vu mon visage et avait détourné son regard. Ma grande sœur avait vu comment j’agissais et m’avait applaudi avec un sourire désagréable.

Yumeria et d’autres applaudissaient tout en pleurant de joie.

Mère ? Elle pleurait. Elle déclara alors. « Je n’aurais jamais pensé que cet enfant aurait des épouses aussi bonnes pour lui. »

Ces mots m’avaient profondément marqué le cœur. — Les visages de mes parents dans la vie antérieure étaient apparus dans mon esprit.

Quand j’étais arrivé entre les deux filles qui se tenaient côte à côte, Anjie m’avait parlé avec une petite voix.

« Désolée de te piéger comme ça, » déclara Anjie.

« Tu n’as pas besoin d’aller aussi loin, » déclarai-je.

Livia baissa légèrement le regard, même si elle me parlait avec reproche. « Léon, c’est parce que tu évites toujours de répondre. »

Non, en fonction de mon âge, je suis toujours comme un étudiant de deuxième année du lycée.

Je pense qu’il est encore trop tôt pour me marier. Est-ce parce que mon bon sens de la vie antérieure est encore en moi ?

« Ne me le reprochez pas plus tard, d’accord. Vous pourriez vous lasser de moi à l’avenir et penser, si seulement je ne l’avais pas épousé à ce moment-là », déclarai-je.

Livia répondit en souriant en entendant ma remarque. « Je ne penserai pas ça. »

« De plus, même si je suis comte, je n’ai aucun revenu, » déclarai-je.

Anjie avait audacieusement accepté quelqu’un d’aussi mauvais que moi.

« Alors, je subviendrai à tes besoins. Ne t’inquiète pas. Même comme ça, je suis la fille d’un duc. J’ai aussi fait promettre à ma maison qu’ils te donneront le soutien nécessaire pour que tu sois indépendant. Même ainsi, j’ai reçu une éducation dans une certaine mesure. Si tu n’as pas de revenus, je gagnerai moi-même de l’argent, » déclara Anjie.

— Elle est trop virile, cela m’avait choqué.

Anjie se retourna pour regarder vers l’entrée.

« La sortie est par là, » déclara Anjie.

« Bien que je pense qu’il n’y aura qu’un enfer qui t’attendra si tu t’enfuis d’ici, » déclara Livia.

Ce sera l’enfer si j’avance, et il y aura l’enfer même si je me retire — ou peut-être pas.

« Je me demande pourquoi vous êtes amoureuses de quelqu’un comme moi, » déclarai-je.

« Je suis tombée amoureuse de toi parce que tu es toi. J’ai envie de toi. Léon, deviens mon mari, » déclara Anjie.

Mon cœur battait fortement *kyun kyun kyun* face à la réponse d’Anjie.

« Ou-Oui. » Livia s’approcha de moi. « Je suis tombée amoureuse à cause d’un tel Léon. Je ne te lâcherai jamais. »

Des frissons m’avaient traversé le dos en entendant la ligne qui était légèrement remplie de yandere.

« Faites ce que vous voulez. Je ne m’enfuirai nulle part, » déclarai-je.

« — Oui ! »

Même avec le voile entre nous, je savais qu’elles souriaient de tout leur cœur.

Tout d’abord —, je ne déteste pas ces deux-là.

Parce que je les aime bien. Je les adore.

Mon seul regret était seulement quelque chose d’insignifiant comme le fait de vouloir jouer davantage en tant qu’étudiant.

Le prêtre prononça des paroles de célébration, mais cela n’arriva pas vraiment jusqu’à mon oreille.

Je m’étais fait piégé —, mais ce n’était pas un mauvais pressentiment.

***

« Félicitations pour les fiançailles, » déclara Creare.

« C’est tout ce que tu veux dire, bande de crétins, » répliquai-je.

« Oh ? N’est-ce pas trop cruel d’aussi me blâmer ? Je ne faisais que pousser ces deux-là dans le dos. Je leur ai dit que le maître avait juste besoin d’être coincé, » déclara Luxon.

Luxon et Creare m’avaient piégé ensemble.

Certes, j’étais heureux de pouvoir échapper à la chasse au mariage, mais quand j’en avais entendu parler plus tard, il y avait beaucoup de problèmes.

« Même si je suis fiancé, la chasse au mariage n’est toujours pas terminée. Ce n’est pas ce que j’avais entendu, » m’écriai-je.

Luxon et Creare se regardèrent d’un seul œil à l’intérieur de la pièce, puis ils secouèrent l’œil à gauche et à droit, exaspérés.

« Le maître est le héros qui a sauvé le pays. Tu es une existence nécessaire pour reconstruire la classe dirigeante du royaume, » déclara Luxon.

« Si le maître en a envie, même un harem ne sera pas un rêve. Félicitations ! » déclara Creare.

« Je ne suis pas du tout heureux ! C’est troublant même si elles changent soudainement d’attitude comme si elles retournaient la main alors qu’elles étaient vraiment froides avec les hommes jusqu’à maintenant ! C’est effrayant en vérité ! Je vois seulement qu’elles ont une arrière-pensée ! » criai-je.

« Ne vous en faites pas, s’il vous plaît. La situation n’a pas changé radicalement. Il faudra peut-être une vingtaine d’années avant que la prise de conscience de la population ne change pour de bon, » déclara Creare.

— Je ne suis pas content d’entendre cette info.

Est-elle en train de dire que les filles hautaines seront toujours aussi nombreuses qu’avant ?

Ce monde est vraiment dur pour l’homme.

« J’irai étudier à l’étranger tout de suite, même si je suis fiancé. J’ai l’impression d’être un travailleur qui a obtenu un transfert d’emploi à l’extérieur de la maison immédiatement après mon mariage, » déclarai-je.

Creare rit. « Je vais rester ici pour que le maître n’ait pas à s’inquiéter. »

Même si elle semblait sérieuse quand elle était dans la ruine, on dirait que sa personnalité s’était transformée vers quelque chose qui voulait s’amuser après avoir reçu un corps sphérique.

Ce corps rond en est-il la cause ?

J’avais entendu frapper à la porte, alors j’avais répondu. « La porte est ouverte. »

« Excuse-moi. »

Venant de là, il y avait Livia portant des vêtements de nuit tout en étreignant un oreiller et — .

« Quoi, tu ne te prépares pas à accueillir tes épouses ? »

— C’était Anjie, debout, qui venait de parler.

« Kyyaaaaa! »

« Pourquoi cries-tu ? » demanda Livia.

Moi qui étais assis sur le lit, j’avais bondi en subissant un grand choc.

« C-C’est par ce qu’il fait déjà nuit. En plus, vous portez des vêtements de nuit, » balbutiai-je.

Leurs vêtements de nuit étaient vraiment — ce sont des déshabillés qui ne pouvaient être vus que comme si elles me tentaient.

« Léon, tu vas bientôt aller étudier à l’étranger, alors avant ça —, nous voulons correctement —, » commença Livia.

Ne continue pas ces mots.

Même moi, je suis un homme. Je veux le faire, je veux m’amuser, mais j’y réfléchirai à deux fois avant que les responsabilités et ainsi de suite n’entrent en jeu.

« Vous, Vous deux —, ce n’est pas bon ! » m’écriai-je.

Anjie avait penché sa tête en m’entendant dire ça. « Pourquoi ? »

— Oh non, notre sens des valeurs est trop différent.

« Je veux que vous attendiez. Je n’ai toujours pas fini de préparer mon cœur, » déclarai-je.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? Livia dit qu’elle veut te parler, » déclara Anjie.

« — Hein ? » demandai-je.

Ah, ça. C’est ça, alors c’est ça.

« Tu veux qu’on parle ? Avec moi ? La nuit ? » demandai-je.

« Euh, je veux parler de beaucoup de choses. Jusqu’à présent, nous étions tous toujours occupés à quelque chose dont nous n’avions pas le temps de parler tranquillement, » déclara Livia.

N’est-ce pas bon ? demanda instamment Livia. Elle était trop mignonne pour que je ne puisse que hocher la tête à plusieurs reprises et dire « C’est bon ».

— C’est un secret que je suis un peu déçu. Non, désolé, je suis extrêmement déçu.

« Toi, à quoi penses-tu ? » demanda Anjie.

Anjie me regarda d’un air taquin, alors j’avais détourné mon regard par réflexes.

« Je pensais à l’amour, » déclarai-je.

« Hou, l’amour dis-tu. C’est génial. J’aimerais aussi beaucoup entendre parler de ton amour, » déclara Anjie.

— Je me demande ce qu’est l’amour. Je ne connais pas non plus la réponse.

Sans que je m’en aperçoive, Luxon et Creare avaient fait disparaître leur présence et s’étaient cachés.

Ces deux-là, on ne peut vraiment pas s’y fier.

Elles s’étaient assises toutes les deux à côté de moi. Nos peaux se touchaient à cette distance.

« Je voulais te remercier, » Anjie avait commencé la discussion avant que Livia ne continue.

« Je voulais te le dire depuis le début. Beaucoup de choses se sont passées depuis que je t’ai rencontré à l’académie, Léon. Tu m’as tellement aidée. »

— Mais c’était vraiment un désastre.

Les cinq idiots qui avaient perdu la tête avec une histoire d’amour et ma petite sœur de ma vie précédente étaient vraiment horribles.

« J’ai aussi Luxon avec moi. — Ce n’est pas seulement ma force, » répondis-je.

« Tu te trompes. C’est parce que tu étais là que Luxon nous a aidés. — Léon, sois plus confiant. Tu es l’homme qui devient mon mari, » déclara Anjie.

Quand Anjie m’avait dit ça, je m’étais senti gêné pour une raison quelconque.

Je n’étais toujours pas habitué au mot « mari ».

Après tout, je ne m’étais pas marié dans ma vie antérieure.

« Léon, s’il te plaît, rentre chez toi sain et sauf. Nous — nous t’attendons, » déclara Livia.

Elles m’avaient serré dans leurs bras. Puis nous avions parlé jusqu’à tard dans la nuit.

— J’ai l’impression de me faire tuer lentement.

+++

Partie 4

C’était le jour de mon départ pour la République d’Alzer.

Dans le port de l’île flottante se trouvant au-dessus de la capitale.

Beaucoup de gens s’étaient rassemblés pour me voir partir.

Daniel et Raymond étaient heureux en tant qu’amis pour mes études à l’étranger.

« C’est malheureux pour toi, Léon. Même si les invitations des filles augmentent enfin, » déclara Daniel.

« Je n’aurais jamais cru que les garçons seraient dans le camp des invités, » déclara Raymond.

Les visages souriants de mes amis étaient les plus irritants.

Même moi, je voulais revenir si c’était une académie où la situation du mariage avait été réformée.

Je voulais profiter de la vie à l’académie.

« Je m’en souviendrai à mon retour, » déclarai-je.

« Comme on s’y attendait, Léon est ce genre de type, » déclara Daniel.

« Je suis soulagé qu’il soit comme d’habitude. Même si je pensais qu’il dirait comme : je suis un comte, tu maintiens ta tête trop haut ! » déclara Raymond.

Mon image à l’intérieur de vous est-elle si horrible ? C’est un peu choquant.

Alors même si je suis un Léon sérieux, vertueux et compatissant.

Pendant que je parlais avec les deux hommes, deux filles s’approchèrent.

Il s’agissait de Clarisse et — de Deirdre qui avait obtenu son diplôme de l’académie.

« Félicitations pour tes fiançailles, » déclara Clarisse.

« Félicitations. C’est extrêmement dommage, » déclara Deirdre.

Clarisse souriait joyeusement tandis que Deirdre semblait insatisfaite — je ne savais pas ce qu’elles pensaient. Quand je regardais leurs parasites, ils me regardèrent fixement.

Sont-ils fâchés que je me sois fiancé ?

Même ma vie était enfin arrivée dans une période populaire, alors que c’était une période scandaleuse pour moi dans ma seconde vie.

À partir de maintenant, ce genre de fortune — cette période populaire ne reviendra sûrement plus dans ma vie.

« Si tu en as assez de la Maison Redgrave, tu peux compter sur la Maison Attlee à tout moment, » déclara Clarisse.

Clarisse — Que veux-tu dire par ces mots ?

« Oh, si c’est la Maison Roseblade, on t’acceptera même maintenant, tu sais ? Plutôt, pourquoi ne pas m’emmener et nous enfuir ensemble ? » demanda Deirdre.

Oh oh — si je fais ça, je ne pourrai pas rire de Son Altesse Julian et des autres.

Mais, est-ce juste mon imagination que les yeux de Deirdre avaient l’air sérieux ?

« Vous deux, vous êtes vraiment douées pour faire des blagues ! Très drôle —, » déclarai-je.

J’avais ri pour l’oublier, mais les deux ne riaient pas.

Daniel et Raymond semblaient sentir l’atmosphère indescriptible et s’étaient éloignés de moi.

« Léon est très populaire, » déclara Daniel.

« Ouais. Mais je ne l’envie pas, » ajouta Raymond.

Celui qui était venu à ce moment comme un sauveur était — mon mentor.

Sa posture debout était éblouissante.

« Mentor ! » m’écriai-je.

« Monsieur Léon, je suis venu vous voir partir, » déclara-t-il.

« Merci beaucoup ! » déclarai-je.

En ce qui concerne mon mentor, en fait, il avait été décidé qu’il occupera le poste de directeur à partir de cette année.

L’académie essayait aussi de changer. Il avait été décidé de confier la responsabilité à la personne appropriée.

Cette personne n’était autre que le mentor.

« Aller voir d’autres pays sera aussi une bonne expérience. Travaillez dur pour y étudier, » déclara mon mentor.

En fait, j’allais dans la république d’Alzer pour observer la situation romantique des autres, mais je ne pouvais pas dire cette vérité.

« Je vais aussi continuer à m’entraîner à prendre le thé là-bas, » déclarai-je.

« Je vous en prie, faites-le par tous les moyens. Mais j’attends aussi avec impatience votre croissance en tant que gentleman — non, en tant que personne. J’attends avec impatience de vous revoir, Monsieur Léon, après que vous ayez grandi encore plus à votre retour. »

Mon mentor — Je veux devenir un gentleman comme mon mentor !

Luxon était venu me dire l’heure. « Maître, c’est l’heure du départ. »

« Ah, allons-y ! » déclarai-je.

J’avais embarqué à bord de l’Einhorn sans regarder en arrière pendant que tout le monde me disait au revoir.

Si je ne regardais pas en arrière, ce n’était pas, car Clarisse et Deirdre étaient effrayantes.

C’était parce que j’avais l’impression que j’allais pleurer. — Vraiment.

***

Creare était aux côtés d’Anjie et Livia à l’académie.

« Vous deux, est-ce bon de ne pas voir le maître partir ? » demanda Creare.

Anjie avait bu de son thé avant de répondre. « Ça le dérangerait si on pleurait en public. »

Livia était aussi dans la même situation. « D’ailleurs, nous avons fini de nous dire adieu avant le départ. »

Creare avait taquiné les deux filles. « Comme c’est louable. Le maître a de très bonnes fiancées. »

Anjie posa sa tasse et regarda par la fenêtre.

L’Einhorn bien en vue — on pouvait le voir prêt au départ dans le port.

« En plus, on a des choses à faire, » déclara Anjie.

Livia acquiesça aussi un peu. Creare avait demandé à voir ça. « Avez-vous un plan toutes les deux ? »

« Nous voulons aider Léon. Pour ce faire, je vais beaucoup étudier et devenir une existence sur laquelle on peut compter, » déclara Livia.

Anjie pensait la même chose. « D’après son comportement normal, non seulement il ne s’intéresse pas aux pays étrangers, mais c’est un homme qui dira même qu’il déteste aller à l’étranger. Mais il a soudain dit qu’il allait étudier à l’étranger — il doit bien y avoir quelque chose qui lui pose problème pour qu’il agisse ainsi. »

Creare répondit vaguement. « C’est peut-être vrai. Peut-être que le maître a beaucoup réfléchi à sa façon. »

« C’est comme s’il cachait quelque chose, mais il ne veut pas nous le dire parce que nous ne sommes pas fiables. Alors, nous pouvons simplement devenir une existence sur laquelle Léon pourra compter, » déclara Anjie.

« Cet enthousiasme est digne d’éloges, mais c’est bien de ne pas trop s’énerver pour ça, n’est-ce pas ? » déclara Creare.

Livia semblait comprendre ça. « Je comprends. Mais, la prochaine fois, nous voulons qu’il compte sur nous. J’ai besoin d’étudier beaucoup plus pour devenir utile à Léon. Nous choquerons Léon quand il rentrera à la maison. »

Le seul œil de Creare se tourna vers les livres sur la table.

En face de Livia se trouvaient des livres sur la magie, tandis qu’en face d’Anjie se trouvaient des livres sur la gestion du territoire.

« Cela dépendra de la situation, mais je pourrai contacter le Luxon grincheux si vous me le demandez. Dites-moi si vous avez quelque chose à dire au maître, » déclara Creare.

Anjie avait l’air heureuse. « Vraiment ? Alors je compterai sur toi à ce moment-là. »

Livia regarda par la fenêtre. « Léon, je me demande ce qu’il fait en ce moment. »

***

Dans ma chambre sur l’Einhorn.

J’étais allongé sur mon lit — .

« Merde ! Bon sang ! Je suis parti dans une bonne ambiance, mais je ne veux pas aller dans un autre pays ! » criai-je.

J’avais fait une crise de colère comme un enfant.

À l’origine, je n’étais pas vraiment intéressé par les pays étrangers. Et pourtant, j’allais devoir étudier misérablement à l’étranger.

« Le Maître ne sait pas quand abandonner, » déclara Luxon.

« Je devrais au moins pouvoir me plaindre ! Pourquoi dois-je veiller sur la romance d’autres personnes à l’étranger ? » demandai-je.

Le monde serait en danger si l’amour du nouveau personnage principal échouait.

Une situation aussi déraisonnable peut-elle exister ?

« Mettant ça de côté, pourquoi ne pas venir ici ? » demanda Luxon.

Il y avait une boîte anormalement grande à l’intérieur de la pièce.

J’étais curieux de voir cette boîte très suspecte.

« Qu’est-ce que c’est ? » demandai-je.

« Cela a été envoyé ici depuis le palais, » déclara Luxon.

« Maintenant que j’y pense, ils m’ont dit d’apporter un souvenir pour la République d’Alzer, » déclarai-je

« Comme prévu de la part du maître, il a apporté un cadeau à l’autre pays comme souvenir. Au fait, celui-ci s’adresse au maître, » déclara Luxon.

Quand j’avais ouvert la boîte, Marie était assise tout en serrant ses genoux dans ses bras.

 

 

J’avais l’impression de regarder un film d’horreur.

Quand j’avais refermé la boîte, Marie avait bondi.

« Pourquoi l’as-tu fermée ? » demanda Marie.

« C’est effrayant ! J’ai des sueurs froides, » déclarai-je.

Que fait cette fille ici ?

Quand j’avais regardé Luxon, il avait l’air d’être au courant depuis le début.

« Il vaudrait mieux que le maître entende la situation directement de Marie, » déclara Luxon.

Quand j’avais regardé Marie, elle avait placé le bout de ses doigts devant sa poitrine tout en ayant l’air gênée.

« E-En fait, à propos de l’argent de poche de mon grand frère, il est épuisé, » déclara Marie.

« — Ha ? »

« Ce n’est pas moi ! Ce n’est pas moi qui l’ai fait ! — Ces cinq-là étaient —, » déclara Marie.

***

L’île flottante à laquelle Léon avait renoncé avait été déplacée vers le ciel au-dessus du territoire que le royaume gérait.

Marie y habitait depuis le printemps, mais un problème était soudainement apparu.

« Qu’est-ce que c’est ? » demanda Marie.

Il y avait quelque chose de recouvert d’un drap devant le manoir que Léon lui avait préparé.

Julian avait enlevé le drap avec le sourire. « On a préparé ça pour toi, Marie. Nous croyons que cela te rendra heureuse. »

Il y avait une statue de pierre. C’était une statue en pierre où Marie ressemblait à une déesse.

— Quoi, qu’est-ce que c’est !? Vraiment, qu’est-ce que c’est ??

Jilk déplaça son regard vers la statue de Marie comme s’il regardait un objet sacré.

« J’ai demandé à un artisan encore jeune, mais célèbre de la faire, » déclara Jilk.

Brad était également satisfait de la qualité du travail. « L’artisan a immédiatement essayé d’agrandir la poitrine, c’était donc une douleur de le faire corriger. »

En regardant de plus près, la poitrine de la statue était aussi plate que celle de Marie.

Mon Dieu, ma poitrine est plus grosse que ça ! Ou plutôt, la poitrine n’est-elle pas trop rasée ? Faux. Ce n’est pas ça. Je dois confirmer ce qui est important.

« C-Cette statue, qui l’a fait fabriquer ? » demanda Marie.

Greg avait levé un pouce en disant. « Nous l’avons fait construire avec l’argent de tout le monde. Eh bien, il manquait juste un peu pour demander à un artisan qualifié de travailler dessus. C’est pour ça qu’on a vendu les objets sur cette île pour avoir l’argent. »

Des objets comme l’outillage agricole important ou la nourriture que Léon avait envoyée — ces cinq-là avaient vendu ces choses.

Ils semblaient penser que s’ils le demandaient, les choses qui manquaient seraient immédiatement livrées ici.

Ne me dites pas qu’ils sont venus sur l’île flottante de mon grand frère plus tôt que nous pour cela ? C’EST UN MENSONGE, N’EST-CE PAS !!

L’argent que Marie avait obtenu en se prosternant avait été utilisé par ces cinq personnes qui n’étaient pas au courant des circonstances.

On aurait dit qu’ils étaient sur l’île flottante avant elle et qu’ils l’avaient fait sculptés pour la rendre heureuse.

Chris n’avait pas du tout montré de culpabilité. « Si nous recevons de l’argent chaque mois, c’est un achat bon marché. »

Les cinq étaient heureux de dire que la statue de Marie serait installée dans la fontaine qui serait préparée plus tard.

On aurait dit qu’ils pensaient que leur maison leur enverrait de l’argent.

« Il n’y aura pas d’argent de poche de vos maisons ! » déclara Marie.

Les cinq hommes étaient intrigués par ce fait.

Kyle était consterné par les cinq qui étaient comme ça.

« Il n’y a aucune chance qu’ils vous envoient de l’argent chaque mois après ce que tout le monde a fait et qu’ils soient devenus si furieux. L’argent que tout le monde a utilisé était nos frais de subsistance pour cette année, » déclara Marie.

Cara, qui portait les bagages de Marie, avait également été stupéfaite.

« T-Tout cet argent a été épuisé !? Autant d’argent, tout !? » demanda Cara.

Julian inclina la tête et fit une expression confuse. « Eh, est-ce vrai ? Alors, contactons le palais pour leur demander d’augmenter le budget. »

La vue de Marie s’était obscurcie en voyant la façon dont les cinq pensaient.

Ces gars, ce sont juste des dieux de la peste quand ils ne sont plus riches.

Marie avait tenu sa tête et était tombée à genoux sur place.

Elle n’avait aucun sang-froid pour penser à autre chose comme le fait que sa jupe se salirait ou autre.

Mais c’est impossible. Même s’il s’agissait de frais de subsistance et de nourriture que j’ai finalement obtenue après avoir supplié mon grand frère !

On lui donnait non seulement des marchandises, mais aussi de l’argent comptant parce que les navires marchands venaient ici périodiquement.

À l’origine, ils produiraient eux-mêmes les cultures qu’ils consommeraient. C’était pour leur apprendre l’importance de gagner de l’argent.

Marie ne pensait pas qu’ils seraient en mesure de le faire dès leur première année, c’est pourquoi elle comptait sur Léon.

« Si ce genre de demande peut être acceptée, JE NE VEUX PAS QUE CE SOIT SI DUR ! » cria Marie.

Kyle et Cara coururent vers une Marie qui pleurait et la consolèrent.

***

Marie baissa les yeux avec un visage pâle.

« Même si je n’ai rien fait de mal, la reine m’a grondée, » déclara Marie.

« C’est horrible. Même moi, je ressens de la sympathie, » déclarai-je.

Marie et les autres qui étaient soudainement devenus incapables de continuer à vivre avaient été appelés au palais et avaient été grondés.

Tout d’abord, il était impensable que ces cinq-là puissent changer leur sens de l’argent en si peu de temps.

Se faire soudainement dire de vivre dans la pauvreté après avoir été élevé comme jeune maître pendant plus de dix ans était tout à fait déraisonnable.

« Et puis, la reine a dit que c’est une erreur de les jeter soudainement — elle a dit : pourquoi ne pas aller étudier dans un autre pays ? Elle a dit que ce serait mieux comme ça si mon Grand Frère était avec eux, » déclara Marie.

Par là, voulait-elle dire qu’ils venaient avec moi dans le cadre de mes études à l’étranger ?

— Hein ? Je dois m’occuper de ces types ? S’occuper de ces dieux de la peste !?

« Oh, où sont ces gars ? » demandai-je.

« Ils sont dans l’entrepôt. Et aussi, ceci, » déclara Marie.

Marie m’avait remis plusieurs lettres.

J’avais d’abord ouvert la lettre de Roland en gros.

.

« Occupe-toi de la question gênante. »

.

J’avais immédiatement écrasé la lettre et l’avais froissée.

La prochaine était une lettre de Mylène. J’avais doucement ouvert la lettre et — .

« S’il te plaît, prends soin de Julian et des autres. En fait — . »

.

Il semblerait qu’il y ait une faction qui était incapable de pardonner à Marie et aux autres.

Pour cette raison, Mylène voulait les évacuer temporairement vers un autre pays.

Ou plutôt, Son Altesse Julian — arrêtons d’utiliser le terme honorifique et appelons-le Julian maintenant.

Il semblerait qu’en réalité, le royaume était occupé à faire face aux conséquences de la guerre et ne pouvait pas s’occuper de Julian et des autres.

Après la guerre contre la principauté, le droit de Julian d’hériter du trône lui était retiré et il était devenu un simple prince.

Il y avait aussi d’autres problèmes et le palais était très occupé.

Si je restais au pays, même moi, je pourrais finir par m’impliquer dans ces problèmes, que je le veuille ou non.

En y repensant, peut-être qu’étudier à l’étranger est le bon choix ?

Dans la lettre de Mylène -, il y avait aussi des écrits qui s’inquiètent pour mon bien-être. Ça m’avait ému jusqu’aux larmes.

Je ne pouvais pas pardonner à ce fils de pute Roland, mais je prie pour le bonheur de cette personne.

« Hein ? Il y a encore une lettre —, » murmurai-je. « Celle-là vient de Hertrude. »

***

J’étais allé sur le pont et j’avais lu la lettre.

Dans la lettre, il y avait un simple salut écrit au début.

J’avais pensé qu’elle m’écrivait peut-être sa rancune envers moi qui avait tué le chevalier noir, mais il n’y avait même pas une phrase à ce sujet.

Mais — .

.

« Je me demande si j’avais essayé sérieusement de vous convaincre, l’avenir aurait pu être changé. »

.

— Une telle chose était écrite.

À partir d’ici, une vie douloureuse l’attendait. Le palais l’avait laissée vivre parce que cette façon était plus commode pour régner sur le territoire de la Maison Fanoss. Plutôt que de l’exécuter et de prendre d’autres décisions sur le territoire, ils enverraient un membre de la royauté comme Julian et lui feront porter son enfant. Parce qu’en faisant cela, le territoire pouvait être pris avec une plus petite opposition de la part de ses vassaux et de la population.

« Récemment, je me souviens souvent des paroles du chef du village des elfes. J’ai sûrement fait le mauvais choix. »

En voyant cette phrase, j’avais pensé que tout le monde attendait trop de moi.

Je n’étais qu’un médiocre qui avait eu la chance d’avoir Luxon.

Et puis, j’étais incapable d’utiliser le pouvoir de Luxon.

J’avais lancé une question à Luxon qui flottait à côté de moi. « Luxon — penses-tu que tu voudrais servir un maître plus compétent ? »

« Même si c’est quelqu’un de capable, je refuse s’il est le descendant de la nouvelle humanité. Tout d’abord, je n’attends aucune compétence de la part du maître, » répliqua Luxon.

« Tu es vraiment un type désagréable, » déclarai-je.

Je m’étais assis à cet endroit et j’avais mis la lettre dans ma poche.

« — Un pays étranger, hein. Je me demande quel genre d’endroit c’est, » déclarai-je.

Je n’attends pas grand-chose de la République d’Alzer vers laquelle je me dirige en ce moment.

Après tout, c’était la suite de ce « ce » jeu.

— Épargnez-moi vraiment tous ces déboires.

+++

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

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