Protection Divine de Nombreux Dieux – Chapitre 56

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Chapitre 56

***Point de vue de Latia.***

Dans mon enfance, j’avais des amis tout à fait normaux, cependant, à un moment donné, ma mère, mon père et mes amis avaient disparu de mon entourage.

J’étais venue dans cette ville parce que les personnes qui me parlaient dans le village où je vivais précédemment étaient toutes parties.

J’avais donc quitté mon village afin d’aller dans une ville voisine et là-bas, j’avais rencontré des personnes.

À un moment donné, j’avais presque été attaquée soudainement par un homme dans un restaurant, mais là, il m’avait dit que je pouvais gagner beaucoup d’argent si je faisais ce qu’il disait.

Et après ça, même si j’étais devenu très ami avec une autre fille que j’avais rencontrée, on m’avait confié à moi les corvées dans un restaurant alors qu’elle devait faire toute autre chose.

Mais peu de temps après ça, tout le monde s’était évanoui en ma présence pour une raison inconnue et ils ne s’étaient pas réveillés avant plusieurs jours.

De plus, des objets se brisaient autour de moi, et cela bien que je ne les avais jamais touchés avant ça.

J’étais donc venue à Welburg parce que juste avant que je vienne dans cette nouvelle ville, il n’y avait plus personne qui me parlait dans la ville où j’étais précédemment.

De plus, Welburg était une ville d’aventuriers, donc je serai sûrement acceptée ici. Et il était possible que les aventuriers de cette ville ne s’effondrent pas quand ils sont en ma présence.

J’étais donc venue à cette ville en croyant ça.

Rapidement, j’avais trouvé du travail comme journalier dans une auberge parce qu’il s’agissait d’un travail où je pouvais parler à beaucoup de gens et que je voulais vraiment avoir des contacts humains. Mais tout aussi rapidement, j’étais devenue seule là-bas à être encore consciente.

Je m’étais donc fait virer de ce travail, comme ce qui s’était passé avec les autres.

Après m’être fait virer, la vieille femme qui m’avait toujours saluée quand on se voyait s’était effondrée devant mes yeux. C’était le jour où je l’avais accompagnée chez le médecin avant ça et à son retour, elle était tombée inconsciente.

Que dois-je faire pour le repas d’aujourd’hui ? pensai-je. Puis j’avais été surprise d’être appelée tout d’un coup par-derrière par une voix qui m’était inconnue.

« Hiya, hiyai? » Je ne parlais plus trop souvent aux personnes, donc une voix étrange était sortie hors de ma bouche à ce moment-là.

Et à ce moment-là, j’avais immédiatement remarqué quelque chose. Cet homme avait parlé à une femme terne comme moi d’une telle manière et pile au moment où il y avait peu de personnes présentes dans la ruelle où je me trouvais.

« J-Je n’ai pas d’argent. Je viens tout juste d’être virée de mon travail, » avais-je dit à ce moment-là.

Donc, il s’agissait d’un bandit. Non, peu importe comment on me regardait, mon apparence indiquait clairement que la possibilité d’obtenir de l’argent n’était pas présente chez moi.

« Mes seins sont petits donc vous devriez arrêter ! » avais-je crié en couvrant mes seins avec mes mains.

Alors, peut-être que son but est probablement pour mon corps ? J’avais fait appel désespéré comme quoi il devrait s’arrêter avant de commettre l’irréparable.

Il m’avait dit plus tard. « Prendre une telle pose est dangereux et cela aura l’effet inverse, alors ne le faites plus. »

Mais je ne comprenais toujours pas pourquoi il m’avait dit ça. Je devrais peut-être lui demander plus d’explications à ce propos.

« En plus de ça, je n’ai pas de parents, je suis idiote, je suis une femme extrêmement laide, rien de bon ne sortira de moi. * Sniff *. » avais-je poursuivi.

S’il ne s’agissait pas de mon corps, alors qu’est-ce que c’était ? J’avais parlé avec tant de force au sujet de mes ennuis à ce bandit.

Un sentiment déprimant avait rapidement enflé en moi alors que je lui parlais.

Le bandit était après tout un bon bandit parce qu’il avait écouté mon histoire jusqu’au bout sans jamais m’interrompre.

« Vous êtes-vous calmée ? » demanda le bandit après que j’eus parlé pendant un petit moment, criant par moment, pleurant à d’autres moments.

« Ah, oui. Désolée pour le malentendu, » répondis-je.

Le bandit semblait être un aventurier, et il ne me voulait aucun mal.

Après cela, j’avais surtout parlé de ma venue dans cette ville.

J’avais parlé de différentes choses, mais Hibiki avait tout écouté.

Quand mon histoire avait atteint la fin, Hibiki avait commencé à afficher un air inquiet.

Je vois, c’était déjà le moment. J’avais eu peur d’entendre les mots « Je dois partir » qui devraient sous peu sortir de la bouche de Hibiki.

« Je n’ai pas un seul ami dans cette ville. Hibiki, pourriez-vous être mon ami ? » lui avais-je alors demandé.

J’avais remarqué ce que je venais de dire, mais cela, seulement après l’avoir dit.

Haaa, qu’est-ce que je dis, moi ? Hibiki semble aussi troublé.

Mais, après ça.

« Pendant longtemps, chaque personne qui semble bien s’entendre avec moi s’effondre. Cependant, il semble que vous ne soyez pas affecter quand vous êtes à côté de moi. »

Je voulais à tout prix avoir un ami.

« O-oh, c’est d’accord. Meilleures salutations. »

Hibiki était donc ce jour-là devenu ami avec moi.

Avant qu’il ne puisse dire « J’ai changé d’avis », je lui avais immédiatement fait promettre de me rencontrer le lendemain, puis j’avais quitté l’endroit au pas de course.

Et ainsi, mon rendez-vous avec lui était arrivé rapidement.

Je parle du jour promis de mon rendez-vous avec Hibiki.

J’étais terriblement agitée sur le chemin qui me conduisait jusqu’à la guilde des aventuriers.

Bien que le visage de Hibiki avait semblé sérieux, d’une façon ou d’une autre, être un aventurier semblait être un dur labeur.

J’avais été un peu troublée quand il m’avait dit que c’était dangereux d’aller à l’extérieur de la ville, mais apparemment, c’était sûr pour l’instant. C’était un soulagement pour moi, car j’avais des choses à faire à l’extérieur.

Plus important encore était le fait de pouvoir communiquer avec le slime rouge qui était près de Hibiki.

Oh, il était agréablement doux * bunyu bunyu * et il semblait aimé quand je le touchais.

Puis, une personne un peu effrayante m’avait regardée bizarrement alors que je caressais le slime depuis un moment.

Bien que je m’étais involontairement dissimulée derrière Hibiki, Hibiki n’avait pas fait un visage montrant que cela le dérangeait alors qu’il me protégeait.

Plus tard, quand je travaillais à mettre en place les marchandises avec Hibiki, un alchimiste m’avait parlé.

Il avait parlé de plein de choses et j’étais sur le point de paniquer quand il devenait de plus en plus insistant. Au moment où j’avais essayé de demander l’aide à quelqu’un, l’alchimiste s’était effondré sur le sol telle une marionnette dont on aurait coupé les fils.

Ah, c’était encore arrivé. Et maintenant, mon travail allait être perdu comme chaque fois que cela se produisait.

Une personne importante était venue de l’intérieur du bâtiment jusqu’à moi. Ah zut, ce n’est pas bon.

« Le client était apparemment trop excité et il s’est effondré. »

Hein !? Hibiki avait donné une explication à cette personne importante avec un ton extrêmement calme.

Est-il une connaissance de ce chef ? La personne importante m’avait regardée avec sérieux, puis il m’avait déclaré des mots de réconfort.

Mais à cause de tout ça, j’avais causé du tort à Hibiki, ce dont je ne voulais absolument pas lui faire.

J’avais dit. « Je suis désolée » tant de fois, mais Hibiki m’avait dit de ne pas m’inquiéter à ce propos.

Mais, le travail avait pu être obtenu et maintenu grâce à Hibiki. Il était donc nécessaire de lui montrer ma gratitude.

Parce que les amis sont égaux.

J’avais acheté des bracelets appropriés dans un magasin à proximité et j’en avais présenté un à Hibiki.

« Tiens, Hibiki. Il s’agit d’une commémoration pour aujourd’hui pour le fait que j’ai pu me faire un ami et pour te remercier de m’avoir aidé. »

Je voulais vraiment exprimer ma gratitude, mais je ne pouvais pas transmettre facilement ce genre de chose.

« Euh, est-ce bon ? Devrais-tu vraiment utiliser ton précieux salaire pour une telle chose ? » avait-il demandé.

S’il te plaît, ne dis pas une telle chose ! Pour moi, il n’y a rien de plus important que ça maintenant !

Je voulais le dire. Cependant, ma bouche n’arrivait pas à bouger.

« Ce n’est pas une telle chose. C’est une chose très très importante pour moi. » Dis-je.

Je me demande si mes sentiments l’ont atteint?

Hibiki avait alors accepté le bracelet.

J’étais soulagée parce que j’étais capable à le lui donner, mais il commençait à faire sombre. De plus, il était temps de se séparer.

Rapidement, j’ai besoin d’avoir ma prochaine promesse !

« Hibiki, seras-tu dans la guilde demain ? » J’avais rassemblé mon courage et avais demandé ça à Hibiki. Toutefois...

« Non, je ne serai pas en ville demain, » répondit-il.

Il n’y avait jamais eu de cas où j’étais triste comme ça quand on me refusait quelque chose.

De plus, il ne sera pas en ville, qu’est-ce que cela veut dire ? Ne reviendra-t-il plus jamais ?

Non, ce n’est pas le moment d’être abattue. Si demain n’est pas bon, alors après demain ?

« Ah oui, c’est vrai. Après-demain, je pense que je serai dans la cour du château du Seigneur le matin, » annonça-t-il.

Quel soulagement ! Je pouvais à nouveau rencontrer Hibiki si je supportais la solitude pendant une journée de plus.

« C’est génial !! Alors, à après-demain ! »

En outre, j’avais commencé à courir avant que je puisse entendu le « Et bien, j’ai changé d’avis. »

Je voulais être plus longtemps avec Hibiki.

Mais, il était possible de se revoir. Parce qu’il me l’avait promis !

« Oh, toi ! »

Une voix m’avait appelée depuis une ruelle comme ce qui s’était passé il y a quelques jours. La voix entendue n’était pas celle d’Hibiki, mon cœur avait commencé à battre avec plus de force.

Quand j’avais pensé regarder en arrière afin de répondre, j’avais été plongée dans l’obscurité.

Eh, qu’est-ce que c’est ? Mon corps ne bouge pas.

Je me demande pourquoi j’ai sommeil. Oui, j’ai sommeil alors je peux sûrement faire un rêve si je dors comme ça. Si c’est un rêve avec Hibiki, alors cela serait génial.

***

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6 commentaires :

  1. merci pour le chapitre

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Merci pour chapitres

  4. Merci pour le chapitre.
    P.S :
    Protégez cette niaise ! Ce monde va la manger toute crue.

  5. Merci pour le chapitre 🙂

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