Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 6 – Chapitre 7 – Partie 5

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Chapitre 7: La tempête

Partie 5

Maintenant que nos préparatifs étaient terminés, il était temps de partir afin de rencontrer qui que ce soit dans ces épais nuages.

Et ainsi, la ryuu s’était envolée dans la tempête. Sur son dos chevauchait une elfe sombre dans un imperméable, et une créature mystérieuse et rondouillarde.

Le vent hurlait à nos oreilles.

Naden avançait comme si ce n’était pas grand-chose, mais le vent et la pluie contre leur corps étaient plus forts que jamais.

« Aisha, ça va !? » avais-je crié.

« Très bien ! Les vibrations ne sont pas aussi violentes ici que dans la gondole ! » répondit Aisha.

Contrairement à moi, la protection de Naden ne couvrait pas Aisha, de sorte qu’elle subissait pleinement les effets du vent, de la pluie et de la gravité. C’est pourquoi j’avais Aisha assise devant moi, attachée avec une corde, tout comme le Petit Musashibo. Bien qu’avec la façon dont le Petit Musashibo avait été construit, il donnait un peu l’impression comme s’il était attaché à un siège de première classe.

« Pensez-vous qu’on puisse trouver qui que ce soit dans cette tempête ? » demanda Aisha, protégeant son visage de la pluie avec ses bras. « La pluie rend la visibilité vraiment horrible. »

Il est vrai que la recherche de quoi que ce soit sous cette pluie allait être difficile.

... En fait, maintenant que je le portais ainsi, j’avais réalisé que cette combinaison kigurumi m’avait laissé un champ de vision vraiment étroit. Vous pensez peut-être que cela aurait dû être évident, mais parce que ma capacité, le Poltergeist Vivant, m’avait permis de voir les choses avec une vue aérienne, cela ne m’avait jamais dérangé auparavant. Cependant, dans cette tempête, je n’arrivais pas à faire fonctionner correctement la vue aérienne.

Ce que j’entendais par là, c’était que je pouvais voir, mais c’était comme regarder les parasites sur une vieille télé avec une mauvaise réception. Je ne l’avais pas remarqué avant parce que je n’avais jamais essayé de déplacer des choses à l’intérieur d’une tempête, mais est-ce que ma capacité avait d’autres faiblesses comme celle-ci ?

Sans autre choix, j’avais ouvert la tête du Petit Musashibo. Il y a eu une soudaine et puissante rafale sur mon visage, mais si je ne pouvais pas utiliser mes capacités, j’allais devoir compter sur mes propres yeux. Comme Aisha l’avait dit, la visibilité était encore faible, mais pour commencer, il n’y avait peut-être pas besoin de chercher.

« Naden, si c’est eux qui causent cette tempête, ils sont à coup sûr au centre de la tempête, » dis-je.

« Je le sais. Nous serons bientôt au centre de la tempête, » répondit Naden.

Puis, tout à coup, le bruit du vent et de la pluie avait diminué. La tempête s’était-elle affaiblie ?

La sensation de gouttes de pluie qui frappait mon visage avait disparu. Le vent était encore fort, mais le manque de pluie m’avait facilité la tâche. Pourtant, nous étions entourés de nuages là où nous nous trouvions.

Non, même si nous sommes à l’intérieur d’un nuage, nous aurions l’impression d’être enveloppés dans le brouillard. Si je pouvais dire qu’il y avait des nuages autour de nous, cela signifiait que cet endroit était le seul endroit sans nuages.

« C’est..., » commençai-je.

« Sire ! Regarde en haut ! » Aisha avait crié.

Face à l’insistance d’Aisha, j’avais levé les yeux, et là...

« Qu’est-ce que c’est que cette chose... ? » demandai-je.

Il y avait une énorme masse grise qui flottait là. C’était plus ou moins un cube, avec une dizaine de mètres de chaque côté. Naden, dans sa forme actuelle de ryuu, mesurait une quarantaine de mètres de long, il était donc douteux qu’il lui soit possible de s’enrouler autour une fois. Ce cube massif ignorait la gravité et flottait là.

« Est-ce ce que vous avez vu, Sire ? » demanda Aisha.

« ... Je ne suis pas sûr. Je ne voyais que son ombre, » répondis-je.

« Mais c’est dans tous les cas la chose qui est au centre de ce courant ! » déclara Naden en regardant le cube.

C’était... ce qui avait causé la tempête ? Le raisonnement de Kaede était que c’était un démon, mais cette chose était-elle vraiment vivante ? Que je le juge selon les normes de ce monde, ou les normes de mon ancien monde, cette chose était bizarre. Puis...

« Pourquoi... vous... pas... réponse... »

J’avais encore entendu cette voix. Ça avait l’air fragmentaire, et c’était difficile de saisir le sens, mais c’était aigu, comme la voix d’une femme, c’était quelque chose qui me rendait mal à l’aise. Ça venait de ce cube ?

« Aisha, Naden, avez-vous compris cette langue ? » avais-je demandé. « Il disait quelque chose à propos d’une réponse. »

« Vraiment, Sire ? Je n’entendais rien, » répondit Aisha.

« Je pouvais dire qu’il disait quelque chose, mais c’est tout…, » répondit Naden.

Comme on s’y attendait déjà, elles ne comprenaient pas les mots qu’elles entendaient. J’avais donc répété les mots que j’avais entendus pour qu’elles le comprennent.

« Tiama... vous détruisez... mes enfants... alors pourquoi... »

« Voyons voir… “Tiama, vous détruisez, mes enfants, alors pourquoi,” » avais-je traduit.

« Pourquoi ne voulez... -vous pas des... Je n’ai plus... rien »

« “Pourquoi ne voulez-vous pas des..., je n’ai plus rien”, » avais-je traduit.

Naden et Aisha avaient toutes les deux gémi en entendant ça.

« “Tiama...” C’est bien de Lady Tiamat qu’elle parle, n’est-ce pas ? » demanda Naden. « Ça doit l’être. »

« On dirait bien qu’ils ont quelque chose à dire à Lady Tiamat, » constata Aisha.

J’étais d’accord avec elles. Lady Tiamat savait-elle quelque chose sur ce cube ? En y repensant, Lady Tiamat n’avait-elle pas prédit cette tempête ?

Se pourrait-il que... cet objet ait été en contact avec Tiamat avant ? Pendant que je pensais cela, la qualité de la voix a soudainement changé.

« Même après... vous... ne rép... toujours... »

« “Même après ‘je ne sais pas quoi’, vous ne répondez toujours pas...” hein, » avais-je traduit en essayant de compléter les trous.

La voix que j’entendais était plate, sans intonation. Mais, d’après le choix des mots, j’avais senti quelque chose comme de la colère. L’ensemble de cette situation n’était pas clair, mais j’avais l’impression qu’il la critiquait sévèrement.

« J’avais l’impression de comprendre, mais ce n’est pas le cas, » avait dit Aisha en tournant la tête sur le côté. « J’aimerais qu’il sorte de là et le dise plus clairement. »

Naden pensait aussi. « “Vous” est... probablement Lady Tiamat, n’est-ce pas ? Est-ce que ça veut dire... »

« Attendez un peu ! Ils disent toujours quelque chose, » avais-je coupé la parole à Naden, et j’avais écouté.

« Dans ce cas... »

« “Dans ce cas,” » répétai-je.

« Je... détruirai... le monde de vos enfants. »

« Quoi !? » m’écriai-je.

« Wôw, Souma !? Qu’est-ce qu’ils ont dit ? » avait crié Naden, mais je n’avais pas pu le mettre en mots immédiatement.

Je détruirai le monde de vos enfants ?

Si Naden avait raison, et le mot « vous » ici indiquait de Lady Tiamat, alors ses enfants étaient Naden et les dragons, et le monde dans lequel ils vivaient était Dracul. Est-ce que cette voix voulait la détruire ? Il s’agissait d’un avertissement clair d’intentions destructrices.

Est-ce quelque chose que nous pouvons résoudre par le dialogue... ?

« Je... détruis. Pour que vous... me détruisiez... »

« Quoi !? » m’écriai-je une nouvelle fois.

Je vais les détruire. Pour que vous me détruisiez. C’était ce que j’avais cru comprendre.

Détruire, pour être détruit ? Le propriétaire de cette voix ne voulait pas détruire Dracul, il essayait d’amener Lady Tiamat à les détruire en le faisant. Ils étaient furieux parce que Lady Tiamat refusait de le faire ? En d’autres termes, cette tempête était produite par le désir du propriétaire de la voix d’être annihilé.

« Souma ! » Naden m’avait appelé pour me ramener à la raison.

« Ah ! » m’écriai-je.

« Reprends-toi ! Tu es le seul ici qui comprend ce que cette chose dit, tu sais !? » déclara Naden.

« Désolé. On dirait que cette chose essaie de détruire Dracul parce qu’elle veut que Lady Tiamat la détruise, » résumai-je la situation.

« C’est celui qui veut être détruit, mais qui détruit le pays de quelqu’un d’autre ? J’avoue que je ne comprends pas le désir d’être détruit, mais son objectif et sa méthode ne sont-ils pas quelque peu disjoints ? » Aisha avait l’air perplexe.

Même moi, je n’en comprenais pas la raison.

« Quoi qu’il en soit, ce truc est venu jusqu’à Dracul, cherchant à être détruit. Mais Lady Tiamat semble avoir refusé, peut-être pour une bonne raison. C’est apparemment la raison pour laquelle cette chose a causé la tempête. Il semble penser que s’il met les enfants de Lady Tiamat... c’est-à-dire les dragons... en péril, Lady Tiamat sera forcée de le détruire. »

« Ça fait beaucoup de supposition, n’est-ce pas ? » demanda Naden.

« Hé, ce n’est pas comme si je pouvais y faire grand-chose. Je travaille avec des informations fragmentaires, » répondis-je.

Lady Tiamat connaissait probablement tous les détails, mais, comme Hakuya l’avait dit auparavant, elle m’avait dit qu’elle n’avait pas « l’autorité » pour m’en parler, donc sa seule manière de faire avec cette limitation.

Est-ce que la raison pour laquelle Lady Tiamat avait choisi de ne pas détruire cette chose avait aussi à voir avec cette affaire d’« autorité » ?

« Je... détruis. Alors... vous... vous... détruirez... »

La voix avait répété ces mots encore une fois. Puis une vingtaine de petits objets sphériques étaient sortis de la moitié supérieure du cube gris. Je les appelais petits, mais ils n’étaient que petits par rapport au cube. Au niveau de leur taille, il s’agissait probablement d’un mètre de diamètre. Ces sphères ne flottaient pas, et avaient été attirées vers le bas par gravité.

Voyant cela, Naden avait demandé d’une voix paniquée : « Hé, Souma, est-ce que c’est... ? ».

« Tout à fait. Selon moi aussi, ils ont l’air d’être de mauvaises nouvelles, » répondis-je.

D’innombrables sphères mystérieuses étaient apparues après qu’il ait parlé de destruction. J’avais un mauvais pressentiment.

« Naden ! Peux-tu les abattre sans t’approcher ? » avais-je demandé.

« Je peux le faire ! » cria Naden.

Graaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !

Naden avait rugi, déclenchant une frappe électrique sur les choses qui s’étaient envolées. La frappe électrique s’était ramifiée au fur et à mesure qu’elle avançait, perçant les sphères dispersées. Puis...

*Boom !*

Au moment où l’électricité les avait frappés, ces sphères avaient produit un éclat bleu et blanc brillant, et s’étaient mises à gonfler pour devenir des boules de lumière. Après l’apparition de lumière, nous avions entendu un grondement, et la pression du vent qui nous avait frappés par la suite nous avait dit bien trop clairement à quel point l’explosion était incroyable.

Je le savais... Ces sphères noires sont comme des bombes !

Aisha s’était tournée vers moi, comme si elle se souvenait de quelque chose. « C’est mauvais, Sire ! Liscia et les autres sont en bas ! »

« Je sais. Naden, je compte sur toi ! Abats-les, quoi qu’il arrive ! » ordonnai-je.

« C’était le plan depuis le début ! » répondit Naden.

Alors qu’elle nageait dans le ciel, Naden avait déclenché des attaques électriques les unes après les autres et elle avait abattu les objets tombant l’un après l’autre. Cependant, il y en avait tout simplement trop.

« Lady Naden ! Je vais vous aider ! » Aisha avait défait les cordes qui la maintenaient fixée, et elle se leva. « Sire, tenez-moi fermement, s’il vous plaît ! »

« Comme ça !? » J’avais sorti mon torse hors de la poupée Petit Musashibo et j’avais enroulé mes bras autour des hanches d’Aisha. En même temps, j’avais contrôlé la poupée Petit Musashibo, en la faisant tenir les chevilles d’Aisha pour la maintenir en place. Aisha, qui montait maintenant sur le dos de Naden en position debout, avait préparé ses larges attaques habituelles.

« Maintenant, Sire, gardez-la tête baissée, s’il vous plaît ! » déclara Aisha.

« D’accord, » dis-je.

« J’y vais... Hahhhhhhhhhh ! » Avec un grand cri signalant son effort, Aisha avait déplacé sa grande épée.

Le souffle de vent que j’avais déjà vu alors qu’elle s’entraînait avec Liscia avait volé droit devant nous, coupant en deux l’un des objets qui tombaient. Puis des attaques à la chaîne furent lancées, depuis la droite, depuis la gauche. À chaque coup d’épée d’Aisha, une frappe de vent s’envolait avant de couper l’un des objets qui tombaient.

Aisha avait toujours été un peu déçue dans sa vie quotidienne, mais sur les champs de bataille, elle était fiable et elle était la guerrière la plus puissante du royaume.

Alors que Naden et Aisha se démenaient à la tâche, les objets sphériques déposés par le cube avaient soit explosé, soit coupé en deux. Cependant, le cube n’arrêtait pas de les laisser tomber, l’un après l’autre.

« C’est sans fin... » Aisha avait gémi.

« Mais si nous ne les abattons pas tous, ils causeront des dégâts en contrebas, » déclara Naden.

« Nous ne pouvons pas avancer, et nous ne pouvons pas battre en retraite. Nous n’arriverons à rien dans une telle situation, » déclara Aisha.

Aisha avait probablement raison. Merde ! Si seulement nous pouvions entrer en contact avec le sol, nous pourrions les avertir du danger et les faire évacuer. J’aurais dû apporter un bras mécanique pour servir de relais... Se plaindre des choses que je n’avais pas n’allait pas aider.

« Oh, bon sang. Que pouvons-nous faire ? » avais-je dit en regardant le cube et en me creusant la cervelle.

Puis c’était arrivé.

« Heyyyyyyyyyyyy... »

J’avais entendu une voix qui venait de quelque part au loin. Ce n’était pas comme la voix que j’entendais jusqu’à présent. Cette fois, c’était une voix d’homme.

« Heyyyyyyyyyy ! Soumaaaaaaaaa ! »

Cette voix venait... d’en bas !?

Quand je m’étais penché sur le côté de Naden pour regarder vers le bas, j’avais vu un dragon rouge se diriger vers nous à une vitesse incroyable. Ses ailes étaient pliées et elle avait une forme presque comme une flèche. Attends un peu, ne volait-elle pas très vite sans avoir battu des ailes ?

De plus, Halbert était sur son dos, s’accrochant chèrement à sa vie.

« Hal !? » avais-je crié.

« Ruby !? » Naden avait crié en même temps.

Ruby avançait vers nous avec Halbert sur le dos. Les deux nouveaux arrivants avaient continué à monter verticalement comme ça, mais finalement ils avaient perdu de l’inertie et ils avaient commencé à tomber. Ses ailes n’étaient pas déployées... Oh, c’était ça ! Parce que si elle ne les tenait pas fermement contre son corps, elles seraient affectées par les vents, hein !

« Naden ! » avais-je crié.

« Je sais ! » répondit Naden.

Naden s’était mise sous la zone de chute de Ruby et l’avait attrapée. De là, elle avait enroulé son corps autour de Ruby et l’avait tenu fermement en place. Ruby semblait soulagée quand elle avait dit : « Cette méthode de vol n’est... vraiment pas facile pour le cœur... »

« Ruby, comment as-tu... ? » demanda Naden.

« Gardons les bavardages pour plus tard ! On ne peut pas laisser ces choses atteindre le sol, n’est-ce pas ? » demanda Ruby.

Après avoir déclaré ses mots, Ruby avait inhalé profondément, et avait lâché un jet de flamme connu sous le nom de souffle du dragon. Les flammes s’étendaient comme un chalumeau, faisant frire les objets et les faisant exploser.

Quand elle avait vu cela, Naden avait fait tourner son corps sur elle-même en lançant des décharges électriques dans toutes les directions. Ainsi, le souffle de Ruby se déplaçait comme les aiguilles d’une horloge, déclenchant la destruction d’objets sur une zone encore plus large.

La zone autour de nous était remplie de flammes brillantes, d’électricité et d’explosions. Ça m’avait irrité les yeux.

En déclenchant en même temps une explosion de tous ceux présents en ce moment, cela nous avait donné une certaine marge de manœuvre jusqu’à ce que la prochaine série soit larguée.

« Alors, comment es-tu venue ici, Ruby ? » Naden avait demandé à Ruby, qui respirait difficilement, après que la situation se soit temporairement calmée. Maintenant qu’elle en parlait, nous n’avions pas encore parlé du fait qu’un dragon ailé ne pouvait pas voler dans ces courants d’air si sauvage, n’est-ce pas ?

« J’ai demandé à cette personne de coopérer avec moi... et j’ai fait des choses folles pour venir ici..., » répondit Ruby en essayant de reprendre son souffle. En étirant son long cou, elle avait utilisé son museau pour désigner ce qui était sur son dos.

Par « cette personne ici », elle voulait dire Hal ?

« Hal, qu’est-ce que tu as fait ? » avais-je demandé, me sentant complètement épuisé.

Hal avait désigné ce qui était derrière lui. « Souma... N’as tu pas apporté ça ? Nous l’avons utilisé... pour voler jusqu’ici. »

Ce que Hal montrait en disant ça était le dispositif de propulsion maxwellien fixé à l’arrière de sa selle, le Petit Susumu Mark V version allégée.

Mes yeux s’étaient écarquillé.

C’est donc de cela que Kaede parlait !

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4 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.
    PS: Si j’ai bien compris, Hal viens « techniquement » de ce fiancé avec Ruby, non ?
    Si c’est le cas, toutes mes félicitations 🙂

  3. Merci pour le chapitre.

  4. Merci pour le chapitre.

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