Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 7 – Chapitre 8 – Partie 3

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Chapitre 8 : La salle médicale brumeuse

Partie 3

« Quoi… ! » la proposition soudaine de rupture de lien avait poussé Stella à ouvrir en grand les yeux et à crier. « Attendez, pourquoi est-ce que… ! »

« Après avoir gagné le deuxième match du Festival des Sept Étoiles de l’Art de l’Épée… Le Pire, non, car Le roi de l’Épée Sans Couronne, parmi les huit meilleurs du pays, possède une certaine influence. Mon existence en tant que Rang F est déjà connue par beaucoup d’individus, donc même le pouvoir de la famille Kurogane aurait du mal à cacher mon existence… dans ce cas, le mieux pour vous est de rompre notre relation. Est-ce quelque chose comme ça, Père ? » demanda Ikki.

D’un autre côté, Ikki avait utilisé une voix plus calme que Stella pour demander la raison. Itsuki répondit d’un signe de tête. « … C’est plus ou moins le cas. Le Clan Kurogane est ce qui a maintenu la hiérarchie des Blazers de ce pays depuis l’ère des samouraïs. Ce serait gênant si quelqu’un de cette maison était le premier à enfreindre le code de l’ordre. Si tu étais traité de la même façon qu’avant, beaucoup commenceraient à remettre en question leurs propres limites. Il semblerait qu’il y en a un certain nombre qui t’admire et te prend pour modèle. Tes vaillantes batailles ont un charme dangereux et cela mène à la tentation… Mais ces défis et ces désirs insouciants finissent par faire du mal aux individus et à la société. Est-ce que tu le comprends ? Tu n’es plus seulement inutile à la maison Kurogane — le roi de l’épée sans couronne, car maintenant Ikki Kurogane, tu es devenu dangereux. »

« Ne me dites pas ça ! » À cet instant, Stella renversa la chaise pliante alors qu’elle se levait et poussa un cri de colère avec ses cheveux en flammes. Ses yeux rayonnaient de colère quand elle criait. « J’ai été stupide… de penser que vous pourriez être une personne raisonnable ! Vous, êtes-vous toujours un parent ? »

Le regard acéré de Stella était plus furieux que celui d’une bête assoiffée de sang, et plus accablant aussi. Aucune personne faible d’esprit ne serait capable de parler face à son regard.

Mais c’était l’homme qui occupait le poste de chef de la branche japonaise de la Ligue des Chevaliers-Mages. Itsuki répondit sans changer de ton. « Je le suis… mais par-dessus tout, je suis l’ordre de ce pays. Je ne peux pas le laisser vaciller, et je ne peux laisser personne l’affaiblir. J’ai juré sur mon surnom Sang de Fer, ainsi que sur le nom donné par mon père, que je continuerais à tenir la société ensemble de mes propres mains. »

Contrairement aux yeux furieusement brillants de Stella, ses yeux gris brillaient d’une lumière terne. Ce qui habitait dans la profondeur de ces yeux, c’était la force de sa volonté, comme l’acier lui-même. La dureté de cette volonté était plus que suffisante pour dire à Stella que parler était inutile.

« Vous… ! » s’écria Stella.

« Stella, » Ikki s’était levé et avait retenu Stella qui était sur le point de se déchaîner. « Arrête, Stella. »

« Mais ! » répondit Stella.

« Merci de t’être autant fâchée pour moi. Mais… J’espère que tu pourrais te retenir maintenant, » déclara Ikki.

« Kuh ! »

Comme c’était Ikki lui-même qui dissuadait Stella, elle ne pouvait rien faire de plus que d’évacuer sa colère en frappant le mur et en tournant le dos à Itsuki. Elle n’aurait probablement pas pu se retenir si elle l’avait regardé plus longtemps. Chuchotant un autre « merci », Ikki se retourna vers Itsuki.

« … Vous ne plaisantez pas à ce sujet, n’est-ce pas ? » demanda Ikki.

« Bien sûr que non. C’est l’occasion pour toi de te libérer de notre influence. Je n’ai pas le temps de m’immiscer dans la vie d’une personne sans lien de parenté ou d’intérêt. C’est bénéfique pour nous deux, donc je pense que ce n’est pas une mauvaise suggestion, » déclara Itsuki.

La voix d’Itsuki était vraiment sérieuse. En fait, comme l’avait dit Itsuki, cette suggestion avait du mérite pour Ikki. Ils marchaient déjà sur des chemins séparés, et il vaudrait peut-être mieux pour les deux parties rompues leur relation proprement.

Mais…

« Père, à ce sujet, je ne peux pas répondre si facilement, » répondit Ikki.

Ikki évita de répondre immédiatement et Itsuki hocha la tête.

« C’est compréhensible. Je n’ai pas l’intention de te presser à répondre. Je viendrai te voir un autre jour, » déclara Itsuki.

Après l’avoir dit à Ikki, Itsuki se leva de sa chaise et quitta la salle médicale. Derrière lui, une atmosphère lourde persista.

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