Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 4 – Chapitre 6

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Chapitre 6 : Trahison

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Chapitre 6 : Trahison

Partie 1

J’étais venu au port la nuit. L’endroit était très bruyant quand j’étais arrivé là-bas.

Quand j’étais arrivé à l’endroit où Einhorn était ancré, il y avait beaucoup de gens qui montaient à bord à leur guise.

Il y avait un symbole sur la coque qui émettait une faible lumière.

Était-ce le symbole de l’arbre sacré ?

Marie et d’autres personnes qui étaient arrivées plus tôt m’avaient approché alors que je le regardais.

Ils étaient tous présents ici. Ils faisaient des grimaces d’excuse envers moi.

« Je-Je suis désolée. En fait —, » commença Marie.

Le visage de Marie avait l’air pâle et son corps tremblait. Elle avait essayé d’expliquer comment les choses s’étaient passées, mais je l’avais arrêtée.

« J’ai déjà eu des nouvelles de Chris. Je suis étonné que vous ayez pu jouer en utilisant la possession d’une autre personne, » déclarai-je froidement.

« Non ! C’est à cause de ces types…, » Julian s’opposa à ce que je disais à la place de Marie, mais je tournai mon regard vers l’homme qui sortait d’Einhorn.

Cet homme était Pierre.

Il avait la même couleur violette que Brad, mais par rapport à lui, cet homme manquait de raffinement.

« Tu es donc l’ancien propriétaire de ce vaisseau, » déclara Pierre.

« Ancien ? » demandai-je.

Les hommes qui étaient montés à bord d’Einhorn devaient être les laquais de Pierre.

Ils nous regardaient du pont en buvant de l’alcool et en riant.

« Est-ce qu’il vient reprendre ce vaisseau ? »

« Il n’y a aucun moyen qu’il puisse le faire. »

« Tu mourras si tu vas contre l’arbre sacré. »

Cela m’avait irrité de voir ces gars faire ce qu’ils voulaient avec le dirigeable d’une autre personne.

Pierre avait rapproché son visage de moi.

« Ce navire appartient maintenant au grand Seigneur Pierre. Tu vois ce symbole là-bas ? C’est la preuve que l’arbre sacré a reconnu ce vaisseau comme le mien. L’arbre sacré ne restera pas silencieux si tu essaies de le reprendre. Veux-tu essayer ? » demanda Pierre.

Je voulais voir moi-même ce qui se passerait si j’essayais, mais je m’étais abstenu pour l’instant.

« Je peux déjà abandonner après avoir vu votre attitude, mais je vais essayer de vous demander au cas où. Je veux que vous me le rendiez, » déclarai-je.

En réponse, Pierre m’avait craché dessus.

La salive de Pierre m’avait touché la joue. C’était dégoûtant.

« Cela sera un non, » déclara Pierre.

« Vraiment ? » demandai-je.

« Au début, je n’avais aucune attente quant à ce vaisseau. J’ai pensé à le détruire juste devant toi. Mais, ce vaisseau est fait pour le grand Pierre. L’Armure est également silencieuse et puissante même si elle a une apparence boiteuse. Je vais m’en servir, » déclara Pierre.

Il semblait qu’il avait aussi enquêté sur Arroganz.

Ce type avait travaillé vite.

Puis Luxon qui flottait autour de mon épaule droite s’était déplacé sur l’épaule gauche de Pierre sans rien dire. Il avait ensuite tourné son objectif rouge vers moi.

Pierre était encore plus surpris que moi.

« Qu’est-ce que c’est que ce truc ? » demanda Pierre.

« C’est un honneur de vous rencontrer. Je suis Luxon — celui qui dirige cet Einhorn. La propriété d’Einhorn a changé de main, donc mon maître a aussi changé. J’ai hâte de vous servir à partir de maintenant, » déclara Luxon.

« Luxon —, » murmurai-je.

Luxon avait détourné son objectif rouge de mon regard furieux.

Marie qui regardait l’échange tout à l’heure était tombée dans la confusion.

« Attends un peu ! Ton propriétaire est Léon, n’est-ce pas ? » demanda Marie.

Luxon répondit avec indifférence. « C’était jusqu’à maintenant. Mais, à partir de maintenant, cette personne est mon nouveau propriétaire. »

« I-Impossible, » déclara Marie.

Pierre aussi devinait ce qui se passait après avoir vu l’air déprimé de Marie.

Il posa la main sur Luxon et rit. « Je suis surpris, mais c’est comme ça. Cette chose est un type de familier qui gère ce dirigeable. Pas étonnant qu’il n’y ait aucun signe d’équipage à l’intérieur même si c’est un vaisseau de cette taille. »

« — Oui. Il n’y aura pas besoin d’équipage avec moi ici, » déclara Luxon.

« Génial ! Je l’aime de plus en plus, » déclara Pierre.

Pierre, de bonne humeur, se moquait de moi. « Qu’est-ce que tu en dis ? Qu’est-ce que cela fait d’avoir non seulement ton navire, mais même ton familier emporté ? Si tu as retenu la leçon, pars et ne reviens plus jamais à Alzer. Eh bien, si tu ne l’aimes pas et que tu veux reprendre ton navire — le grand Pierre te le reprendra à tout moment. »

La République était restée invaincue dans les combats défensifs.

Pierre aussi ne disait pas ça pour bluffer. Il ne s’en souciait sérieusement pas, même si cela devenait une guerre contre le royaume.

J’en avais vraiment marre.

« Et si on se battait pour mon vaisseau tout de suite ? » demandai-je.

Pierre avait rejeté mon offre. « Tu crois que je vais parier avec quelqu’un comme toi qui n’a rien ? Reviens quand tu auras quelque chose d’aussi bien que ce vaisseau. J’accepterai ton défi si tu fais ça. Bien qu’il me sera impossible de perdre quoi que tu fasses. »

J’avais essuyé le crachat sur la joue et j’avais tourné le dos à Pierre avant de sortir du port.

« N’oubliez pas ces mots, » déclarai-je.

« Oui, je t’affronterais n’importe où si tu peux préparer quelque chose d’aussi bon que ce vaisseau, » déclara Pierre.

Kehya kehya. Pierre avait laissé échapper un rire étrange. Ce type était vraiment un méchant jusqu’au bout des doigts.

Marie et les autres m’avaient suivi.

Alors, que faire maintenant ?

***

Marie s’était assise sur ses genoux sur le sol quand ils étaient rentrés chez eux.

Elle n’arrêtait pas de transpirer. Elle ne pouvait pas non plus lever la tête.

Léon tournait en rond avec une lenteur délibérée autour d’elle.

« En d’autres termes, tu n’as pas pu empêcher Julian d’accepter le match avec insouciance, » déclarai-je.

« — Je suis désoléeeee, » elle avait tâtonné avec ses mots.

Mais, c’était une affaire insignifiante.

Ce qui était important en ce moment, c’était que Léon était enragé.

Marie et Léon étaient frères et sœurs dans leur vie passée.

À cause de cela, Marie savait où était la limite qu’il ne fallait pas franchir pour empêcher Léon de se mettre vraiment en colère.

Dans le passé, elle profitait aussi de lui tout en prenant soin de s’arrêter juste avant qu’elle ne franchisse la ligne.

Parce que tant qu’elle ne franchissait pas la ligne, Léon la gâterait.

Elle savait aussi que quand Léon était en colère, il n’exploserait pas. Au lieu de cela, il coinçait calmement son adversaire.

Il y avait eu cet incident dans sa vie antérieure.

Lorsqu’il était élève à l’école primaire, Léon était devenu une fois la cible d’intimidation de la part des vilains morveux de sa classe.

Marie n’avait appris l’existence de cet incident que longtemps après sa fin.

À cette époque, elle pensait encore que « Contrôler le grand frère est vraiment facile », mais l’histoire qu’elle avait entendue de sa mère l’avait consternée.

Il y avait trois enfants qui avaient intimidé Léon, mais apparemment il avait fait quelque chose qui les avait tous les trois fait transférer dans une autre école.

Avant leur transfert, le chef des trois enfants était venu chez Léon en pleurant pour se plaindre, mais Léon ne faisait que sourire à l’enfant.

Il semble que Léon ait dit « Fais de ton mieux dans ta nouvelle école » à l’enfant. Le gamin était rentré chez lui en pleurant.

L’homme qui avait fait que ses brutes aient changé d’école, c’était Léon.

Il était encore à l’école primaire à l’époque. Marie ne pouvait même pas imaginer ce qu’il avait bien pu faire pour qu’il en résulte quelque chose comme ça.

Elle se souvenait qu’elle avait juré de ne jamais mettre en colère son grand frère quand elle était au collège.

Oui — Léon était un homme qui était minutieux quand il décidait de faire quelque chose.

« Serment à l’arbre sacré, n’est-ce pas ? Je ne t’ai jamais entendu en parler avant. C’est peut-être moi qui l’ai simplement oublié ? N’est-ce pas quelque chose de très important ? » demanda Léon.

Marie n’arrêtait pas de trembler sous l’interrogatoire de Léon.

« Je l’avais oublié jusqu’à aujourd’hui. C’est de ma faute, » déclara Marie.

« Vraiment ? Alors tu as oublié de me le dire. — C’est vraiment dommage, Marie-san, » déclara Léon d’un ton froid.

Elle voulait pleurer, mais elle l’avait réfréné.

Franchement, ne pleure pas quoiqu’il arrive. Grand frère déteste vraiment les femmes qui pleurent, donc tu ne feras que l’offenser plus si tu pleures maintenant.

Marie se retenait désespérément de pleurer en baissant la tête.

Elle s’était agenouillée.

Pour être honnête, c’était la faute de Pierre. Elle souhaitait que Léon entende aussi ce qu’ils avaient à dire pour leur défense. Mais trouver des excuses se retournerait contre elle que lorsque Léon était vraiment en colère comme ça.

Il y avait encore une chose importante à considérer. Léon avait fait l’expérience de la guerre.

Marie était effrayée par ce fait.

J’ai vu une fois à la télé qu’une fois que quelqu’un a utilisé une arme à feu, son doigt de détente n’aura plus aucun problème pour le refaire !

La connaissance de sa vie passée lui disait que Léon en ce moment lui enlèverait même la vie s’il décidait de le faire.

PIERRE, TU ES UN STUPIDE BÂTARD ! POURQUOI TU ÉNERVES MON GRAND FRÈRE ! Il m’a aussi appelée « Marie-san » tout à l’heure, il me traite comme une étrangère.

« S’il te plaît, pardonne-moi. Je ferais n’importe quoi ! » déclara Marie.

« Quel esprit merveilleux ! Alors je te demanderai de faire preuve de ta sincérité. Mais avant ça, va guérir Brad, » déclara Léon.

Brad avait été allongé sur son lit après avoir reçu les premiers soins.

Marie se leva et salua avant de s’enfuir de la pièce.

« Je suis vraiment désolée ! Veux-tu bien m’excuser ? » déclara Marie.

Marie s’était échappée de la pièce et avait couru en essuyant ses larmes.

C’est mauvaissssss ! À ce rythme, ma seconde vie va se terminer avec ma mort provoquée par mon grand frère. Ou peut-être que ce sera fini avec mon grand frère qui m’abandonnera ! Je ne veux pas de ça !!

Pour la première fois depuis un certain temps, le cerveau de Marie travaillait à plein rendement pour trouver un moyen de survivre à cette situation.

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Partie 2

« Je l’ai peut-être trop menacée, » murmurai-je.

Ils avaient parié mon vaisseau sans le demander et avaient permis à Pierre de faire ce qu’il voulait.

J’avais légèrement exprimé mon mécontentement envers Marie, mais cela m’avait semblé assez efficace.

Eh bien, c’est comme si cette affaire était entièrement de sa faute.

La regarder me donnait même l’impression qu’elle était trop pitoyable, alors je lui pardonnerais cette fois-ci avec ça.

« Le problème, c’est Pierre. Mais pourquoi nous causait-il des ennuis ? » demandai-je.

C’était gênant parce que Pierre était un personnage clé d’un événement majeur.

Je n’avais jamais pensé qu’il s’attaquerait à nous.

Je pensais qu’il aurait des ennuis avec le personnage principal, alors je m’étais concentré uniquement sur Noëlle et Lelia. Maintenant, il est revenu pour me mordre le cul.

« Einhorn s’est fait enlever et Luxon change aussi de camp, » murmurai-je.

C’était douloureux de ne pas pouvoir prédire ce que Pierre allait faire maintenant.

Aurait-il des problèmes avec le personnage principal comme dans le jeu, ou bien le scénario du jeu avait-il déjà dérapé ?

La vie ne se passait pas comme on le voulait.

« Même si Luxon semblait vraiment en colère, se pourrait-il qu’il soit vraiment en colère ? » murmurai-je.

Quand il était passé de moi à Pierre, je n’arrivais pas à me défaire de l’impression qu’il était en colère.

Était-ce juste mon imagination ?

 

***

Le lendemain, Noëlle avait trouvé l’atmosphère de la salle de classe étrange quand elle était arrivée à l’académie.

« Bon matin ~, » déclara Noëlle.

Elle avait fait son salut, mais aucune réponse n’était venue.

Loin de là, ses camarades de classe détournaient leurs regards d’elle.

« Eh, quoi ? »

Noëlle avait été secouée, mais elle avait remarqué une autre chose étrange.

« Hein ? Pourquoi y a-t-il moins de bureaux ? » demanda Noëlle.

Les bureaux et les chaises remplissent la salle de classe. Certains d’entre eux avaient été enlevés, de sorte qu’il y avait maintenant deux places vides à l’intérieur de la classe.

C’est là que Léon et Brad étaient assis avant.

Son regard avait balayé l’intérieur de la classe. La plupart de ses camarades de classe la regardaient d’un mauvais œil.

En plus, elle n’avait pas pu trouver Léon et Brad.

« Qu’est-ce qui se passe ? » demanda Noëlle.

Noëlle s’approcha d’une amie à proximité, mais la jeune fille se mit à bouger et son regard erra de façon suspecte.

« S’est-il passé quelque chose ? » demanda Noëlle

« E-err. »

La fille avait l’air troublée. C’est un garçon dont Noëlle était proche qui lui avait donné une explication à sa place.

« Les étudiants étrangers se sont disputés avec un noble. Depuis le matin, des rumeurs circulent selon lesquelles ils ont été complètement éradiqués. Noëlle, tu vas aussi être sa cible. Qu’as-tu fait, au juste ? » demanda le garçon.

« Pourquoi me demandes-tu ça à moi !? Je n’ai rien fait ! Oublie ça ! Allez-vous obéir aux paroles de ce genre de gars ? » demanda Noëlle.

Ses camarades de classe avaient détourné leur regard d’elle.

La position des six grands nobles était absolue dans la République.

Les nobles qui avaient été choisis par l’arbre sacré n’avaient pas seulement de l’influence, ils pouvaient aussi utiliser une partie du pouvoir de l’arbre sacré.

Ils deviendraient incapables de vivre dans ce pays s’ils défiaient les nobles.

Noëlle avait immédiatement quitté la salle de classe.

Mais elle était tombée sur Loïc qui l’attendait dans le couloir.

« Bonjour, Noëlle. »

Loïc l’avait accueillie avec le sourire. Noëlle avait eu froid en le voyant ce matin.

« — Loïc, toi, » s’exclama Noëlle.

« As-tu envie d’accepter mon amour maintenant ? » demanda Loïc.

Il n’y avait aucun doute que ce type était impliqué dans la situation à l’intérieur de la classe.

Ce type, irait-il jusque-là ? Et pourquoi porte-t-il un collier avec lui ?

Loïc lui montrait un sourire rafraîchissant, mais ses mains tenaient une chaîne et un collier pour une raison inconnue.

« Ce collier n’est-il pas joli ? Ce sera la preuve de notre amour. Si tu veux me fuir, je n’ai pas d’autre choix que de t’attacher avec ce truc pour que tu ne puisses t’enfuir nulle part, » déclara Loïc.

Il ment, c’est ça ? Qu’est-ce qu’il a, ce type ?

C’était une scène tout droit sortie d’un film d’horreur. Noëlle s’était immédiatement enfuie de Loïc.

Loïc ne l’avait pas poursuivie.

« Bientôt, tu apprendras la réalité et tu reviendras vers moi. J’ai hâte d’y être, Noëlle, » déclara Loïc.

Le cerveau de Noëlle ne comprenait pas ce qui se passait.

Mais il n’y avait qu’une seule chose qu’elle savait. Ce serait mal si elle ne s’enfuyait pas d’ici. Le sentiment de danger de Noëlle hurlait à l’intérieur d’elle.

C’est mauvais. Ce type est vraiment une mauvaise nouvelle. J’ai besoin de faire quelque chose, sinon — .

Noëlle était allée demander de l’aide — auprès de sa petite sœur Lelia.

 

***

À ce moment-là, de tels problèmes se produisaient à l’académie.

Il y avait aussi une agitation dans le port.

« WOOOOOOOOHOOOO ! »

Pierre pilotait Arroganz pour voler à travers les dirigeables qui allaient et venaient du port.

L’armure était passée à grande vitesse juste à côté des dirigeables. L’onde de choc de ce mouvement avait secoué les coques des navires.

Les équipages et les passagers sur les ponts des navires avaient été paniqués par les secousses. Pierre ouvrit grand la bouche et ria en voyant cela.

« Ce truc est génial ! Il a une apparence boiteuse, mais sa puissance et sa vitesse sont les meilleures ! » déclara Pierre.

La voix de Luxon résonnait dans le cockpit d’Arroganz. « C’est bon de savoir que Sire Pierre s’amuse. »

« Oh, un œil. Dis-m’en plus sur cette armure. Y a-t-il autre chose d’intéressant qu’elle puisse faire ? » demanda Pierre.

Il testait les performances d’Einhorn et d’Arroganz depuis tôt le matin. Le résultat apporta à Pierre une bonne humeur qui le poussa à se déchaîner sauvagement dans le port.

« Cependant, les gardes se dirigent par ici en ce moment, » déclara Luxon.

« Il n’y a aucun moyen que ces petites merdes agissent contre moi ! Le grand Seigneur Pierre de la Maison Faiviel. Je les déchiquetterai s’ils se plaignent, » déclara Pierre.

« Je vois. Un membre des six grands nobles a donc plus d’influence qu’un fonctionnaire du gouvernement, » déclara Luxon.

« Ne me pose pas de questions sur quelque chose d’aussi évident. Plus important encore, cette chose m’a donné envie de l’essayer en combat réel. N’y a-t-il pas un ennemi à portée de main que je puisse utiliser pour tester ce bébé ? » demanda Pierre.

« Dans ce cas, je crois que le royaume Hohlfahrt serait approprié, » déclara Luxon.

« Quoi ? Veux-tu tuer ton ancien propriétaire ? Tu es aussi un méchant, hein ? » déclara Pierre.

« — Peut-être que c’est vrai, » répondit Luxon.

« Mais, le Royaume Hohlfahrt est assez grand. C’est justement le bon adversaire pour que je puisse obtenir des exploits. Dois-je leur envoyer la tête de leur prince pour les provoquer ? » demanda Pierre.

« Sire Pierre prévoit-il de créer une situation où le royaume sera forcé d’attaquer afin de transformer tout cela en une bataille défensive pour la République ? » demanda Luxon.

« Ils viendront ici tout seuls si je les provoque. Cet endroit est Alzer. Il n’y aura aucune chance pour nous de perdre tant que la protection divine de l’arbre sacré sera avec nous, » déclara Pierre.

Pierre avait l’air de s’amuser. Il avait continué à se vanter sans regarder ce qu’il disait.

« — Je vois. Je comprends. Dans ce cas, il vaudrait peut-être mieux cibler quelqu’un d’autre, » déclara Luxon.

« Ah ? »

« Léon Fou Baltfault — c’est un héros du royaume de Hohlfahrt. Si Sire Pierre prend sa tête, non seulement cela deviendra une réussite pour Sire Pierre, mais le royaume ne pourra pas non plus se taire. La fiancée de Léon est la fille d’un duc du royaume. La famille royale ne pourra pas rester silencieuse, » déclara Luxon.

« Hee ~, c’est génial. Tuer ce héros et prendre sa fiancée va être intéressant, » déclara Pierre.

La pensée de Pierre était vulgaire à l’extrême.

« Oui, Léon devrait devenir une bonne cible, » déclara Luxon.

C’était comme si Luxon guidait Pierre vers Léon.

 

***

À l’ambassade du Royaume de Hohlfahrt.

Marie y vint le matin pour rapporter ce que la République leur avait fait, mais la réaction des diplomates n’était pas favorable.

« Une protestation ! Allons protester officiellement ! Cet acte est complètement injuste et oppressant ! »

La raison pour laquelle Marie protestait vigoureusement était aussi un appel à Léon.

Elle cherchait aussi simplement à faire appel au pays pour résoudre ce problème à leur place.

Mais le personnel qui s’occupait d’elle avait donné une réponse inattendue.

« Je suis vraiment désolé. Nous ferons un rapport chez nous, mais je ne pense pas que cela donnera le résultat souhaité par Lady Marie. »

« Pourquoi !? Je veux juste qu’ils rendent Einhorn ! » déclara Marie.

C’était la seule chose dont elle avait besoin. Elle serait capable de se justifier auprès de Léon avec ça.

À l’inverse, Léon restait en colère contre elle tant que cela n’arrivait pas.

Léon continuait à l’appeler « Marie-san » comme si elle était une étrangère.

« Actuellement, le royaume importe des pierres magiques en grande quantité de la République d’Alzer. »

« — Ah ! »

Marie se souvient de son entretien avec Léon et Luxon avant d’arriver à la République. Alzer était un pays fort avec des ressources abondantes qui pouvait exporter des pierres magiques. Même le royaume de Hohlfahrt voudrait éviter d’entrer en conflit avec un tel pays.

De plus, la République était aussi un ennemi militairement puissant et invaincu dans les batailles défensives.

« Nous porterons plainte auprès de la République. Nous en rendrons également compte au royaume. Mais je ne pense pas que la République le prendra au sérieux, » déclara le fonctionnaire.

« Pourquoi ~ ! » demanda Marie.

Marie avait envie de pleurer.

Julian l’accompagnait ici. Il avait repris la conversation avec le membre du personnel.

« Ne pouvez-vous rien faire ? Peu importe la façon dont vous voyez les choses, ils sont allés trop loin, » déclara Julian.

« Votre Altesse, ici, c’est la République. Néanmoins, de penser que vous serez la cible de la Maison Faiviel, » déclara le fonctionnaire.

« La réputation de cette maison est-elle si mauvaise que ça ? » demanda Julian.

« C’est la pire maison des six grands nobles, » répondit l’autre.

Marie était anxieuse à l’intérieur.

À ce rythme-là, mon grand frère va vraiment m’abandonner pour de vrai !

Marie avait immédiatement planifié son prochain déplacement après avoir découvert qu’il serait inutile même si elle se plaignait à l’ambassade.

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Partie 3

À l’académie.

Lelia était de mauvaise humeur parce que Noëlle l’appelait dès le matin. Elle n’avait même pas essayé de le cacher à son expression.

« Pourquoi est-ce que je dois sauter la première période comme ça ? » demanda Lelia.

« Alors, désolée. Mais, la situation est vraiment mauvaise, alors je veux te demander de l’aide, » déclara Noëlle.

Elles étaient sœurs jumelles, mais leur personnalité était complètement différente.

Si Noëlle était une fille franche et vivante, Lelia était une fille calme et intellectuelle.

Lelia poussa un long soupir et écouta Noëlle en croisant les bras.

« Qu’est-ce que tu as fait ? » demanda Lelia.

« Ce n’était pas moi ! Pierre essaie de chasser Léon et les autres étudiants étrangers. De plus, on dirait que Loïc lui donne aussi un coup de main. Il me disait des choses effrayantes le matin, » déclara Noëlle.

Noëlle était aussi dans la confusion en ce moment. Elle n’arrivait pas à s’expliquer.

Lelia ne montrait aucune inquiétude sur son visage.

« Je suis au courant pour Pierre. Mais mis à part ça, la grande sœur a juste besoin de sortir avec Loïc pour éviter tous ces problèmes, » déclara Lelia.

« Je te l’ai déjà dit avant. Je déteste ce type. Et en plus, tu l’as incité à le faire, » répliqua Noëlle.

« Veux-tu dire que c’est ma faute ? C’est toi, grande sœur, qui as dit que tu ne l’aimais pas, alors je lui ai donné des conseils pour qu’il s’entende avec ma grande sœur. Il ne devrait pas y avoir de problème. Il a un joli visage, en plus il est l’héritier d’une grande maison noble, » déclara Lelia.

« Je ne tomberai pas amoureuse de quelqu’un pour ce genre de choses ! » déclara Noëlle.

Dans le passé, Loïc était plus gentil. Noëlle ne le détestait pas à l’époque.

Mais, sans qu’elle s’en rende compte, son désir de la monopoliser devint plus fort. Il s’immisçait dans tout ce que faisait Noëlle.

C’était Lelia qui poussait Loïc dans le dos.

« Ce genre de choses ? Tu veux parler de choses enfantines comme l’amour ou autre chose ? Grandis un peu, » déclara Lelia.

Elles étaient jumelles, mais leur façon de penser était différente.

Noëlle n’avait pas pu accepter cette partie de Lelia.

« De toute façon, je déteste Loïc, » déclara Noëlle.

« Ah, c’est bien vrai. J’aimerais quand même que la grande sœur ne me dérange pas. Je suis aussi occupée ici avec mes propres affaires, » déclara Lelia.

« D-Désolé. Mais cette fois, le danger est bien réel. Aide-moi maintenant, » déclara Noëlle.

Noëlle sentait qu’elle était en danger après avoir rencontré Loïc le matin. Elle s’était tenue dans ses bras de peur.

Mais même en voyant Noëlle comme ça, Lelia n’avait rien fait d’autre que de la regarder froidement.

« Tu n’as qu’à sortir avec Loïc pour faire disparaître le problème. Tu pourrais aussi aider ces étudiants étrangers en faisant cela, » déclara Lelia.

« Lelia, tu n’écoutes pas ce que je dis ! » s’écria Noëlle.

Lelia s’était retournée pour partir. Noëlle s’accrochait à ses bras, mais Lelia l’avait secouée.

« Kyah ! »

Lelia regardait Noëlle qui était tombée sur ses fesses.

« Tu es vraiment une grande sœur ennuyeuse. Je t’ai dit que j’étais occupée. Je vais essayer de parler de Pierre avec Émile, mais résous le problème de Loïc toute seule, » déclara Lelia.

Noëlle regarda Lelia partir et baissa les yeux. « Qu’est-ce que je dois faire ? »

 

***

La nuit.

Quand j’étais rentré du shopping, j’avais trouvé une fille assise devant la maison.

Une situation où il y avait une fille devant ma résidence la nuit n’était pas la première fois pour moi.

J’en avais déjà fait l’expérience avec ma petite sœur dans ma vie antérieure.

Cette Marie, dans le passé, elle jouait trop et n’avait pas assez d’argent pour rentrer chez elle, alors elle attendait que je rentre à la maison, assise devant mon appartement.

— C’était vraiment effrayant.

Maintenant, je pouvais deviner qui m’attendait en regardant la couleur des cheveux de la fille assise là.

« Il est déjà tard. Qu’est-ce qui ne va pas ? » demandai-je.

Noëlle leva le visage.

« Désolée. Je ne veux pas rentrer chez moi aujourd’hui, » répondit Noëlle.

Il n’y avait pas de vivacité dans son sourire. Il était assez clair qu’elle se forçait à sourire.

« Rentre, » déclarai-je.

« Désolée. Je suis vraiment désolée. Je suis venue ici alors même que toi-même, tu dois avoir beaucoup de problèmes en ce moment, » déclara Noëlle.

On dirait qu’elle était au courant de notre situation.

« Comment était la situation à l’académie ? » demandai-je.

Noëlle se gratta la tête de la main droite et rit en me le disant. « C’était horrible là-bas. »

« Je vois, » déclarai-je.

J’étais entré avec mon sac à provisions à la main. Puis je m’étais occupé de Noëlle-chan.

 

***

Noëlle tapota Noëlle-chan.

Je lui avais posé beaucoup de questions sur beaucoup de choses pendant qu’elle faisait cela, mais il y avait beaucoup de différences dans son histoire par rapport à celle que Marie m’avait racontée.

L’attitude et les mots de Loïc étaient vraiment impensables pour une cible de conquête.

De plus, Pierre nous causait des ennuis à la place du personnage principal.

Noëlle se faisait coincer par Loïc tandis que Lelia se faisait protéger par Émile.

— Je ne pouvais pas déterminer qui est le personnage principal comme ça.

J’avais rangé la table et j’avais écrit une lettre à ce sujet. Noëlle me regardait.

« Qu’est-ce que tu fais ? » demanda Noëlle.

« J’écris une lettre à ma famille. Je devrai aussi renvoyer un souvenir bientôt, sinon ma famille va s’inquiéter. Je dois aussi faire un rapport sur ce qui s’est passé récemment, » déclarai-je.

Je devais dire à ce salaud de Roland que la République se battait avec moi.

Je voulais vraiment voir quel genre de visage il ferait quand il lirait mon rapport.

J’écrivais plusieurs lettres avec enthousiasme.

« Désolé, tu vis quelque chose comme ça même si tu es venu ici pour étudier à l’étranger, » déclara Noëlle.

Noëlle s’était excusée auprès de moi. Je lui avais dit « C’est bon. » D’abord, c’était moi qui avais décidé de venir ici. J’étais venu pour étouffer une inquiétude future dans l’œuf.

Elle n’avait pas besoin de s’excuser auprès de moi — ce n’était pas sa faute.

« Est-ce que toi et les autres du royaume allez rentrer dans votre pays ? » demanda Noëlle.

« Il y a aussi notre honneur à considérer. Je ne pense pas pouvoir revenir avant d’avoir repris mon dirigeable à Pierre, » déclarai-je.

« C’est impossible. Tu ne peux pas le reprendre facilement après que le serment à l’arbre sacré soit entré en jeu comme ceci, » déclara Noëlle.

« Tu en sais beaucoup sur le sujet, » déclarai-je.

« Eh bien, c’est comme ça, » déclara Noëlle.

J’avais regardé Noëlle qui, en toute hâte, essaya de faire part de ses connaissances tout en considérant mon plan à partir de maintenant.

« Malheureusement, bien que je ressemble à ça, mais j’ai aussi une réputation. Ce sera un problème si je cours à la maison la queue entre les jambes. De plus, je dois recevoir une compensation considérable de la République qui ne s’excuse pas même après que leur noble soit allé aussi loin, » déclarai-je.

J’avais l’intention de supporter les choses jusqu’à un certain point, mais Pierre avait dépassé les bornes.

Comme je m’y attendais, même moi, je me fâcherais un peu après quelque chose comme ça.

« Es-tu sérieux ? » Noëlle m’avait demandé avec surprise.

J’avais hoché la tête vers elle. « Le problème est de savoir comment entraîner Pierre dans la phase du duel. Y a-t-il un trésor, un si extraordinaire qu’un type s’y jetterait même s’il se trouvait sous les yeux de tout le monde ? »

Noëlle avait l’air légèrement éteinte.

« J’ai entendu dire que les gens de Hohlfahrt sont courageux, mais cela a largement dépassé mon imagination. Dire que tu veux toujours essayer de défier Pierre même après ce qu’il t’a fait. Il a la protection divine de l’arbre sacré, tu sais ? »

« Ça n’a pas d’importance, » déclarai-je.

La légende d’invincibilité de la République d’Alzer, elle était clairement liée à l’arbre sacré. C’était notre hypothèse.

En fait, cette hypothèse était correcte.

« Pour l’instant, je vais prendre mon temps pour élaborer un plan tranquillement. Noëlle, tu peux rester ici aussi longtemps que tu souhaites, » déclarai-je.

« — Hein ? » Noëlle avait fait une tête étonnée.

Je la regardais en agitant la main nonchalamment. « Ne t’inquiète pas. Je ne te ferai rien d’étrange. Tu ne peux pas rentrer chez toi, hein ? »

« O-ouais, » répondit Noëlle.

Il semblait qu’elle s’était disputée avec sa petite sœur Lelia, mais cette maison avait des chambres vides et donc, il n’y avait pas de problème, même si elle restait ici un certain temps.

En plus, comme maintenant Luxon n’était plus à mes côtés, ce serait plus effrayant de ne pas savoir où était Noëlle.

 

***

Quelques jours plus tard.

Il y avait une installation appelée temple de l’arbre sacré dans l’ancien territoire Lespinasse. Une réunion des six grands nobles s’y tenait.

Les chefs actuels des six grands nobles y étaient réunis.

Les ordres du jour insignifiants étaient pris en charge par leurs subordonnés, mais il y avait des questions qui nécessitaient leur autorisation pour être exécutées. Ils discutaient de ces questions aujourd’hui.

L’un des points importants à l’ordre du jour était l’affaire de Pierre de la maison Faiviel qui s’était battue avec le royaume de Hohlfahrt.

Le président par intérim, Albergue Sara Rault, lisait un rapport écrit sans expression.

Mais à l’intérieur, il était rempli de dégoût.

 Encore une fois. La Maison Faiviel n’apprendra jamais.

Provoquer l’adversaire à attaquer sur son territoire était déjà devenue quelque chose comme la spécialité de la République d’Alzer.

La République était puissante quand il s’agissait de batailles défensives, à tel point qu’ils voulaient que d’autres pays viennent attaquer.

À cause de cela, ils avaient toujours été provocateurs envers d’autres pays.

Combien de temps allons-nous continuer à faire quelque chose comme ça ?

Il était complètement dégoûté à l’intérieur de son cœur.

Albergue était un homme d’une quarantaine d’années. Son corps était grand et bien entraîné. Il avait l’air d’avoir la trentaine.

Il avait l’air d’un homme d’âge mûr avec ses cheveux courts et sa silhouette convenable.

Il avait interrogé le père de la personne en question en tant que président par intérim.

« Seigneur Lambert, avez-vous quelque chose à dire sur cet acte provocateur envers le royaume de Hohlfahrt ? »

À l’opposé d’Albergue, le chef de la maison Faiviel, Lambert Io Faiviel était un homme petit et gros.

Ses cheveux étaient très courts, presque chauves. Ses vêtements étaient également recouverts de trop de décorations qu’il manquait de raffinement.

« Mon fils a fait quelque chose d’embarrassant. Mais il l’a fait aussi parce qu’il souhaitait améliorer les réalisations militaires. Récemment, il y a peu de pays qui ont attaqué Alzer. Ne devrions-nous pas laisser cette situation dégénérer en guerre avec le royaume de Hohlfahrt pour que les jeunes puissent avoir leur moment sous les feux de la rampe ? »

Celui qui avait montré du mécontentement à la remarque de Lambert était le chef actuel de la Maison Druille qui possédait la grande influence malgré sa jeunesse.

C’était un bel homme aux cheveux blonds bouclés, courts et aux yeux verts. Il s’appelait Fernand Toara Druille.

Il avait encore une vingtaine d’années. C’était le plus jeune ici.

« S’est-il battu avec un autre pays pour des raisons personnelles ? Je ne pense pas qu’il comprenne sa position de noble, » déclara Fernand.

L’argument solide de Fernand avait fait que Lambert avait détourné son visage.

« Ce néophyte. Dis-le que si tu as peur de la guerre, tu n’as pas besoin de venir. »

Le témoignage ininterrompu de leur invincibilité dans les combats défensifs avait fait de la perception des six grands nobles envers la guerre quelque chose de désinvolte.

C’était ainsi parce qu’ils gagneraient sans aucun doute quand il s’agirait de cela. Cela les rendait arrogants.

Les autres chefs avaient leur propre position sur cette question, mais aucun d’entre eux ne la considérait avec l’importance qu’elle méritait.

« On a un plus gros problème que ça, n’est-ce pas ? Nous n’avons toujours pas obtenu d’orbes cette année. »

« C’est une perte de temps de discuter d’un pays de troisième ordre comme Hohlfahrt. »

« Payez-leur des réparations et des excuses. S’ils se plaignent encore après ça, on peut les faire taire avec la guerre. »

Les autres têtes voulaient passer au sujet suivant, mais le regard d’Albergue avait capté un nom qui avait été écrit dans le rapport.

« —Léon, huh. »

Fernand avait parlé à Albergue.

« Il y a un problème, président par intérim ? »

« Non, ce n’est rien. Plus important encore, il y a une demande de restitution du dirigeable qui a été pris de force. Seigneur Lambert, cela vous pose un problème ? »

Il y avait une demande implicite dans cette question de rendre le dirigeable puisqu’il ne s’agissait que d’un seul dirigeable, mais Lambert avait été clairement ébranlé par cela.

« N-Non, j’ai peur de ne pas pouvoir faire ça. C’était un duel sacré qui a été fait sous serment à l’arbre sacré. Mon fils n’a pas besoin de rendre un dirigeable qu’il a gagné à la loyale ! »

Albergue et Fernand étaient curieux de la réaction de Lambert, mais les autres têtes n’étaient pas intéressées du tout. À cause de ça, ils n’avaient pas pu l’interroger davantage.

« Président par intérim, nous n’avons pas beaucoup de temps. Parlons déjà des autres questions sur l’agenda. » Le père de Loïc, le chef de la Maison Barrière, exhorta Albergue à aller de l’avant. Albergue avait donc décidé de passer au sujet suivant.

Je suppose qu’il sera inutile d’en parler plus longuement.

« Alors, l’ordre du jour suivant concerne les orbes. Cette année, même pas une seule orbe n’a — . »

La question concernant le royaume de Hohlfahrt avait été balayée avec désinvolture lors de la réunion de l’assemblée.

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Claramiel

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