Chapitre 7 : Les descendants d’aventuriers
Partie 3
J’avais expliqué ce qui était arrivé jusqu’à présent à monsieur Narcisse après l’avoir déterré.
Monsieur Narcisse avait fait un regard peiné quand il avait entendu parler de Pierre.
« Que devrais-je dire ici? Ce qui s’est passé était vraiment inexcusable. Permettez-moi de m’excuser auprès de vous en tant que membre des six grands nobles, » déclara monsieur Narcisse.
« Ne pouvez-vous rien faire pour Pierre ? D’après ce que j’ai entendu dire, il a été un étudiant à problèmes depuis longtemps ici, » lui demandai-je.
Monsieur Narcisse avait l’air troublé par ma question évidente.
« Nous nous sommes présentés comme six grands nobles, mais chacun d’eux est comme une famille royale de leur domaine respectif. Cela peut sembler exagéré, mais cela pourrait être perçu comme une ingérence dans les affaires d’un autre pays si je lui donne un avertissement, » déclara monsieur Narcisse.
Peut-être ne pouvait-il rien faire parce que la République était un rassemblement de pays qui se sont rassemblés sous l’arbre sacré ?
Ce n’était pas vraiment mes affaires.
« Je m’occupe de Pierre. Mis à part ça, pouvez-vous m’aider pour l’autre question ? » demandai-je.
« Vous parlez d’explorer le donjon sur le territoire de Lespinasse ? Je le ferai avec plaisir, mais ce sera très dangereux. À Alzer, plus le donjon est proche de l’arbre sacré, plus il a tendance à être dangereux. Les donjons du territoire de Lespinasse qui se trouve juste à côté de l’arbre sacré sont tous des donjons de grande difficulté, » déclara monsieur Narcisse.
« Il n’y aura pas de problème, » déclarai-je avec confiance.
Louise semblait s’inquiéter pour moi. « J’aimerais que tu ne fasses rien de dangereux. Il semble que tu aies confiance en toi, mais ce n’est pas bon d’être trop sûr de soi. »
— Ce serait génial si cette personne était vraiment ma grande sœur.
Si c’était ma grande sœur Jenna ou ma petite sœur Finley ici, ce qu’elles me diraient serait « N’oublie pas de rapporter un souvenir ».
J’avais envie de pleurer.
« Qu’est-ce qui ne va pas !? Pourquoi pleures-tu, Léon ? » demanda Louise.
« Non, ce n’est rien. Je trouve juste merveilleux qu’il y ait une fille qui me dise des mots si gentils, » déclarai-je.
En ce moment, j’avais Anjie et Livia, mais cette année que j’avais passée dans l’académie du royaume était vraiment horrible.
— C’était vraiment horrible.
J’avais essuyé mes larmes avec ma manche en demandant à monsieur Narcisse d’être notre guide dans le donjon.
« Acceptez-vous ma demande ? » demandai-je.
Monsieur Narcisse croisa les bras et sembla penser à diverses choses — puis il hocha la tête.
« Compris. Je serai votre guide. Cependant, je vous demanderai de me payer la récompense promise correctement. Récemment, je suis troublé parce que je n’ai pas assez de fonds de recherche, » déclara monsieur Narcisse.
« Ne vous inquiétez pas, s’il vous plaît. Je vous paierai la récompense appropriée. Après tout, les donjons de la République sont réputés pour être rentables. J’ai hâte d’y être, » déclarai-je.
J’avais vraiment hâte d’y être.
Ce serait une bonne occasion d’obtenir beaucoup de ressources, comme les pierres magiques de qualité exportable.
Je pourrais aussi faire en sorte que ces cinq idiots s’en sortent.
« Alors, partons immédiatement, » déclarai-je.
« — Hein ? » s’exclama monsieur Narcisse.
J’avais pris le bras de monsieur Narcisse avec un sourire et je l’avais fait se lever. Je l’avais alors traîné avec moi tout de suite.
Avant de partir, j’avais tourné un sourire vers une Louise étonnée.
« S’il te plaît, aide-moi aussi pour l’autre truc à notre retour, » déclarai-je.
« O-oui, » répondit Louise.
Puis j’avais quitté la pièce avec un léger sourire sur les lèvres.
— Pierre, je vais te faire regretter de m’avoir mis en colère.
***
L’endroit était la cour de l’académie.
Il y avait beaucoup d’amoureux qui y passaient leur temps du déjeuner.
Lelia déjeunait avec son amoureux Émile, mais de son expression, elle avait l’air distraite.
C’était à cause de sa grande sœur Noëlle.
Où est-elle allée ?
Elle s’inquiétait pour Noëlle qui n’était pas revenue. Elle était aussi ennuyée en même temps.
Même si elle a juste besoin de sortir avec Loïc immédiatement, pourquoi hésite-t-elle ?
Émile était inquiet de voir le regard distrait de Lelia et lui avait parlé. « Lelia, Noëlle n’est toujours pas rentrée chez elle ? »
Lelia sourit vers le gentil Émile. « Ouais, ouais. Mais je pense qu’elle va bien. Mais j’aimerais qu’elle me dise au moins où elle habite. »
Puis Émile avait fait une grimace inquiète. « Après tout, il y a eu beaucoup de problèmes récemment. Je veux croire que même Pierre ne fasse rien d’horrible à Noëlle en considération de Loïc. »
« Tu as raison. C’est parce que la grande sœur est têtue. Même si tous les problèmes disparaîtront si elle sortait avec Loïc, » déclara Lelia.
Lelia essayait de marier sa grande sœur Noëlle avec Loïc.
Pour ce faire, elle avait fait diverses choses comme donner des conseils à Loïc. Sur le plan émotionnel, elle était l’alliée de Loïc.
« Mais, récemment, Loïc est un peu étrange. J’ai l’impression qu’il a cette aura effrayante autour de lui, » déclara Émile.
Émile se sentait en danger à cause de Loïc, mais Lelia n’était pas d’accord avec lui.
« Vraiment ? Je pense qu’il est juste impatient parce que les choses ne vont pas si bien avec ma grande sœur, mais il n’est pas si effrayant. Bien que ce soit un problème que son désir de monopoliser soit un peu fort, » déclara Lelia.
Émile avait fait une grimace aux paroles de Lelia. « Ce serait génial si c’était juste un peu. — Hein ? »
Émile détourna le regard de Lélia vers Léon qui tirait le bras de Narcisse au loin.
« Il est inhabituel de voir un étudiant étranger venir à l’école. Où compte-t-il emmener monsieur Narcisse ? » demanda Émile.
Émile avait l’air perplexe. En revanche, les yeux de Lelia s’élargirent et elle fixa Léon du regard.
Elle avait fait tomber le pain qui était son déjeuner, mais elle ne l’avait même pas remarqué.
« — ces gars »
***
J’avais traîné monsieur Narcisse dans une grotte de l’ancien territoire Lespinasse qui était aussi un donjon.
Nous étions montés à bord d’un petit navire pour venir ici. Quand nous étions arrivés à l’entrée, j’avais enlevé la planche qui avait l’inscription « entrée interdite ».
J’avais demandé la permission.
Vous pourriez même entrer dans le donjon restreint si vous mentionniez le nom des six grands nobles. C’était pratique.
C’était pour ça que j’avais amené monsieur Narcisse.
« Quel temps rafraîchissant ! C’est le jour parfait pour une aventure ! » déclara Julian.
« En effet, Votre Altesse ! »
Julian était très tendu depuis ce matin. Jilk était d’accord avec lui, il avait un fusil sur le dos.
Monsieur Narcisse, qui avait été traîné jusqu’ici, avait levé les yeux vers le ciel en portant un grand sac à dos sur son dos.
« Non, aujourd’hui, le ciel est nuageux, » déclara monsieur Narcisse.
Julian avait continué à sourire même après avoir entendu la réplique de monsieur Narcisse. « C’est un problème des sentiments, professeur. »
« Non, vous parliez de la météo, n’est-ce pas ? » demanda monsieur Narcisse.
Quelle bande de joyeux veinards !
Quant à Chris, il comparait plusieurs épées qu’il avait apportées ici. Il hésitait dans le choix de quelle épée il devait utiliser.
« Je pense que cela devrait peut-être être celle-ci, non ? Non, c’est dur de se débarrasser de celui-là aussi. Eei ! Alors je les amènerai toutes les deux ! » déclara Chris.
— Est-ce que ces types confondent l’exploration de donjons avec un pique-nique ?
J’aurais aimé qu’ils pensent à mon sentiment d’avoir à diriger cette bande d’idiots.
« Allons-y si vous avez fini de vérifier l’équipement, » déclarai-je.
J’avais apporté un appareil qui ressemblait à un smartphone. Je l’avais utilisé pour confirmer la carte de la région.
Il y avait un peu de bruit sur l’écran. C’est peut-être dû à l’influence de l’arbre sacré.
« Oh, le royaume a un drôle d’outil, » déclara monsieur Narcisse.
Monsieur Narcisse avait regardé sur mon appareil.
« Ah ~, cette chose est un artefact disparu. Je l’utilise parce que c’est pratique, » déclarai-je.
« Artefact disparu ! C’est incroyable. Laissez-moi y jeter un coup d’œil, » déclara monsieur Narcisse.
« Il se cassera si vous le démontez, alors mieux vaut ne pas le faire. En tout cas, rentrons dans le donjon, » déclarai-je.
Je portais un fusil de chasse et un sac à dos lourd.
Monsieur Narcisse avait l’air perplexe en voyant ça.
« Monsieur Léon, pourquoi apportez-vous des explosifs? » demanda monsieur Narcisse.
Nous avions penché la tête en entendant cette question.
« Eh, c’est nécessaire, n’est-ce pas ? » répondis-je.
« Nous possédons également les connaissances nécessaires en matière d’explosifs, alors ne vous inquiétez pas, s’il vous plaît. Nous ne permettrons pas que le trésor soit endommagé. »
Celui qui était d’accord avec moi, c’était Jilk, qui était aussi doué pour manipuler des explosifs.
« Non, l’intérieur d’un donjon fait aussi partie de la ruine ! Vous ne devez pas utiliser d’explosifs à l’intérieur d’un tel endroit ! » déclara monsieur Narcisse.
Chris avait ri. « Tout se passera bien. Nous limiterons la destruction au minimum. Après tout, la valeur du trésor diminuera s’il a été endommagé. »
« Par valeur, vous voulez dire la valeur historique, n’est-ce pas ? Comprenez-vous vraiment l’importance des ruines ici !? » demanda monsieur Narcisse.
J’avais ri en persuadant monsieur Narcisse. « S’il vous plaît, laissez-moi m’en occuper. Je les arrêterai s’ils vont trop loin. D’ailleurs, cette fois-ci, notre objectif est plus autre chose que les ruines. »
Mon objectif était un élément clé qui à l’origine n’avait aucun effet dans le jeu.
C’était un élément nécessaire à la progression de l’histoire. Il n’avait aucune valeur en tant qu’objet dans le jeu.
Mais, il deviendrait un objet d’une valeur absurde quand il était dans la réalité.
« Quelque chose d’autre ? » demanda monsieur Narcisse.
Monsieur Narcisse était confus, mais je l’avais ignoré et j’étais entré dans le donjon.
« C’est l’exploration d’un donjon à Alzer. Mettez-y un peu d’esprit, les gars ! » déclarai-je.
Après que j’eus haussé la voix, Julian, Jilk et Chris avaient également élevé un cri vaillant en réponse.
« Est-ce que ça va vraiment aller ? » demanda monsieur Narcisse.
Monsieur Narcisse avait penché la tête en nous voyant agir comme ça.
Des explosifs ?! Qu’est-ce qui va faire exploser ? Mdr. Hâte de lire la suite. Merci pour le chapitre.
Merci pour le chapitre.
Es que par hasard les ruines passerai sous la maison de Pierre ?