Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 4 – Chapitre 5

+++

Chapitre 5 : Serment à l’Arbre Sacré

+++

Chapitre 5 : Serment à l’Arbre Sacré

Partie 1

La salle de classe était enveloppée dans une atmosphère lugubre depuis le matin.

Les étudiants parlaient de Jean qui avait été gravement blessé et hospitalisé.

« Vous avez entendu ? Ce Jean, hier, il a été pendu derrière la bâtisse. »

« C’est fini pour lui avec un noble qui a tourné son regard vers lui. »

« C’est pitoyable, mais il n’y a rien que nous puissions faire. Le coupable était un noble avec une protection divine. »

Il semblait que le fait d’une protection divine ou non, était quelque chose d’important pour les gens de la République.

Apparemment, si vous aviez une protection divine, on pourrait vous appeler noble. Les nobles d’ici avaient des débuts dans l’histoire différents de ceux des nobles du royaume.

Ils étaient nobles parce qu’ils étaient reconnus par l’arbre sacré.

Ils ne seraient pas nobles sans cette reconnaissance.

Et si vous étiez un noble, tout ce que vous feriez à ceux qui n’avaient pas la protection divine serait pardonné.

« Quel pays horrible ! » Je m’étais murmuré à moi-même. Noëlle qui était assise devant moi avait son regard vers le bas.

Un garçon dont elle était proche avait été gravement blessé par un noble et avait été hospitalisé.

Elle se sentait sûrement déprimée.

« Est-ce que ça va ? » lui demandai-je.

J’avais ainsi parlé à Noëlle. En réponse, elle hocha légèrement la tête avec un visage pâle.

« Je vais bien, je vais bien. Mais je m’inquiète de ce qui va arriver à Jean maintenant. Je ne pense pas qu’il sera capable de payer les frais d’hôpital avec sa situation. D’ailleurs, qui s’occupera de son chien de compagnie maintenant ? » demanda Noëlle.

Apparemment, l’appartement où vivait Noëlle ne permettait pas au résident d’y garder un animal.

C’est pourquoi elle ne pouvait pas s’occuper du chien de Jean pendant son hospitalisation.

« Ne t’inquiète pas pour ça. Je m’occupe de son chien en ce moment, » répondis-je.

« Tu le fais ? » demanda Noëlle.

Noëlle avait l’air surprise, mais elle semblait aussi soulagée d’entendre ça.

« Dieu merci. Jean aime vraiment cette chienne, c’est un soulagement pour moi, » déclara Noëlle.

« — Ouais, » répondis-je.

« J’ai même envisagé de m’en occuper secrètement chez moi, mais je n’ai plus de souci à me faire. Ah ! Léon, puis-je venir chez toi pour vérifier ça ? » me demanda Noëlle.

« N’hésite pas à le faire, » j’avais répondu sèchement, les yeux fermés.

Noëlle avait alors dit. « Tu n’as pas l’air d’être d’humeur accueillante » en me voyant comme ça.

Mais moi aussi, je ne pouvais pas être heureux en ce moment. — Je me sentais très coupable à l’égard de Jean.

Monsieur Clément était entré dans la salle de classe au moment où Noëlle avait l’air un peu plus gaie.

« Que tout le monde se taise. Je pense que vous avez entendu parler de ce qui vient de se passer, mais nous allons quand même commencer les cours comme d’habitude, » déclara Monsieur Clément.

L’expression de Monsieur Clément était plus sévère que d’habitude. Il ne m’avait pas manqué en jetant un coup d’œil à Noëlle.

Il semblait que cette personne s’inquiétait vraiment pour Noëlle.

 

***

Après l’école.

Je rentrerais chez moi avec Noëlle. Je l’attendais à l’entrée en ce moment même.

« Elle est en retard, » murmurai-je.

« Elle a dit qu’elle allait d’abord parler à sa petite sœur Lelia, » répondit Luxon.

Il semblait qu’elles vivaient dans le même appartement, alors elle ne voulait pas l’inquiéter parce qu’elle rentrait tard à la maison.

C’était dur d’être une grande sœur.

Je voulais aussi une grande sœur comme Noëlle. Ça me rappelait ma grande sœur dans le royaume.

C’était une terrible grande sœur qui aimait bien causer des problèmes à son petit frère.

J’aimerais pouvoir l’échanger avec Noëlle.

« — Maître, il y a un petit problème, » déclara Luxon.

« Que s’est-il passé ? » demandai-je.

Luxon surveillait Noëlle. Il semblait y avoir un problème là-bas.

« La cible de conquête Loïc s’approche de Noëlle. La situation semble dangereuse, » déclara Luxon.

« Épargnez-moi tous ces ennuis ! » m’exclamai-je.

« Je vais te montrer le chemin, » déclarai-je.

J’avais couru à l’intérieur du bâtiment en suivant les instructions de Luxon.

Mais qu’est-ce qu’il se passait pour que Luxon juge ça dangereux ?

Après quelques instants de course, j’avais rencontré « Onee-chan » lorsque j’avais tourné dans un virage.

« Pourquoi es-tu si pressé ? » me demanda Louise.

Elle était devenue curieuse de me voir à la hâte.

« Ag ~, je suis désolé. Je suis pressé par le temps, alors excusez-moi, » déclarai-je.

« Attends. Tu peux me le dire, » déclara Louise.

« Non, en fait c’est à propos de Noëlle —, » déclarai-je.

L’expression de Louise avait changé quand j’avais mentionné le nom de Noëlle.

Détestait-elle Noëlle à ce point ?

 

***

Noëlle avait été poussée sur un mur dans un couloir vide.

« Qu’est-ce que tu fais !? » s’écria Noëlle.

Le dos de Noëlle était entré en collision avec le mur et elle avait regardé le coupable. En réponse, Loïc tendit la main et il posa avec rudesse sa main au mur.

Il avait intentionnellement fait un grand bruit pour menacer Noëlle. Puis il avait rapproché son visage.

« C’est ma réplique. Noëlle, j’ai entendu dire que tu irais chez un autre homme, » déclara Loïc.

Le dos de Noëlle s’était couvert de sueur froide.

Le visage de Loïc était beau, mais le dégoût ne faisait que monter en elle.

Pourquoi est-il si persistant — dégoûtant ?

« Ne me touche pas ! » s’écria Noëlle.

Noëlle l’avait maudit à l’intérieur de son cœur tandis qu’à l’extérieur elle repoussait Loïc.

Mais elle faisait face à un homme.

Il était aussi plus grand qu’elle. Il était aussi plus fort.

Elle ne pouvait que le repousser légèrement.

« Je peux faire ce que je veux. Je n’ai pas besoin de te demander la permission. Et aussi, arrête de répandre la rumeur que je suis ta femme. Tu es d’un tel ennui, » déclara Noëlle.

Elle et Léon étaient dans la salle de classe quand ils avaient dit qu’elle allait chez lui.

En d’autres termes, cela devait être quelqu’un dans la même classe qui en avait parlé à Loïc.

C’était dégoûtant de voir jusqu’où Loïc allait aller pour s’enquérir d’elle. Elle ne pouvait pas l’accepter.

Noëlle pensait que Loïc serait furieux contre ses paroles, mais au lieu de cela, il souriait.

Mais, c’était un sourire effrayant.

Elle voulait reculer, mais son dos était pressé contre le mur.

« — Noëlle, ce sera fini de toi à ce rythme, » déclara Loïc.

« C’est inutile, même si tu me menaces. Je ne vais pas faire ce que tu me demandes, » déclara Noëlle.

« Pas ça, non. En ce moment, Pierre te cible, » déclara Loïc.

« Ha ? »

Noëlle ne comprenait pas pourquoi le nom de Pierre était soudainement apparu, mais Loïc n’y avait pas prêté attention et avait continué. « On dirait que Pierre a l’intention de coincer les étudiants étrangers. Pour cela, il vise d’abord leurs accompagnateurs. »

« Ne me dis pas que celui qui a pendu Jean était —, » commença à demander Noëlle.

« Ouais, c’est toi la prochaine. Mais si tu deviens ma femme, je ne laisserai pas un simple voyou comme Pierre poser sa main sur toi. Qu’est-ce que tu vas faire, Noëlle ? » demanda Loïc.

Loïc savait ce que Pierre allait faire. Il s’en servit pour faire de Noëlle sa femme.

En entendant ça, Noëlle donna un coup de pied à l’entrejambe de Loïc.

« Ne déconne pas ! » s’écria Noëlle.

« Arghh ! » s’écria Loïc.

Loïc s’était accroupi tout en tenant son entrejambe. Noëlle le regarda d’un regard froid.

« N’as-tu pas honte de te servir des autres pour m’obtenir ? Je déteste ce genre d’homme, » déclara Noëlle froidement.

Loïc avait éclaté en sueurs froides alors qu’il s’accroupissait. Mais il avait quand même souri.

« Tu n’as pas changé. Tu es toujours la même… fille simple d’esprit. Mais, il semble que tu sois trop naïve. C’est inutile, même si tu essaies de compter sur Émile. Ce type ne pourra pas te protéger. Je suis le seul qui puisse te protéger, » déclara Loïc.

Émile venait de la Maison Pleven, l’une des six grandes maisons nobles. C’était aussi l’amoureux de Lelia.

Il lui donnerait sûrement un coup de main si elle le lui demandait. Mais Loïc prétendait que ce serait inutile.

« Si Émile agit, alors je donnerai un coup de main à Pierre, » déclara Loïc.

Si Loïc, l’aîné des fils de la Maison Barrière, prêtait son aide à Pierre, alors Émile ne pourrait rien faire tout seul.

Noëlle était devenue encore plus offensée.

Ce type, jusqu’où il va — pourquoi Lelia me dit-elle d’être avec quelqu’un comme ça ?

« Veux-tu dire que tu vas donner un coup de main à ce Pierre ? » demanda Noëlle.

Noëlle serra les mains. Elle avait compris qu’en ce moment, elle ne pouvait rien faire.

C’était vraiment la pire situation.

Loïc se leva en souffrant et fit un sourire tremblant en plaçant sa main sur l’épaule de Noëlle.

« Si tu deviens ma femme, tu pourras vivre une vie sans aucun inconvénient. Ta petite sœur le veut aussi pour toi. Mais si tu refuses — si tu appartiens à un autre homme que moi, alors ici et maintenant, je préfère —, » commença Loïc.

La main droite de Loïc avait commencé à briller.

Son symbole avait commencé à briller en rouge.

« — Je ne le ferai jamais, à l’instar de toi —, » déclara Loïc.

Noëlle avait regardé Loïc en face. Puis une voix était venue de loin à ce moment-là. « Je n’y arriverai pas. Grr, dans ce cas ! »

« Maître, qu’est-ce que tu prépares ? Maître ! S-sto —. »

Noëlle tourna son regard vers cette voix. Le regard de Loïc avait aussi été attiré par cela et il avait regardé dans la même direction.

Une boule de métal grise s’était écrasée sur le visage de Loïc.

« Buh ! » s’écria Loïc.

La balle de fer avait frappé le nez de Loïc avec précision. Il saignait du nez pendant qu’il s’écrasait sur le sol, s’allongeait totalement à même le sol, et bougeant après ça ses mains.

La boule grise avait lentement roulé sur le sol avant de flotter lentement vers le haut. Elle tourna son œil rouge vers le Léon qui approchait.

« Strike! Je plaisante, » déclara Léon.

Léon se réjouissait, mais au contraire, la boule grise parlait sur un ton de colère. « C’est parce que j’ai corrigé la trajectoire en cours de route. Il n’y avait aucun moyen que le maître puisse frapper avec ton contrôle abyssalement faible. Et n’as-tu rien d’autre à me dire ? »

Léon avait reniflé. « Tu es facile à lancer. »

« — Comme je le pensais, je déteste le maître, » déclara Luxon.

« Vraiment ? Je ressens la même chose, espèce de maniaque de la destruction, » s’écria Léon.

« Veux-tu bien corriger cela ? J’ai un nom qui est “Luxon”, » répliqua Luxon.

« Quel nom magnifique ! Tu peux me montrer ton respect pour t’avoir donné ce nom, » déclara Léon.

« Ne devrais-tu pas m’aimer comme un maître ? » demanda Luxon.

« Je te chéris, à ma façon, » répliqua Léon.

Tous les deux étaient en mauvais termes, peu importe comment on les regardait.

« Eh, quoi ? »

Loïc se levait lentement pendant que Noëlle était dans la confusion. Sa main appuyait sur son nez, mais le sang coulait encore de là.

« Tu es l’étudiant étranger, enfoiré, » s’écria Loïc.

Loïc était furieux. Il avait fait briller le dos de sa main droite.

On aurait dit qu’il prévoyait d’utiliser le pouvoir du symbole.

« Léon, cours ! Ce type est l’héritier des six grands nobles ! » s’écria Noëlle.

Noëlle s’avança pour couvrir Léon, mais Loïc la repoussa et tourna sa main droite vers Léon.

« C’est trop tard ! » s’écria Loïc.

Mais — Louise apparut devant Léon avec le symbole de sa main droite qui brillait de la même façon.

Louise couvrait Léon.

« Loïc, veux-tu me mettre en colère ? » demanda Louise.

Loïc baissa la main droite en réponse à ces mots.

« Louise, pourquoi protèges-tu quelqu’un comme lui ? Ce type est une ordure qui a posé sa main sur ma femme ! » s’écria Loïc.

Louise le regarda en souriant et croisa les bras.

« Vraiment ? C’est la première fois que j’entends dire que cette femme est ton amoureuse. Loïc, tu devrais au moins être capable de faire la différence entre tes illusions et la réalité que tu connais, non ? » demanda Louise.

« Veux-tu vraiment te battre contre moi ? » demanda Loïc.

Ils venaient tous les deux des six grands nobles.

« Oh, veux-tu que ce problème soit plus gros que ça ? C’est toi qui seras désavantagé dans ce cas, » déclara Louise.

« Kuh, » s’écria Loïc.

Les pouvoirs de leurs symboles étaient égaux.

Mais, la Maison Rault qui servait actuellement comme président de l’assemblée avait un statut plus élevé que la Maison Barrière.

Loïc leur tourna le dos et parla à Noëlle avant de partir. « Noëlle, n’oublie pas. Tu n’as pas d’autre choix que de me choisir ! »

Noëlle regarda Loïc avant de tourner son regard vers Léon et Louise.

Cet étrange regroupement était inattendu pour elle.

« Louise, pourquoi m’as-tu aidé ? » demanda Noëlle.

Elle ne comprenait pas pourquoi Louise voulait l’aider.

« De l’aide ? Ne te méprends pas. C’est seulement parce que Léon m’a demandé une faveur, » répondit Louise.

Léon souriait, mais il y avait une boule grise avec un œil rouge brillant flottant près de son visage. La distance était trop proche, on aurait dit que le ballon mettait de la pression sur Léon.

« Donc tu m’aideras vraiment si je le demande. »

« C’est… c’est vrai. »

Les pensées de Noëlle étaient devenues très compliquées, elle ne savait pas quoi dire, alors elle avait décidé de dire au moins merci. « Eh bien, le fait est que vous m’avez vraiment aidée tout à l’heure, alors merci. Merci à vous deux. »

Louise tourna le dos à Noëlle.

« Je n’ai pas besoin de tes remerciements. Plutôt que cela, accompagne-moi un peu, » déclara Louise.

Louise avait entrelacé son bras avec celui de Léon.

En voyant que Noëlle avait attrapé l’autre main de Léon.

« Ha ? J’ai aussi une affaire avec Léon, tu sais ? » déclara Noëlle.

Léon était agité de voir ses deux bras saisis par des filles.

 

 

« Hein ? Quelle est cette situation ? Oh, à l’aide, Luxon, » s’exclama Léon.

Actuellement, Luxon détournait son regard rouge de Léon et marmonnait « Et maintenant, en plein dans une tricherie. »

« Bâtard, tu abandonnes ton maître !? Et qu’est-ce que tu as chuchoté tout à l’heure ? » demanda Léon.

« — J’aimerais que le maître réfléchisse un peu quant à toi. J’exige aussi des excuses du maître pour m’avoir jeté comme ça. Si le maître ne se conforme pas, je ferai un rapport à ces deux-là, » déclara Luxon.

« Tu es vraiment le pire ! » s’écria Léon.

Louise avait tiré sur le bras de Léon alors qu’il grognait de frustration.

« Peu importe, viens avec moi un moment. Il y a quelqu’un que je veux que tu rencontres, » déclara Louise.

Léon inclina la tête. « Quelqu’un que tu veux que je rencontre ? »

« — Mes parents, » annonça Louise.

« Buh ! »

Le souffle de Léon était sorti d’un coup à la réponse de Louise avec un visage un peu troublé. D’un autre côté, Noëlle était étonnée.

Noëlle était revenue à la raison plus vite que ne pouvait le faire Léon confus et avait interrogé Louise. « À quoi penses-tu !? N’es-tu pas la jeune femme de Maison Rault !? »

À quoi pensait quelqu’un de son statut en pensant qu’elle voulait que Léon rencontre ses parents ?

Ne me dis pas, Louise est sérieusement amoureuse de Léon !?

Même Louise s’était énervée en voyant la réaction de Noëlle.

« Espèce d’idiote ! Il n’y a pas de malentendu bizarre ! Il y a une raison pour —, » commença Louise.

Léon était secoué d’avant en arrière par Noëlle et Louise qui tiraient sur ses bras.

Luxon avait parlé à Léon au milieu de tout ça. « Maître, un problème s’est produit. »

+++

Partie 2

Pendant que Léon et les autres se disputaient.

Brad avait été appelé derrière l’école. Il jouait avec ses cheveux tout en étant entouré de garçons.

« J’ai essayé de venir parce que j’ai été appelé ici, mais quelles sont vos intentions en m’entourant comme ça ? » demanda Brad.

C’était Pierre qui avait appelé Brad à l’arrière de l’école.

« Vous, les nobles du troisième rang, vous vous pavanez dans la République, c’est une horreur, » déclara Brad.

Pierre avait sorti la langue en faisant une expression vulgaire. Brad avait poussé un petit soupir en voyant ça.

« Les nobles de la République sont encore plus belliqueux que le disent les rumeurs. Moi aussi, je dois réfléchir à ma propre position. Ce sera un problème international si je commence quelque chose avec quelqu’un lié aux six grands nobles, » déclara Brad.

Les acolytes de Pierre avaient gloussé en entendant ça.

Ils savaient que ce qu’ils faisaient deviendrait un problème. Mais ils le faisaient quand même en sachant cela.

Pierre ouvrit l’un de ses yeux et dits à Brad. « C’est intéressant, non ? Je m’occuperai personnellement de toi. »

« C’est toute une confiance que vous avez là, » déclara Brad.

« Faites-le, les gars ! » ordonna Pierre.

Brad avait tourné son regard vers les garçons qui l’entouraient. Les acolytes l’avaient attaqué avec les épées en bois qu’ils portaient.

Les acolytes avaient frappé avec leurs épées en bois sur Brad.

« Là-bas ! »

Mais Brad avait esquivé et poussé l’un des adversaires avec sa main.

L’adversaire avait trébuché juste à cause de ça.

« Bâtard, » s’écria l’un d’eux.

Brad se sentait exaspéré à l’intérieur de son cœur en voyant l’homme se lever.

Ces types sont-ils sérieux ? Ne font-ils peut-être que s’amuser ?

Les nobles du royaume de Hohlfahrt avaient comme ancêtres des aventuriers. De là, il y avait une coutume pour les enfants nobles de devenir aventuriers dès qu’ils étaient étudiants et entraînés en défiant le donjon dans la capitale.

Brad n’était pas du genre à se battre en première ligne, mais il était plus fort que les hommes de Pierre.

« Ce fils de pute ! » s’écria l’un des partisans.

Brad s’était servi de son genou pour frapper l’estomac d’un garçon qui l’avait attaqué par-derrière. Il avait ensuite arraché l’épée de bois du garçon pour repousser les hommes qui l’attaquaient.

C’était le résultat de son entraînement.

Il se sentait un peu heureux, mais il cacha son sentiment et regarda Pierre calmement.

« Voulez-vous toujours continuer ? »

« Tsk! Vous êtes trop faibles ! » s’écria Pierre.

Pierre criait sur les autres, mais de là où Brad se tenait, Pierre avait l’air encore plus faible que ces garçons.

« Je ne veux pas être trop dur. Qu’en dites-vous ? Il vaudrait mieux qu’on se retire tous les deux, » déclara Brad.

Brad avait essayé de régler cette affaire pacifiquement, mais Pierre avait pointé la main droite vers lui.

« T’es stupide ou quoi ? Tu crois que tu as gagné juste parce que tu es plus fort avec l’épée !? » demanda Pierre.

Les acolytes environnants pointèrent leurs paumes vers Brad.

« Boule de feu ! »

« Aiguille à glace ! »

« Boule d’énergie ! »

Ils avaient envoyé leur magie sur Brad l’un après l’autre.

Est-ce que ces gars sont sains d’esprit !?

Brad avait calmement réagi aux attaques, même s’il se sentait choqué à l’intérieur. En premier lieu, Brad était meilleur avec la magie qu’avec l’épée.

« Mur de terre. »

Quand Brad avait planté son épée de bois dans le sol, des murs de terre s’étaient dressés autour de lui. Les murs le protégèrent ainsi des attaques magiques.

Les acolytes sentirent la différence de force et ils demandèrent de l’aide en implorant de leurs regards.

« Vous êtes vraiment inutiles ! » déclara Pierre.

Brad essaya de calmer le Pierre enragé. « Finissons-en maintenant. La différence dans notre force est évidente. »

Brad était heureux à l’intérieur parce qu’il pouvait dire cette phrase qu’il voulait dire au moins une fois. Mais Pierre faisait un sourire étrange.

Quoi ?

Tandis que Brad maintenait sa garde, Pierre leva la main droite et son symbole brilla.

« Tu m’as mis en colère, faux nobles de pays tiers ! » s’écria Pierre.

Puis un cercle magique s’était formé sous Brad. Les murs de terre qu’il avait formés s’étaient effondrés.

« Quoi !? » s’écria Brad.

Brad prit position avec son épée en bois, paniqué. Puis les racines de l’arbre proche s’étaient envolées du sol vers Brad.

Son épée de bois avait été brisée quand il s’était défendu contre les racines. Puis une anomalie s’était produite quand il avait essayé d’utiliser la magie.

« Tsk! Lance de Feu ! »

Les racines des arbres pouvaient être brûlées par la flamme — c’était la pensée de Brad, mais sa magie ne s’était pas activée.

« P-Pourquoi !? » s’écria Brad.

Il n’avait pas fait d’erreur avec sa magie. C’était plutôt comme si sa magie avait été arrêtée par un facteur extérieur.

Les racines de l’arbre s’étaient enroulées autour de la cheville de Brad et l’avaient soulevé.

Brad avait fini par être pendu à l’envers. Il avait essayé de s’enfuir d’une façon ou d’une autre, mais les racines de l’arbre se resserraient autour de sa cheville de sorte qu’il ne pouvait pas s’échapper.

« Merde ! Bon sang ! » s’écria Brad.

Il était entouré par les acolytes de l’autre, les épées de bois dans les mains et Pierre dont la main droite brillait.

Ils souriaient autour de Brad.

Brad leva les bras et les croisa pour protéger son corps tout en étant suspendu la tête en bas comme ça.

Pierre posa sa main sur son front tandis que son autre main montrait Brad du doigt et rit.

« Tu ne peux plus faire le fier, maintenant, n’est-ce pas ? Ah  ! Tu as besoin d’une punition supplémentaire pour avoir agi avec arrogance comme ça. Je vais foutre en l’air ton visage ! »

Brad se sentait mortifié à l’intérieur, même s’il ne l’avait pas montré sur son visage.

C’est mauvais. Marie — Julian — tout le monde, je vais causer des problèmes à tout le monde, pardonnez-moi.

Pendant un instant, il se demanda ce que Léon ferait dans ce genre de situation. En pensant cela, il s’était un peu amusé de voir qu’il souriait.

Pierre avait crié à ce moment-là. « Faites-le ! »

***

Au manoir de Marie.

Le manoir qui leur avait été préparé était grand et avait aussi un jardin. C’était très luxueux.

Mais, malheureusement, Marie et les autres individus du royaume étaient en train d’être punis.

Seul le nombre minimum de serviteurs avait été préparé afin d’entretenir le manoir. Aucun des domestiques ne vivait dans le manoir pour fournir constamment leur aide. Tous ne venaient travailler que quelques heures par jour avant de rentrer chez eux.

Tous les domestiques seraient déjà rentrés chez eux le soir venu. À cause de cela, des choses comme le dîner devraient être préparées par leurs propres efforts.

Kyle préparait la vaisselle dans la salle à manger. Là, Greg, qui avait faim, attendait le dîner en plaçant sa joue sur la table.

« Kyle, le dîner n’est pas encore fini ? J’ai déjà faim, » déclara Greg.

Greg ennuyait Kyle depuis quelque temps déjà en disant « j’ai faim » fréquemment. Cela avait exaspéré Kyle.

« Alors, aide-moi, s’il te plaît, » répliqua Kyle.

« Je ne peux pas. J’ai tellement faim que je ne peux pas bouger, » répliqua Greg.

Kyle voulait frapper le visage de Greg, mais il avait enduré et avait regardé la cuisine.

Les voix de Marie et Cara venaient de là.

« Fais bouillir beaucoup de pâtes ! » ordonna Marie.

« Oui, Lady Marie ! » déclara Cara.

« Bon sang ! Tout le monde est dans cette période de croissance où ils mangent tous comme des trous sans fond ! » s’écria Marie.

C’était beaucoup de travail de préparer la nourriture parce qu’il y avait huit personnes dans leur période de croissance ici.

Mais les hommes à commencer par Julian n’avaient pas voulu aider.

Kyle était la seule exception.

Kyle soupira.

Greg lui avait posé des questions sur les autres membres qui n’étaient pas entrés dans la salle à manger. « Où sont les autres ? »

« Julian et Jilk sont dans leur chambre à se préparer pour demain. Ils sont discrets et diligents. Quant à Chris, il a dit qu’il allait s’entraîner dans le jardin parce qu’il n’a rien à faire, » répondit Marie.

Même si ce serait mieux s’il aidait s’il avait autant de temps libre.

Kyle s’était retenu d’exprimer son vrai sentiment. Eh bien, ces gens ont été élevés comme de jeunes maîtres de part en part. Pour eux, il est naturel que les domestiques fassent ce genre de travail.

Kyle pensait qu’il était inutile d’attendre quoi que ce soit d’eux. C’est alors qu’il entendit un vacarme à l’entrée.

La porte s’ouvrit brutalement et la voix de Chris résonna dans le manoir. « Tout le monde, des ennuis ! »

Même Marie était venue depuis la cuisine en entendant cette voix tendue.

+++

Partie 3

Marie s’était attaché les cheveux à l’arrière et portait un tablier parce qu’elle préparait le dîner.

Marie se présenta à l’entrée du manoir dans une telle tenue et se sentit choquée par la vue qui l’attendait là-bas.

« Brad ! » s’écria Marie.

Brad était allongé sur le sol avec une corde l’attachant.

Un étudiant de l’académie était assis sur lui.

« Yo, les gens du pays de troisième ordre, bonsoir. Je suis le Seigneur Pierre de la Maison Faiviel, » déclara l’autre.

Marie avait voulu se précipiter quand elle avait vu le visage enflé de Brad, mais Julian lui avait saisi l’épaule.

« Julian, lâche-moi ! » s’écria Marie.

« Calme-toi, Marie. — Brad est toujours en vie. Pour l’instant, on devrait se concentrer sur ces types qui viennent ici comme ça, » déclara Julian.

Pierre amenait ses acolytes avec lui ici. Il y avait aussi plusieurs voitures derrière eux.

Toutes les voitures semblaient avoir été modifiées pour avoir un look voyant.

Pierre qui était assis sur Brad regardait Julian avec un sourire aux lèvres.

« Tu es donc l’ancien prince héritier du royaume qui a été déshérité. C’est un visage pathétique que tu as là, » déclara Pierre.

Marie était furieuse. Ce type, Pierre — pourquoi est-il ici chez nous ? Et en plus, ton visage est encore plus horrible ici !

Mais Julian gardait son sang-froid même quand l’autre partie se moquait de lui.

« Est-ce vous qui avez blessé Brad comme ça ? » La voix de Julian était plus froide que d’habitude. Il devait être très en colère.

Pierre répondit avec un large sourire. « Ouaip. Ce type est si faible que c’était ennuyeux. Vous êtes trop faibles. Et si vous rentriez déjà chez vous ? »

Jilk et les autres individus qui attendaient derrière étaient prêts à sortir leurs armes à tout moment.

Les veines pulsaient sur le front de Greg. On aurait dit qu’il allait se précipiter n’importe quand.

Chris — il avait apporté une épée en bois qu’il utilisait pour sa pratique.

Kyle et Cara se cachaient derrière tout le monde.

Julian avait parlé à Pierre en tant que représentant de la bande. « Et si vous nous remettiez Brad ? »

« C’est très bien. C’est pour ça qu’on l’a amené ici. Ah ~, c’est vrai. J’ai des affaires avec vous. Jouez un peu avec moi, » déclara Pierre.

Marie avait eu une mauvaise prémonition. Eh ? Attends une seconde ? J’ai l’impression d’oublier quelque chose.

Pierre s’était levé et avait lancé Julian à un défi.

« Ayez un duel avec moi. Si je gagne, je prendrai votre vaisseau. Je le rendrai, que je gagne ou que je perde. Mais je ne le rendrai pas si vous n’acceptez pas le match. Je le jure même sur l’arbre sacré si vous ne me croyez pas, » déclara Pierre.

Einhorn lui vint immédiatement à l’esprit lorsqu’elle entendit parler du navire. Le navire — mais Einhorn est le navire du grand frère. On ne peut pas parier ainsi avec lui. Pourtant, j’ai l’impression d’avoir entendu parler de ce serment de l’arbre sacré —

Julian avait eu la même idée que Marie.

« Je ne peux pas faire ça. Ce vaisseau appartient à Baltfault. Je n’en ai pas le droit, » déclara Julian.

« Vraiment ? Alors peut-être que je vais tuer ce type, » déclara Pierre.

Pierre avait saisi les cheveux de Brad et leva la tête.

Julian avait immédiatement parlé en voyant ça. « Attendez ! J’accepte le match, mais je ne peux pas parier avec le vaisseau… »

La bouche de Pierre s’était déformée avec un large sourire qui ressemblait à un croissant de lune à l’instant d’après. Le dos de sa main droite brillait aussi.

« Tu as dit que tu acceptais ! Tu as juré devant l’arbre sacré ! » s’écria Pierre.

Pierre se mit à rire comme s’il avait déjà gagné. Il étendit les mains et leva les yeux vers le ciel.

Julian avait été un peu décontenancé quand Pierre s’était soudain mis à rire bruyamment.

« Qu’est-ce que vous dites ? » demanda Julian.

Mais Marie se souvient de quelque chose à ce moment-là.

« N-Non ! Tu ne peux pas accepter ce match ! » s’écria Marie.

Un cercle magique se manifesta avec Pierre au centre. Il s’était étendu jusqu’à la zone où Marie et les autres individus du royaume se tenaient debout.

Le visage de Marie pâlit en voyant le cercle magique sur le sol.

Je me souviens. Ce type trouvait des fautes envers le personnage principal et puis il a utilisé —.

Pierre avait commencé à expliquer avec un ton de vantardise. « Ce duel est assermenté à l’arbre sacré. Vous n’avez pas d’autre choix que d’accepter ce match ! L’arbre sacré est absolu dans ce pays. Un duel qui est tenu en prêtant serment à l’arbre sacré est quelque chose de sacré et d’absolu ! Seule la mort attendra ceux qui rompent le serment ! »

Hyahyahyahya. Pierre avait laissé échapper un rire sinistre. Il avait montré Julian du doigt et lui avait dit quel serait le match. « Le match est simple. Vous vous entretuez jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un seul d’entre vous. »

La méthode de duel que Pierre leur avait présentée donnait l’impression qu’il batifolait. Cela avait fait perdre patience à Julian et à d’autres.

« Arrêtez de déconner ! » s’écria Julian.

Lorsque Jilk s’apprêtait à sortir son arme de poing, de minces racines d’arbres et de vignes poussèrent du cercle magique et bloquèrent tout le monde, sauf Pierre et sa bande.

Marie avait essayé d’enlever la vigne qui était entrelacée autour de son cou, mais il était impossible de le faire avec la force humaine.

Pierre avait mis ses mains dans les poches de son uniforme et les avait regardées en riant.

« C’est vous qui déconnez ici. C’est un duel qui a déclaré en prêtant serment à l’arbre sacré. Ce sera votre défaite si vous ne vous entretuez pas rapidement, » déclara Pierre.

Marie grinça des dents en regardant Pierre.

Qu’est-ce qu’il a, ce type ? Même dans le jeu, c’était un petit merdeux injuste, mais ce n’est que de la triche ! De plus, l’objet joué ici est — .

Einhorn était le vaisseau de Léon.

Ce serait un désastre pour Marie si on l’enlevait.

Ça va faire franchir les limites de la patience de Grand Frère si ça arrive !?

Julian fixa Pierre du regard et montra son entêtement.

« Il n’y a aucune chance qu’on s’entretue. Tout d’abord, un match aussi absurde ne peut pas être autorisé, » déclara Julian.

« Ce pays n’est pas votre pays de troisième ordre. Vous êtes à Alzer, le pays du vainqueur absolu. Vous rêvez trop si vous pensez pouvoir recevoir le même traitement que nous, » déclara Pierre.

La République était restée invaincue dans les combats défensifs.

Ce pays était certainement un pays stupéfiant.

Mais, ce genre de situation était tout simplement déraisonnable. Julian et les autres membres du royaume s’étaient fâchés dans le déni. Mais soudain, la douleur leur avait traversé le cou.

« Kuh ! Qu-Quoi ? » s’écria Greg.

Greg arracha avec force la vigne autour de son cou. Autour de son cou, il y avait un tatouage qui ressemblait à un collier.

Chris l’avait remarqué et l’avait dit à Greg. « Greg, il y a une sorte de motif sur ton cou. »

« Ton cou aussi. »

Tout le monde s’était fait tatouer un collier sur le cou.

Le cercle magique avait ensuite disparu et les racines et les vignes avaient cessé de bouger.

« Le serment à l’arbre sacré est absolu. L’odieux criminel qui a tenté de le violer sera puni directement par l’arbre sacré. Si vous essayez de désobéir, votre tête volera, » déclara Pierre.

Les yeux de Julian s’ouvrirent en grand face à l’explication de Pierre.

Tout le monde regardait Marie. Là, son cou était également gravé du symbole de l’arbre sacré.

Les quatre hommes étaient furieux contre Pierre, même s’ils ne pouvaient rien faire pour l’instant.

Pierre et sa bande étaient montés dans leurs voitures.

« Jetons un coup d’œil au dirigeable d’un pays de troisième ordre. C’est déjà le mien, après tout, » déclara Pierre.

Pierre et sa bande étaient partis.

Julian courut vers Marie et lui parla avec inquiétude. « Marie, vas-tu bien !? »

« — Pars d’ici ! » balbutia Marie.

« Quoi ? » demanda Julian.

« Partez vite d’ici, et allez contacter Léon tout de suite ! Écoutez, vous ne devez pas l’agiter quoiqu’il arrive. Expliquez-lui la situation correctement et demandez-lui d’être compréhensif ! De toute façon, ce sera un désastre si on ne lui dit pas tout de suite ! » déclara Marie.

« J’ai compris ! Je vais lui dire tout de suite, » déclara Julian.

Julian se dirigea immédiatement vers l’endroit où se trouvait Léon pour expliquer la situation après avoir vu Marie si paniquée.

 

***

Il s’était passé beaucoup de choses, mais je pouvais enfin rentrer chez moi.

Bon sang, c’est quoi ma popularité ?

J’avais fait deux fiancées au Royaume Hohlfahrt, puis tout de suite après, deux filles étaient apparues là où j’étudiais à l’étranger et elles se battaient pour moi. Il devrait y avoir une limite à l’imprévisibilité d’une situation.

« Qu’en penses-tu, Noëlle-chan ? Tu ne trouves pas que ma popularité est incroyable ? » demandai-je au chien.

J’étais rentré chez moi et je m’étais occupé de la chienne, Noëlle-chan.

Finalement, j’avais refusé l’invitation de Louise et Noëlle avait aussi décidé de venir chez moi un autre jour.

Noëlle-chan mangeait la nourriture pour chien que Luxon préparait. Après l’avoir mangé, elle s’était immédiatement assise sur les couvertures en couches qui étaient préparées à proximité pour elle.

Elle avait regardé mon visage et sa langue s’était étirée.

Un lit de bébé avait été préparé pour Noëlle-chan. Nous nous en étions occupés pour qu’elle soit à l’aise.

Le lit de bébé avait été préparé afin de réduire la charge sur son dos, mais il avait fonctionné mieux que prévu.

« Elle a fini toute la nourriture, » déclarai-je.

Je regardais Noëlle-chan qui avait l’air vivante aussi aujourd’hui. Mais Luxon s’était éloigné de moi et m’avait regardé.

« Quoi ? » demandai-je.

« La nutrition et la quantité de nourriture préparée avaient été parfaitement calculées par moi. J’ai fait en sorte que ce soit la quantité qu’elle puisse finir correctement, » annonça Luxon.

Luxon semblait toujours en colère parce que je l’avais jeté.

Cette IA était vraiment gênante.

« As-tu une plainte à formuler ? » demandai-je.

« Est-ce que le maître pense que je n’en aurai pas ? » demanda Luxon.

« Tu es vraiment froide envers ton maître, » répliquai-je.

« En ce moment, je regrette de reconnaître le maître comme mon propriétaire, » répliqua Luxon.

« Vraiment ? Dommage pour toi, » déclarai-je.

Tandis que je me demandais comment faire face à la bouderie de Luxon, Noëlle-chan leva la tête et regarda vers l’extérieur.

Juste après, la porte d’entrée s’était fait frapper avec force.

« Qui cela peut-il être à ce moment ? » demandai-je.

« Maître, nous n’avons pas encore fini de parler. Je crois que nous devrions avoir une discussion sérieuse sur l’avenir, » déclara Luxon.

« Faisons-le une autre fois, » déclarai-je.

J’avais quitté la pièce et je m’étais dirigé vers l’entrée. Là, j’avais découvert que c’était Chris qui frappait fort à la porte.

Il respirait fort. Il semblait avoir couru jusqu’ici sans s’arrêter.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demandai-je.

« Baltfault — désolé ! » déclara Chris.

« À propos de quoi ? » demandai-je.

J’avais laissé Chris entrer et je l’avais entendu expliquer en détail ce qui s’était passé.

+++

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Laisser un commentaire