Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 13 – Partie 1

+++

Chapitre 13 : Jeu Achevé

Partie 1

Marie, qui avait été transférée de la prison dans une chambre d’amis, avait fait une tête insatisfaite.

« Mais je ne veux pas vivre à la campagne, » déclara Marie.

« C’est quoi, cette attitude, même après que je t’ai sauvé la vie ? » lui avais-je demandé.

Parce que je voulais lui demander diverses choses, je parlais en étant seul avec Marie alors qu’elle de son côté se plaignait.

J’avais gardé cette fille en vie pour lui demander en détail ce qui était arrivé à mes parents — ce qui leur était arrivé après ma mort.

En y réfléchissant avec calme, je m’étais dit que mes parents dans ma vie antérieure seraient tristes si je la tuais.

Personnellement, je ne pouvais pas du tout lui pardonner, et même si elle pouvait être pardonnée, je voulais frapper ces cinq-là.

Non, attends. Serais-je pardonné si je les frappais si c’est maintenant ?

« Je suis une femme qui brille dans la grande ville ! » déclara Marie.

« Veux-tu te plaindre du territoire que j’ai mis beaucoup d’efforts à établir ? » demandai-je.

« Grand frère, tu as cette pensée négative et rétrograde sur la vie lente ou autre, c’est pour ça que ce n’est pas bon, » déclara Marie.

La lenteur de la vie n’est ni arriérée ni négative, espèce d’idiote.

« Je suppose que ta bonne action dans la vie précédente est de permettre à notre père et à notre mère d’avoir un petit-enfant. Mais à part ça, c’est vraiment pitoyable ce qui arrive à nos parents, » déclarai-je.

« Grand frère, toi aussi tu es mort plus tôt que nos parents ! » déclara Marie.

« C’est toi qui es la cause de ma mort ! » criai-je.

« Grand frère, tu souriais tout le temps en jouant à un jeu où les filles apparaissent dedans ! C’était impossible pour toi de mourir juste sous cette forme ! » déclara Marie.

« Tu as également souri en jouant à un jeu qui a des hommes qui sont présents en masses, non ! » répliquai-je.

Tout en se disputant, cela s’était peu à peu transformé en un discours de qui était dans l’erreur.

« C’était la faute de mon Grand Frère ! » cria Marie.

« C’était ta faute ! » criai-je.

Luxon flottait avec légèreté tout en nous regardant sans intérêt.

« Luxon, dis-lui aussi. Dites-lui que c’est de sa faute si elle a visé quelque chose comme un harem inversé et qu’elle a fait en sorte que la situation atteigne presque le pire résultat ! » déclarai-je.

« Grand frère, toi-même, tu as gardé la méchante et la protagoniste pour toi ! » déclara Marie.

« Dans mon cas, c’est une relation pure et simple ! Ce n’est pas une relation aussi licencieuse que la tienne ! » criai-je.

« Grand Frère, c’est juste que tu es incapable de poser la main sur elles parce que tu es un trouillard et une mauviette ! » cria Marie.

« Luxon ! Dis-lui vite. Dis-lui que c’est une femme stupide et ennuyeuse ! » demandai-je à Luxon.

« Le truc rond là-bas, dit lui qu’entre nous, c’est lui le grand frère pitoyable et inutile ! » cria Marie.

L’œil unique de Luxon nous regardait alternativement tous les deux avant qu’il ne réponde. « Alors, permettez-moi de dire mon opinion. N’est-ce pas vos parents de votre vie antérieure qui sont les plus pitoyables pour avoir des enfants comme vous deux ? »

— Ce type, il dit ça ? Il dit vraiment ça ?

Je m’étais calmé brusquement et la culpabilité s’étendit à l’intérieur de ma poitrine. Puis Marie me parla d’une petite voix.

« N’est-ce pas trop cruel ? Ne sait-il pas lire l’humeur ? » demanda Marie.

« Il poignarde dans le cœur. Je ne voulais pas entendre ces mots dits calmement comme ça, » déclarai-je.

« Peut-être que ça te fait mal au cœur parce que c’est la vérité ? En plus, Marie peut-elle faire face à sa fille dans sa vie antérieure comme ça ? » demanda Luxon.

Marie appuya sa main sur sa poitrine et son regard erra autour d’elle.

« Mais cette enfant n’est pas là, d’ailleurs, il m’arrivait parfois de la rencontrer et de lui parler, même après l’avoir laissée sous la garde de mes parents. C’est pourquoi je comprends — cette enfant ne m’abandonnera pas à cause de quelque chose comme ça, » déclara Marie.

Donc même quelqu’un comme cette fille avait au moins la conscience de soi en tant que mère ?

« Quand nous dînions ensemble, c’était une fille gentille qui s’inquiétait pour moi et me demandait “Maman, tu vas bien ?”, » déclara Marie.

— On dirait que ma nièce a grandi à merveille.

C’était vexant qu’en tant qu’oncle, la seule chose que je puisse faire était de souhaiter le bonheur de ma nièce et de mes parents.

« Si cette enfant apprenait que sa mère avait séduit six hommes et avait formé un harem inversé, elle pleurerait sûrement, » déclara Luxon.

Marie était tombée à genoux. J’avais tenu mon ventre et j’avais ri en la voyant comme ça.

« Tu entends ça ! Comme je le pensais, tu es vraiment la pire ! » déclarai-je en riant.

« Le Maître est aussi comme elle, » déclara Luxon

« Eh !? »

Luxon avait énuméré mes points faibles. « Même en ce moment, le maître fuit la confession de ces deux-là. Et si le maître prenait son courage à deux mains, et résolvait le problème ? »

Oui, ce jour-là.

J’avais été appelé par ces deux-là et — .

***

Dans un jardin situé sur le toit du palais.

Là, elles se tenaient toutes les deux devant moi avec nervosité.

Moi aussi, j’étais nerveux.

Le soleil couchant était beau, mais je n’avais aucune marge de manœuvre pour y penser.

« Léon — Je t’aime. » Anjie m’avait regardé droit dans les yeux et elle me l’avait avoué.

J’avais dégluti.

« Je me demande quand ça a commencé. Les moments où je pensais à toi plutôt qu’à Son Altesse ont augmenté. Je me suis bien amusée quand je suis avec toi. Je me sens bien à tes côtés, » déclara Anjie.

Ma bouche s’ouvrit et se ferma à plusieurs reprises. Anjie m’avait montré un sourire radieux.

« Je t’aime. »

— Il s’agissait de la deuxième confession de ma vie.

À côté d’elle se trouvait Livia qui m’avait fait ma première confession.

Quand j’avais bougé la tête raide et regardé Livia, elle souriait aussi.

— Que faire ? Je ne comprends pas ce que ça veut dire.

Pourquoi sourit-elle ?

Dois-je demander l’aide de Luxon ? En pensant ainsi, j’avais essayé de demander de l’aide avec mon regard, mais il y avait un faux Luxon là avec le corps sphérique blanc.

« Qui es-tu !? » lui demandai-je.

« C’est Creare-chan. Ça fait un bail, » déclara la sphère.

Ça fait-il longtemps qu’on ne s’est pas vus ? Juste au moment où je pensais que le son électronique féminin me semblait familier, j’avais compris que c’était en fait l’IA qui avait géré la ruine dans le village des elfes.

« Où est Luxon !? » demandai-je.

« Je lui ai demandé de se retirer parce que sa présence serait grossière ici. Quand je lui ai dit que le maître serait sûrement troublé s’il n’était pas là, il est parti avec joie, » déclara Creare.

— La personnalité de ce type n’est-elle pas trop tordue ?

« Léon, » déclara Livia.

« Oui, oui, oui ! » répondis-je.

J’avais redressé le dos et tourné mon corps pour faire face à Livia.

« Je t’aime Léon même maintenant. Je crois que ce sentiment ne perdra contre personne, » déclara Livia.

« Je, je vois, » balbutiai-je.

J’avais essayé de dire que je comprenais, mais je n’avais jamais imaginé ce genre de situation.

Je n’avais aucun plan dans ma vie pour une situation où je recevais la confession de deux personnes en même temps.

« C’est pourquoi, s’il te plaît, dis-le-nous. Nous voulons connaître la réponse ici, » déclara Anjie posant sa main sur sa poitrine en le disant.

« Moi et Livia — non, c’est correct même s’il y a quelqu’un d’autre que tu aimes. Nous n’aurons aucune rancune, peu importe qui tu choisis entre nous, et c’est aussi très bien si tu ne choisis ni l’une ni l’autre. C’est pourquoi, dites-nous ce que tu penses, » demanda Anjie.

J’avais alors réfléchi à un moyen d’esquiver la question et de m’enfuir, mais en voyant le visage sérieux des deux filles, je m’étais résolu.

Le vent avait soufflé, les cheveux des deux filles devant moi s’étaient mis à se balancer.

Les deux filles qui étaient illuminées par le soleil couchant avaient l’air divinement radieuses.

J’étendis les mains — .

« Je vous aime toutes les deux ! » déclarai-je.

— Elles m’avaient toutes les deux giflé les joues avec des visages souriants.

***

— C’était incroyable.

Anjie m’avait d’abord giflé la joue, et juste après, la gifle de Livia était arrivée sur ma joue opposée.

C’était une combinaison étonnante.

« Tu es le pire, » me déclara Luxon, après que je me sois remémoré de cette scène.

« Tu sais, c’est ma deuxième vie, mais me faire confesser par deux charmantes filles en même temps, c’était la première fois pour moi, » lui déclarai-je.

Quand j’avais fait cette excuse, la femme de merde qui avait fait le harem inversé m’avait regardé avec une expression consternée.

« C’est incroyable. Tu es le plus vil, » déclara Marie.

« Quoi ? Qu’est-ce qu’une femme qui a six amants veut me dire ? » demandai-je.

Elle avait eu l’air vexée quand je l’avais provoquée.

Et puis, Marie avait dit ce qu’elle pensait. « — J’y ai beaucoup réfléchi. Le harem inversé est vraiment difficile et pourtant il ne me rend pas du tout heureuse. C’est pourquoi j’ai voulu y mettre fin, et pourtant — . »

Même ses connaissances réduites de la réalité lui avaient maintenant fait comprendre ça.

Cette fille n’avait joué le jeu que jusqu’à mi-chemin et elle n’avait regardé que les scènes animées et les illustrations pour la partie suivante. Depuis le début, la quantité d’informations qu’elle possédait était différente de la mienne.

En conséquence, elle était devenue la Sainte et avait gâché la situation — maintenant six hommes la suivaient partout.

« Cependant, je compatis à cette partie, » déclara Marie.

Marie qui en avait assez du harem inversé avait essayé de dissoudre sa relation avec les cinq autre que Kyle.

Mais, tous les cinq avaient proclamé à Marie une réponse positive inattendue : « Je jure qu’un jour je te ferai tomber amoureuse de moi. »

La situation actuelle de Marie en était une où elle devait subvenir aux besoins de cinq hommes qui seraient sans emploi à l’avenir.

Bon sang, nous sommes des frères et sœurs bons à rien ici.

« Eh bien, fais de ton mieux, mais laisse-moi en dehors de ça, » lui déclarai-je.

« Haaa ? » demanda Marie.

Marie avait fait une tête très surprise, mais de mon point de vue, je pense que j’avais déjà travaillé assez dur.

« J’ai travaillé plus qu’assez dur dans ce monde. Je ne pensais pas que Hertrude avait une petite sœur, et c’était vraiment difficile avec toi qui as gâché la situation, » déclarai-je.

J’avais travaillé dur. Je pensais même que j’avais travaillé trop dur.

« Petite sœur ? Tu veux dire Hertrauda ? » demanda Marie.

« C’est bien ça. Il y a aussi beaucoup d’autres choses qui étaient subtilement différentes, c’est peut-être ça ? Le schéma en pensant que ce monde est un monde de jeu est peut-être mauvais, non ? De toute façon, j’ai sauvé le pays du danger. Je descends de la scène dès maintenant, » déclarai-je.

En premier lieu, est-il possible qu’il y ait plus d’événements que celui-ci ? S’il s’agit d’un jeu, c’était ici que le jeu était fini.

Le personnage principal Livia ne rencontra personne, tandis que Marie avait fait de six hommes les siens.

Par conséquent, même si ce n’était pas une mauvaise fin, il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait d’une situation délicate.

Mais, soyons heureux que le jeu ait été fini en toute sécurité.

Marie ouvrit en grand les yeux.

Elle hocha la tête plusieurs fois comme si elle savait quelque chose et.

« Je ne pense pas que grand frère le sache, mais —, » Marie m’avait dit cela et m’avait parlé d’une vérité de ce monde que je ne connaissais pas.

+++

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre. Léon va s’évanouir xD

  2. Merci pour le chapitre.
    Le jeu à eu une suite !! Fuit aussi loin que tu le peu Léon !!

Laisser un commentaire