Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 2 – Prologue – Partie 2

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Prologue

Partie 2

Les élèves étaient pressés alors qu’ils se déplaçaient tous pour se préparer à la fête de l’école.

C’était triste de voir que c’était surtout les garçons qui étaient occupés alors que les filles ne faisaient que leur donner des ordres.

Je savais très bien que cette scène venait d’un monde qui était doux envers les filles tout en étant gênant pour les garçons.

Cependant, il y avait aussi une atmosphère de plaisir en ce moment avant le festival.

Le paysage qui différait de l’académie habituelle était rafraîchissant et agréable.

Celle qui cherchait à détruire ces choses si agréables était venue à mon café.

C’était ma sœur aînée, la deuxième fille, Jenna.

Ma sœur, qui était une fanatique de la ville, s’était assise sur une chaise et s’était effondrée sur un bureau.

Derrière elle se trouvait son amant — un esclave demi-humain qui possédait des oreilles de chat, une grande silhouette, portait un costume de grande classe, et était son serviteur exclusif.

Il était courant pour les filles de l’académie d’avoir comme elle des esclaves.

Presque toutes les filles de la classe avancée avaient des amants qui s’occupaient d’elles.

— C’était en effet un spectacle douloureux.

Alors que j’avais nettoyé l’intérieur du café avec Livia, ma sœur gênante avait débarqué en trombe et j’avais dû cacher mon malaise.

« Qu’est-ce que tu veux ? Si tu es là pour me déranger, je préférerais que tu t’en ailles, » déclarai-je.

Livia m’avait mis en garde contre ma franchise. « Léon, tu ne peux pas dire quelque chose comme ça à ta sœur aînée. »

Comme si elle venait de se faire une nouvelle alliée, ma sœur avait levé la tête et avait protesté.

« Elle a raison ! Tu devrais mieux me traiter. Ne peux-tu pas au moins apporter du thé ? » demanda-t-elle.

Quelle horrible attitude elle a !

Cependant, c’était un monde où les filles occupaient une position forte.

C’était un monde où les femmes dominaient les hommes.

Ce n’était que le début.

« Comme je l’ai dit, dépêche-toi de me dire pourquoi tu es là. Je suis occupé en ce moment, » déclarai-je.

Ma sœur avait commencé à parler avec une attitude mécontente. « À vrai dire, j’ai eu une dispute avec une amie proche. »

J’avais été surpris que ma sœur ait eu une amie proche, mais je n’avais rien dit à ce sujet.

« Une dispute, dis-tu ? Si c’est le cas, je pense que tu devrais te réconcilier avec cette personne, » quand Livia l’a dit avec un sourire, ma sœur avait ri avec mépris.

« Ça ne sert à rien. Après tout, notre combat était centré sur un homme, » déclara ma sœur.

« Un-Un homme ? E-Euh —, » commença Livia.

Peut-être peu familière avec les relations entre garçons et filles, Livia s’était tournée vers moi pour obtenir de l’aide.

« Vous étiez toutes les deux en compétition pour un homme ? » demandai-je.

« C’est l’héritier d’une famille de vicomte, et il sera riche à l’avenir, » déclara-t-elle.

« Il sera riche ? » demandai-je.

Après l’avoir écoutée, il s’est avéré que ce garçon était l’héritier d’une famille de vicomtes. Mais comme il était pauvre jusqu’à présent, il semblait que personne ne regardait de son côté.

Cependant, il détenait un certain territoire sur le continent du Royaume d’Holfault.

On avait découvert que le territoire contenait une mine de ressources précieuses.

Le pays l’aiderait à mettre en valeur une mine qui lui appartiendrait. En d’autres termes, il allait avoir une énorme source de revenus.

Comme c’était devenu ainsi, le garçon qui n’avait pas été remarqué jusqu’à présent, était poursuivi par des filles comme s’il était une proie découverte par des carnivores.

« Puisqu’il possède ce territoire sur le continent, il sera certainement riche à l’avenir. Avec un cas aussi excellent, je ne peux m’empêcher de vouloir m’attaquer à lui, » déclara ma sœur.

Livia avait écouté son histoire. « Je..., cela n’a donc rien à voir avec l’amour ? Est-ce que tu aimes ce garçon ou — . »

« De telles choses sont inutiles pour les mariages entre nobles. Ce qui compte, c’est la capacité de gagner sa vie. L’amour et l’affection sont quelque chose que je peux apprécier avec “Meole” ici et d’autres amants. Ne sais-tu pas qu’il est important d’avoir des avoirs importants ? »

— Je n’avais pas besoin de le savoir !

Je voulais la frapper.

C’était une femme, mais comme c’était ma chère sœur, n’avais-je pas le droit de la raisonner ?

« Je vois que tu es aussi pourrie que d’habitude, » déclarai-je.

Laissant cela de côté, c’était la première fois que j’entendais le nom de l’esclave aux oreilles de chat derrière elle, Meole.

Il ne m’intéressait pas vraiment depuis le début, alors je m’en fichais.

« Bref, tu dis que la personne a essayé de prendre pour elle le garçon que tu vises ? Ça te ferait du bien de rompre tes relations avec une telle personne. Ceux qui essaient de s’en prendre à l’amour de quelqu’un d’autre sont les pires, » déclarai-je.

La tricherie, l’infidélité et l’adultère étaient plutôt mauvais, n’est-ce pas ?

Sur quoi, ma sœur répondit. « — Ce n’est pas ça. »

« Hein ? » m’exclamai-je.

« Mon amie le visait depuis le début, mais comme les conditions étaient bonnes, je me suis demandé si je pouvais aussi aller l’avoir, » répondit ma sœur.

— Alors c’est elle qui a essayé de le voler !

C’est elle qui était la pire personne.

« Tu es terrible. Je ne vais rien te dire de plus, » déclarai-je.

Ma sœur s’y était opposée quand j’avais dit ça.

« Pourquoi ne veux-tu pas m’aider !? Si tu agissais comme intermédiaire entre mon amie et moi, ce problème pourrait être résolu. La seule chose que tu as de bien en toi, c’est ta force, alors utilise-la pour aider ta précieuse sœur, » déclara ma sœur.

« Précieux ? Hé, va chercher la définition de précieux dans un dictionnaire, » déclarai-je.

Tout d’abord, pourquoi me serais-je soucié de régler l’affaire ?

Quand j’allais lui demander ce qu’elle attendait de moi,

« Écoute, tu es fort, n’est-ce pas ? Alors, tu dois juste te présenter devant mon amie et le garçon. Simple, non ? » déclara ma sœur.

— Avait-elle l’intention d’utiliser ma puissance pour menacer son amie et le garçon ? Cela ne fait-il pas d’elle la pire personne !?

Livia avait prévenu ma sœur aînée. « Tu ne peux pas faire ça ! »

«  Pourquoi pas ? » demanda ma sœur.

Quand ma sœur l’avait regardée fixement, Livia avait été surprise et avait pris du recul. Meole, qui se tenait dans le dos, croisa les bras et intimida Livia.

« E-Euh , » balbutia Livia.

J’avais marché pour me placer devant Livia.

« Malgré ce que j’ai dit tout à l’heure, je vais exprimer mon opinion. — Tu es absolument dégoûtante, » déclarai-je. « Je ne vais rien faire pour t’aider. Et ne t’en prends pas à Livia. Je donne la priorité à Livia sur toi, et Anjie ne resterait pas silencieuse si quelque chose lui arrivait. »

Ma sœur avait vite flanché après l’avoir entendue.

« E-Excuse-moi. Amener dans l’affaire la fille d’une famille ducale n’est pas une plaisanterie. De toute façon, tu es un frère inutile et stupide. Meole, allons-y, » déclara-t-elle.

« Oui, milady. »

Non, c’était son histoire qui n’était pas drôle.

Ma sœur aînée avait quitté la salle de classe vide.

Livia avait été soulagée. « C’était un peu effrayant. »

Le type aux oreilles de chat était un homme mince avec une musculature bien définie, rendant son regard effrayant, car sa silhouette haute et ses muscles dégageaient un sentiment d’intimidation.

Livia ne pouvait s’empêcher d’avoir peur.

« Ne t’inquiète pas pour ça. S’ils font quelque chose, dis-le-moi. Je les écraserais tout de suite après ça, » déclarai-je.

« C’est un peu trop —, mais merci de t’en inquiéter, » déclara Livia.

Quand j’avais vu le sourire de Livia, j’avais détourné mon regard d’elle.

Sur quoi, j’avais entendu le bruit de pas frénétiques.

Ils viennent de Daniel et Raymond.

« C’est sérieux, Léon ! » déclara Daniel.

« C-Cela vient de la classe voisine ! » déclara Raymond.

 

♥♥♥

 

Quand nous nous étions tous les quatre dirigés vers la salle de classe vide à côté de la nôtre, la silhouette de Julian était apparue là.

Il distribuait des tracts aux filles qui venaient regarder.

« Si vous avez du temps libre, n’hésitez pas à venir. Je vous souhaite la bienvenue, » déclara Julian.

Les filles rougirent face au sourire de Julian.

« D-D’accord ! »

« Je vais essayer. Je ferai tout mon possible pour venir pendant les trois jours du festival de l’école ! »

« Je vais dépenser beaucoup d’argent ! »

Y avait-il une sorte de propagande ici ?

Avec son sourire enjoué, Julian annonçait sa propre présentation devant les filles. « Nous vous souhaitons la bienvenue dans notre “café princesse” ! »

— C’était un café princesse !

Daniel avait baissé ses épaules.

« Il aurait dû être presque impossible que la pièce à côté de la nôtre soit aussi un café, » déclara Daniel.

Raymond n’arrêtait pas de me regarder dans les yeux. « Tu crois qu’ils l’ont fait pour te contrarier, Léon ? Je crois qu’il y a eu des membres du comité exécutif qui ont perdu lors du pari sur le duel. Mais quand même, c’est trop cruel. »

Quand Julian m’avait remarqué, il m’avait regardé avec un sourire révélateur.

Est-ce que ce type me détestait ? Quelle coïncidence ! Je le détestais aussi.

Ses cheveux bleu marine flottant semblaient scintillants. Comme on pouvait s’y attendre, on pourrait dire qu’il était le type de prince qui ferait de lui une cible de conquête dans un jeu vidéo Otome. Il était beau et étincelant sans la moindre erreur en lui.

Eh bien, Julian, qui était l’ancien prince héritier, mais qui n’était plus aujourd’hui qu’un prince, était l’ancien fiancé d’Anjie.

C’était un imbécile qui avait rejeté Anjie et avait choisi une autre fille.

À l’origine, ce n’était pas Anjie ou cette fille, mais la protagoniste de ce monde, Livia, qu’il devait choisir.

Les choses s’étaient embrouillées à cause de cette fille.

« Baltfault, on dirait que tu diriges un café. Avec quelques autres, j’ai l’intention d’en ouvrir un. Viens si tu le peux. Nous te souhaitons la bienvenue, » déclara Julian.

Je m’étais offensé de l’expression triomphante de ce stupide prince.

Livia avait été surprise après que Julian lui ait remis un tract. « U-Un service de thé et de sucrerie pour cent dia ! »

Livia était sur le point de s’effondrer à cause du choc, alors je m’étais précipité pour l’attraper.

Lorsque j’avais pris le dépliant et que je l’avais examiné, il y avait des prix très haut. — Non, plutôt que d’être optimistes, ils se rapprochaient du niveau des escroqueries.

En parlant de ma vie antérieure, j’avais l’impression de payer du thé et des sucreries bon marché avec dix mille yens. Pour aggraver la situation, les options supplémentaires avaient fait grimper les prix encore plus haut — de sorte qu’en quelques minutes, vingt mille à trente mille yens seraient partis en un clin d’œil.

Même les bars d’hôtesses n’étaient pas si horribles que ça !

Daniel et Raymond étaient stupéfaits.

Je pensais que dix à vingt dias suffiraient pour un client, mais j’avais été négligent. C’était une académie où fréquentaient des filles gâtées de familles nobles.

Il y avait beaucoup de gens riches, donc c’était bien de rendre les prix plus élevés.

Julian inclina la tête en regardant Livia.

« Était-ce trop bon marché ? Cependant, Marie a dit que c’était un bon prix. Franchement, j’aurais aimé gagner plus, » déclara Julian.

Livia semblait découragée par la différence de leurs sens de l’argent. « Léon, les nobles sont incroyables. Je n’aurais jamais le courage d’aller dans un café aussi cher. »

« Tu as raison de penser ça. C’est bien d’ignorer ces types, » déclarai-je.

Elle avait été fondamentalement élevée dans un environnement différent, de sorte que son sens différent des valeurs n’était pas quelque chose qu’on pouvait facilement ignorer.

— Il n’y avait rien à y faire, car son sens différent des valeurs était un problème énorme.

Julian avait affiché une expression pleine d’irritations.

« Ce sont des prix assez laxistes. Cependant, Baltfault — je ne perdrai pas cette fois, » déclara Julian.

Julian était parti après avoir dit cela, mais nous l’avions suivi afin d’inspecter les mouvements de cet ennemi.

Qu’est-ce qu’il disait en parlant de ne pas perdre à un festival scolaire ?

Quel comique, ce type ! Il semblait avoir le don de faire rire les gens.

Lorsque nous étions entrés dans la pièce l’un après l’autre, Julian avait été surpris.

« H-Hé, pourquoi es-tu venu ici !? » s’écria Julian.

« Eh bien, je suppose que je suis un éclaireur, » déclarai-je.

« Quelle impudence ! »

« Je vais être honnête, j’étais curieux alors j’ai décidé de voir ce que tu faisais. Tu peux me montrer ce que c’est, non ? » demandai-je.

Quand j’avais poussé Julian sur le côté, j’avais été surpris de la vue impensable qui m’attendait.

J’avais déjà une intuition depuis le début, mais ce n’était pas un café.

Il y avait de magnifiques canapés alignés le long de tables basses dans une pièce sombre.

L’endroit était à l’origine une salle de classe vide, mais elle était remplie à ras bord d’une aura de grande classe, peut-être grâce à tous les efforts qui avaient été mis dans son aménagement intérieur.

À l’intérieur de la salle se trouvaient Chris Fier Arkwright et Brad Fou Field qui essayaient quelques tenues.

Ce qu’ils portaient était un costume. Cependant, la zone du torse avait été déboutonnée. Ils portaient des chemises assorties à leurs costumes noirs.

Je n’avais pas pu m’empêcher de crier. « N’est-ce pas un club d’hôte ? »

Chris, un jeune homme sérieux aux cheveux bleus et aux lunettes bleues, m’avait remarqué et avait aiguisé son regard déjà perçant.

« Baltfault, c’est ça ? » déclara Chris.

Brad, qui avait de longs cheveux violets et portait un costume tape-à-l’œil, brossa sa frange. « Es-tu ici pour nous inspecter en tant qu’ennemis ? Tu es le même type sournois et sale que d’habitude. »

Les sales, c’était eux.

Plutôt que d’être un café, n’était-ce pas un club d’hôte ?

« Vous êtes tous injustes ! » Quand j’avais dit cela, Chris avait l’air très heureux et il avait ri.

« Je ne m’attendais pas à ce que tu dises ces mots. Il semble que c’était le bon choix de suivre la suggestion de Marie. C’est assez jouissif de voir ton expression amère, » déclara Julian.

Encore ce type ! Il est vraiment qu’un bon à rien !

Julian avait fait une déclaration devant nous. « Ceux qui gagneront pendant ce festival scolaire, ce sera nous. Baltfault, ne t’enfuis pas quand ta perte sera apparente. »

Julian avait vraiment pris plaisir à me contrarier.

Ces types étaient-ils des idiots ? Les cafés et les clubs d’hôte étaient-ils des lieux de compétition ? En premier lieu, le terrain de jeu était différent de celui de la bataille précédente !

Livia s’inclinait constamment sur le côté. « Euh, est-ce un café ? J’ai l’impression que l’ambiance est plus proche de celle d’un pub. »

Brad avait rapproché son visage de Livia afin de l’intimider. « L’étudiante d’honneur se plaint-elle ? Je préférerais que tu ne te plaignes pas des suggestions de Marie. De plus, nous ne servons pas d’alcool. Juste des sucreries et du thé. Mais c’est nous qui faisons le service. Tu ne comprends pas la façon de penser de Marie. »

« E-Euh ! Mais, quelque chose ne va pas, » déclara Livia.

Je m’étais placé entre Livia et Brad.

« On ne touche pas. Tu vas salir Livia. Va-t’en, va-t’en loin de là, » déclarai-je.

Quand j’avais fait des mouvements de la main pour l’éloigner, une ride était apparue entre les sourcils de Brad.

« — Tu es vraiment un type irritable, n’est-ce pas ? » déclara Brad.

N’ont-ils pas eu honte d’être les anciens héritiers de foyers prestigieux ? Je ne dirais pas vraiment qu’un club d’hôte soit la ligne de conduite à adopter dans le contexte du festival de l’école.

Daniel, qui regardait à l’intérieur de la pièce comme s’il voyait quelque chose d’inhabituel, fut surpris par le menu sur une table.

« Les frais de service sont de cent dia ! » déclara Daniel.

Raymond fut également étonné. « Q-Quelque chose d’aussi cher pour un café... »

Alors que nous étions surpris, la fille qui semblait avoir coordonné les habits, une personne qui s’était réincarnée, était apparue de derrière des rideaux. Kyle était à côté d’elle.

Prévoyait-elle de participer aussi en tant qu’hôtesse ?

Cette fille s’appelait Marie Fou Lafuan. Elle était la plus jeune fille d’une maison de vicomte Lafuan et une femme qui avait trompé les héritiers de prestigieuses familles nobles, dont Julian.

C’était une femme extraordinairement méchante pour quelqu’un qui s’était réincarné, ce dont j’aurais pu me passer.

Elle avait une petite carrure, des cheveux blonds et des yeux bleus. Peut-être que c’était un diable qui avait pris un beau déguisement. Ses longs cheveux étaient fins et bouclés, et elle avait une silhouette élancée avec une poitrine qui pouvait s’appeler une planche.

Je ne pouvais m’empêcher d’être ennuyé quand je la regardais.

— Cela m’avait fait me souvenir de ma sœur cadette de ma vie antérieure.

« C’est une évidence. Laissez-moi vous dire ceci. Tout le monde, sans parler de Julian, allait à l’origine devenir les héritiers de familles prestigieuses. N’est-il pas naturel de payer autant pour recevoir nos services ? » demanda Marie.

J’avais fait claquer ma langue quand j’avais vu Marie dans sa robe.

« C’est toi la princesse qu’on annonce ? N’es-tu pas la plus jeune enfant d’une famille de vicomte ? Te faire appeler une princesse, c’est —, » commençai-je.

Le visage de Marie était devenu un peu rouge quand elle m’avait répondu. « M-Mon cœur est celui d’une princesse en tout temps. »

Ensuite, Brad avait poursuivi ce qu’elle disait.

« Marie, tu seras toujours notre princesse. Notre femme chérie, » déclara Brad.

« Merci, Brad, » déclara Marie.

« Quoi qu’il en soit, c’était assez impoli pour un individu comme toi, quelqu’un qui a un rôle mineur, de dire ça, » déclarai-je.

« Je ne mens pas. Après tout, je suis un être pur, » déclara Marie.

« Si tu es pur, alors les voyous sont des saints. Arrête de plaisanter, » déclarai-je.

Je voulais envoyer un coup de pied vers cette femme.

Marie avait recoiffé ses cheveux soyeux et nous parla.

« J’attends avec impatience le jour de la fête de l’école. Mais comme votre café sera vide, nous l’utiliserons comme salle de repos. Ah, on s’assurera de vous payer. Alors, servez-nous du bon thé, » déclara Marie.

Même si elle n’avait pas dit ça, je n’aurais pas triché sur le thé.

Après tout, ce serait une honte pour mon mentor.

Quoi qu’il en soit, un ennemi inattendu s’était pointé juste à côté de nous.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

4 commentaires :

  1. Merci pour le chap ^^ Je m’attendais pas à ça… Je me demande quand même comment ils vont finir avec Marie les anciens héritiers là…

  2. Merci pour le chapitre.
    Si je dit pas de bêtise, c’est bien la première fois que Léon et Marie se parle ?

  3. Merci pour le chapitre !

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