Histoire Secondaire 1 : Offensons ceux qui veulent être le Roi
Table des matières
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Histoire Secondaire 1 : Offensons ceux qui veulent être le Roi
Partie 1
« Vous, la bête ! »
Dès qu’il entra dans la pièce, il entendit le cri de la reine alors qu’elle fonçait sur lui avec une dague à la main.
Alors qu’elle le poignardait continuellement dans la poitrine et l’abdomen, elle respirait fortement alors qu’Aur l’avait appelée.
« Êtes-vous satisfaite ? » demanda Aur.
Il ne semblait même pas blessé et il n’y avait aucune trace de sang à l’endroit où elle l’avait poignardé.
« Espèce de monstre…, » cria la reine.
La reine, réalisant qu’il était futile de continuer à le poignarder, laissa tomber son poignard et baissa la tête en abandonnant. Bien que cela fût regrettable pour elle, ce qu’Aur lui montra à l’instant n’était pas son spectacle habituel d’immortalité, mais un tour de magie de base. Si elle connaissait quelque chose à la magie, elle se rendrait compte que c’était un sort d’illusion de base.
Il y avait deux personnes derrière la reine, c’était deux princesses et elles avaient elles aussi des regards de haine vers Aur. L’ancienne reine Olivia avait maintenant 32 ans. Ses filles Patricia et Priscilla avaient respectivement 16 et 12 ans. Ni l’une ni l’autre des femmes n’étaient inférieures à l’autre en termes de beauté, elles étaient toutes les deux des filles très attirantes.
Elles avaient toutes les trois les mêmes cheveux blonds et les yeux bleus. C’était comme regarder la même femme à différentes étapes de sa vie. Priscilla avait encore un visage innocent et ressemblait à un bourgeon de fleur fermé hermétiquement. Ses mains et ses pieds étaient minces et le gonflement de sa poitrine était également assez faible. Au lieu de cela, il y avait ce charme particulier chez elle, elle était comme un petit enfant qui était fasciné par tout ce qui l’entourait.
Au contraire, Patricia était comme une jolie fleur qui était prête à fleurir. Son corps possédait une forme ronde, ses seins et ses hanches étaient modérément courbés, mais ils étaient clairement poussés vers le haut par ses vêtements. Elle protégeait Priscilla derrière son dos, même si son visage était visiblement sombre à cause de la peur, ses sourcils bien en évidence étaient plissés et elle fixait courageusement Aur d’un regard meurtrier.
Si Priscilla est un bourgeon et Patricia une fleur en fleuraison, alors Olivia pouvait être comparée à un bouquet de fleurs mûres. Sa silhouette voluptueuse était étroitement liée par ses vêtements et il n’y avait pas beaucoup de femmes matures qui pouvaient égaler son allure et sa beauté. Bien qu’elle avait déjà donné naissance à deux enfants, son corps ne s’était pas affaissé et elle avait continué à maintenir ses proportions corporelles exquises.
« Tout d’abord, il y a quelque chose que je veux dire, » déclara Aur.
Voyant les trois belles femmes devant lui, il ne put s’empêcher de déglutir instinctivement.
« Je suis désolé. Même si ce que j’ai fait était nécessaire, j’ai quand même tué votre père et je m’en excuse, » Le Roi Démon baissa profondément la tête et s’excusa.
« … Plutôt que de vous excuser, je préfère que vous nous rendiez notre père ! » cria Patricia.
« C’est impossible. Parce que ce que j’ai fait était une nécessité. »
Patricia criait tristement et Aur lui avait répondu de façon décisive.
« Ce pays était en décomposition. Non, même aujourd’hui, il continue de pourrir. Cependant, il n’est pas encore mort. Pour laisser vivre le pays, il fallait tuer le roi, » Aur avait continué. « L’ancien roi était votre mari et votre père. Je suis donc venu m’excuser. Ce qu’il me fallait tuer, c’était le roi et non votre père. »
Entendant ses paroles, la jeune Priscilla éclata en larmes.
« Insinuez-vous que Carus était inapte en tant que roi ? » demanda Olivia.
« Pensez-vous qu’il était compétent ? » demanda Aur.
En lui posant la question en réponse, Olivia garda le silence. Il était évident que le Roi Démon n’avait pas l’intention d’améliorer ce pays. Mais le fait que son défunt mari n’était pas un dirigeant sage était quelque chose qu’elle savait mieux que quiconque.
« Permettez-moi plutôt de vous demander. Carus était-il un bon mari ? » demanda Aur.
« … Bien sûr que oui, » en gardant intentionnellement son regard furieux vers Aur, Olivia lui répondit avec fermeté.
« Oh ? » Aur laissa échapper une voix joyeuse et s’accrocha impudemment à la poitrine d’Olivia.
Quand elle avait essayé de le repousser, elle avait finalement réalisé qu’elle ne pouvait pas bouger son propre corps, et encore moins parler. Inutile de dire qu’elle était déjà sous le charme d’Aur.
Cependant, ces faits n’avaient pas été clairement dépeints à ses filles qui étaient derrière elle.
« Mère… ? » En voyant sa mère se faire toucher les seins si ouvertement, Patricia avait fait entendre une voix avec un certain malaise.
« Même s’il vous est possible de mentir avec votre bouche, ce n’est pas la même chose avec votre corps, n’est-ce pas ? » demanda Aur.
La robe d’Olivia n’était pas assez vulgaire et pourtant elle était assez élégante même si elle montrait une ligne de décolleté ample. Aur avait posé son doigt sur sa robe et l’avait descendue d’un seul coup.
*Burun*. Cela résonna d’un son rebondissant alors que ses deux seins abondants et mûrs tremblèrent et se révélèrent. C’était peut-être encore plus grand que ceux de Lilu, Aur les admirait clairement. Les monticules d’Olivia avaient la forme ronde d’une splendide cloche de temple et même en tenant compte de son âge et de sa taille, ses collines somptueuses ne tombaient guère.
Utilisant ses deux mains pour les saisir, Aur avait massé les seins conformément à ses désirs pendant qu’il continuait à parler.
« Vous me dites que vous avez un corps si splendide et pourtant, Carus vous écoute à peine ? Ça fait combien d’années que vous n’avez pas été enlacée ? » demanda Aur.
Bien qu’Olivia était actuellement dans un état où elle ne pouvait pas parler, elle était à court de mots après avoir entendu Aur parler de toute façon. En effet, il y a bien longtemps que Carus ne l’avait pas emmenée au lit et lui avait fait l’amour, ce qui s’était produit quand elle avait encore 20 ans. Atteignant le sommet de sa féminité, elle n’était même pas capable de protéger sa propre vertu contre un homme et son propre corps était déjà hors de son contrôle.
« Pendant ce temps, la personne en question souhaitait constamment être entourée par son harem de femmes dans le palais intérieur. Négliger une si belle femme comme vous… Même à ce moment-là, allez-vous toujours dire que c’était un bon mari ? » demanda Aur.
Malgré tout, il fallait s’y attendre. La chose la plus importante pour Carus qui était roi était qu’un héritier soit produit pour continuer sa lignée. Olivia avait donné naissance à deux filles consécutivement et elle était déterminée à être une femme qui continuerait à donner naissance qu’à des filles, donc, après avoir donné naissance à Priscilla, elle n’avait plus jamais été appelée dans la chambre.
« En effet, un Roi peut avoir besoin de considérer de telles choses. Cependant, seuls les historiens et la population du pays ont le droit de décider s’il était compétent en tant que roi. En disant cela, comment était-il vraiment en tant que mari et en tant que père ? Est-ce que Carus a vraiment pris soin de vous, les filles ? Vous aimait-il et prêtait-il attention à vos besoins ? » demanda Aur.
Patricia ne pouvait que regarder vers le bas. Carus désirait ardemment après son héritier et après avoir finalement atteint son but, ses filles n’avaient reçu que peu d’attention, voire aucune. Figuria étant un petit pays qui était entouré par le grand pays de Grandiera et le pays religieux de Rafanis, il était très important qu’un héritier existe.
Cependant, n’était-ce pas quelque chose de complètement différent de l’amour d’un père ? Aur ayant clairement divisé ce que cela signifiait d’être un roi et un père, Patricia y avait réfléchi pour la première fois.
« Comment vous sentez-vous, Olivia ? Je parle du fait d’être tripoté par un homme après une si longue période, » demanda Aur.
Grâce aux techniques habiles des caresses des doigts d’Aur, les joues d’Olivia rougissaient et son corps était peu à peu endolori pour l’étreinte d’un homme.
« Pourquoi ne parlez-vous pas franchement à propos de ce que vous pensez de votre Carus, en tant que Roi, en tant que mari et en tant que père… ? » demanda Aur.
« Noooooon !! » cria Patricia.
Patricia avait pris le poignard sur le sol et frappa avec vers le bras d’Aur. En raison de la minceur de ses bras, elle n’avait pas été en mesure de sectionner l’os d’Aur et il avait simplement creusé dans ses bras, mais ce n’était plus une illusion et c’était le vrai corps d’Aur qui avait été endommagé.
Dans son propre esprit, Aur était assez impressionné par la force de son désir à lui résister, mais sans même hésiter son expression, il avait saisi le poignard et l’avait pris à Patricia. En plus du fait que la blessure dans son bras avait guéri, il avait perdu de vue Olivia et son corps était devenu libre.
Cependant, même si elle avait réussi à retrouver sa liberté, tout ce qu’elle pouvait faire était de tenir Patricia dans ses bras pour la protéger de ce qui (lui semblait) être un Aur très en colère.
« S’il vous plaît… Pardonnez-lui, s’il vous plaît, » demanda Olivia.
Rien qu’en expérimentant auparavant le fait qu’elle avait perdu le contrôle total de ses fonctions corporelles au point où elle était incapable de prononcer un seul mot, l’esprit d’Olivia présentait un noyau de peur implanté profondément en elle. Même si elle tremblait, elle était encore capable de tenir fermement Patricia dans ses bras en suppliant Aur de lui pardonner.
« Très bien, alors. Selon votre attitude envers moi, je pourrai peut-être laisser vos deux filles vivre… Cependant, vous devez faire preuve de la sincérité qui convient, » déclara Aur.
Même s’il l’avait dit lui-même, les mots qu’il venait de prononcer étaient tellement cliché qu’il avait poussé un soupir. Pourtant, la paire mère-fille ne pouvait que continuer à faire trembler leur corps. Elles comprenaient le sens de ses paroles. La seule qui ne comprenait pas son intention était Priscilla qui ne pouvait que rester les larmes aux yeux tandis qu’elle fixait la scène en face d’elle.
« … Je comprends… Seigneur… Aur… Alors, s’il vous plaît, venez dans ma chambre…, » déclara Olivia.
« Ce n’est pas nécessaire, » déclara Aur.
Aur s’agrippa au bras d’Olivia en l’amenant dans l’une des chambres vacantes avec un lit au fond.
« Vous, les filles, restez là et regardez. “Il vous est interdit de bouger et de parler”, » déclara Aur.
En regardant les deux filles derrière lui, il imprégna ses paroles d’un pouvoir magique et leur ordonna ça. Ces deux princesses avaient été dorlotées et élevées dans le Palais Royal, elles ne savaient même pas comment utiliser la magie et ne l’avaient certainement jamais eu sur elles auparavant, mais maintenant, elles n’étaient même pas capables de détourner le regard de leur mère ni de dire un mot de plainte.
« Noo... Nooon ! » cria Olivia.
« Alors, est-ce ça, vos vrais sentiments ? » demanda Aur.
Sur le point d’être violée devant ses propres filles, avec son visage était rempli d’horreur, Olivia avait continué à résister violemment, mais Aur se plaça sur le corps et souleva sa jupe.
« … Qu’est-ce que c’est… ? » demanda Aur.
En plaçant ses doigts dans le jardin secret caché par les sous-vêtements, Aur fit entendre délibérément une voix d’étonnement. Si elle était mouillée par la caresse qu’elle avait reçue de lui il y a quelques instants, Aur avait l’intention de commenter ce fait pour l’acculer. Cependant, même au-delà des attentes d’Aur, ses sous-vêtements étaient déjà mouillés comme une inondation, trempant complètement ses sous-vêtements en les tachant.
« Peu importe comment j’y pense, n’est-ce pas ainsi qu’on mouille… ? Eh bien, peu importe. Si vous êtes déjà si mouillée, je n’ai pas besoin de continuer les préliminaires, » déclara Aur.
Tout en continuant à bloquer le corps d’Olivia qui secouait encore son cou en disant « Noonn, Noonn », il lui enleva ses sous-vêtements et après avoir sorti son pénis, il le plongea en elle d’un coup.
« Ahhhh. »
Olivia fit entendre une voix aiguë. Son ton de sa voix se mêlait à son plaisir et après avoir été encore plus étonnée, les mouvements d’Aur devinrent encore plus forts. Au début, il insuffla la peur dans son cœur, mais il lui donna peu à peu le plaisir qui la fit se soumettre à lui. Même si c’était la même méthode qu’il utilisait contre Sharl, le fait qu’elle éprouverait tant de plaisir dès le départ dépassait ses attentes.
« Qu’est-ce que ça fait de goûter un autre homme après si longtemps ? Il semblerait que votre corps se réjouisse ? » demanda Aur.
« Non, vous ne pouvez pas…, » balbutia Olivia.
Elle le refusait humblement, mais il était déjà évident d’après son expression qu’elle était en train de fondre de plaisir. Même son vagin serrait la bite d’Aur avec diligence pour ne pas la lâcher. Il était stupéfait de voir à quel point elle était obscène, mais Aur avait décidé de l’utiliser à son profit.
« Si vous devenez ma chose… Je peux vous offrir ce plaisir autant que vous le désirez. Vous êtes magnifique. Seul un idiot ne ferait pas l’amour avec une si belle femme comme vous, » déclara Aur.
Aur avait immédiatement reformulé la dernière partie de ses paroles à son égard. C’était parce qu’il pensait qu’elle pourrait vraiment demander sa présence tous les jours.
« U, uu... Non, je ne peux pas… ce genre de… chose… Je ne peux pas être infidèle à mon mari…, » déclara Olivia.
Même si son corps se tordait avec l’envie d’en désirer davantage, Olivia répondit ainsi. Le fait qu’elle ressente autant de plaisir et qu’elle puisse encore dire une telle chose était vraiment louable, cependant, le fait qu’elle hésitait tant face à l’homme qui était censé être l’ennemi de son mari était la preuve qu’elle tombait progressivement.
« Quelle chose inhabituelle vous dites ! N’est-ce pas Carus qui vous a trahi en premier ? » demanda Aur.
Alors qu’il frottait des hanches contre Olivia, Aur lui avait posé une question. Comme si cela sonnait comme une cloche, Olivia fit entendre une voix aiguë, alors qu’elle contractait aussi son vagin pendant qu’elle se frottait contre Aur. Elle pourrait bien avoir un corps obscène qui pourrait rivaliser avec Lilu et ce fait avait été apparemment transmis à Aur par son instinct.
S’il la traitait mal, elle pourrait bien devenir la femme la plus gênante de son groupe. Tandis qu’un sentiment de plaisir montait le long de sa colonne vertébrale, Aur avait commencé à recentrer son attention.
« Même si vous avez un corps si merveilleux, Carus vous a complètement négligé et a fait l’amour avec les autres femmes à la place, n’est-ce pas lui qui vous a trahi ? » demanda Aur.
« C-Cependant, tout cela a été fait dans le cadre de ses obligations en tant que Roi…, » déclara Olivia.
Olivia se heurta facilement à la voie d’évasion prédéterminée créée pour elle par Aur.
« Quant à moi, cela ne me dérange pas, peu importe le nombre de filles que vous mettez au monde, » Aur lui avait parlé sur son ton le plus doux pour terminer le tout.
« Hein… ? » s’exclama Olivia.
« Vous avez déjà confirmé vous-même que mon corps ne meurt pas, n’est-ce pas ? En d’autres termes, je n’ai pas besoin de produire un héritier. Vous n’avez qu’à me dédier votre beau corps, je ne fais pas de distinction entre un enfant mâle et une fille. Je m’assurerai aussi d’enseigner à vos deux filles le plaisir d’être ma femme. Je leur permettrai aussi de donner naissance et en tant que princesse de ce pays, je permettrai au prince de continuer la lignée de Carus. Autrement dit, vous ne serez pas infidèle à votre mari. En fait, vous serez félicité pour le fait que vous avez été en mesure de continuer la lignée de sang de la famille royale pour la prochaine génération. »
Ses paroles diaboliques qui n’étaient pas reconnues par Olivia jusque-là pénétrèrent soudainement dans les recoins de son esprit et animèrent son cœur.
Les paroles d’Aur lui étaient chuchotées, corrompant son esprit tel un poison extraordinaire.
« Je n’ai aucune intention de garder l’enfant de Carus que les concubines de son harem ont mis au monde dans mon Palais Royal. Le seul qui continuera la lignée de sang sera vos enfants, » déclara Aur.
C’était un poison merveilleux et doux. Elle était née avec une beauté que tout le monde enviait, et à l’âge de 14 ans elle était déjà érigée en épouse légitime du roi. Tout en continuant à se comporter modestement et avec élégance, elle avait toujours été consciente quant au fait de garder intactes les valeurs d’une femme.
Cependant, elle avait tout perdu dès le moment où elle n’avait pas pu donner naissance à un garçon lors de sa deuxième grossesse. Poussée à vivre dans le palais intérieur, elle était censée être une femme brillante de 20 ans, mais elle avait été forcée de vivre une vie fastidieuse jour après jour. On se moquait d’elle parce qu’elle était incapable de concevoir un héritier, elle n’était même pas considérée comme une femme par son propre mari et elle avait été forcée de vivre une vie sans couleur. Sa fierté avait été battue et brisée en morceaux.
Malgré cela, elle n’avait jamais détesté ses propres filles bien-aimées. Sa haine n’était tournée que vers l’homme qui lui avait fait ça et la société dominée par les hommes. « S’il aimait tant les hommes, pourquoi n’a-t-il pas simplement couché avec un autre homme », c’était quelque chose à quoi elle avait pensé plus d’une fois. Sa vie de femme lui avait été refusée jusque-là, mais elle était maintenant pleinement acceptée par Aur.
« Oui… Seigneur Aur. S’il vous plaît, utilisez-moi comme vous voulez, laissez-moi concevoir beaucoup d’enfants venant de vous, Seigneur Aur. »
En versant ses larmes, Olivia avait avalé le poison qu’on lui avait offert.
***
Partie 2
« Alors, Patty, viens par ici. Recevons l’amour du Seigneur Aur ensemble, » déclara Olivia.
Même si elle disait « non, non, non », les pieds de Patricia s’approchaient du lit un pas à la fois. De toute évidence, sa mère avait perdu la raison et même si elle était appelée avec la voix douce habituelle qu’elle entendait normalement de sa mère, elle était toujours frappée de peur.
Voyant à quel point cette fille avait peur quand elle s’approchait de lui, Aur imagina une autre méthode. Ce serait simple de la rendre accro au sexe en utilisant la magie ou même l’hypnose comme il l’avait fait avec sa mère, mais ce serait trop simple et ennuyeux.
« Viens ici chérie, tu dois accepter le gros pénis du Seigneur Aur et lui offrir ta place spéciale. Ça peut faire un peu mal au début, mais ça va bientôt être incroyablement bon, » déclara Olivia.
Olivia enlaça Patricia de près par-derrière et étendit les jambes de sa fille pour Aur. Un sous-vêtement simple et joli était apparu devant Aur, alors le visage de Patricia avait eu des crampes.
Voyant cette allure, Aur avait réfléchi à une idée. Si c’était la fille d’Olivia, elle pourrait peut-être le faire.
« Ne veux-tu pas que je te fasse l’amour ? » demanda Aur.
« Ne… N’est-ce pas évident !? » Réalisant qu’elle pouvait parler, Patricia hurla sa réponse avec conviction.
« Dans ce cas, faisons un pari, d’accord ? » demanda Aur.
En utilisant sa magie, Aur avait obtenu une bougie et claqua ses doigts. Puff, le chandelier s’était allumé avec du feu présent et il le plaça sur la table de nuit.
« Cette bougie s’éteindra dans 30 minutes environ. Je n’utiliserai rien d’autre que mon doigt, de plus je ne toucherai pas ton lieu intime. Dans ces conditions et au moment où la bougie s’éteindra, si je peux te faire dire volontairement “viole-moi”, ce sera ma victoire. Si tu peux le supporter, ce sera ta victoire, » déclara Aur.
« … Très bien. Je vais accepter cette offre, » déclara Patricia.
Patricia répond de façon décisive. Même s’il ne s’agissait que de ses doigts, elle détestait cet homme au plus profond de son être et ne voulait pas qu’il la touche. Cependant, si elle ne l’avait pas accepté, il était probable qu’elle aurait été violée à ce moment-là. Cet homme croit dans le talent de ses doigts, mais peu importe le plaisir qu’elle éprouvait, elle était convaincue qu’elle n’allait jamais prononcer ces mots.
« Cependant, j’ai mes propres conditions. Quand je gagnerai, vous libérez ma jeune sœur Priscilla et ma mère. De plus, vous devrez annuler tout sort magique suspect que vous leur avez jeté. Ça ne vous convient-il pas ? » demanda Patricia.
« Très bien. Olivia, tu vas là-bas, » ordonna Aur.
Il acquiesce d’un signe de tête calme et accepte ses conditions. Olivia bougea à contrecœur et se leva du lit.
« Je vais faire une prophétie. Tu prendras volontiers ma chose à l’intérieur de ton corps, » déclara Aur.
« Cela n’arrivera pas… Vous avez l’air d’avoir confiance en vous, n’est-ce pas ? Avez-vous prévu un tour ? » Niant aussitôt ses paroles, Patricia avait gardé son sang-froid et lui avait posé une question en retour.
Le feu avait déjà été allumé sur la bougie. Si elle continuait à traîner dans la conversation, elle s’était rendu compte que cela réduirait le temps qu’Aur aurait à lui consacrer pour la tourmenter.
« Il n’y a rien que j’appellerais un tour ou un secret. Même si je ressemble à ça, j’ai accumulé de l’expérience bien au-delà de mon âge prévu. On pourrait appeler ça la sagesse d’un vieil homme, » répondit Aur.
« Plutôt comme si vous étiez un grand-père pervers, » déclara Patricia.
Patricia déclara cela et peut-être qu’Aur avait trouvé gênant d’être traité comme un vieux grand-père, car son visage avait froncé légèrement les sourcils.
« En vérité, quel âge avez-vous ? » demanda Patricia.
« Eh bien, je n’ai pas vraiment compté exactement… Mais, on pourrait dire que j’ai plus de 80 ans, » répondit Aur.
« 8… 80 !? » s’exclama Patricia.
Patricia était restée sans voix. Même si elle avait dit avec sarcasme qu’il était un grand-père pervers, elle pensait qu’il aurait environ 30 ans ou 40 ans au maximum. Cela ne se limitait pas à avoir l’air jeune.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? Êtes-vous en train de dire que vous êtes immortel ? » demanda Patricia.
« Eh bien, on peut dire ça. En disant cela, cela ne veut pas dire que je vivrai à l’infini. Il y a une limite à ce que vous puissiez faire pour vous rajeunir et paraître jeune. Plus le temps passe, plus l’énergie magique nécessaire pour soutenir le sort augmente de façon exponentielle, » expliqua Aur.
« Combien d’années pouvez-vous vivre ? » demanda Patricia.
Patricia l’interrogea dans l’espoir que ce ne serait pas très long. Si le règne d’Aur devait se terminer d’ici une dizaine d’années, il y aurait encore de l’espoir pour l’avenir de ce pays.
« Un magicien de première classe pourra prolonger sa vie pendant plusieurs décennies. Même pour quelqu’un comme moi, je ne peux prolonger ma vie que de quelques centaines d’années au mieux. Je n’atteindrai pas l’âge de 1000 ans, » répondit Aur.
En entendant la réponse, Patricia était devenue déprimée et elle s’était tapoté les joues pour s’animer. C’était peut-être parce que la bougie était allumée à côté d’elle depuis un certain temps, mais elle se sentait étrangement chaude d’une certaine façon.
« Alors, on commence ? » demanda Aur.
Après s’être parlé pendant une longue période, la bougie était déjà à la moitié de sa longueur. Avec cette victoire pour elle avait été assurée. Patricia était convaincue de sa propre victoire. Elle n’avait plus qu’à se retenir de parler. Même si la condition de sa défaite était un ensemble spécifique de mots, elle ne voulait pas non plus qu’il entende sa respiration.
Comme une sorte de couteau, le doigt d’Aur déchira les vêtements de Patricia. Sans même lui causer une égratignure sur le corps, Patricia s’était vite retrouvée complètement nue.
« Qu…, » s’exclama Patricia.
« Je n’ai utilisé que mon doigt, » déclara Aur.
Aur leva son index et le montra à Patricia. Et puis il utilisa son doigt dans cet état et le pressa contre ses seins modestes et ses mamelons effilés.
« Hyaah !! » cria Patricia.
Le doigt qui coupait facilement ses vêtements… En pensant que cela pourrait la blesser, elle se concentra sur l’endroit qui avait été touché et une sensation inattendue chatouilla tout son corps pendant que Patricia fit entendre une voix aiguë.
« Quoi, était-ce… ? » s’exclama Patricia.
N’ayant jamais ressenti quelque chose comme ça, Patricia était à la fois effrayée et perplexe.
« Il semblerait que tu sois déjà assez excitée. Tu es si tendue comme ça, » déclara Aur.
Aur pinça lentement les tétons.
« Fuaaaaaahhhh !! » cria Patricia.
Avec juste cela, le corps de Patricia s’était courbé vers l’arrière. En un rien de temps, tout son corps était devenu brûlant et elle respirait brutalement.
« Qu’est-ce que vous avez fait… ? » demanda Patricia.
« Rien. C’est juste que la sensibilité de votre corps est bonne. Comme prévu de la fille d’Olivia, » déclara Aur.
« Ne dites pas de mal de ma Mère… Hyaaaaaah !! » cria Patricia.
Ses sourcils étaient plissés et elle était sur le point de répondre, mais, ressentant le plaisir qu’Aur avait produit dans son corps, elle ne pouvait même pas répondre avec colère.
« Je ne le dis pas dans le mauvais sens. Je vous loue. Pour une vierge, ce désordre est très rare. Comme on s’y attendait de quelqu’un qui possède le sang de la royauté, » déclara Aur.
« Fuaaah, N-Noonnn, vous ne pouvez pas faire les deux… des deux Ahhhh, » balbutia Patricia.
Il lui avait caressé les deux seins avec ses doigts, il l’avait caressée avec amour et tendresse et elle commençait à perdre son sens de la raison.
« Comment est-ce ? Avez-vous commencé à désirer ma chose ? » demanda Aur.
« Qui... Qui aurait pu… Fuahhhhhhh ! »
Même si elle essaie de répondre courageusement, le regard de Patricia avait été cloué sur le pénis qu’il avait sorti. Il était rouge foncé et couvert du jus d’amour d’Olivia. Les secousses et les battements du pénis étaient la chose la plus indécente selon elle.
Même s’il avait l’air grotesque, elle avait l’impression qu’il avait aussi l’air très puissant et dur, Patricia avala instinctivement sa salive.
Son entrejambe était déjà trempé et son corps était prêt à l’accueillir. Cependant, elle s’empêchait de dire les mots, avec sa volonté de fer.
« Pourquoi n’essayez-vous pas de le dire ? Même si vous le dites maintenant, cela ne sera pas considéré comme votre défaite et je ne vous violerai pas. C’est juste de l’entraînement. Quand vous voudrez admettre ta défaite plus tard, mais que vous ne l’avez jamais dit avant, ne serait-ce pas troublant ? “S’il vous plaît, violez-moi”, essayez de dire ces mots, » déclara Aur.
« Vio… ! !? »
Ses pensées se trouvaient désordonnées par le plaisir, Patricia agissait de façon irréfléchie comme si elle écoutait ses ordres.
Cependant, dès qu’elle avait prononcé le mot « Vio », elle s’était rendu compte qu’elle ne pouvait pas prononcer les mots suivants et elle était devenue en état de choc.
« … ! … Uhn ! »
Peu importe à quel point elle voulait dire les mots, ils ne voulaient pas sortir. Patricia était devenue désespérée alors qu’elle essayait de prononcer les mots. Cependant, peu importe combien elle essayait, elle ne pouvait pas dire les mots.
« Fumu... Il semble que vous soyez une fille forte et décidée, » déclara Aur.
Jetant un coup d’œil à la bougie, Aur murmura ces mots. Il restait à peine beaucoup de temps à la bougie. Si les choses se passaient ainsi, Patricia remporterait la victoire… Remarquant ce fait, elle avait été choquée.
Je vais gagner ? Juste comme ça ? Même si mon corps en a tellement envie ?
Tout son corps rougissait, elle voulait être violée en ce moment. Elle était sur le point de devenir folle de plaisir. Aur retira brusquement ses mains et arrêta de caresser son corps. Quand il avait fait cela, ses envies étaient devenues encore plus amplifiées. C’était presque comme si son corps ressentait une démangeaison qu’il fallait gratter, son entrejambe était douloureux, elle ne pouvait plus se retenir.
« … ! »
Même si elle le désirait tant, le mot « Violez » ne quittait pas de sa bouche. Elle voulait être violée. Elle voulait que ce membre la perce et lui ravisse sa virginité. Parce qu’elle ne pouvait pas parler, cela ne faisait qu’alimenter encore plus ses désirs.
« Est-ce l’heure ? Il semblerait que le pari s’est terminé par votre victoire, » déclara Aur.
La flamme de la bougie avait cessé de brûler et avait disparu. Cependant, elle ne se souciait plus de telles choses. Les flammes de sa passion brillaient, Patricia ne pouvait plus penser à autre chose qu’à faire l’amour avec Aur. Néanmoins, sa voix ne s’était pas fait entendre. Elle avait finalement enlacé Aur d’elle-même et lui avait offert son jardin sacré.
« Ahhhh… ! »
Une voix d’une grande joie passa à travers sa gorge. Sentant qu’elle était enfin capable de se gratter, elle se sentait extrêmement bien. Bien que la preuve de sa virginité coulait de son entrejambe, plutôt que de dire que c’était douloureux, le plaisir qu’elle ressentait était beaucoup plus fort.
« Vous avez gagné votre pari, donc vous n’avez pas besoin d’être violée. Est-ce que vous le savez ? » demanda Aur.
« C’est tellement bon, ce genre de chose n’a plus d’importance… Je m’en fous ! » déclara Patricia.
Patricia plaça ses bras autour du cou d’Aur et avait sérieusement commencé à bouger sa taille. Chaque fois qu’il la pénétrait, son esprit s’engourdissait et cette douce sensation électrisante se répandait dans tout son corps comme un éclair. Elle n’avait jamais goûté un tel plaisir depuis sa naissance et elle en convoitait davantage, profondément et innocemment.
« Comme prévu, vous êtes vraiment la fille d’Olivia, n’est-ce pas ? Il n’était peut-être même pas nécessaire d’utiliser l’aphrodisiaque, » en jetant un coup d’œil à la bougie, Aur murmura.
Cependant, ses paroles n’atteignirent plus les oreilles de Patricia.
« Ahh, Ahhhhhhhhh, non, je n’en peux plus ! » cria Patricia.
Patricia avait atteint sa jouissance et se déplaçait en rythme. On pouvait le voir à la façon dont elle arquait son dos, Aur s’enfonça profondément en elle alors qu’il laissa sortir son sperme à l’intérieur d’elle. La personne en question avait elle-même dit que « rien de tout cela n’avait d’importance », donc évidemment, l’accord qu’il avait conclu avec elle il y a quelques instants était totalement annulé.
Que vais-je faire de la dernière fille ? Aur la regarda, mais sa mère avait déjà trifouillé son jardin secret, et l’expression de Priscilla était déjà complètement fondue de plaisir.
« Seigneur Aur, tous les préparatifs sont terminés, » déclara Olivia.
Olivia lui avait fait un sourire envoûtant et Aur devint encore plus étonné d’elle. Quelle combinaison inconcevable de mère et de filles obscènes !
***
« Seigneur Aur, pluuuusss, plus profond, s’il vous plaît, montrez-moi votre affection… s’il vous plaît permettez-moi de donner naissance à vos enfants royaux… !! » déclara Olivia.
« Seigneur… Aur… ! Moi aussi, s’il vous plaît, versez de votre sperme en moi ! Je veux donner naissance à un enfant… je veux qu’il ait le même âge que le bébé, ohhhh, de maman ! » déclara Patricia.
« Seigneur Aur, Moooii aussi, permettez-moi de donner naissance à plein de bébés… Je veux aussi accoucher avec ma mère et ma grande sœur ! » déclara Priscilla
Les trois filles se ressemblaient, elles rivalisaient d’affection pour obtenir son attention et secouaient leur cul blanc, souhaitant le sperme d’Aur.
« Oui. Je m’assurerai que vous conceviez mon enfant. Je vous ferai donner naissance à des filles et je ferai aussi concevoir ces filles. Et ensuite, je m’assurerai que la lignée de Carus remplisse cette terre pour l’éternité, » déclara Aur.
« Ahhh… Merveilleux, » Olivia respira profondément et murmura comme si elle était envoûtée. En récompense, Aur avait sorti son pénis de Patricia et transperça Olivia avec.
« Ahhhh, Seigneur Aur, vous êtes si merveilleux… Montrez-moi les joies d’être une femme… Ahhn, s’il vous plaît, apprenez-moi cela encore plus…, » secouant son cul et ses seins d’une manière séduisante, Olivia était haletante.
« Ahn, Seigneur Aur, vous ne pouvez pas l’enlever… Si vous voulez laisser la lignée de père ici, vous devez me mettre enceinte… Si c’est avec maman, sa lignée sanguine ne sera pas transmise, n’est-ce pas ? » Patricia se retourna pour la regarder en affichant un visage boudeur et elle emmêla son corps avec celui d’Aur.
« Seigneur Aur, ici aussi… Parce que j’ai quatre ans de moins que ma sœur aînée, je peux concevoir quatre bébés de plus qu’elle. Par conséquent, s’il vous plaît laissez en sortir plus à l’intérieur de moi, » Priscilla fit ramper son petit corps à côté de lui et elle commença à lécher le vagin d’Olivia qui laissait fuir le sperme d’Aur.
« Ne vous inquiétez pas, je vous mettrai tous enceintes sans faute. Mettez-vous en ligne, » déclara Aur.
Réagissant à ses paroles, elles avaient fait entendre des voix flirteuses et les deux filles s’étaient alignées à côté d’Olivia et avaient poussé leurs hanches. Aur versa séquentiellement son sperme dans les trois beautés et avait procédé pour qu’elles le servent tout à fait, collant son liquide trouble sur leurs jolis visages.
En voyant l’expression ravie par l’extase chez chacune des femmes, Aur expira. Après 10 mois et 10 jours, ces femmes donneraient probablement naissance à un bébé énergique. Si elles avaient donné naissance à ses enfants, il ne serait plus possible pour ceux qui voulaient faire usage de leur nom de se dresser contre Aur.
Si un enfant avec le sang de Carus et d’Aur devait naître, la position d’Aur en tant que roi se solidifierait. Quand ce moment arrivera, toutes les formes de révolte qui étaient en train de bourgeonner pouvaient être arrachées des racines.
C’était assez difficile pour lui de régner sur les hommes. C’était beaucoup plus facile de s’occuper des démons dans son donjon. Juste au moment où il pensait à quel point le palais royal était chaud et lumineux et à quel point le donjon souterrain était sombre et froid, quelque chose de chaud s’enroulait autour de sa bite.
« Monseigneur, si vous n’en versez pas plus en moi, je ne pourrai pas porter votre bébé, » quand il avait baissé les yeux, Olivia tenait encore sa chose dans sa bouche.
« Non, la prédiction d’un magicien est très précise. Un bébé est très certainement, à l’intérieur de votre ventre…, » déclara Aur.
« Ce n’est pas juste que vous ne faites attention qu’à maman. Je veux aussi faire l’amour avec le Seigneur Aur plus souvent, » interrompant la phase d’Aur, Patricia s’accrocha à lui.
« Oui, j’en veux aussi pluuusss ~ ! » Priscilla s’était plainte en tirant sur le bras d’Aur.
Dans le Palais Royal, il ne pouvait pas accéder à l’énergie magique de son donjon. Yunis et Lilu étaient aussi dans le donjon. Le mana était ce qui composait l’intérieur du corps d’Aur. Ça ne marcherait pas s’il épuisait ses réserves. En d’autres termes, à partir de maintenant, il devait utiliser sa propre endurance physique.
Ces filles étaient peut-être des succubes apparaissant sous une forme humaine…
Les femmes royales qui étaient alignées sur son lit avaient fait frissonner le Roi Démon.