Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 11 – Partie 2

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Chapitre 11 : Le voleur de mariée

Partie 2

Léon possédait les armoiries du gardien.

Louise avait été enracinée sur place à cette vue. Elle avait ignoré la clameur que Hughes faisait à ses côtés.

« Pourquoi ce type est-il en possession de l’écusson du gardien ? Louise, par hasard, étais-tu au courant de ça ? »

La nuit de ce jour.

Louise n’était pas rentrée chez elle et était retournée à la Maison Druille afin de coopérer avec Léon et d’autres personnes.

Elle avait aidé à leur préparation à partir de là.

Mais pour l’instant, le plus important était l’apparence de Léon.

— Léon

Louise se souvenait de son petit frère — Léon Sara Rault.

C’était quelque chose qui s’était passé avant la mort de Léon.

Ses fiançailles avec Noëlle avaient été décidées et il était devenu joyeux, car il pourrait en devenir le gardien.

Elle se souvenait qu’Albergue faisait une tête d’enterrement à ce sujet.

Mais il avait également eu l’air heureux d’apprendre que son fils pourrait devenir le gardien.

Elle se souvenait de sa conversation avec son petit frère, alors très excité.

« Oui, si je ne me trompe pas —, » déclara le jeune Léon à Louise. « Grande Soeur, je serais le prochain gardien que tu connaîtras ! N’est-ce pas incroyable ? »

« C’est incroyable, mais je me demande si Léon peut vraiment devenir le gardien. Parce que le gardien est une personne splendide. »

« Je le peux ! Quand je serai le gardien, je deviendrai un gardien qui protégera tout le monde. »

« Tout le monde ? »

« Ouaip ! L’arbre sacré et la prêtresse, puis les nobles et aussi les roturiers — je protégerai tout le peuple de la République ! »

« Je me demande si Léon peut vraiment les protéger, même si tu ne peux pas gagner contre moi. »

« Je vais bientôt gagner contre toi ! Et je te protégerai aussi, Grande Soeur ! »

« Oui, oui. J’attendrai ça avec impatience. »

« Tu l’as dit ! Je protégerai ma grande sœur à coup sûr, alors n’oublie pas ! »

Son petit frère qui avait dit quelque chose comme ça était trop adorable, alors elle l’avait enlacé.

Mais — quelques mois plus tard, Léon était mort.

Il avait été enterré sous une pierre tombale froide avec de la pluie tombant en lourdes gouttes le jour de l’enterrement.

Elle se remémora des paroles que la jeune Louise qui portait une robe noire murmurait devant la pierre tombale.

« Menteur — même si tu as dit que tu allais protéger ta grande sœur, —, tu ne pourras pas me protéger si tu meurs. »

Son petit frère n’avait pas pu devenir le gardien, et il n’avait pas pu non plus sauver les gens.

Il n’avait même pas pu se sauver.

Mais — devant Louise, Léon était apparu avec l’emblème du gardien sur lui.

— Léon.

Mais cet étudiant étranger, Léon, qui venait du royaume de Hohlfahrt, avait donné un ordre devant les soldats de la République.

« Vous êtes sourds ou quoi ? Vous avez la tête trop haute, petits avortons. Prosternez-vous devant l’emblème du gardien ! »

– Cette silhouette était très éloignée du gardien qui protégerait tout le monde.

 

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Je pouvais clairement voir les habitants d’Alzer dans la confusion devant moi.

Ils ne devaient pas savoir quoi faire quand j’étais apparu avec l’emblème du gardien.

Même le chef de la Maison Barrière, Bellange, clignait des yeux dans la confusion.

Après tout, peu importe combien de fois il le regardait, l’emblème flottant derrière moi appartenait au gardien.

« Et si vous rendiez la mariée maintenant, bande de voleurs. Le savez-vous ? La prêtresse et le gardien ne font qu’un. En d’autres termes, c’est vous qui m’avez volé Noëlle. Quelle que soit la façon dont vous y pensez, c’est barbare, n’est-ce pas ? »

Mais en vérité, c’est moi qui ai volé Noëlle à Loïc.

« Vous êtes quand même vraiment effronté, hein. Vous organisez même une cérémonie de mariage aussi grandiose. Se pourrait-il que vous pensiez sérieusement que Loïc puisse être choisi comme gardien ? Pas question. C’est impossible. Absolument pas. »

J’avais dit tout ce que je voulais dire devant les types de la République.

Il y avait beaucoup de choses ennuyeuses qui s’étaient produites, alors j’avais tout déballé à cette occasion.

D’ici, le visage vexé de Lambert était également clairement visible.

« Ce truc de gardien, c’est simplement une affaire où un humain puissant qui peut protéger l’arbre sacré sera choisi pour ça, non ? Même si, à l’origine, la possibilité que les six grands nobles soient choisis est élevée, le jeune arbre m’a choisi — à ce propos, n’avez-vous pas été rejeté parce que vous n’êtes pas fiables ? En d’autres termes, le jeune arbre reconnaît que je suis plus fort que les six grands nobles, n’est-ce pas ? »

Après avoir dit cela, j’avais pu entendre les personnes autour de moi dire des choses comme « Ne faites pas l’idiot ! » « Vous êtes insolent ! » « Comment osez-vous ! » et d’autres choses. Mais pour moi, cela ne ressemblait qu’au hurlement des perdants.

En fait, il n’y avait que des perdants ici.

« C’est la vérité, n’est-ce pas ? En premier lieu, quelle pourrait être la raison pour laquelle l’arbre sacré n’a pas choisi de prêtresse et de gardien jusqu’à présent ? »

Les personnes autour de moi s’étaient instantanément tues quand j’avais touché le problème sensible pour Alzer.

C’était vraiment bien.

Je les avais bien remués pour évacuer mon stress.

En provoquant les gens, j’avais l’impression d’être devenu moi-même un gros bonnet, ça fait vraiment du bien !

Mais ce serait vraiment désagréable si quelqu’un me faisait une chose pareille ! Mais je vais le faire !

« L’arbre sacré choisit l’existence qui devra le protéger, n’est-ce pas ? En d’autres termes — c’est dire qu’il n’y a personne de digne parmi vous, n’est-ce pas ? Ce n’est pas seulement le jeune arbre, n’êtes-vous pas aussi abandonnés par l’arbre sacré lui-même ? »

La colère des invités était dirigée contre moi alors que je riais.

« Mais, je suppose qu’on ne peut rien y faire. C’est vous qui avez perdu contre un étranger comme moi. Même l’arbre sacré vous rendra tous aussi désespérés. »

Oh, cela les avait-il dérangés ? Les invités devenaient tout rouges.

Ensuite, j’avais frappé là où ça faisait mal !

« Ne vous fâchez pas parce que j’ai touché dans le mille. Je ne viens ici que pour ramener Noëlle. Même si j’ai essayé de la ramener paisiblement, j’ai été choqué de voir que vous vous échauffez étrangement. »

Le traître Fernand me regarda avec frustration.

Et puis il s’était adressé à moi.

« — Toutes mes excuses. C’est également inattendu pour nous. Si possible, j’espère que vous pourrez venir ici. Parlons. »

C’était mon principe de ne pas faire confiance à un traître.

« Il n’est pas nécessaire de parler. Remettez-moi ma prêtresse. Tout simple, n’est-ce pas ? Après tout, il semble que j’aie le devoir de protéger le jeune arbre et la prêtresse. Le jeune arbre va me gronder si je ne la reprends pas à vous, les voleurs. »

Fernand avait essayé de persister, mais il semblerait que Loïc ait d’abord atteint les limites de sa patience.

« Tu continues à dire ce que tu veux depuis un certain temps ! J’ai été le premier à aimer Noëlle ! Noëlle m’appartient ! Je ne la remettrai à personne. Si quelqu’un doit l’emmener, je préfère… ! »

Loïc avait dégainé l’épée de cérémonie accrochée à sa taille. Des cris avaient rempli la salle.

J’avais immédiatement donné l’instruction.

« Luxon ! »

« Il n’y a pas de problème. — Je vais faire ce que le maître veut, » répondit-il.

Une épée s’était envolée du cockpit.

Je l’avais attrapée et je l’avais dégainée en sautant.

Il y avait cinq à six mètres jusqu’au sol. C’était un peu effrayant, mais j’avais tenu bon.

Des chevaliers et des soldats s’étaient avancés pour m’arrêter, alors j’avais retourné l’épée à un seul tranchant et je les avais frappés avec le dos de la lame.

Beaucoup de chevaliers s’appuyaient complètement sur leur symbole. Ils étaient de piètres individus en matière de technique de combat pure.

« Vous, les chevaliers d’Alzer, êtes vraiment faibles ! Vous n’êtes rien comparé à ceux du royaume. »

Je pouvais entendre la voix de Luxon.

« Les garçons du royaume s’entraînent après tout afin de financer les filles. Ils font face à des monstres dans le donjon, risquant leur vie pour gagner de l’argent et soutenir financièrement les étudiantes. Leur force est obtenue à la suite d’un tel effort déraisonnable. »

Arrête ! Je pleure.

Mais, il n’y avait pas d’autre choix que de devenir fort dans un tel endroit.

J’étais devenu fort, j’avais survécu dans des donjons qui grouillaient de monstres afin d’obtenir de l’argent.

La force que j’avais obtenue pour cela était utile en ce moment.

J’avais vaincu les chevaliers et les soldats et je m’étais approché de Loïc, puis j’avais pointé ma main droite.

Un symbole flottait derrière Loïc. Une flamme était sortie de là et s’était rassemblée sur la main droite de Loïc, créant une énorme boule de feu.

« Penses-tu que tu peux gagner contre moi sans armure ? »

« Si nous parlons du pouvoir des armoiries, alors je l’ai aussi ! — Mais, je ne vais pas l’utiliser contre toi. »

Quand Loïc avait tiré la boule de feu, et je l’avais fendu avec mon épée.

La boule de feu coupée en deux s’était brisée, me laissant indemne.

J’avais regardé Loïc qui affichait un air choqué et j’avais renforcé mon emprise sur mon arme.

Je m’étais accroupi et j’avais réduit la distance avec Loïc. Sans m’arrêter — je lui avais coupé le bras droit.

Peut-être que du point de vue de Loïc, il avait eu l’impression que j’avais réduit à zéro la distance en un instant.

Son bras droit étant coupé, il était devenu incapable de recevoir l’énergie de l’arbre sacré et l’emblème dans son dos avait disparu.

J’avais ensuite repoussé Loïc, je lui avais marché dessus, puis j’avais enfoncé ma lame dans son bras gauche.

Loïc cria. « M-mon bras ! MON BRASSSSSSSSSSS ! »

« Tais-toi. C’est toi qui m’as forcé à aller aussi loin. »

J’avais enlevé le bracelet du bras gauche de Loïc.

Ceux autour de moi ne pouvaient pas faire de mouvement devant nous.

Loïc avait tenté de tuer la prêtresse.

Et puis, moi qui possédais les armoiries du gardien.

Ils devaient être incapables de penser à ce qu’ils devraient faire ici.

Mais, il devrait aussi y avoir des personnes qui agiront bientôt.

J’avais placé le bracelet qui était éclaboussé de sang sur mon bras gauche, puis j’avais offert ma main à Noëlle qui était assise par terre.

« Noëlle, viens. »

– Mais, Noëlle avait pleuré et elle m’avait rejeté.

Elle avait secoué la tête et m’avait rejeté avec force.

« Arrête. Pourquoi fais-tu une chose pareille ? Même si j’ai essayé de t’oublier. Tu es vraiment le pire, à faire quelque chose comme ça ! Sais-tu combien je — combien je ! »

 

 

Je pouvais comprendre les sentiments de Noëlle, mais je n’avais pas le temps, alors je l’avais portée de force sur mon épaule.

Au moment où j’avais porté sur mes épaules une Noëlle agitée, les gens autour de nous nous avaient entourés.

Quand j’avais regardé Loïc, des gens qui pouvaient utiliser la magie de guérison s’étaient rassemblés autour de lui et avaient reconnecté le bras que j’avais coupé.

« Oh, allez-vous vous opposer à moi qui ai les armoiries du gardien ? »

Fernand était venu devant moi.

Il avait une arme à la main. Il s’apprêtait également à utiliser la puissance de l’écusson.

« Même si vous êtes le gardien, il n’y a aucun moyen de vous remettre la prêtresse ! »

Il semblerait que les personnes autour de nous ressentaient la même chose.

Ils nous avaient encerclés et avaient pointé leurs armes et leurs écussons dans cette direction.

« C’est bien que vous ayez du cran pour vous battre. Mais avez-vous oublié ? »

Fernand avait même crié quand j’avais levé les yeux sur Arroganz.

« Nous avons aussi des armures à nos côtés ! »

Des armures avaient brisé des fenêtres et avaient attaqué Arroganz alors qu’il était actuellement sans équipage.

Ces personnes pensaient qu’ils pourraient se concentrer sur moi après avoir vu les armures briser les vitres.

Mais — c’était tellement naïf.

« Croyez vous qu’on puisse arrêter Arroganz avec si peu de moyens. »

Sans pilote à l’intérieur, Arroganz s’était tourné vers les armures volantes qui se déplaçaient pour l’attraper — et il leur avait écrasé la tête avec ses poings.

Fernand avait été choqué.

« Elle bouge même si elle est vide ? Non, il y a quelqu’un à l’intérieur !? »

La bonne réponse était qu’elle pouvait même se déplacer sans pilote. Mais ce n’était pas nécessaire qu’il le sache, alors j’étais resté silencieux.

« Ouvrez rapidement un chemin. Le Gardien est de passage ! Attends, Noëlle, ne te débats pas. Je t’en prie. »

« Laisse-moi partir ! Repose-moi ! »

Noëlle pleurait en se débattant sur mon épaule, alors il m’avait été difficile de la porter.

Fernand avait crié quand il avait vu cela.

« Protégez la prêtresse ! Sire Léon, la prêtresse vous rejette. Nous ne pouvons pas vous laisser passer ! »

Albergue était arrivé à ce moment-là.

« Tout le monde, baissez vos armes ! »

Louise était également à ses côtés.

Albergue fixa du regard Bellange qui était assis sur le sol.

« Bellange, je t’interrogerai en détail plus tard. De plus, je ne permettrai aucune impolitesse envers le gardien ! »

Les chevaliers et les soldats avaient baissé leur arme sur ordre du président en exercice.

Fernand avait protesté contre Albergue. « Président, dites-vous que nous devrions simplement passer outre face à ça ! »

« Calmez-vous. Comment pouvons-nous sortir les armes si nous devons parler ? Fernand, je sais que tu es aussi impliqué dans tout ça. »

Fernand avait également regardé en bas, puis il avait baissé son arme.

Bellange s’était assis par terre et avait tenu sa tête dans ses mains.

« Espèce d’idiot de fils. »

Et comment allait ce fils idiot de Loïc ?

Tous les regards s’étaient tournés vers lui. Les médecins avaient l’air déconcertés.

Albergue demanda en tant que représentant « Comment va Loïc ? »

Le médecin avait répondu. « Après que nous lui ayons connecté le bras, il s’est forcé et est sorti — . »

Juste après cela, une explosion s’était produite quelque part dans le temple de l’arbre sacré et le bâtiment avait commencé à trembler.

Louise m’avait regardé. « Attends une seconde, Léon, c’est déjà fini. »

Attends un peu. Pourrais-tu éviter de penser que tout est de ma faute ?

J’avais certainement posé des bombes, mais je n’avais pas encore appuyé sur l’interrupteur.

« — Je n’ai pourtant toujours pas appuyé sur l’interrupteur ? »

Beaucoup de gens avaient fait une grimace qui demandait « Vous avez vraiment mis en place des explosifs ? » Il y avait aussi des gens qui se regardaient en se demandant d’où venait l’explosion.

Au milieu d’eux, Bellange s’était levé et avait commencé à s’agiter.

« Cet idiot de fils, ne me dites pas qu’il veut accumuler encore plus de honte par-dessus le marché !? »

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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