Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 13 – Partie 2

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Chapitre 13 : Jeu Achevé

Partie 2

Quelques jours plus tard. Dans un cimetière de la capitale. 

Il y avait beaucoup de monde pour pleurer ceux qui étaient tombés au combat.  

Ceux qui avaient perdu leur famille. 

Ceux qui avaient perdu leur amoureux.  

Ceux qui avaient perdu leur ami.  

Quoi qu’il en soit, l’autre côté de l’histoire m’était clairement montré, quel que soit mon souhait.

Ce n’était pas fini après la victoire, ce n’était que le début.

Je regardais en ce moment cette vue depuis l’intérieur d’un carrosse.

« C’est inexcusable pour les familles, mais je voulais te parler ainsi. Bien que ça doive être décevant pour toi de ne pas parler avec une jeune fille. »

Celle qui était assise devant moi, c’est Milaine.

J’avais été invité après la cérémonie et nous étions montés dans un carrosse comme celle-ci.

« Milaine, la façon dont tu l’as dit est un peu épineuse. Es-tu en colère ? » lui demandai-je.

« Tu es toujours comme ça. Tu as l’air d’en rire tout en gardant les problèmes pour toi. Je vois même qu’il y a des cernes sous tes yeux, » déclara Milaine.

J’avais touché sous mes yeux avec mes doigts. — Je n’avais pas vraiment dormi hier.

Devrais-je peut-être demander à Luxon de me préparer un somnifère ?

« Merci beaucoup pour ce que tu as fait cette fois-ci. Il ne reste plus qu’une seule cérémonie, » déclara Milaine.

Diverses cérémonies étaient organisées, comme la célébration de la victoire et d’autres cérémonies semblables. Les journées chargées se poursuivaient sans fin.

« Est-ce à propos de mon renvoi et de ma récompense ? » demandai-je.

« C’est bien ça. Bien que ce ne fût que temporairement, tu es quand même devenu le commandant suprême. En plus, tu as démontré des résultats au cours de cette période, » déclara Milaine.

À la surface, je recevrai d’énormes récompenses du royaume.

En vérité, c’était moi qui donnais diverses choses au royaume, mais ce ne serait pas bon s’ils ne faisaient pas une représentation publique concernant le fait que j’avais reçu une récompense.

Le royaume serait troublé s’ils ne le faisaient pas.

Parce que s’ils ne donnaient pas de punition et de récompense de manière stricte, les rangs inférieurs seraient insatisfaits.

« C’est la première fois qu’en récompense, il y a quelqu’un qui souhaite être rétrogradé, » déclara Milaine.

Même s’il était impossible de me rétrograder immédiatement, mais en le faisant petit à petit au cours de plusieurs années — je deviendrai un simple chevalier à la fin.

« Le titre de vicomte avec un quatrième rang inférieur dans la cour est trop lourd pour moi. J’ai aussi perdu mon territoire. Alors, être un simple chevalier me convient parfaitement. Je suis inutile maintenant que je ne peux plus utiliser Partenaire et Arroganz, » déclarai-je.

Milaine avait fait une tête désolée.

Quand je lui avais dit que tout cela, c’était une récompense pour ce que j’avais fait, elle avait détourné le regard avec un visage boudeur.

Quelle adorable trentenaire ! Je veux la pousser vers le sol si cela continue.

« Aussi, à propos du reste, cela a été accepté sans aucun problème, » déclara Milaine.

« C’est génial, » répondis-je.

Une situation qui me convenait parfaitement était en train de se former.

« Ce qui me dérange, c’est tes Artefacts Disparus. Ne pourraient-ils pas être restaurés ? » me demanda-t-elle.

« Je les ai récupérés, mais cela sera difficile. Ils sont stockés dans l’atelier de mon père en ce moment, » lui répondis-je.

« — Nous avons vraiment compté entièrement sur toi, Léon. S’il te plaît, dis-moi s’il y a quoi que ce soit que je puisse faire. Je répondrai au mieux de mes capacités, » déclara Milaine.

Pendant un instant — vraiment juste un instant, j’avais imaginé une illusion érotique, mais l’autre personne était la reine.

Ma tête volerait si je posais ma main sur elle.

« Je considérerai ça comme une dette. Ce sera plus intéressant comme ça, » déclarai-je.

« Nous avons beaucoup de dettes importantes envers toi, » déclara Milaine.

Nous n’arrêtions pas de parler de ce genre de choses et, peu de temps après, le palais était apparu à la fenêtre du carrosse.

Maintenant, faisons le dernier travail.

***

Dans la salle d’attente.

Ma famille était bruyante et pressée.

« E-Est-ce bien comme ça ? »

« Chéri, ton bouton est mal fixé. »

Il y avait ma mère qui arrangeait la tenue désordonnée de mon père. Alors qu’à un autre endroit, mon grand frère vérifiait sa tenue vestimentaire devant un miroir.

En raison de sa participation à la guerre, il était décidé que le père passera au sixième rang supérieur.

« Pourquoi dois-je aussi venir ? Il ne devrait pas y avoir besoin que de Père et de Léon ici, » déclara mon frère.

J’avais calmé le grand frère qui se plaignait. « N’est-ce pas parce que mon grand frère sera le prochain baron ? C’est génial que ta première campagne se soit terminée par une victoire éclatante. »

« Mais je n’ai rien fait. Plus important, que s’est-il passé avec le grand frère Lutart ? Non, il n’est pas vraiment notre frère, mais, je suis curieux de savoir ce qui va arriver à leur famille à partir de maintenant, » déclara mon frère.

Un dirigeable s’était écrasé pendant la bataille de la défense de la capitale sur le manoir de Zola et ils avaient tout perdu.

La capitale elle-même était en ruine. Elle sera occupée avec les travaux de reconstruction pendant un certain temps.

Mais ce monde avait des armures qui agissaient comme une aide importante, donc le travail avançait sans problème.

« Lutart a même perdu son titre de chevalier parce qu’il a déserté sous l’attaque ennemie. Tout d’abord, Zola n’est qu’une fille de noble. Elle n’a pas de rang de cour, donc elle est négligeable. Lutart n’est même pas un chevalier, alors ils sont peut-être traités comme des roturiers ? » répondis-je.

Zola, qui avait été abandonnée par mon père, ne pouvait que retourner dans sa famille.

Mais même sa famille s’était enfuie de la guerre et il avait été décidé que leur maison serait effacée des registres.

Beaucoup de maisons nobles avaient ainsi été détruites. La famille de Zola en faisait également partie. — C’était tout ce qu’il y avait à faire.

« Tu es détaillé dans ta réponse, » déclara mon frère.

« J’ai eu des nouvelles directement de Milaine, » déclarai-je.

Mon grand frère avait fait une expression vraiment conflictuelle.

« Pourquoi es-tu proche de la reine comme ça ? — Je ne pense pas que ce soit possible, mais tu ne poses pas ta main sur elle, n’est-ce pas ? Arrête ça. Franchement, arrête ça ! Je ne veux pas me laisser entraîner dans tes problèmes encore plus que ça ! » s’écria mon frère.

Comme c’est grossier. Même moi, j’ai compris ça.

« Plus important encore, où est notre grande sœur ? Je pensais que si c’était elle, elle viendrait à ce genre de cérémonie en étant heureuse, » demandai-je.

« Jenna s’est enfermée dans sa chambre. Elle a râlé après que notre père ait tué son serviteur exclusif. Yumeria s’occupe d’elle, » répondit mon frère.

J’avais le sentiment qu’elle sortirait tout de suite de sa chambre si on lui donnait un nouvel esclave.

Mais, il semblait que l’académie allait changer radicalement sa politique, donc même cela allait être impossible.

On parlait d’abolir le système du serviteur exclusif. Les pourparlers progressaient bien dans cette direction.

Il semblait que le serviteur exclusif de Jenna, Meole, qui m’avait piégé, soit également devenu un problème. De plus, le camp des hommes était impatient de profiter de cette occasion pour écraser complètement le système des serviteurs exclusifs.

La rancune des femmes était effrayante, mais la rancune de l’homme était aussi incroyable. Le camp des hommes était uni pour réexaminer le système.

La porte de la salle d’attente avait été frappée. Il semblerait que le moment soit venu.

« Maintenant, finissons ce dernier travail, » déclarai-je.

Ce sera vraiment le dernier.

***

La salle d’audience.

Je m’étais agenouillé sur le tapis rouge qui menait au trône en écoutant les paroles de Sa Majesté.

Les actions de tout le monde cette fois-ci étaient vraiment splendides — à partir de là, Sa Majesté avait également loué les nobles se trouvant là qui avaient participé à la guerre avec un discours grandiose.

Alors que je me demande s’il pouvait se dépêcher avec le discours, Sa Majesté avait dit.

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« Vicomte — non, comte Léon Fou Baltfault. Vous êtes démis de vos fonctions de commandant suprême des armées. Et puis je vous accorde un avancement à la pairie de comte et au rang de cour du troisième rang inférieur ! »

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Tandis que les nobles environnants se répandirent en murmures, j’avais continué à regarder vers le bas pendant que mes yeux s’ouvraient en grand

— Cet idiot, qu’est-ce qu’il raconte ?

« Vo, Votre Majesté. S’il vous plaît, permettez-moi de parler ! » balbutiai-je.

J’étais vraiment sous le choc provoqué par cet événement soudain, mais lorsque j’avais demandé la permission de parler, Sa Majesté avait tortillé sa moustache en me regardant et m’avait dit.

« Je l’autorise. »

« Vous avez ma plus profonde gratitude ! Puis-je demander à Votre Majesté ce que vous entendez par comte, ainsi que le troisième rang inférieur de la cour ? Une telle position pour un jeune comme moi est —, » commençai-je.

Au début, j’avais d’abord essayé de dire à Sa Majesté : « Moi, en tant que comte, c’est impossible ! Et je ne peux rien faire même si vous me donnez un rang dans la cour ! ».

Même mon entourage était dans le même état que moi.

Parmi les voix qui étaient entrées dans mes oreilles, j’entendis des choses comme « Être comte à cet âge-là ? » « C’est extrême même pour un arriviste. » « C’est sans précédent de devenir un comte en une seule génération » « Troisième rang inférieur — n’est-ce pas effectivement un haut rang ? » et ainsi de suite.

Lorsqu’on parle du troisième rang inférieur dans la cour, c’était déjà le rang de la classe des ministres du Cabinet.

Le troisième rang supérieur qui était au-dessus de ce rang était un rang pour les personnes apparentées à la famille royale.

Je ne suis pas heureux du tout même si je reçois un tel rang !

Même si vous dites à un étudiant qu’il va devenir ministre du Cabinet à compter de demain, il allait tout simplement devenir « Ha ? » n’est-ce pas ? C’est comme être le patron d’une entreprise. Cet étudiant ne sera pas capable d’assumer ses responsabilités, encore moins de faire le travail !

Quand j’avais levé la tête, Sa Majesté, ce fils de pute de Roland, me regarde en souriant.

« Le royaume doit vous décerner la pairie et le grade de cour appropriés après que vous ayez réalisé des faits d’armes de ce niveau-là. Haha, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Si c’est vous, alors un jour vous montrerez sûrement une performance et une contribution qui conviennent à vos pairs et à votre rang. »

Merci pour votre haute évaluation de moi, je vais vomir maintenant !

Ce type le sait.

Ce type avait fait quelque chose comme ça en sachant que je n’allais pas aimer ça.

Quand j’avais regardé autour de moi, j’avais vu que les fonctionnaires étaient aussi paniqués.

Milaine avait aussi les yeux écarquillés. On dirait qu’elle n’avait rien appris à propos de ça avant ça.

— Ce salaud, il m’a promu sans le dire à personne avant.

Ne fais pas l’imbécile.

Alors que j’étais sur le point de dire quelque chose, Roland avait ouvert la bouche en premier.

Il avait parlé avec un numéro de théâtre qui puait. « Si quelqu’un a une plainte à formuler, qu’il le fasse savoir. »

Personne ne s’était avancé.

Même s’il y avait quelqu’un qui n’avait pas aimé ma promotion, il serait troublé si ma promotion était annulée.

Mais c’était parce qu’ils avaient tous compris que si je n’étais pas promu, à l’avenir, il deviendrait difficile d’accéder à un rang supérieur, peu importe le type de réussite qu’ils auraient obtenu.

Lorsque leur promotion serait prise en considération, leurs réalisations seraient comparées à mes efforts et beaucoup d’entre eux deviendraient incapables d’obtenir la promotion.

« Comte Baltfault, j’anticipe votre contribution à l’avenir, » déclara le roi.

« C’est un grand honneur d’entendre cela de Votre Majesté, » déclarai-je.

Comme ce serait bien si je pouvais crier « Ne déconne pas ! » ici.

Il y avait aussi ma famille ici.

Ma famille pouvait aussi avoir des problèmes selon mon attitude.

Ces merdeux de père et de fils me causaient des ennuis comme ça.

En regardant le sourire de ce bâtard de Roland, j’avais juré dans mon cœur.

— Je te revaudrais ça un jour.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre. Qu’est-ce qui vient de se passer ?

  2. Merci pour le chapitre.

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