Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 4 – Chapitre 4 – Partie 2

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Chapitre 4 : Chapitre 4 : Bataille précoce et décisive

Partie 2

Après avoir gagné facilement contre le conseil étudiant de l’Académie Hagun, l’un des membres d’Akatsuki, Amane Shinomiya, avait soupiré. Le soleil s’était déjà couché et le ciel était devenu bleu indigo.

« Ouf. L’heure est plus tardive que je ne le pensais, hein ? » déclara Amane.

Tandis que la tronçonneuse qu’elle tenait dans sa main grattait bruyamment sur la terre, Yui Tatara donna son avis honnête d’une voix grave. « Hehehehe. C’est parce que tu étais si paresseux, imbécile. Je l’ai fait et j’en ai fini en un clin d’œil, tu sais. »

« Hahahaha. Quelqu’un qui est entouré d’alliés ne devrait pas se vanter si vite, la “Détourneuse”, » répliqua Rinna

« Ma dame dit : “Vous venez d’être confronté à un ennemi qui est bien plus faible que vous, alors n’ayez pas une grosse tête !”, » déclara Charlotte.

« Hein ? Et si toi et moi, on voyait qui est celle qui correspond à un ennemi contre qui on est forts ? » demanda Tatara.

« Ça a l’air sympa, » répondit Kazamatsuri.

Les lèvres de Kazamatsuri se tordirent dans un sourire félin face à la provocation de Tatara, et elle souleva d’un doigt le patch couvrant son œil droit.

« Je vais te montrer le pouvoir de mon Œil magique crépusculaire ! Ne fais pas semblant de le regretter plus tard ! Ouverture du sceau ! » cria Kazamatsuri.

« … Même si ton œil gauche est tout aussi rouge, » répliqua Tatara.

« Madame, vous avez oublié votre lentille de contact, » déclara Charlotte.

« … W-Wahahaha ! Je n’ai plus de Point de Mana pour aujourd’hui. Tu as de la chance ! » déclara Kazamatsuri.

« Vous jouez à quel jeu ? » Amane, qui ne pouvait pas regarder de telles choses si futiles, soupira avec un visage troublé en demandant ça.

Je vois. Quand Hiraga-san n’est pas là, je dois être le manager de ce duo comique, hein ? pensa-t-il.

« Nous avons encore quelque chose à finir. Nous devons poursuivre Stella-san qui s’est échappée, et aussi Ikki-kun… Pour l’instant, devrions-nous nous séparer ? » demanda Amane.

Amane qui avait reconnu son propre rôle l’avait proposé aux autres. Cependant, Ouma secoua la tête devant cette proposition.

« On n’a pas besoin de faire ça, » répondit Ouma.

« Comment ça, Ouma-san ? » demanda Amane.

« Mon frère et ma sœur se dirigent vers une mort certaine. S’il n’y avait que l’épéiste à un bras, ils pourraient s’en sortir, mais elle est là en ce moment, » répondit Ouma.

Elle — avec ces mots, Amane avait aussi été d’accord.

Leur alma mater, l’Académie Akatsuki, était un endroit discret dans un coin de la région métropolitaine de Tokyo. Ce jour-là, une certaine personne y séjourna par hasard.

« Maintenant que tu le dis, c’est vrai. C’est aujourd’hui que cette personne est logée à l’Académie Akatsuki, » déclara Amane.

« En effet. Ces deux-là n’ont donc pas la moindre chance. Il vaudrait mieux, pour nous tous, de poursuivre la princesse cramoisie, » déclara Ouma.

Bien sûr, Amane était d’accord. Bien qu’elle ne soit pas le genre de personne à participer à leur plan, elle était une personne sentimentale. Si elle leur rendait service, elle les récompenserait probablement avec son épée. Et si elle occupait le terrain, aller à l’Académie Akatsuki maintenant pourrait être considéré comme une course folle.

« Pourtant, tu es vraiment indifférent à ça. N’es-tu pas inquiet ? C’est ton frère, non ? » demanda Amane.

Face à la question d’Amane, Ouma avait craché sa réponse. « Ne sois pas ridicule. C’est quelqu’un que j’ai abandonné il y a longtemps. Je n’ai plus de pitié pour lui depuis longtemps. »

« Ahaha. Ikki-kun n’a vraiment aucune chance avec sa famille, hein ? » répliqua Amane.

« Cesse tes bavardages. Même avec ton engouement et ta sympathie pour ce garçon, Amane, ne t’inquiètes-tu pas non plus ? » demanda Ouma.

« Moi, inquiet ? Hahahaha, pas possible, » Amane rit fort de la réponse d’Ouma qui avait été loin de la vérité.

« Je ne suis pas inquiet pour ça. Au lieu de cela, je suis plutôt ravi… Ikki-kun, tu sais, il devra souffrir de plus en plus. Cela devrait lui faire de plus en plus mal. Son corps devrait sortir d’une crise angoissante et scandaleuse. Parce que quand il vaincra ce genre de désespoir, l’histoire du Pire brillera de mille feux, » répondit Amane.

C’est vrai. C’est pourquoi le désespoir devrait s’aggraver intensément. La vue de lui épuisant toute sa volonté et toussant du sang, mais niant toujours son destin — .

« J’adore voir Ikki-kun comme ça ! C’est pourquoi je veux qu’il ait de plus en plus d’ennuis extrêmes ! » déclara Amane.

« Hehehehe, ton attitude dégoûtante habituelle est de retour, » répliqua Ouma.

« Hmph. Ne dis pas de telles choses cruelles. N’est-ce pas naturel pour un fan de vouloir voir celui qu’il aime être cool ? » demanda Amane.

Et au moment où Amane avait gonflé ses joues d’indignation, il avait remarqué que son terminal étudiant avait reçu un mail. En le vérifiant, c’était celui qui était leur manager, le « Pierrot » Reisen Hiraga. L’essentiel était qu’il avait livré Arisuin à Wallenstein, leur professeur et superviseur, et qu’il se dirigeait maintenant vers eux pour les rejoindre. Il avait envoyé ce courrier, alors…

Comme je le pensais, je n’ai dû assumer ce rôle que temporairement, hein ? pensa Amane.

Reconnaissant de cela, Amane avait communiqué par courrier qu’ils allaient tous courir après Stella, que Touka avait fait fuir.

« Alors, va-t-on attraper la princesse ? » demanda Amane.

Dirigeant le reste d’Akatsuki, il commença la poursuite de Stella et des sœurs Hagure.

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