Je déteste être marié dans un monde imaginaire ! – Tome 2 – Chapitre 2 – Partie 1

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Chapitre 2 : Les Héros, le Monstre et le Plan

Partie 1

Nous étions rapidement arrivés dans les montagnes, mais à partir de là, il était beaucoup plus difficile de suivre la princesse en raison de l’environnement. Non seulement elle avait laissé moins de traces sur ce terrain, mais cette région était aussi très peu peuplée. Nous étions déjà là depuis deux jours, et les seules choses que nous avions trouvées étaient des monstres.

« Kyou-san, guéris-moi ! » lui demandai-je.

« Oui, oui, je peux le voir ! » répondit-elle.

En me défendant contre trois animaux à fourrure de taille humaine, ressemblante à des ours à poil long, j’avais eu du mal à ne pas tomber de l’une des nombreuses falaises. Il s’agissait de la raison pour laquelle je ne pouvais pas bien fuir les combats et c’était aussi la raison pour laquelle j’avais dû subir plus d’attaques que d’habitude.

Ces créatures sont appelées des « Bearingtons » et leurs attaques étaient vraiment très puissantes. Même s’ils étaient lents, ils avaient de longues griffes et étaient des grimpeurs fort agiles, donc j’avais un sacré désavantage sur ce terrain. Normalement, j’utiliserais tout simplement la portée supérieure de ma lance, mais un faux pas et je tomberai d’une falaise ce qui me ferait risquer de me briser le cou ! Je devais donc rester en étant au maximum sûr et je ne pouvais pas utiliser tout le jeu de jambes physique comme à mon habitude.

Cela signifiait donc que j’étais couvert de blessures. J’avais riposté en les vainquant en utilisant l’endurance. Il s’agissait donc d’une véritable bataille d’attrition. Mais ça fait mal ! Même la magie curative ne ferait pas disparaître instantanément toutes les coupures, elles se refermaient simplement et guériront complètement avec le temps.

« Ahh ! » J’avais poussé un Bearington d’une falaise, car c’était la seule stratégie que j’avais pu trouver pour gagner du temps, même s’il sera de retour dans une minute. Foutus grimpeurs adroits !

Cela avait pris un certain temps, mais le combat avait été gagné. « Pfou. » J’avais expiré mon mécontentement par un soupir. « Je déteste ces choses. » Mais je les avais quand même découpés pour la viande et la fourrure. « Au moins, ils sont savoureux. »

Kyou-san semblait être en colère : « Trouve donc un moyen de diminuer les dommages que tu encaisses ! Car cela ne marchera pas sur le long terme ! »

« Désolé !? Pourquoi n’essaies-tu pas d’être à l’avant pour changer ? » lui demandai-je.

« Je fais ce que je suis censée faire ! Tu es au niveau 39, alors ne devrais-tu pas les surclasser ? » me demanda-t-elle en retour.

« Je ne sais pas ? Ils sont solides et je ne peux pas les isoler, parce que tu te tiens à mes côtés ! » répondis-je.

« Si ce n’était pas le cas, tu serais déjà mort ! » répliqua-t-elle.

« Crois-tu que je ne le sais pas !? » Se blesser tout le temps était en soi assez troublant ! Mais ce n’était pas comme si j’avais une meilleure stratégie à disposition. Kyou-san était après tout fragile et elle avait besoin de protection. « Ouf... continuons pour le moment ainsi. » J’en avais marre de tout ça, mais se disputer ne nous aiderait certainement pas.

Eh bien, nous étions tous les deux un peu tendus. Pendant les deux derniers jours, c’était beaucoup d’escalade et de lutte contre des ennemis, qui n’étaient même pas très forts, mais très gênants en raison de leur avantage sur le terrain. Et le seul indice que nous avions sur la princesse était les cadavres qu’elle avait laissés derrière elle. Nous avions déjà entendu dire que la princesse était une puissance en marche, mais le fait de voir tous ces monstres morts en chemin me mettait un peu mal à l’aise à l’idée de la rencontrer.

Nous étions en train de nous rendre à l’un des sommets afin d’avoir une vue dégagée et peut-être voir un feu de camp la nuit. Mais je ne pensais pas que l’escalade serait aussi difficile que ça. Nous avions dû faire demi-tour plusieurs fois, car le chemin ne menait qu’à des impasses. Beaucoup de falaises n’étaient pas franchissables sans l’équipement approprié et il y avait eu un gouffre au cours de routes. Il avait donc fallu des heures pour le contourner. Dans les montagnes de Vulkan, il y avait des sentiers, donc nous n’avions pas besoin de beaucoup grimper, d’autant plus que la plupart des terrains difficiles avaient déjà été traversés par des ss’raks. Mais ici, nous devions faire tout cela par nous-mêmes.

Nous avions ainsi marché une demi-heure en silence, puis ma capacité de perception m’avait indiqué quelque chose. « J’entends des personnes parler un peu devant nous... et cela me semble familier... »

« Peut-être est-ce nos camarades de classe ? » me demanda-t-elle.

« Ont-ils déjà rattrapé le temps perdu ? » lui demandai-je.

« Déjà ? Nous avons perdu beaucoup de temps, puisque nous sommes pratiquement perdus ici ! » déclara-t-elle.

« Hm... Je vais aller voir devant, » j’avais utilisé la compétence de Dissimulation et la Neutralisation des Odeurs, juste pour être sûr alors que j’avais été vers l’avant.

Et en vérité, une centaine de mètres plus loin, il y avait des personnes trop loin pour que je puisse voir leur visage. Ils devaient sûrement être mes camarades de classe ! J’étais monté un peu plus haut et je m’étais camouflé. Ma peau, mes cheveux et mes vêtements avaient pris la couleur des rochers autour de moi et donc il serait très difficile de me voir maintenant, sauf si bien sûr je me déplaçais après ça. Mais maintenant, il était temps de les écouter alors qu’ils s’approchaient de là.

« Nous sommes perdus, n’est-ce pas ? »

« On peut descendre n’importe quand. »

« Cette compétence n’est pas très fiable, non ? »

« Cela rend simplement les traces plus facilement visibles et aide à les discerner, mais il y en a très peu ici. »

Trois de mes camarades de classe, toutes des filles, s’étaient assises un peu plus loin, avec leurs sacs à dos, qui étaient leur Inventaire à côté d’elles. Elles avaient décidé de faire une pause. Et si Kyou-san et moi avions continué ainsi, nous les aurions certainement rencontrées.

Attends, qu’est-ce que j’entends ? Est-ce un groupe de Bearingtons ? S’approchent-ils en ce moment ? Comme j’avais caché mon odeur, ils allaient simplement attaquer le groupe de filles. Que dois-je faire ?

Je sais. J’attends. Les Bearingtons, un groupe de quatre, avaient alors attaqué les filles qui avaient alors crié. « Bearingtons ! »

« Attaquons ! »

À l’unisson, toutes les trois avaient fait face aux Bearingtons et puisqu’elles avaient travaillé en équipe, elles avaient bien moins de problèmes que je subissais de mon côté et cela même si mon niveau devrait être beaucoup plus élevé. Bon sang, le travail d’équipe !

J’avais utilisé la compétence de Dissimulation pour atteindre les sacs à dos des filles, qui étaient actuellement trop distraites par les Bearingtons et je les avais jeté dans la falaise la plus proche. Vous pouviez toujours les voir, mais cela pourrait prendre un certain temps pour les récupérer. Puis j’étais retourné dans ma cachette.

Après la bataille, les trois filles étaient revenues et leur réaction avait été : « Ah ! Nos sacs à dos ! Où sont-ils !? »

« Je les ai trouvés ! Comment ont-ils pu tomber de la falaise ? Est-ce un monstre ? Quel genre de monstre ferait une chose pareille ? » La réponse était : Moi.

« Ah ! On ne peut pas les laisser là ! Tout notre équipement est là ! »

« Marie, tu devrais descendre ! »

« C’est impossible ! Nous devons trouver un moyen de descendre ! »

« Non... s’il vous plaît, non ! »

« Mais nous n’avons pas le choix... Allons-y. »

C’était rafraîchissant. J’étais revenu auprès de Kyou-san.

« Pourquoi souris-tu comme ça ? » me demanda-t-elle.

« Sans raison, » répondis-je.

« Effrayant, » répliqua-t-elle.

 

―○●○―

 

Le voyage s’était poursuivi. « Elle était peut-être ici. Ces monstres ont été tués très récemment. Il y a peut-être deux heures. » Si ces monstres découpés, qui ressemblaient à des chenilles de la taille d’une vache, étaient bien l’œuvre de la princesse, elle avait une façon élégante et efficace de manier sa lame.

« Est-ce que les traces indiquent quelque chose ? » me demanda-t-elle.

« Je ne trouve pas grand-chose... elle semble venir d’où nous allons. Comme nous les avons retrouvés ici, je suppose que la princesse avait la même idée que nous et qu’elle voulait grimper pour avoir une meilleure vue, mais pourquoi irait-elle maintenant dans un vallon... » déclarai-je.

« Regarde, Ken ! Il y a une grotte en bas, » déclara-t-elle.

Elle avait raison. Kyou-san indiquait l’entrée d’une grotte dans le vallon, qui était assez grande pour le passage de chevaux. Mais pourquoi... « C’est vrai, elle cherche des bandits et des menaces démoniaques dans la région. Une telle grotte pourrait être intéressante pour elle. »

« Mais comment pouvons-nous descendre là-bas ? » me demanda-t-elle.

« Euh... Sauter est hors de question, mais si nous cherchons un chemin, nous risquons de la perdre à nouveau. Mais nous avons un avantage qu’elle n’a probablement pas de son côté, » déclarai-je.

« Et c’est quoi ? » me demanda-t-elle.

« L’Inventaire. Quand je faisais du solo, j’ai stocké beaucoup de corde. Il est temps de les utiliser, » répondis-je.

Après avoir trouvé un gros rocher comme point d’ancrage, nous avions attaché trois de nos cordes ensemble, ce qui était suffisant pour atteindre une plate-forme loin en bas de la falaise sur laquelle nous nous tenions. C’était une bonne chose que nous ayons nos attributs, qui étaient beaucoup plus grands que nos capacités « réelles » en tant qu’étudiants. Descendre environ 40 mètres de corde n’était pas aussi facile qu’on le pensait au début. Vous pouvez tomber très bas, si vous échouez !

Malheureusement, nous devions laisser la corde derrière nous, mais il s’agissait d’un investissement. De là, il était beaucoup plus facile d’atteindre le vallon et nous nous étions précipités vers la grotte. Et peut-être qu’on pourrait de toute manière le récupérer plus tard.

Nous étions arrivés à l’entrée de la grotte, mais il y avait quelque chose d’étrange là-bas. On entendait des aboiements, et beaucoup de cris de douleur ! J’avais hoché la tête à Kyou-san et j’y étais allé en premier, et c’était seulement pour voir un carnage devant moi.

Une personne se tenait contre la moitié d’une armée d’étranges petits humains ressemblant à des chiens. Était-ce des kobolds ? Ils maniaient un large éventail d’armes, y compris des lances en pierre, des épées rouillées, des haches endommagées et des massues en os.

Leur ennemie était une unique fille blonde, ses cheveux atteignaient tout juste ses épaules et ils étaient retenus par un bandeau noir. Elle portait des pièces d’armure en cuir durci au-dessus de sa poitrine, de ses bras et de ses jambes et maniait une longue et mince épée.

Ses yeux étaient comme des braises, et elle pourrait être à peu près de la même taille que moi et même si elle ne semblait pas musclée, elle bougeait avec des mouvements puissants, mais élégants.

Au fait, elle tuait ces kobolds toute seule. Franchement, elle venait de découper la main d’un kobold, d’attraper une hache de la créature puis de la lancer dans le même mouvement dans la direction opposée, coupant en deux la tête d’un autre kobold, tandis que pendant ce temps, elle enfonçait son épée à travers le corps d’un troisième adversaire.

Tout ce qui entrait dans la portée de son épée était largement assez découpé pour être mort. C’est si rapide et impitoyable que cela en était magnifique.

« Je n’arrive pas à y croire..., » murmura Kyou-san. Comme j’avais soudainement arrêté de bouger, elle avait jeté un coup d’œil d’elle-même et était à peu près aussi choquée que moi. « Je suis presque triste pour ces types. Tu vois, ils font de leur mieux, je peux les imaginer crier “Pour la horde” ou quelque chose de stupide comme ça, mais c’est... »

« Ce n’est pas une bataille. C’est un massacre unilatéral, » ce tourbillon blond évitait même les lances et autres projectiles sans aucune difficulté.

J’avais alors pris une décision. J’avais changé ma classe en Lancier et j’avais couru vers cette scène sanglante. Puis j’avais utilisé Vitesse de Poussée pour tuer un kobold par-derrière ! « Je suis là pour vous aider ! »

La fille m’avait jeté un regard puis elle m’avait fait un sourire radieux : « Génial ! » Sa voix est claire et joyeuse, tandis que ses mains venaient de tuer deux autres kobolds à ce moment précis. « S’il vous plaît, prenez soin de mon dos ! »

« Ne m’oubliez pas ! » Kyou-san était également entrée dans la mêlée, en passant devant les kobolds effrayés, mais déterminés. « Je suis une prêtresse donc je peux guérir tout le monde ! »

« Une prêtresse ! Maintenant, nous sommes invincibles ! » On dirait qu’elle avait besoin de renfort. Même si Kyou-san et moi ne voulions qu’être de son côté, puisqu’on avait vraiment peur d’elle !

Je suppose que si nous n’avions pas rejoint la fille, la bataille se serait quand même terminée une vingtaine de secondes plus tard. J’avais eu quelques coups finaux et Kyou-san n’avait rien fait. Mais même si j’avais fait de mon mieux pour tuer autant que possible pour augmenter notre XP, la blonde était tout simplement trop rapide pour massacrer les choses !

Elle s’était facilement classée 2e dans ma liste de choses dont j’avais le plus peur, seulement vaincue par Muaotef, qui est un putain de dragon ! Cette fille ne fonctionnait pas selon un principe de DPS (dommages par seconde), mais de MPS (morts par seconde) !

« Merci de m’avoir aidé ! » La fille s’inclina poliment devant nous. « J’étais dans le pétrin, je suis tombée sur ces kobolds quand je cherchais des bandits. Mais comme ils dérangent aussi les personnes vivantes dans le coin, je leur ai demandé s’ils pouvaient arrêter ça et c’est devenu comme ça... Mais où sont mes manières : Je m’appelle Katarine Von Stolzherz. Quels sont vos noms, si je peux me permettre ? Vous n’avez pas l’air d’être d’ici. »

Bien sûr, nous étions des Asiatiques vivants parmi des personnes qui ressemblaient à des Occidentaux. Eh bien, ces gens avaient souvent des couleurs un peu fantastiques, par exemple la princesse avait des yeux, qui étaient orange-jaune, tout comme la braise. Son père avait aussi ces yeux. « Je m’appelle Katsuragi Kenta. Un héros invoqué en ce monde. »

Kyou-san me regarda avec colère, mais on ne pouvait pas le cacher ! Nous avions l’air totalement différents des autres. « Je m’appelle Momokawa Kyou. De même, un héros. »

Étonnamment, la princesse avait pris nos deux mains dans les siennes. « C’est la première fois que je vous rencontre, héros ! C’est un honneur pour moi ! » Même si ses mains couvertes de gants étaient pleines de sang, ses yeux étaient rayonnants et elle incarnait l’innocence même. Comment quelqu’un pouvait-il être une machine à tuer, tout en gardant ce genre de pureté ?

Ah, elle fait semblant. Ça doit être ça. Eh bien, alors je vais aussi faire semblant. « C’est un honneur pour nous aussi, princesse. »

« Oh ! Comment le savez-vous ? » La princesse avait l’air profondément choquée.

« Vous venez de nous dire votre nom et même si nous venons d’un autre monde, nous vivons ici assez longtemps pour le savoir, » déclarai-je.

« Oh, je vois. Mais maintenant, je ne suis pas une princesse... enfin, je le suis, mais je... n’agis pas en tant que telle, pour l’instant. Appelez-moi Kati ! » déclara Katarine.

« Un surnom ? Ka... Kach... Pfou..., » cela serait difficile à prononcer avec une langue japonaise. On croirait entendre Kachi.

Heureusement, Kyou-san avait eu une idée. « Et Rine-chan ? C’est moins évident, si vous vous infiltrez sous couverture quelque part. »

« Sous couverture ? Ça a l’air cool ! » Ah, son comportement avait glissé ! Et ses yeux scintillaient dangereusement. « Ce que je veux dire, c’est que cela a l’air excitant... attendez... cool, puisque nous sommes maintenant amis ! Oui, nous sommes amis et les amis n’ont pas besoin d’être trop polis l’un envers l’autre ! Super ! J’ai de nouveaux amis ! Je suis Rine ! »

« Tu peux m’appeler Kyou, Rine-chan. Et celui-là, tu n’as pas besoin de t’en souvenir, » déclara Kyou-san.

« Hé ! Kenta ! Katsuragi Kenta ! » déclarai-je.

« Hehe. Tu te moques de Kenta, n’est-ce pas Kyou ? Puisque vous êtes tous les deux proches, c’est normal ! » Kyou-san regardait Rine comme si elle avait volé sa poupée préférée et l’avait jetée dans un tas de merde.

Le sourire de Rine avait disparu de l’existence et elle me regardait avec beaucoup d’inquiétude, tout en marmonnant ses mots : « Est-ce que c’est moi ou est-ce que Kyou m’a regardé comme si j’avais volé sa poupée préférée et l’avais jetée dans un tas de fumier ? »

Les regards de Kyou-san sont-ils si expressifs que tout le monde peut les traduire avec précision ? S’agit-il d’une forme de langue à part entière ?

« Désolée, Rine-chan, » le sourire de Kyou-san était revenu. « Ken et moi avons une relation un peu étrange, donc c’était juste un peu bizarre de dire qu’on était proches. Mais pour dire les choses simplement, oui, nous sommes aussi amis. »

J’avais été secoué en entendant ces mots et j’étais même sur le point de vomir. J’étais sûr que la bouche de Kyou-san avait aussi un goût de merde, mais il s’agissait de quelque chose à faire pour notre plan élaboré : Devenir ami avec Rine, pour qu’on en profite pour la ramener !

« Je suis si contente ! » Le sourire de Rine était revenu, comme si elle prenait ces mots dégoûtants à cœur.

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6 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. amateur_d_aeroplanes

    Merci pour le chapitre 🙂

  4. Merci pour le chapitre !

  5. Merci pour le chap ^^ Mais s’ils ont déja une princesse aussi puissante, pourquoi avoir besoin de héros ? Hmm… Elle doit pas suffire et pas être très obéissante non plus…

    • [spoil]

      Car elle est régie par les « règles » normales, ce qui n’est pas le cas des héros. Une blessure pour un héros + soins = un héros à 100 %. Un simple humain blessé + un soin = un humain blessé qui ne meurt pas, mais qui prendra des semaines pour être en forme.
      Idem pour la fatigue et tout. Les héros sont vraiment sous un principe de jeux vidéo tandis que les non-héros sont normaux.

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