Maou No Hajimekata – Tome 2 – Histoire Secondaire 1 – Partie 1

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Histoire Secondaire 1 : Offensons ceux qui veulent être le Roi

Partie 1

« Vous, la bête ! »

Dès qu’il entra dans la pièce, il entendit le cri de la reine alors qu’elle fonçait sur lui avec une dague à la main.

Alors qu’elle le poignardait continuellement dans la poitrine et l’abdomen, elle respirait fortement alors qu’Aur l’avait appelée.

« Êtes-vous satisfaite ? » demanda Aur.

Il ne semblait même pas blessé et il n’y avait aucune trace de sang à l’endroit où elle l’avait poignardé.

« Espèce de monstre…, » cria la reine.

La reine, réalisant qu’il était futile de continuer à le poignarder, laissa tomber son poignard et baissa la tête en abandonnant. Bien que cela fût regrettable pour elle, ce qu’Aur lui montra à l’instant n’était pas son spectacle habituel d’immortalité, mais un tour de magie de base. Si elle connaissait quelque chose à la magie, elle se rendrait compte que c’était un sort d’illusion de base.

Il y avait deux personnes derrière la reine, c’était deux princesses et elles avaient elles aussi des regards de haine vers Aur. L’ancienne reine Olivia avait maintenant 32 ans. Ses filles Patricia et Priscilla avaient respectivement 16 et 12 ans. Ni l’une ni l’autre des femmes n’étaient inférieures à l’autre en termes de beauté, elles étaient toutes les deux des filles très attirantes.

Elles avaient toutes les trois les mêmes cheveux blonds et les yeux bleus. C’était comme regarder la même femme à différentes étapes de sa vie. Priscilla avait encore un visage innocent et ressemblait à un bourgeon de fleur fermé hermétiquement. Ses mains et ses pieds étaient minces et le gonflement de sa poitrine était également assez faible. Au lieu de cela, il y avait ce charme particulier chez elle, elle était comme un petit enfant qui était fasciné par tout ce qui l’entourait.

Au contraire, Patricia était comme une jolie fleur qui était prête à fleurir. Son corps possédait une forme ronde, ses seins et ses hanches étaient modérément courbés, mais ils étaient clairement poussés vers le haut par ses vêtements. Elle protégeait Priscilla derrière son dos, même si son visage était visiblement sombre à cause de la peur, ses sourcils bien en évidence étaient plissés et elle fixait courageusement Aur d’un regard meurtrier.

Si Priscilla est un bourgeon et Patricia une fleur en fleuraison, alors Olivia pouvait être comparée à un bouquet de fleurs mûres. Sa silhouette voluptueuse était étroitement liée par ses vêtements et il n’y avait pas beaucoup de femmes matures qui pouvaient égaler son allure et sa beauté. Bien qu’elle avait déjà donné naissance à deux enfants, son corps ne s’était pas affaissé et elle avait continué à maintenir ses proportions corporelles exquises.

« Tout d’abord, il y a quelque chose que je veux dire, » déclara Aur.

Voyant les trois belles femmes devant lui, il ne put s’empêcher de déglutir instinctivement.

« Je suis désolé. Même si ce que j’ai fait était nécessaire, j’ai quand même tué votre père et je m’en excuse, » Le Roi Démon baissa profondément la tête et s’excusa.

« … Plutôt que de vous excuser, je préfère que vous nous rendiez notre père ! » cria Patricia.

« C’est impossible. Parce que ce que j’ai fait était une nécessité. »

Patricia criait tristement et Aur lui avait répondu de façon décisive.

« Ce pays était en décomposition. Non, même aujourd’hui, il continue de pourrir. Cependant, il n’est pas encore mort. Pour laisser vivre le pays, il fallait tuer le roi, » Aur avait continué. « L’ancien roi était votre mari et votre père. Je suis donc venu m’excuser. Ce qu’il me fallait tuer, c’était le roi et non votre père. »

Entendant ses paroles, la jeune Priscilla éclata en larmes.

« Insinuez-vous que Carus était inapte en tant que roi ? » demanda Olivia.

« Pensez-vous qu’il était compétent ? » demanda Aur.

En lui posant la question en réponse, Olivia garda le silence. Il était évident que le Roi Démon n’avait pas l’intention d’améliorer ce pays. Mais le fait que son défunt mari n’était pas un dirigeant sage était quelque chose qu’elle savait mieux que quiconque.

« Permettez-moi plutôt de vous demander. Carus était-il un bon mari ? » demanda Aur.

« … Bien sûr que oui, » en gardant intentionnellement son regard furieux vers Aur, Olivia lui répondit avec fermeté.

« Oh ? » Aur laissa échapper une voix joyeuse et s’accrocha impudemment à la poitrine d’Olivia.

Quand elle avait essayé de le repousser, elle avait finalement réalisé qu’elle ne pouvait pas bouger son propre corps, et encore moins parler. Inutile de dire qu’elle était déjà sous le charme d’Aur.

Cependant, ces faits n’avaient pas été clairement dépeints à ses filles qui étaient derrière elle.

« Mère… ? » En voyant sa mère se faire toucher les seins si ouvertement, Patricia avait fait entendre une voix avec un certain malaise.

« Même s’il vous est possible de mentir avec votre bouche, ce n’est pas la même chose avec votre corps, n’est-ce pas ? » demanda Aur.

La robe d’Olivia n’était pas assez vulgaire et pourtant elle était assez élégante même si elle montrait une ligne de décolleté ample. Aur avait posé son doigt sur sa robe et l’avait descendue d’un seul coup.

*Burun*. Cela résonna d’un son rebondissant alors que ses deux seins abondants et mûrs tremblèrent et se révélèrent. C’était peut-être encore plus grand que ceux de Lilu, Aur les admirait clairement. Les monticules d’Olivia avaient la forme ronde d’une splendide cloche de temple et même en tenant compte de son âge et de sa taille, ses collines somptueuses ne tombaient guère.

Utilisant ses deux mains pour les saisir, Aur avait massé les seins conformément à ses désirs pendant qu’il continuait à parler.

« Vous me dites que vous avez un corps si splendide et pourtant, Carus vous écoute à peine ? Ça fait combien d’années que vous n’avez pas été enlacée ? » demanda Aur.

Bien qu’Olivia était actuellement dans un état où elle ne pouvait pas parler, elle était à court de mots après avoir entendu Aur parler de toute façon. En effet, il y a bien longtemps que Carus ne l’avait pas emmenée au lit et lui avait fait l’amour, ce qui s’était produit quand elle avait encore 20 ans. Atteignant le sommet de sa féminité, elle n’était même pas capable de protéger sa propre vertu contre un homme et son propre corps était déjà hors de son contrôle.

« Pendant ce temps, la personne en question souhaitait constamment être entourée par son harem de femmes dans le palais intérieur. Négliger une si belle femme comme vous… Même à ce moment-là, allez-vous toujours dire que c’était un bon mari ? » demanda Aur.

Malgré tout, il fallait s’y attendre. La chose la plus importante pour Carus qui était roi était qu’un héritier soit produit pour continuer sa lignée. Olivia avait donné naissance à deux filles consécutivement et elle était déterminée à être une femme qui continuerait à donner naissance qu’à des filles, donc, après avoir donné naissance à Priscilla, elle n’avait plus jamais été appelée dans la chambre.

« En effet, un Roi peut avoir besoin de considérer de telles choses. Cependant, seuls les historiens et la population du pays ont le droit de décider s’il était compétent en tant que roi. En disant cela, comment était-il vraiment en tant que mari et en tant que père ? Est-ce que Carus a vraiment pris soin de vous, les filles ? Vous aimait-il et prêtait-il attention à vos besoins ? » demanda Aur.

Patricia ne pouvait que regarder vers le bas. Carus désirait ardemment après son héritier et après avoir finalement atteint son but, ses filles n’avaient reçu que peu d’attention, voire aucune. Figuria étant un petit pays qui était entouré par le grand pays de Grandiera et le pays religieux de Rafanis, il était très important qu’un héritier existe.

Cependant, n’était-ce pas quelque chose de complètement différent de l’amour d’un père ? Aur ayant clairement divisé ce que cela signifiait d’être un roi et un père, Patricia y avait réfléchi pour la première fois.

« Comment vous sentez-vous, Olivia ? Je parle du fait d’être tripoté par un homme après une si longue période, » demanda Aur.

Grâce aux techniques habiles des caresses des doigts d’Aur, les joues d’Olivia rougissaient et son corps était peu à peu endolori pour l’étreinte d’un homme.

« Pourquoi ne parlez-vous pas franchement à propos de ce que vous pensez de votre Carus, en tant que Roi, en tant que mari et en tant que père… ? » demanda Aur.

« Noooooon !! » cria Patricia.

Patricia avait pris le poignard sur le sol et frappa avec vers le bras d’Aur. En raison de la minceur de ses bras, elle n’avait pas été en mesure de sectionner l’os d’Aur et il avait simplement creusé dans ses bras, mais ce n’était plus une illusion et c’était le vrai corps d’Aur qui avait été endommagé.

Dans son propre esprit, Aur était assez impressionné par la force de son désir à lui résister, mais sans même hésiter son expression, il avait saisi le poignard et l’avait pris à Patricia. En plus du fait que la blessure dans son bras avait guéri, il avait perdu de vue Olivia et son corps était devenu libre.

Cependant, même si elle avait réussi à retrouver sa liberté, tout ce qu’elle pouvait faire était de tenir Patricia dans ses bras pour la protéger de ce qui (lui semblait) être un Aur très en colère.

« S’il vous plaît… Pardonnez-lui, s’il vous plaît, » demanda Olivia.

Rien qu’en expérimentant auparavant le fait qu’elle avait perdu le contrôle total de ses fonctions corporelles au point où elle était incapable de prononcer un seul mot, l’esprit d’Olivia présentait un noyau de peur implanté profondément en elle. Même si elle tremblait, elle était encore capable de tenir fermement Patricia dans ses bras en suppliant Aur de lui pardonner.

« Très bien, alors. Selon votre attitude envers moi, je pourrai peut-être laisser vos deux filles vivre… Cependant, vous devez faire preuve de la sincérité qui convient, » déclara Aur.

Même s’il l’avait dit lui-même, les mots qu’il venait de prononcer étaient tellement cliché qu’il avait poussé un soupir. Pourtant, la paire mère-fille ne pouvait que continuer à faire trembler leur corps. Elles comprenaient le sens de ses paroles. La seule qui ne comprenait pas son intention était Priscilla qui ne pouvait que rester les larmes aux yeux tandis qu’elle fixait la scène en face d’elle.

« … Je comprends… Seigneur… Aur… Alors, s’il vous plaît, venez dans ma chambre…, » déclara Olivia.

« Ce n’est pas nécessaire, » déclara Aur.

Aur s’agrippa au bras d’Olivia en l’amenant dans l’une des chambres vacantes avec un lit au fond.

« Vous, les filles, restez là et regardez. “Il vous est interdit de bouger et de parler”, » déclara Aur.

En regardant les deux filles derrière lui, il imprégna ses paroles d’un pouvoir magique et leur ordonna ça. Ces deux princesses avaient été dorlotées et élevées dans le Palais Royal, elles ne savaient même pas comment utiliser la magie et ne l’avaient certainement jamais eu sur elles auparavant, mais maintenant, elles n’étaient même pas capables de détourner le regard de leur mère ni de dire un mot de plainte.

« Noo... Nooon ! » cria Olivia.

« Alors, est-ce ça, vos vrais sentiments ? » demanda Aur.

Sur le point d’être violée devant ses propres filles, avec son visage était rempli d’horreur, Olivia avait continué à résister violemment, mais Aur se plaça sur le corps et souleva sa jupe.

« … Qu’est-ce que c’est… ? » demanda Aur.

En plaçant ses doigts dans le jardin secret caché par les sous-vêtements, Aur fit entendre délibérément une voix d’étonnement. Si elle était mouillée par la caresse qu’elle avait reçue de lui il y a quelques instants, Aur avait l’intention de commenter ce fait pour l’acculer. Cependant, même au-delà des attentes d’Aur, ses sous-vêtements étaient déjà mouillés comme une inondation, trempant complètement ses sous-vêtements en les tachant.

« Peu importe comment j’y pense, n’est-ce pas ainsi qu’on mouille… ? Eh bien, peu importe. Si vous êtes déjà si mouillée, je n’ai pas besoin de continuer les préliminaires, » déclara Aur.

Tout en continuant à bloquer le corps d’Olivia qui secouait encore son cou en disant « Noonn, Noonn », il lui enleva ses sous-vêtements et après avoir sorti son pénis, il le plongea en elle d’un coup.

« Ahhhh. »

Olivia fit entendre une voix aiguë. Son ton de sa voix se mêlait à son plaisir et après avoir été encore plus étonnée, les mouvements d’Aur devinrent encore plus forts. Au début, il insuffla la peur dans son cœur, mais il lui donna peu à peu le plaisir qui la fit se soumettre à lui. Même si c’était la même méthode qu’il utilisait contre Sharl, le fait qu’elle éprouverait tant de plaisir dès le départ dépassait ses attentes.

« Qu’est-ce que ça fait de goûter un autre homme après si longtemps ? Il semblerait que votre corps se réjouisse ? » demanda Aur.

« Non, vous ne pouvez pas…, » balbutia Olivia.

Elle le refusait humblement, mais il était déjà évident d’après son expression qu’elle était en train de fondre de plaisir. Même son vagin serrait la bite d’Aur avec diligence pour ne pas la lâcher. Il était stupéfait de voir à quel point elle était obscène, mais Aur avait décidé de l’utiliser à son profit.

« Si vous devenez ma chose… Je peux vous offrir ce plaisir autant que vous le désirez. Vous êtes magnifique. Seul un idiot ne ferait pas l’amour avec une si belle femme comme vous, » déclara Aur.

Aur avait immédiatement reformulé la dernière partie de ses paroles à son égard. C’était parce qu’il pensait qu’elle pourrait vraiment demander sa présence tous les jours.

« U, uu... Non, je ne peux pas… ce genre de… chose… Je ne peux pas être infidèle à mon mari…, » déclara Olivia.

Même si son corps se tordait avec l’envie d’en désirer davantage, Olivia répondit ainsi. Le fait qu’elle ressente autant de plaisir et qu’elle puisse encore dire une telle chose était vraiment louable, cependant, le fait qu’elle hésitait tant face à l’homme qui était censé être l’ennemi de son mari était la preuve qu’elle tombait progressivement.

« Quelle chose inhabituelle vous dites ! N’est-ce pas Carus qui vous a trahi en premier ? » demanda Aur.

Alors qu’il frottait des hanches contre Olivia, Aur lui avait posé une question. Comme si cela sonnait comme une cloche, Olivia fit entendre une voix aiguë, alors qu’elle contractait aussi son vagin pendant qu’elle se frottait contre Aur. Elle pourrait bien avoir un corps obscène qui pourrait rivaliser avec Lilu et ce fait avait été apparemment transmis à Aur par son instinct.

S’il la traitait mal, elle pourrait bien devenir la femme la plus gênante de son groupe. Tandis qu’un sentiment de plaisir montait le long de sa colonne vertébrale, Aur avait commencé à recentrer son attention.

« Même si vous avez un corps si merveilleux, Carus vous a complètement négligé et a fait l’amour avec les autres femmes à la place, n’est-ce pas lui qui vous a trahi ? » demanda Aur.

« C-Cependant, tout cela a été fait dans le cadre de ses obligations en tant que Roi…, » déclara Olivia.

Olivia se heurta facilement à la voie d’évasion prédéterminée créée pour elle par Aur.

« Quant à moi, cela ne me dérange pas, peu importe le nombre de filles que vous mettez au monde, » Aur lui avait parlé sur son ton le plus doux pour terminer le tout.

« Hein… ? » s’exclama Olivia.

« Vous avez déjà confirmé vous-même que mon corps ne meurt pas, n’est-ce pas ? En d’autres termes, je n’ai pas besoin de produire un héritier. Vous n’avez qu’à me dédier votre beau corps, je ne fais pas de distinction entre un enfant mâle et une fille. Je m’assurerai aussi d’enseigner à vos deux filles le plaisir d’être ma femme. Je leur permettrai aussi de donner naissance et en tant que princesse de ce pays, je permettrai au prince de continuer la lignée de Carus. Autrement dit, vous ne serez pas infidèle à votre mari. En fait, vous serez félicité pour le fait que vous avez été en mesure de continuer la lignée de sang de la famille royale pour la prochaine génération. »

Ses paroles diaboliques qui n’étaient pas reconnues par Olivia jusque-là pénétrèrent soudainement dans les recoins de son esprit et animèrent son cœur.

Les paroles d’Aur lui étaient chuchotées, corrompant son esprit tel un poison extraordinaire.

« Je n’ai aucune intention de garder l’enfant de Carus que les concubines de son harem ont mis au monde dans mon Palais Royal. Le seul qui continuera la lignée de sang sera vos enfants, » déclara Aur.

C’était un poison merveilleux et doux. Elle était née avec une beauté que tout le monde enviait, et à l’âge de 14 ans elle était déjà érigée en épouse légitime du roi. Tout en continuant à se comporter modestement et avec élégance, elle avait toujours été consciente quant au fait de garder intactes les valeurs d’une femme.

Cependant, elle avait tout perdu dès le moment où elle n’avait pas pu donner naissance à un garçon lors de sa deuxième grossesse. Poussée à vivre dans le palais intérieur, elle était censée être une femme brillante de 20 ans, mais elle avait été forcée de vivre une vie fastidieuse jour après jour. On se moquait d’elle parce qu’elle était incapable de concevoir un héritier, elle n’était même pas considérée comme une femme par son propre mari et elle avait été forcée de vivre une vie sans couleur. Sa fierté avait été battue et brisée en morceaux.

Malgré cela, elle n’avait jamais détesté ses propres filles bien-aimées. Sa haine n’était tournée que vers l’homme qui lui avait fait ça et la société dominée par les hommes. « S’il aimait tant les hommes, pourquoi n’a-t-il pas simplement couché avec un autre homme », c’était quelque chose à quoi elle avait pensé plus d’une fois. Sa vie de femme lui avait été refusée jusque-là, mais elle était maintenant pleinement acceptée par Aur.

« Oui… Seigneur Aur. S’il vous plaît, utilisez-moi comme vous voulez, laissez-moi concevoir beaucoup d’enfants venant de vous, Seigneur Aur. »

En versant ses larmes, Olivia avait avalé le poison qu’on lui avait offert.

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Un commentaire :

  1. amateur_d_aeroplanes

    Tiens, Aur en possible papa poule ? 😇 Pourquoi pas, il y a déjà une charmante  »filleule » 😎

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