Maou No Hajimekata – Tome 1 – Chapitre 10 – Partie 3

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Chapitre 10 : Faisons ressentir le désespoir aux aventuriers avides

Partie 3

« Ah, Ahh, Alan, Alan... ! »

Alan était allongé sur le lit et Nadja bougeait ses hanches en concentrant toute son attention sur lui. Depuis leur première fois, ils avaient fait l’amour de nombreuses fois, et elle ne ressentait plus aucune sensation de douleur. Tous les deux s’étaient laissés aller contre le corps de l’autre sans réserve, absorbés par leur propre convoitise.

Le jour où elle avait perdu sa chasteté, après que Nadja se soit réveillée de sa perte de conscience, la silhouette d’Alan n’était pas visible. Après que Nadja se soit levée, quelques minutes s’étaient écoulées avant qu’une elfe noire vienne lui donner le petit déjeuner et après cela, environ une demi-journée s’était écoulée et Alan était revenu avec la livraison de son repas du soir.

Alan était évasif quand elle lui avait demandé ce qu’il avait fait lors de leur séparation. Nadja pensait que « s’il ne voulait pas me le dire, je ne vais pas non plus le forcer à le faire ». Bien qu’elle ait arrêté de lui demander, il était évident qu’elle s’inquiétait pour lui.

Après avoir dîné ensemble, les deux individus s’étaient enveloppés dans les bras de l’autre et étaient redevenus intimes. S’endormant après avoir fait l’amour, elle s’était réveillée alors qu’Alan n’était plus là. Ce genre de mode de vie s’était répété à maintes reprises au cours des derniers jours.

Dans tous les cas, la vie en prison était remplie de temps libre. À l’intérieur d’une prison aussi petite et étroite, elle ne pouvait rien faire. Pour l’instant, afin que son corps ne s’affaiblisse pas, elle faisait de la musculation, des exercices comme des pompes et des redressements assis, mais il y avait une limite à ce qu’elle pouvait faire sans l’équipement approprié, en plus du fait qu’elle était dans cette petite pièce. Elle avait essayé toutes sortes de choses pour s’échapper, comme utiliser la coutellerie pour desceller les pierres du mur ou simplement essayer de crocheter la serrure, mais tous ses efforts avaient été vains.

Il était probable que les serrures et les murs étaient tous renforcés de magie. Au contraire, chaque fois qu’elle utilisait une cuillère ou une fourchette pour creuser les murs ou les serrures, les ustensiles étaient ceux qui étaient endommagés lorsqu’ils se pliaient et se brisaient.

L’elfe noire qui lui apportait ses repas lui avait dit « essaye encore une fois, et je te ferai boire cette soupe chaude à mains nues ». En étant menacée de cette manière, elle avait renoncé à toute autre tentative de ce genre.

Si l’on excluait le fait qu’il y avait tant de temps libre, la vie de prisonnier était très confortable. Bien que les repas aient été simples, elle avait été fournie en bonne quantité et il y avait assez de saveur. Et aussi, les repas sur le menu étaient différents chaque jour.

À la fin du petit déjeuner, la vaisselle était recueillie et un seau rempli d’eau chaude et un linge étaient fournis afin de nettoyer son corps. Normalement, dans sa vie de femme épéiste, elle utilisait rarement de l’eau chaude et ne prenait un bain qu’occasionnellement, mais récemment elle avait des rapports sexuels fréquents avec Alan et il était naturel pour elle d’avoir peur d’avoir la peau sale. Passant beaucoup de temps, elle nettoyait chaque recoin de son corps.

Ses excréments étaient ramassés deux fois par jour et étaient toujours échangés contre un pot neuf et propre. Quoi qu’il en soit, au moment où Alan n’était pas là, le simple service offert par la femme elfique pour échanger le vase était un ajout bienvenu. Comme on pouvait s’y attendre, elle ne voulait pas qu’un homme voie ce genre de chose. Et si la personne était quelqu’un qu’elle aimait, ce serait encore pire.

À part manger ses repas, il n’y avait pas grand-chose d’autre à faire, et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle se sentait déjà comme si elle était dans cette prison depuis de nombreuses années. Les jours amusants d’aventure avec Alan et les autres semblaient très lointains comme si c’était un rêve brumeux et incolore... elle perdait le contact avec son sens de la réalité.

Durant cette période, seul Alan avait pu lui donner une tranquillité d’esprit. Elle l’avait embrassé et était devenue dépendante de lui, il était son réconfort. Quand elle était dans ses bras, elle se sentait soulagée du fond du cœur, allant même jusqu’à penser qu’elle se sentirait heureuse si ce style de vie se poursuivait pour toujours.

*Bzzzz Bzzzzzzzz*

La seule chose qui avait jeté une ombre sur sa vie, c’était le scintillement et le flou qui avaient ébranlé son champ de vision. Sa vue était déformée momentanément et il y avait aussi ce bruit anormal qui assaillait ses oreilles. Alan ne semblait pas être affecté par ce symptôme particulier. Était-ce peut-être sa propre maladie ? Ou peut-être qu’était-ce une malédiction qui avait été jetée sur elle... ? Au début, elle pensait que tout cela était dans sa propre imagination, mais la fréquence de ce phénomène augmentait graduellement, et elle était incapable d’effacer ce sentiment d’inconfort de son esprit.

« A-Alan..., » murmura Nadja.

Comme si elle lui demandait de l’aide, elle s’approcha de son visage et lui caressa les joues avec sa main.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda Alan.

*Bzzzz Bzzzzzzzz*

Au moment où elle était sur le point de l’embrasser, sa vision s’était encore brouillée. Nadja leva les yeux dans la panique et secoua la tête.

« Es-tu sur le point de jouir ? Je vais aussi... jouir ! » demanda Nadja.

Tout en ressentant la sensation chaleureuse de voir ce sperme versé à l’intérieur de son utérus, elle était en train de reconsidérer ce qu’elle venait de voir.

Dans sa vision floue, quand elle avait regardé le visage d’Alan...

Ce qu’elle avait vu était un homme complètement différent !

Minuit. Il n’y avait pas de lumière dans la pièce, l’écoulement du temps dans un endroit souterrain comme celui-ci était obscur, donc en utilisant les heures des repas comme une approximation, il était probable que c’était tard dans la nuit. À côté de Nadja qui était allongée sur le lit, Alan avait lentement relevé son corps.

Pour qu’il ne réveille pas Nadja, la porte de la prison s’était ouvert en douceur et il était sorti.

Confirmant la situation en ouvrant les yeux finement, Nadja avait commencé à ouvrir les deux yeux en grand. Nadja avait fait semblant de perdre conscience en mimant son comportement habituel après avoir fait l’amour. Elle était convaincue que l’homme qu’elle pensait être Alan pendant tout ce temps était en fait une personne complètement différente.

Elle soupçonnait qu’une sorte de magie noire avait été jetée sur elle. Quand elle y avait bien réfléchi, la seule fois où elle avait eu une vision floue, c’était quand elle était avec Alan. Ce n’était pas une anomalie dans son corps ou une maladie, c’était une réaction normale. Cela se produisait au moment où la magie se défaisait.

Nadja s’accrocha à la porte de la cellule de la prison aussi adroitement qu’un chat et poussa la porte doucement. Elle n’était pas verrouillée. L’elfe noir viendra probablement le fermer plus tard. Nadja avait sorti le couteau à couverts qu’elle cachait dans la manche de ses vêtements, elle s’agrippa à ses longs cheveux et les coupa à la racine. Bien qu’il s’agissait d’un couteau de coutellerie qui ne pouvait pas être considéré comme une arme, il était tout de même capable de couper les cheveux facilement.

En enroulant ses draps de lit, elle les avait fait prendre la forme d’un humain. De plus, elle avait utilisé les cheveux qu’elle venait de couper comme camouflage, ce qui leur donnait une apparence plus réaliste. Avec cela, si quelqu’un le regardait de loin, on aurait l’impression qu’elle dormait dans son lit.

Nadja était sortie de prison en douce et avait marché dans le couloir du donjon. Quand elle était entrée pour la première fois dans le donjon, le niveau dans lequel elle était empestait de cadavres et de corps qui était dispersé ici et là. Cependant, à l’endroit où elle se trouvait actuellement, il ressemblait davantage au couloir d’un palais royal. C’était extrêmement propre et pas un seul grain de poussière ne pouvait être vu.

Quand elle était en prison, cela ne la dérangeait pas vraiment qu’il fasse si sombre, mais le long des murs de ce couloir, la lumière était faiblement émise. Bien que même sans beaucoup de lumière, elle serait encore capable de marcher sans problèmes, la lumière était faible et cela convenait à Nadja.

S’en remettant à son intuition, elle avança dans le donjon, trouvant une porte qui s’éclaira, Nadja s’approcha en douce et jeta un coup d’œil à l’intérieur. À l’intérieur, il y avait cet homme aux cheveux d’or foncé assis sur une grande chaise. Il dormait peut-être, mais ses yeux étaient fermés et il ne bougeait pas d’un pouce sur la chaise.

C’est ce type ! Le cœur de Nadja brûlait de colère. Le visage de l’homme qu’elle avait vu de l’autre côté de l’illusion était lui, sans aucun doute cet homme qui était assis sur cette chaise. Cet homme était celui qui se faisait passer pour Alan, et qui avait couché avec Nadja un nombre incalculable de fois, versant son sperme à l’intérieur de son ventre.

L’esprit de Nadja était rempli de dégoût, et elle était poussée par l’impulsion d’entrer dans la pièce et de tuer cet homme, mais en utilisant sa volonté endurcie elle avait réussi à réfréner ses pensées. Ce qu’elle devait faire en ce moment, c’était chercher le vrai Alan et l’aider à s’échapper.

Nadja se sépara discrètement de la porte et recommença son exploration. Pour une raison ou une autre, son intuition était vraiment aiguisée ce soir. Sans que personne s’en aperçoive, elle avait réussi à avancer dans le couloir. Nadja avait réussi à trouver un gobelin qui montait la garde avec une lance et fixait le mur.

Derrière les gobelins, il y avait une porte grossière en bois, et un trousseau de clés était suspendu à la taille du gobelin.

Il doit être derrière cette porte ! L’intuition de Nadja le lui avait dit. Elle avait couru vers le gobelin comme le vent et en attrapant son petit cou, elle l’avait tordu de toutes ses forces. Se faisant briser le cou, le gobelin n’avait même pas été capable d’élever un cri avant de mourir avec une rapidité surprenante.

En enlevant le trousseau de clés sur sa taille, elle avait commencé à utiliser les clés sur la serrure. Les première et deuxième clés avaient échoué, mais la troisième clé avait réussi à ouvrir la porte avec un *clic*.

« Alan ! » déclara-t-elle.

À l’intérieur de cette petite pièce, il était là alors qu’il était assis sur cette chaise grossière. Détachant les cordes qui lui liaient les bras, et criant encore une fois son nom, il leva lentement et douloureusement les yeux vers elle.

« Nadja... ? » demanda Alan.

« Ouais, Alan, c’est moi... ! », déclara Nadja.

Nadja lui avait serré fermement la poitrine dans ses bras. Il semblerait qu’il n’ait pas été traité aussi bien que Nadja l’avait été. Sa couleur de cheveux avait perdu sa brillance, et son corps semblait aussi un peu plus mince, mais sans aucun doute, c’était le vrai Alan.

« Viens, fuyons. Pour l’instant, nous devons nous enfuir et nous réorganiser. Bien qu’il puisse être difficile pour nous de nous échapper sans armes, si nous travaillons tous les deux ensemble, je pense que nous pouvons y arriver. Si nous avons de la chance, nous pourrions même rencontrer du matériel ou peut-être même Sharl et Wikia, » déclara Nadja.

« ... Il n’y a pas besoin de faire ça, » déclara Alan.

En disant quelque chose d’inattendu, il leva le visage et ses pupilles fixaient Nadja. En un instant, Nadja oublia tout et le regarda dans les yeux, qui le regardaient dans les profondeurs de son âme.

« Je suis le maître de ce labyrinthe. Et je suis aussi ton maître... Tu as caché ton passé et tu t’es mêlée au groupe d’aventuriers. Tu as travaillé très dur, n’est-ce pas, Léona, » déclara Alan.

L’homme lui caressa doucement les cheveux et c’est à ce moment que Nadja « se souvint » de tout.

« Ahh... Seigneur Aur, » déclara Nadja.

La personne devant elle n’était pas Alan. C’était Aur. La personne qu’elle avait aimée le plus depuis longtemps, le visage de la personne qui l’avait embrassée pendant qu’elle était en prison, la personne qui l’avait réconfortée, c’était la figure devant Nadja en ce moment.

« Tu as sacrifié tes beaux cheveux pour moi ? Mais, même avec tes cheveux courts, tu es aussi belle. Je réparerai correctement tout cela pour toi plus tard, » déclara Aur.

Nadja était tenue dans les bras d’Aur, et comme si elle se sentait soulagée, Nadja ferma les yeux. Et ainsi, elle avait commencé à s’endormir.

« ... Est-ce fini ? » Après avoir attendu le bon moment, Ellen et l’une des elfes noires étaient entrées dans la pièce.

« Tout à fait. Emmène-la dans la chambre, cette fois. Bien que je lui jetterais une autre malédiction plus tard, il est peu probable qu’elle me résiste encore, » déclara Aur.

En remettant le corps de Nadja à la jeune elfe noire, Aur avait répondu à sa question. Ellen resserra ses sourcils ensemble et après avoir réfléchi pendant un petit moment, elle avait franchement posé une question.

« Mon Seigneur, bien que je ne le comprenne pas très bien, mais cette fille était-elle à l’origine l’une des subordonnées de mon Seigneur ? » demanda Ellen

« Ce n’est évidemment pas le cas, » répondit Aur.

Aur avait affiché un petit sourire à la question d’Ellen.

« Bien qu’un épéiste n’utilise pas de magie, c’est un peu gênant en soi. Il y a étonnamment beaucoup d’épéistes qui sont capables de supporter des attaques magiques avec la puissance de leur volonté, » répondit Aur.

Assis sur la chaise, Aur avait commencé à révéler le secret. La chaise rudimentaire présente jusque là s’était soudain transformée en une énorme chaise avec un accoudoir capable de supporter tout le corps d’Aur.

« Par conséquent, même si une malédiction était placée sur elle pour limiter son hostilité, elle ne serait pas complètement efficace. C’est le genre de personnes qui, même maudites par un sort qui fait ressentir une douleur extrême à tout le corps, se battraient comme si rien ne s’était passé. D’un autre côté, la magie qui déformait sa vision était plus susceptible d’être efficace, alors cette fois, j’ai frappé à sa faiblesse. Ajouté au fait que j’utilisais ce visage, » expliqua Aur.

Aur avait prononcé une incantation et la forme de son visage s’était déformée. Ses cheveux brillaient d’une couleur dorée, et son visage mince suffisait à être pris pour une femme. C’était le visage d’Alan.

« Se déguisant en cet homme, cette fille savait qu’elle avait été violée, » déclara Aur.

Quand Aur avait soudain déclaré à Ellen. « Menace-moi avec cette lance et emmène-moi en prison », Ellen avait presque cru que son Seigneur était devenu fou d’avoir vécu trop longtemps dans ce donjon souterrain, mais tout devenait clair maintenant.

« Regarde attentivement, » déclara Aur.

« Nn... Nnnn ? » demanda Ellen.

Ellen ressent un sentiment d’incongruité avec le visage d’Aur. Mais elle n’avait pas pu identifier ce que c’était.

« Comment est-ce ? » demanda Aur.

« C’est... c’est... c’est... c’est... ? » répondit Ellen.

Quand elle l’avait finalement remarqué, Aur était déjà revenu à son ancien visage. Cheveux ambrés et yeux brun clair. Le visage qui était montré là était masculin. Peu importe ton apparence, c’était l’Aur habituel à tous points de vue.

Cependant, Ellen ne pouvait pas dire s’il était revenu à son apparence habituelle.

« Petit à petit, j’ai changé de visage très légèrement. Les humains... Eh bien, elfes inclus, ce que nous avons tous appelé la perception est une chose très intéressante. Si les changements ne sont que légers, il n’est pas facile de remarquer les différences, » expliqua Aur.

En un rien de temps, le visage d’Aur était déjà redevenu celui d’Alan.

« Eh bien, le fait que les cheveux blonds dorés et les cheveux bruns dorés se ressemblent comparativement est une heureuse coïncidence. Comme on pourrait s’y attendre si la couleur des cheveux avait une différence remarquable, il serait beaucoup plus facile à remarquer, » expliqua Aur.

Cela lui fit se souvenir que si elle regardait de très près et faisait attention, alors elle aurait vu que les yeux bleus venaient de changer lentement en une couleur brun clair.

« En faisant cela pendant plusieurs jours, j’ai planté une suggestion dans son subconscient chaque nuit afin d’altérer la perception dans ses souvenirs. “En vérité, j’étais la subordonnée d’Aur depuis le début, et je ne faisais que prétendre être une camarade” de ses aventuriers. En la plantant avec de faux souvenirs et en me changeant pour ressembler à Alan, ces deux facteurs combinés l’ont amenée à croire fermement que la personne avec le visage d’Alan est son véritable ennemi, et cela lui fait aussi croire que la personne avec mon visage est son allié, » déclara Aur.

En fait, l’homme que Nadja regardait tout à l’heure, l’homme assis sur la grande chaise était le vrai Alan. Si elle l’avait remarqué à ce moment-là, Nadja aurait pu le sauver. Cependant, sa mémoire était obscurcie, et parce qu’elle croyait fermement que la personne qui portait le visage d’Alan était Aur, elle ne pouvait le voir que comme son ennemi le plus détesté.

« Les êtres humains... Aussi méfiants qu’ils puissent être, dès qu’ils pensent avoir déjoué leur ennemi, leur esprit devient terriblement sans défense. En utilisant ce moment précis, il est possible de changer ses souvenirs de qui sont ses alliés et qui sont ses ennemis. Elle croit elle-même que la vie qu’elle a menée jusqu’à présent est “fausse”, et que la vérité est qu’elle était mon alliée depuis toujours. Croire en quelque chose, c’est terrifiant. Si tu ne doutes pas de ce en quoi tu crois, il n’y a aucun moyen de s’en défendre, » répondis-je.

L’effrayant, c’est toi, pensait Ellen, mais elle n’osait pas l’exprimer. En tant que son maître, elle pensait qu’il était fiable, mais aussi qu’il était effrayant.

« Mais bon, même si l’expérience s’est bien passée, cette méthode prend un peu trop de temps. Bien que la chance soit la raison pour laquelle j’ai réussi cette fois-ci, je pense que la prochaine fois, essayons de conclure les choses de manière plus intelligente, » déclara Aur.

Il restait deux filles, et il allait adopter une approche différente pour les faire tomber dans la dépravation.

Tout en pensant à ses plans diaboliques, Aur se retourna et commença à marcher vers sa prochaine victime.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre !

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