Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 6 – Chapitre 173

Bannière de Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken ***

Chapitre 173 : Mes femmes mignonnes célèbrent leur bonheur mutuel

Dans la cité de Rethim, la capitale d’Aegina, une ville fortifiée.

Je me promenais dans la place avec Hélèna et Rica à mes côtés.

La Troisième Princesse du Royaume de Mercury, l’une des « des deux Fleurs Jumelles de Theresia », Hélèna Theresia Mercury.

L’autre était l’actuelle reine du royaume de Calamba, le « Maître du Jardin des Roses », Rica Calamba.

Toutes les deux étaient de grandes célébrités, des femmes qui étaient censées être accueillies en tant qu’invitées, mais elles se promenaient tranquillement dans la ville.

« Ils ne peuvent... vraiment ne pas nous voir, hein, » chuchota Rica, apparemment émue.

« C’est le nouveau pouvoir de Kakeru. Il semblerait que la personne enveloppée par cette aura ressemblerait à une personne différente. »

« À quoi est-ce qu’on ressemble ? »

Rica avait répondu à Hélèna. Hélèna me regarda, puis Rica me regarda aussi.

« À une fille ordinaire de ville. Mais j’ai eu du mal à le faire. »

« Est-ce que ce nouveau pouvoir pourrait mettre Kakeru en difficulté ? »

« J’ai vraiment eu du mal. Après tout, vous êtes toutes les deux très belles. Il est difficile d’imaginer une fille de la ville qui aille avec vous. Le fait de créer une image en vous regardant rendrait l’image inévitablement belle. »

« C-C’est vrai... »

Rica avait rougi. On dirait qu’elle était embarrassée d’avoir été appelée belle.

Je ne me lasserais jamais de voir Rica rougir. Principalement parce qu’elle était comme une poupée quand nous nous étions rencontrés, je ne me lasserais jamais de voir les différentes expressions qu’elle était en train de faire.

« Kakeru. Que devons-nous faire ? »

« Hmm ? »

« Sous tes ordres, nous ferons n’importe quoi », avait dit Hélèna avec un visage sérieux.

Rica se tourna également et me dévisagea avec le visage sérieux d’une personne embarrassée.

Ces deux-là feraient n’importe quoi à mon commandement, en vérité on pouvait lire sur leurs visages : « S’il vous plaît commandez-nous ».

« S’il vous plaît, calmez-vous. Nous avons deux objectifs. Le premier est de recueillir des informations sur la façon dont les habitants d’Aegina ont été informés de ce qui s’est passé. »

« Si c’est ça, alors le bar devrait être un bon endroit. »

« Regardons autour de nous pendant que nous faisons les courses. Les femmes qui gèrent des magasins parlent sans retenue. »

Hélèna et Rica avaient immédiatement donné des suggestions.

Nous pourrions probablement recueillir de l’information dans ces deux endroits.

« Eh bien, attendez. »

J’avais arrêté les deux femmes qui étaient sur le point de prendre des mesures immédiates.

« Il y a un deuxième objectif, c’est d’avoir un rendez-vous amoureux avec vous deux »

« ... Rendez-vous amoureux ? »

« ... Pourquoi ? »

Hélèna et Rica avaient l’air surprises.

Il semble que leurs pensées n’avaient pas pu immédiatement le comprendre parce que c’était trop différent du premier objectif.

« Vous vous êtes donné beaucoup de mal toutes les deux ? Après tout, vous avez enseigné à Sélène beaucoup de choses. »

En ce moment, j’envoyais mes femmes les unes après les autres pour éduquer Sélène. Sans parler des membres des familles royales comme Hélèna et Rica, il y avait la Grande Sage Althea qui connaissait toutes sortes de connaissances de ce monde, et Nana qui était forte à l’origine, mais qui était devenue la meilleure épéiste du monde (sans m’avoir inclus).

J’avais également envoyé la marchande Delphina, le groupe de l’aventurière Io, et même envoyé mes servantes fantômes, tout cela pour éduquer Sélène.

C’était pour éduquer Sélène qui était trop ignorante et ne savait rien.

« Pas du tout, Mademoiselle Sélène apprend très vite, donc ce n’est pas un dur labeur. »

« Je suis d’accord qu’elle apprend vite. Mais le problème est sa personnalité d’enfant gâtée. »

« Bien qu’elle soit gâtée, n’a-t-elle pas une personnalité honnête et n’est-elle pas capable de dire qu’elle ne sait pas sans se mettre en valeur ? »

« C’est vrai, quoi que... »

Hélèna et Rica. Elles avaient toutes les deux évalué Sélène qui n’était pas là.

Tout en écoutant leur évaluation, j’avais été plus loin avec ces deux-là à travers la ville.

J’avais soudainement remarqué que nous passions devant un magasin général.

J’avais trouvé quelque chose aligné parmi les marchandises. J’étais donc entré dans le magasin, et l’avais pris en main. Je l’avais ouvert. Ça avait l’air plutôt bien.

Je l’avais immédiatement acheté, puis je sortis et l’avais donné à Hélèna.

« Est-ce... un éventail ? »

« Oui, ouvre-le. »

Lorsque l’éventail décoré avait été ouvert, il ressemblait à un tableau découpé. Il avait été habilement sculpté, reproduisant une fleur en pleine floraison.

Ce n’était ni tape-à-l’œil ni vulgaire, c’est un éventail très chic.

Elle l’ouvrit, le referma et le retint.

Hélèna m’avait regardé avec un visage surpris.

« Ahh, comme je l’ai pensé, ça te va bien. »

« Tu t’en es souvenu. »

« En vérité, il ne m’a jamais quitté. »

Après avoir dit cela, j’avais sorti un éventail.

Il s’agissait de l’éventail avec l’emblème de la famille royale de Mercury, que j’avais reçu d’Hélèna lors de notre première rencontre.

J’avais montré cet éventail, que j’avais toujours conservé sur moi, à Hélèna.

« Kakeru... »

Les yeux d’Hélèna devinrent humides.

Et en raison de la manière qu’elle avait de ne pas me sauter dans les bras, cela montrait réellement à quel point Hélèna était réellement modeste.

« C’est bon pour toi, Hélèna. »

« Oui. »

Les deux femmes se regardèrent l’une l’autre avec un sourire et acquiescèrent.

Je pensais que je devais acheter quelque chose pour Rica qui félicitait Hélèna tout en continuant à marcher dans la ville. Je m’étais arrêté à nouveau.

J’avais tout entendu, mais je n’avais rien trouvé d’intéressant.

J’avais entendu des mots intéressants lors d’un échange, qui ressemblait plus exactement à une conversation.

« Qu’est-ce qui se passe réellement dans ce Royaume ? Un baron s’est révolté, a tué le prince héritier et a kidnappé la princesse. C’est inouï. »

« Depuis que le roi s’est effondré à cause de sa maladie, rien de bon n’est arrivé. »

« Mais ne t’inquiète pas. Ils disent que les catastrophes ont le potentiel de devenir une chance. La Régence des Trois Seigneurs commencera à partir de maintenant. Les Seigneurs Ducs vont améliorer ce royaume. »

« Je l’espère tout simplement... »

Il y avait trois vieux qui buvaient de l’alcool dans un étal, même si c’était encore l’après-midi. En écoutant leur conversation, on dirait que les rumeurs sur ce qui s’était passé ce jour-là s’étaient déjà répandues. Et on dirait que c’est devenu une histoire, disant que je m’étais révolté, que j’avais tué Kimon et Sélène.

« Ils osent. »

« C’est impardonnable. De penser qu’ils osent accuser Kakeru de tout cela. »

Les deux femmes qui m’avaient suivi et s’étaient arrêtées, comprenant la situation, et les avaient écoutés en se mettant en colère.

Hélèna manifesta silencieusement sa colère et Rica afficha clairement ses émotions.

« Je vais coopérer avec Iris et faire pression par la voie diplomatique »

« Je vais aussi faire quelque chose. Il y a plusieurs accords qui arrivent à échéance, donc je vais me concentrer là-dessus. »

Elles se renforçaient toutes les deux dans ce qu’il fallait faire avec leur propre moyen.

Il semblerait que beaucoup de choses avaient été décidées en ce moment.

« Arrêtez, toutes les deux »

« Mais. »

« Si cela continue, ils feront en sorte que tout soit entièrement de ta faute, Kakeru »

« C’est quelque chose que j’ai après tout vraiment fait. Aussi bien le meurtre de Kimon et l’enlèvement de Sélène »

« Mais, il y a des circonstances. »

« Laissez-les dire ce qu’ils veulent. Non, plutôt, vous devriez toutes les deux soutenir diplomatiquement la Régence des Trois Seigneurs. Vous pouvez faire quelque chose pour renforcer leur légitimité, n’est-ce pas ? »

« C’est... »

« Nous le pouvons, mais... »

Les deux se regardèrent.

Leurs visages disaient quelque chose comme : « C’est possible, mais pourquoi ? »

Cependant, ce n’était que pour un instant.

Quand j’étais sur le point de leur expliquer, elles avaient déjà compris.

« Pour l’amour de Sélène. »

« Kakeru, tu n’as pas seulement l’intention de l’éduquer, mais tu lui prépares aussi un obstacle pour plus tard. »

C’était vrai, ces deux-là étaient assez douées pour tout comprendre. Comme je le pensais, il s’agissait de femmes capables, Rica et Hélèna. Mais Rica, cependant, se pinça les lèvres, faisant un visage boudeur.

« Quel est le problème ? »

« Parce que, pendant mon temps, aucun obstacle n’a été préparé pour moi. »

« Quoi ? Est-ce à propos de ça ? »

« Ce n’est pas seulement “ça”, même moi... »

« Depuis le début, Rica, tu étais une femme capable, donc ce n’était pas nécessaire. »

« ... Tu voulais passer l’épreuve de Kakeru... hein ? »

Rica était devenue abasourdie.

Rica était sage depuis le début.

Ses talents et sa sagesse n’avaient jamais pu être cachés, bien qu’elle avait été traitée comme une marionnette et qu’elle était tel un oiseau dans une cage... alors elle avait débordé une fois qu’elle fut libérée.

Il n’était pas du tout nécessaire de lui préparer un obstacle, au lieu de cela, enlever ses chaînes était déjà suffisant.

« Je l’étais, et ce depuis le début ? »

« Oui, depuis le début tu étais une femme capable. »

« Uwaaa~, que dois-je faire ? Je ne pensais pas que tu dirais quelque chose comme ça, que devrais-je faire. »

Rica était devenue agitée.

Comme je l’avais déjà pensé, ses expressions émotionnelles s’enrichissaient et je ne pouvais pas me lasser de les voir.

« Rica, c’est une bonne chose pour toi de recevoir de telles paroles. N’était-ce pas génial de venir aujourd’hui ? »

« Oui ! »

Les deux femmes se regardèrent à nouveau avec des sourires et acquiescèrent.

Les deux s’étaient félicitées mutuellement. Ces deux-là avaient l’air incroyablement mignonnes, à tel point que c’était suffisant pour m’exciter.

J’avais doucement tiré les deux femmes dans mes bras.

Elles avaient compris avec ça.

Hélèna avait enfoui son visage contre ma poitrine et Rica ferma les yeux et fit la moue.

Je leur donnai un baiser puis, après les avoir amenés dans une auberge voisine, je leur fis l’amour.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

7 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre !

  3. Merci pour le chapitre.

  4. Merci pour le chapitre.

  5. Merci pour le chapitre

  6. Merci pour le chapitre

  7. Merci pour le chapitre.

Laisser un commentaire