Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 5 – Chapitre 141

Bannière de Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken ***

Chapitre 141 : Nous ne savons rien maintenant

J’étais venu rencontrer Delphina.

Quand je lui avais montré la reconnaissance de dette que possédait le collecteur de dette maintenant inconscient, son expression changeait soudainement

« Pourquoi... »

« Ils ont dit que c’est une vraie. »

« Je peux vous le confirmer. »

« Tu peux ? »

« Oui... »

Delphina avait un visage très amer. Elle sortit une feuille de papier de son tiroir de bureau et la mit côte à côte avec la reconnaissance de dette que je lui avais remise.

On dirait que c’était une sorte de document.

Les lettres écrites étaient différentes de celle que j’avais apportée, mais la signature à la fin était la même. Je pouvais aussi dire que les signatures étaient identiques.

« Qu’est-ce que ça veut dire ? »

« Pour l’instant, je ne sais pas », répondit Delphina d’un ton calme.

Son expression amère n’avait pas changé, mais elle avait répondu assez rapidement.

« Franchement, tu pouvais dire que tu n’en savais rien, hein. »

« En ce moment, je suis actuellement en contrat d’essai avec vous, Kakeru. »

« Hein ? Ahh, c’est vrai. »

Je pensais « mais de quoi parle-t-elle ? » pendant un instant, mais je m’étais souvenu de la première fois où j’avais fait l’amour avec Delphina. Elle souhaitait « un homme qui l’achèterait avec toutes ses richesses », mais je n’en avais toujours pas autant qu’elle.

Donc, en remplacement, nous l’avions réglé sous la forme d’une « période d’essai ».

« Accumuler honte sur honte abaissera ma propre valeur à celle d’une marchandise. Au pire, cela nous ramènerait à un cas du renvoi de marchandise. C’était pourquoi je l’avais dit avec honnêteté. »

Elle prit une inspiration, me regarda droit dans les yeux et déclara ça avec des yeux provocateurs.

« En ce moment, je ne sais toujours pas »

« ... Je vois. »

Je réfléchissais en profondeur aux paroles de Delphina.

{Kuku, il y a tellement de femmes intéressantes autour de toi. En plus, elles sont toutes intéressantes à leur manière.}

J’étais complètement d’accord.

Delphina, cette fois, et les autres femmes aussi. Il y avait des femmes tellement intéressantes et fortes d’esprit autour de moi.

« Combien de temps cela prendrait-il ? »

« Cela sera fait pour bientôt. »

Delphina avait évité de donner une réponse claire, mais elle avait clairement montré une forte volonté. On dirait qu’elle était sérieuse. Si c’était le cas, je pourrais lui laisser la suite.

Delphina se leva et battit des mains, la porte s’ouvrit immédiatement et un homme entra dans la pièce.

C’était son subordonné que j’avais vu plusieurs fois. Delphina chuchota après ça à l’oreille de cet homme. Son ton était rempli de colère.

Je pensais de plus en plus à la façon dont je pouvais lui laisser régler l’affaire, alors j’avais sorti ma plume de téléportation pour rentrer à la maison.

« Qu’est-ce que vous faites !? », cria Delphina.

C’était une voix mêlée de surprise et de colère.

J’avais regardé vers elle. L’homme obéissant d’autrefois avait soudainement changé, et lui attrapait le bras.

Il plissa les lèvres, essayant de l’embrasser et de la pousser vers le bas.

... haa ?

Je marchais lourdement vers eux et sortis Éléanore sans un mot, la tête de l’homme s’envola et une fontaine de sang jaillit une seconde plus tard.

Après avoir entendu le bruit de la tête et du corps de l’homme tombant au sol, Delphina haleta à cause de cet événement soudain.

« Est-ce que ça va ? »

« ... Oui »

« Qu’est-ce qui est arrivé ? »

« Je ne sais pas. Il écoutait mes ordres, mais il avait soudainement agi ainsi au beau milieu... »

« Y avait-il un signe avant-coureur ? »

« Il est attaché à moi, mais c’est un homme lâche qui a raté toutes les occasions en raison de ses hésitations. Il n’y a aucune chance qu’il m’attaque ainsi, il n’est pas un homme qui essaierait de le faire dans un endroit où vous êtes là. »

« Était-il ivre ou drogué ? »

{On dirait que ce n’est ni l’un ni l’autre}

« Mu... ! Ne me dis pas. »

Parce qu’Éléanore s’était mêlée à la conversation, j’avais eu l’idée d’une troisième possibilité.

Peu de temps après, quelque chose de sombre était sorti du cadavre de l’homme. C’était comme si cette chose qui le possédait était sortie parce que l’hôte était mort.

Je m’étais vêtu d’une aura sombre, j’avais fait un bras et je l’avais attrapé. Il s’agissait de la même chose avec le collecteur de dettes.

« Encore une fois, qu’est-ce qui se passe ? »

« Aegina... »

« Aegina ? »

« Cet homme, et ce collecteur de dettes aussi. Ils sont venus d’Aegina. Et... »

« ... Le père de Neora aussi, hein. »

Delphina hocha la tête.

« Est-ce que quelque chose comme ça s’était déjà produit ? »

« Pas même une fois. »

Delphina avait rapidement répondu.

C’était une chose sombre semblable à celle de Comotoria.

Et surtout, plusieurs exemplaires pouvaient être trouvés soudainement.

« On dirait que quelque chose se passe à Aegina. »

Delphina effectua un ample signe de tête face à mon chuchotement.

***

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

7 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour le chapitre

  4. Merci pour le chapitre

  5. Dominique Ringuet

    Merci pour le chapitre!

  6. Merci pour le chapitre.

  7. amateur_d_aeroplanes

    L’invasion des profanateurs de cadavres a commencé !

Laisser un commentaire