Chapitre 14 : Épilogue
Partie 3
Noëlle était aussi là quand j’étais entré dans la salle de réception.
« Ah, Léon, » déclara Noëlle.
Il semblait qu’elles parlaient de quelque chose, mais il ne semblerait pas que le sujet de la discussion soit vraiment agréable.
L’expression de Noëlle était sombre, tandis que Lelia nous regardait fixement, Marie et moi.
Puis ses yeux s’étaient ouverts quand elle avait vu Luxon flotter sur mon épaule droite.
Elle était clairement sur ses gardes et semblait au courant pour Luxon.
« Noëlle, peux-tu nous laisser parler un peu avec ta sœur ? » lui demandai-je.
« Ça ne me dérange pas, mais —, » déclara Noëlle.
Noëlle regarda vers Lelia. En réponse, Lelia croisa les jambes avec une expression éhontée, comme pour dire : « Vas-y ».
« Ce n’est pas grave. On dirait que ta grande sœur leur est redevable, et j’ai aussi beaucoup de choses à dire, » déclara Lelia.
Lelia avait croisé les bras. Noëlle avait l’air de ne pas savoir quoi lui dire.
« Lelia, ne leur dit rien de déplacé, » déclara Noëlle.
Après que Noëlle ait quitté la pièce, Marie avait regardé alternativement entre mon visage et celui de Lelia avec un regard troublé.
J’avais demandé directement à Lelia. « Es-tu aussi un réincarné ? »
« C’est vrai. J’ai été réincarnée en petite sœur jumelle du personnage principal. — Même si j’avais mes propres plans, ils sont tous foutus à cause de vous, » répliqua Lelia.
« Je m’en excuse, » déclarai-je sans émotion.
Je m’étais assis sur le canapé avec Marie qui me suivait pour s’asseoir à côté de moi.
Luxon regarda Lelia.
« Et, qu’est-ce que tu cherches en venant ici ? » demandai-je.
Lelia avait détourné son regard de Luxon vers moi.
« Comment as-tu un objet de triche avec toi ? » demanda Lelia.
« J’ai travaillé dur pour l’avoir, » répliquai-je.
« Ce ne sont pas vraiment mes affaires, » déclara Lelia.
Lelia semblait mécontente de ma réponse. Elle avait quand même parlé de la raison pour laquelle elle était venue dans notre manoir.
« Je te demande de me rendre ma grande sœur. Avec le jeune arbre sacré, si possible, » déclara Lelia.
Sa façon de parler était unilatérale : Marie s’était irritée à ma place.
« Haaa ? Pourquoi devons-nous suivre tes instructions ? » s’écria Marie.
« Le jeune arbre sacré se fanera s’il n’est pas tenu par ma grande sœur qui a l’aptitude de prêtresse ! Ne le savez-vous même pas ? Le développement à partir de maintenant tournera mal si le jeune arbre se dessèche ! » déclara Lelia.
Cela devait être quelque chose que Lelia ne pouvait pas permettre d’où elle se tenait.
Ce n’était pas comme si j’avais un problème avec sa demande, mais il y avait une chose qui me dérangeait.
« Aptitude de prêtresse ? Attends une seconde, n’as-tu pas aussi cette aptitude ? » demandai-je.
La formulation de Lelia m’avait dérangé que j’avais essayé de lui demander. En réponse, son regard sur moi s’était clairement transformé en un regard de ridicule.
« Je n’ai pas l’aptitude. La grande sœur est la seule à avoir l’aptitude de devenir prêtresse, » déclara Lelia.
Marie avait commencé à avoir des sueurs froides.
« Eh, attends. N’êtes-vous pas jumelles ? Ça ne devrait pas être étrange pour vous deux d’avoir cette aptitude. Vous savez, tout comme la façon dont vous avez divisé la queue jumelle pour devenir une queue latérale assortie l’une à l’autre, » déclara Marie.
Lelia déclara alors. « Notre coiffure n’a rien à voir avec ça ! » avant de parler de l’aptitude de la prêtresse. « Avant que la Maison Lespinasse ne soit détruite, mes parents disaient que la grande sœur est la seule à avoir l’aptitude de prêtresse alors que je n’en ai pas. »
J’avais été secoué d’entendre cela et j’avais tourné mon regard vers Luxon.
« Il y avait cependant une mention dans le document des six grands nobles que la prêtresse a été décidée sur la base de la lignée sanguine ? » répondit Luxon.
Lelia avait nié les informations de Luxon.
« Mes parents, l’ancienne prêtresse et le gardien m’ont dit que je n’avais pas cette aptitude. C’est impossible qu’ils se trompent. En outre, la prêtresse porte le rôle de relier l’arbre sacré avec le peuple. La prêtresse m’a dit que je n’avais pas l’aptitude, donc il est évident qu’elle a raison plutôt qu’un document quelque part, » déclara Lelia.
L’affirmation de Lelia nous avait poussés, Marie et moi, à garder la tête froide.
« Ce n’est pas possible. Notre plan pour faire de Lelia la prêtresse et d’Émile le gardien…, » déclara Marie.
« Luxon, sale menteur ! » déclarai-je.
Lelia nous regardait avec dégoût.
« Comprenez-vous tout ce que j’ai préparé jusqu’à présent ? Ma maison a été brûlée et j’ai été chassée quand j’étais enfant, après quoi j’ai travaillé dur pour m’occuper de ma grande sœur jusqu’à notre arrivée à l’académie. Je pensais que la grande sœur pouvait enfin devenir l’amante de Loïc et que le danger pour le monde serait écarté, et pourtant —, » déclara Lelia.
Elle disait des choses qui avaient attiré mon attention.
« Attends une seconde. Se pourrait-il que ce soit toi qui as mis Loïc après Noëlle ? » demandai-je.
« C’est vrai. La véritable fin de la deuxième partie était également centrée sur Loïc. C’est le destin de la grande sœur d’être avec Loïc, » déclara Lelia.
La vraie fin — c’est celle que tu as appelée la vraie fin ? Il semble que la meilleure conclusion de la suite de ce jeu vidéo otome avait été où Noëlle et Loïc étaient ensemble.
J’avais fait une expression compliquée. En voyant cela, Lelia avait dit. « Quoi ? As-tu une plainte à formuler ? »
« C’est plus une question qu’une plainte. Noëlle, elle déteste Loïc, n’est-ce pas ? » demandai-je.
J’avais demandé la confirmation à Marie.
« Ouais. Je pense que Loïc est le seul avec qui elle ne voudra pas être, parce qu’on dit qu’elle le déteste vraiment. J’ai déjà vu quelque chose comme ça avant. Sa haine a l’air d’être déjà au point qu’il lui est physiologiquement impossible de l’accepter. Je pense qu’il est absolument impossible pour ces deux-là de devenir amants, » déclara Marie.
Si quelqu’un que j’aimais me disait quelque chose comme « c’est physiologiquement impossible pour moi d’être avec toi », je ne serais pas capable de me remettre sur pied pendant trois jours.
Lelia était aussi une femme, donc elle semblait comprendre ce dont Marie parlait.
« Mais dans ce jeu, la grande sœur et Loïc étaient —, » commença Lelia.
Marie fixa Lelia avec un visage de compréhension.
« Dans ce monde, nous n’aurions pas besoin de traverser des épreuves si les choses peuvent progresser comme dans le jeu, » déclara Marie.
Les mots de Marie étaient sûrement remplis de significations diverses.
C’était un peu triste.
« Tu as traversé beaucoup de difficultés jusqu’à présent. Bien que la cause de ton échec était que tu voulais avoir un harem inversé, » répliquai-je.
Marie s’essuya les yeux avec sa manche.
« Ne le dis pas. Je le regrette déjà, » déclara Marie.
Puis Lelia avait dit. « Ha ? Ce n’est pas possible ? Ne me dis pas que tu visais quelque chose comme un harem inversé ? Uwa ~, visant le harem inversé dans le monde réel, tu es incroyable. »
Marie s’était fortement opposée après avoir vu le regard consterné de Lelia. « La ferme ! S’il y a du bonheur qui traîne là-bas, c’est humain de l’attraper ! D’ailleurs, même toi, tu as posé ta main sur cette tuile sûre Émile ! »
« J’ai sincèrement choisi une seule personne ! » déclara Lelia.
« Hah! Sincères tu dis ? Tu l’as choisi parce que tu savais que c’était quelqu’un de riche d’une bonne famille, n’est-ce pas ? C’est risible d’appeler ça être sincère, » déclara Marie.
En tant que compagnes, elles étaient capables de deviner ce que l’autre pensait. Cela avait fini par devenir un horrible échange d’insultes.
« Je suis toujours meilleure que toi qui visais le harem inversé ! » déclara Lelia.
« Tu ne réduis ta cible qu’à une seule personne, mais ce que tu as fait est fondamentalement la même chose que moi ! » déclara Marie.
« Ne me regroupe pas avec toi ! » déclara Lelia.
Les deux femmes intensifiaient leur propos et elles avaient commencé à se disputer telles des chattes.
Elles s’étaient emparées des cheveux de l’autre, s’étaient emparées des vêtements de l’autre et s’étaient insultées.
Ce qui m’était venu à l’esprit en regardant l’état des deux femmes était…,
« Uwaa ~, c’est moche, » déclarai-je.
« Je suis d’accord, » répliqua Luxon.
Marie et Lelia étaient finalement essoufflées et cessèrent leur querelle. J’avais remis la conversation sur la bonne voie.
« En tout cas, nous voulons tous éviter le danger pour le monde. Nous devrions pouvoir travailler ensemble, » déclarai-je.
D’après cette conversation avec Lelia, il semble qu’elle voulait aussi éviter tout danger pour le monde.
Alors nous, les réincarnés, on ne devrait pas se battre.
« Comment ça, travailler ensemble ? Tu as écrasé l’événement de Pierre et séparé la grande sœur de Loïc, » déclara Lelia.
J’avais vu Lelia mettre de l’ordre dans ses cheveux décoiffés et son uniforme tout en s’excusant sans sincérité.
« Désolé. Mais on n’y peut rien parce que Pierre s’est battu avec nous. Nous devons également réfléchir à notre propre position. Quant à Loïc, il dégage cette dangereuse vibration. On dit juste qu’il vaut mieux ne pas le choisir, » déclarai-je.
« Le désir de Loïc de monopoliser est juste un peu fort. C’est aussi son charme. Il se calmera un peu si la grande sœur devient son amoureuse, » déclara Lelia.
Un peu ? Était-ce qu’un peu !? — Je ne comprends vraiment pas les filles.
Lelia s’était plainte à moi.
« Plus important encore, c’est un problème que tu aies écrasé l’événement de Pierre ! Cet événement était vraiment important, tu sais !? Qui plus est, vas-tu normalement coincer quelqu’un jusque-là !? J’ai entendu de la bouche d’Émile que Pierre est dans une très mauvaise situation en ce moment ! » déclara Lelia.
Il semble que Lelia ait vu le duel. Elle avait l’air consternée.
« C’est la faute de Pierre de s’être battu contre moi. D’ailleurs, c’est vrai que je l’ai coincé, mais il s’était détruit à cause de ses propres mauvaises actions habituelles. Ce n’est pas ma faute. Pour commencer, c’est de sa faute s’il s’est fait coincer, » déclarai-je.
« Tu es le pire, » s’écria Lelia.
Marie s’était levée pendant que Lelia me fixait. « Pierre n’a rien qui vaille la peine de ressentir de la sympathie pour lui. Oublie-le, tu devrais travailler avec nous. »
Nous pouvions travailler ensemble parce que les deux parties avaient le même objectif.
Lelia avait aussi l’air insatisfaite, mais elle pourrait aussi vouloir notre coopération parce qu’elle avait accepté cet entretien.
« Quoi qu’il en soit, rends-moi la grande sœur et le jeune arbre sacré, » ordonna Lelia.
J’avais pris le conteneur qui abritait l’arbrisseau. Je l’avais apporté parce que je pensais que ce serait nécessaire dans notre discussion.
Je l’avais mis sur la table basse.
« Tu n’as pas à t’inquiéter si c’est à propos de ce truc. Il est placé dans un étui spécial, donc il ne se dessèche pas pour l’instant — e-eh ? » m’écriai-je.
Ma main droite avait commencé à briller.
En même temps, j’avais l’impression que l’arbre brillait aussi.
« Grand frère, le dos de ta main droite ! » s’écria Marie.
Marie avait soudainement dit cela, alors j’avais regardé le dos de ma main droite. Là, une sorte de symbole se formait.
« Qu’est-ce que c’est !? Hé, qu’est-ce que c’est que ça !!? » m’étais-je écrié.
Lelia, qui me regardait faire des histoires, avait fait une grimace comme si elle regardait une scène incroyable.
« P-Pourquoi !? Pourquoi le “blason du gardien” se forme-t-il sur la main de ce type ? » demanda Lelia.
Luxon parlait avec plaisir en nous regardant faire du grabuge. « Oh, cette chose a un œil perspicace. Il semble que le jeune arbre sacré ait jugé mon maître digne d’être le gardien et l’ait choisi. »
« MOIIIIIII !? »
La jeune pousse m’avait choisi comme protecteur même s’il n’avait toujours pas choisi la prêtresse.
À l’origine, il s’agissait de Noëlle — le personnage principal qui avait choisi le gardien parmi les cibles de conquête, mais pour une raison quelconque, c’était l’arbrisseau lui-même qui m’avait choisi.
Il y avait une limite même à l’inattendu.
— Qu’est-ce qui va se passer à partir de maintenant ?
***
À l’académie du Royaume de Hohlfahrt.
Livia et Anjie prenaient le thé avec des expressions graves.
Creare flottait près d’eux.
« Ce grincheux de Luxon n’est toujours pas en contact, » déclara Creare.
Livia, qui priait pour la sécurité de Léon d’ici, s’inquiétait. « Penses-tu que nos lettres sont parvenues à Léon ? »
Anjie buvait son thé calmement, mais elle se sentait aussi inquiète à l’intérieur. « Malgré ses apparences, Deirdre est une femme qui tient ses promesses. Elle livrera notre lettre sans faute. »
Toutefois, c’était seulement si la lettre pouvait être livrée dans ce cas.
Les deux femmes ne savaient pas comment Léon se débrouillait en ce moment dans cette situation où il n’y avait aucune information venant de la République.
Elles souhaitaient pouvoir se rendre rapidement à la République en personne, mais on leur avait ordonné de ne pas bouger parce que la situation y était inconnue.
« Elle devrait arriver à Alzer à cette heure-ci, » déclara Anjie.
Ils avaient pu échanger fréquemment des lettres auparavant grâce à Luxon, mais normalement l’obtention d’informations prendrait beaucoup de temps, tout comme aujourd’hui.
Creare consola les deux filles inquiètes. « Ça ira très bien. Le Maître est quelqu’un de tenace, et je ne pense pas qu’il y ait un ennemi qui puisse vaincre Luxon. Ils sont sûrement occupés à régler des problèmes. »
Livia hocha la tête. « J’espère que c’est le cas ici. »
Anjie soupira légèrement. « Mais cet homme est imprudent parfois. Même ainsi, que se passe-t-il dans la République ? »
Creare avait montré sa motivation après avoir vu les deux femmes s’inquiéter ainsi. « Je comprends. Alors je vais essayer d’enquêter un peu. »
Livia leva le visage. « Peux-tu faire ça Are-chan ? »
« Laissez-moi m’en occuper. J’y ai envoyé un relais de communication. Bien que ses performances ne soient pas bonnes et que Luxon ne l’aime pas, ce sera plus comme du piratage. »
Anjie avait perdu le calme qu’elle avait maintenu jusqu’à présent et avait bondi sur cette offre.
« Je me fiche de la façon dont tu le fais ! Fais-le immédiatement si tu peux vérifier comment Léon s’en sort en ce moment, » déclara Anjie.
« Je ne pourrai obtenir que des informations fragmentaires, » déclara Creare.
« Ça ne me dérange pas. Si Léon est en sécurité, alors —, » déclara Anjie.
Anjie plaça ses mains sur sa poitrine et pria pour la sécurité de Léon. Après avoir vu à quel point Anjie était anxieuse, Creare avait effectué un accès non autorisé à Luxon.
La lentille bleue de Creare émettait une lueur intense.
« Alors, je vais enquêter un peu. Err ~, la position actuelle du corps principal de Luxon est —, » commença Creare.
Livia joignit ses mains dans un geste de prière. « Léon, sois prudent. »
Anjie attrapa l’épaule de Livia sur le côté. « Tout se passera bien. Léon est fort après tout. »
Puis — .
« — Hyaaaaaa ! » s’écria Creare.
— Creare avait émis une voix étrange.
Livia s’était levée.
« Are-chan, qu’est-ce qui ne va pas !? » demanda Livia.
Anjie avait attrapé Creare des deux mains.
Ses yeux étaient très sérieux.
« Que s’est-il passé !? Léon est-il en sécurité ? » demanda Anjie.
Creare avait dit aux deux femmes les informations qu’il avait recueillies.
« J’ai réussi à obtenir le journal de bord de Luxon. Je n’ai pu obtenir que des informations insignifiantes, » déclara Creare.
« A, et !? » Livia avait demandé à Creare de continuer.
Creare semblait vraiment hésiter à lui répondre.
Cela les avait rendues encore plus anxieuses.
« J’ai pu confirmer la sécurité du maître. On dirait que Luxon reste aussi aux côtés du maître. Ah, Marie-chan et les autres sont aussi en sécurité, » déclara Creare.
Anjie et Livia se tenaient la main l’une l’autre avec leurs paumes pressées l’une sur l’autre.
Elles pressaient leur corps ensemble et leurs gros seins étaient aplatis l’un contre l’autre.
« Je vois, alors Léon est en sécurité ! » déclara Anjie.
« C’est super, Anjie ! » déclara Livia.
Elles n’avaient pas du tout posé de questions sur Marie et les autres. Elles étaient simplement soulagées d’apprendre que Léon soit en sécurité.
Toutes les deux souriaient joyeusement, mais…
« M-Mais, vous voyez. C’est l’endroit où le maître séjourne actuellement, c’est là où Marie et les autres étudiants vivent en ce moment, » déclara Creare.
Une ombre était apparue dans le sourire des deux femmes.
Livia s’inquiéta pour Anjie.
« Anjie, il y a sûrement une raison pour laquelle ils vivent ensemble, » déclara Livia.
Les joues d’Anjie tremblèrent.
« Tu as raison, il doit y avoir une raison. Peut-être que l’ambassade n’a pas pu obtenir un endroit où Léon pourrait rester à l’écart d’eux. Ce doit être ce genre de raison. Ça doit être comme ça. Sinon, Léon vivant dans la même maison que cette femme est juste —, » commença Anjie.
Puis Creare leur raconta à toutes les deux une autre information qu’il avait obtenue du journal de bord — quelques mots que Luxon murmura.
« L’information que j’ai obtenue est variée et fragmentaire, de sorte qu’elle ne donne pas une image claire, mais j’ai réussi à retenir quelques mots que Luxon a murmurés. Voyons voir, il marmonnait “et maintenant au milieu d’un adultère”, » déclara Creare.
L’expression des deux femmes et — la lumière dans leurs yeux, avaient disparu de leur visage.
merci pour le chapitre
Merci pour le chapitre.