Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 5 – Chapitre 10 – Partie 2

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Chapitre 10 : La méchante

Partie 2

Dans une salle d’attente du lieu de la fête.

Noëlle y avait été poussée après avoir rencontré les membres des six grands nobles — les chefs des maisons.

Noëlle était assise devant un miroir et Loïc l’enlaçait par-derrière.

Noëlle en avait la chair de poule, mais elle l’avait supporté et n’avait pas réagi.

Elle se faisait frapper que si elle montrait son antipathie.

« Noëlle, Léon est venu à la fête, tu sais ? »

« Tsu! »

L’expression de Loïc avait disparu lorsque Noëlle avait réagi à cela.

Il avait saisi violemment la queue de cheval de Noëlle et il l’avait forcé à le regarder.

« Aimes-tu tant que ça cet homme ? Toi, qui es la prêtresse, tu choisis un étranger !? »

Loïc avait violemment jeté au sol Noëlle qui était jusqu’à maintenant comme assise. Sa respiration était devenue difficile.

Mais il avait immédiatement couru vers Noëlle et l’avait enlacée.

« Je suis désolé, Noëlle. Je ne veux pas te faire de mal. Mais, c’est de ta faute parce que tu penses à un autre homme. »

Loïc avait toujours agi ainsi après avoir infligé des violences à Noëlle. Son esprit était instable.

Il devenait soudainement gentil.

C’était devenu douloureux pour Noëlle de penser à ce genre de situation pendant des jours.

D’ailleurs,

Je ne pourrai pas fuir de toute façon.

Le collier ne permettrait pas à Noëlle de s’éloigner de Loïc.

Si elle ne pouvait pas s’échapper, elle n’avait pas d’autre choix que d’obéir.

Si elle tentait imprudemment de s’échapper, elle ne ferait que souffrir.

« Noëlle, notre cérémonie de mariage aura lieu bientôt. Après cela, personne ne pourra plus se mettre en travers de notre lien. Je te protégerai si je suis choisi comme gardien. »

Noëlle n’avait rien dit à Loïc.

Loïc, irrité par cette attitude, avait fait pression sur la tête de Noëlle.

Il avait appuyé sa tête sur le sol et lui avait écrasé la tête.

« Noëlle, pourquoi ne comprends-tu pas mon amour ? Tu es toujours, toujours ainsi ! »

Noëlle attendait que la violence de Loïc cesse.

Je veux rentrer chez moi. Que quelqu’un me sauve. — Léon.

Elle voulait s’échapper, mais elle ne pouvait pas le faire.

Noëlle supportait seule cette situation désespérée.

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Cordelia m’avait accueilli sans afficher d’expression lorsque j’étais retourné au manoir de Marie.

« Bienvenue au Seigneur Léon. — Vous êtes-vous amusés en allant à une fête avec Lady Marie ? »

« C’était amusant. J’ai réussi à surmonter beaucoup de choses là-bas. »

« — C’est bon à entendre. »

Son regard était devenu encore plus froid qu’auparavant.

Yumeria était également à ses côtés. Elle avait pris la veste que j’avais enlevée.

« Il doit être difficile pour des nobles avec autant de fêtes d’y assister de cette manière. »

Contrairement à Cordelia, cette bonne était chaleureuse et me guérissait le cœur.

Marie faisait un visage fatigué.

« J’ai l’impression que ma tête va éclater. Il n’y a que des problèmes. Je n’ai même pas pu manger de nourriture délicieuse. »

Après cela, nous avions discuté de ce que nous allions faire.

Le fait que nous ayons réussi à obtenir la coopération d’Albergue et de Louise avait été un grand succès.

Julian s’était montré quand nous étions rentrés chez nous.

« Vous êtes donc de retour. Et, quelle est la situation actuelle ? »

Je l’avais expliqué simplement. « C’est vraiment une lutte de pouvoir. J’ai l’impression que la Maison Barriere veut faire tomber la Maison Rault et elle forme des alliances avec les autres pour le faire. »

Ils étaient tout à fait motivés à utiliser l’existence de la prêtresse, qui ne pouvait être ignorée par personne, afin d’accéder à un statut plus élevé.

Loïc lui-même était obsédé par Noëlle, mais son chef de maison Bellange visait le siège de président en exercice.

Non, devrais-je dire qu’il voulait le poste pour contrôler la République ?

Julian avait fait un signe de tête.

« C’est donc bien ce que nous pensions. Tout le monde s’est déjà réuni. »

Nous étions entrés dans la pièce où les cinq idiots et — Kyle et Cara attendaient.

Mais ce n’était que la salle à manger.

Tout le monde avait l’air nerveux quand Marie et moi étions venus.

Après que Marie se soit assise sur sa chaise, Cara lui avait préparé de l’eau.

C’est Kyle qui m’avait apporté de l’eau, alors j’avais pris le verre et j’avais tout bu en une seule gorgée avant de m’essuyer la bouche.

« C’est vexant, mais la situation est exactement comme vous le pensiez. À l’exception de Loïc, les individus de la République entament une lutte de pouvoir en se servant de Noëlle. »

Jilk n’avait pas eu l’air particulièrement surpris.

« C’est comme ça. J’ai recueilli des informations à l’ambassade. J’ai découvert qu’à l’heure actuelle, la Maison Barriere utilisait différents moyens pour obtenir le jeune arbre. »

Brad avait eu l’air un peu troublé.

« Il y aura des fonctionnaires qui deviendront des traîtres si on leur offre beaucoup d’argent, et ce sera gênant si des fonctionnaires au niveau du cabinet ministériel sont soudoyés. Il sera préférable de régler cette question avant que cela n’arrive. »

Greg était — pourquoi ne portes-tu pas de chemise ? Habille-toi, idiot, habille-toi !

« Après tout, le bénéfice d’un pays et un bénéfice personnel ne sont pas la même chose. Même si nous sécurisons Noëlle rapidement, Alzer est un pays riche. Ce sera gênant s’ils utilisent beaucoup de fonds pour recourir à des ruses sournoises. »

Ensuite, il y avait eu Chris, mais pourquoi ce type ne portait-il pas de pantalon ?

« Nous devons décider de la bataille de manière décisive dans un court laps de temps. Après l’avoir sauvée, demandons à Sa Majesté la reine d’abriter Noëlle. Cette personne privilégiera l’intérêt du pays plutôt que ses propres intérêts. »

Le nom de Roland n’était pas apparu ici. Il était clair que le pilier central de notre pays n’était pas lui, mais Mylène.

Marie s’allongea sur la table.

« En fin de compte, cela restera problématique même après que nous l’aurons sauvée. Ah ~, il y a trop de problèmes. N’y a-t-il pas moyen de résoudre facilement ce problème ? »

J’avais ressenti la même chose.

C’est pourquoi j’allais régler ce problème méticuleusement.

Julian m’avait regardé.

« Baltfault, que vas-tu faire ? S’il est possible de la sauver, nous pouvons laisser le reste à ma mère dans le royaume. Comme Chris l’a dit, ma mère donnera la priorité à l’intérêt du pays. Elle protégera sûrement Noëlle. »

Ce n’était pas mauvais, mais ce n’était pas non plus bon.

J’étais un lâche, alors je voulais enlever autant de germes de futurs problèmes que possible.

En outre, il y avait aussi le diplomate du Saint Empire de Rachelle dans ce pays.

C’était un pays qui était en conflit avec le pays d’origine de Mylène.

Si la République devenait sérieuse, elle soutiendrait sûrement le Saint Empire de Rachelle.

Ils aideraient également les pays en conflit avec le royaume à nous harceler.

Nous ne savions pas non plus combien de temps il faudrait pour que le jeune arbre puisse montrer la même puissance que l’arbre sacré.

Mylène aiderait-elle Noëlle même si elle devait transformer tous ceux qui l’entourent en ennemis ?

En tant que lâche, je ne pouvais pas accepter une méthode qui laisserait autant d’anxiété.

« Pas bon. Si Alzer devient sérieux, même Mylène pourrait ne pas être capable de protéger complètement Noëlle. Ce sera vraiment gênant s’ils viennent nous voir avec des ruses sournoises. C’est pourquoi — je vais briser la fierté de ce pays. »

Julian avait fait une tête d’enterrement quand j’avais dit que j’allais briser leur fierté.

Mais, il n’avait pas rejeté mon opinion.

« As-tu une idée géniale ? Il n’est pas facile de briser la fierté d’un pays. Prévois-tu de te déchaîner à nouveau avec l’Einhorn ? »

« Me considères-tu comme une personne aussi prévisible ? Je ne suis pas un barbare qui va se tourner vers quelque chose comme la guerre quand je suis troublé. Je vais résoudre cela de manière plus pacifique. »

Jilk haussa les épaules et sourit.

« Est-ce que c’est pacifique ? Si seulement la paix dans le dictionnaire du comte avait la même signification que notre définition de la paix. »

Ces types avaient beaucoup de piquants.

« Ne vous inquiétez pas, je vais briser leur fierté, c’est sûr. Il faut donc d’abord sauver Noëlle avant cela. Je pense le faire le jour de la cérémonie du mariage, qu’en pensez-vous ? »

Si vous devez faire quelque chose, faites-le à fond.

Marie avait l’air excitée d’entendre ma proposition.

« Enfin, Léon devient sérieux ! Mais, l’ennemi renforcera aussi leur sécurité le jour de la cérémonie du mariage, n’est-ce pas ? »

Chris avait posé sa main sur son menton et avait ajouté son avis à celui de Marie.

« Ils le feront certainement. Ce sera un jour important pour la République. Ils vont sûrement rassembler beaucoup de soldats et de chevaliers. En outre, les six grands nobles se réuniront également ce jour-là. Si nous provoquons un vacarme dans un tel endroit, la Maison Barriere perdra la face — ne me dis pas que c’est ton but ? »

Faire perdre la face à la Maison Barriere.

C’était certainement tentant. C’était l’une des choses que je visais.

Mais l’ennemi ne se mettait pas en colère avec seulement ça.

« Pensez-vous que je vais en finir avec ça ? »

Greg avait secoué la tête.

« Pas du tout. Tu es un humain qui peut faire quelque chose d’encore plus horrible. »

Merci pour les éloges.

Je ne voudrais absolument pas oublier ces mots, alors vous feriez mieux de vous en souvenir.

J’avais étendu les mains devant les huit personnes.

« Maintenant, commençons — nous allons briser la fierté d’Alzer afin qu’ils ne puissent plus s’opposer à nous. »

Tout le monde, hésitant, avait applaudi « O-Oui » et avait levé le poing.

Soyez plus fort !

Ce sera la période la plus amusante après cela.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

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