Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Petite histoire – Partie 5

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Petite histoire – La Route de Marie

Partie 5

Marie se souvient du passé sur le dos de Léon.

Luxon illuminait le sombre chemin à l’intérieur de l’académie.

Je me souviens du passé. Maintenant que j’y pense, le grand frère m’a aussi portée sur son dos comme ça.

Elle se souvenait de ce grand frère ennuyeux. 

Comme il était mort par sa faute, elle l’avait regretté tout le temps.

Elle se souvint de ce qui s’était passé dans le monde précédent et serra fortement le dos de Léon dans ses bras.

« Aïe, ça fait mal, » déclara Léon.

Léon se plaignait, mais voyant à quel point il était semblable à son grand frère, elle était irritée — et heureuse.

« Ne te plains pas et marche plus vite, » déclara-t-elle.

Les larmes étaient sorties. Elle avait eu honte et avait enfoui son visage contre le dos de Léon.

À la fin, j’étais sans espoir tout le temps sans grand frère là-bas.

Sa vie avait déraillé depuis la mort de son grand frère.

Il avait une mauvaise bouche et une mauvaise personnalité, mais au fond, c’était un bon grand frère.

Ce grand frère et Léon se chevauchaient.

Mais, pensa Marie. Je me demande si mon grand frère s’est aussi réincarné ? — J’espère qu’il sera heureux si c’est le cas.

Elle se souvient de son grand frère qui était mort jeune et avait levé le visage pour regarder le ciel. Là-bas, la lune était jolie.

« Hé, quel genre d’endroit est ta maison ? » demanda Marie.

« C’est une campagne. L’endroit est calme et lent, mais j’aime bien, » répondit Léon.

« Toi, j’ai l’impression qu’un endroit comme la capitale n’est pas dans tes préférences, » déclara Marie.

« C’est parce que je n’aime pas le désordre. Je ne veux pas m’en occuper et travailler, » déclara Léon.

« Uwa, c’est une phrase d’une personne sans espoir, » déclara Marie.

Grand frère a aussi dit quelque chose comme ça avant.

Marie avait pensé à tout ça sur le dos de Léon.

Les fois où j’ai parlé à ces quatre-là, je n’étais pas non plus vraiment excitée. Je ne conviens pas au prince et à ces quatre-là.

Elle avait essayé de viser les quatre autres que Julian avec Léon, mais elle n’avait ressenti aucun sentiment de « c’est le bon » de leur part.

Maintenant, elle en comprenait la raison.

— Aa ~, mon intérêt pour l’homme est vraiment mauvais. De penser que j’aimerai quelqu’un qui est comme mon grand frère, quelle vérité choquante pour ma seconde vie.

Marie pensait une telle chose en faisant une conversation stupide avec Léon.

***

La cérémonie de fin s’était terminée en toute sécurité et le jour du retour à la maison était arrivé.

Mon père était venu me chercher au port.

J’attendais Marie qui n’arrivait pas à temps.

« Cette fille, elle est en retard. »

Nicks et Jenna s’étaient déjà rendus au port.

Luxon réfléchissait à la raison du retard de Marie. « — Peut-être que sa préparation prend du temps ? »

« Après tout, les femmes prennent beaucoup de temps pour ce genre de choses, » déclarai-je.

« Ou peut-être qu’elle ne s’est pas réveillée, » déclara Luxon.

« C’est possible, » déclarai-je.

— Mais, ma poitrine est mal à l’aise depuis ce matin.

Je ne pouvais pas me calmer quoiqu’il arrive.

« Maître, devrions-nous aller la chercher ? » demanda Luxon.

« Ouais. Mais je ne peux pas entrer dans le dortoir de la fille, » déclarai-je.

Pendant que nous parlions ainsi, des filles en uniforme étaient passées devant nous.

Mais, leur conversation m’avait rendu curieux.

« Ça m’a fait du bien. »

« C’était parce qu’elle était impudente. C’était rafraîchissant. »

« C’est sa faute si elle s’est démarquée comme ça à la fête. »

Le trio de filles à l’allure méchante était suivi par des domestiques exclusifs.

J’avais eu une mauvaise prémonition en entendant leur conversation.

« Une fête ? Rafraîchissant ? — Luxon, cherche Marie, » ordonnai-je.

J’avais commencé à courir. Luxon s’était dirigé vers le dortoir de la fille devant moi.

— Ne me dis pas qu’il est arrivé quelque chose à cette fille ?

***

Marie, dont les cheveux étaient encore décoiffés après avoir dormi, courait en portant un sac de voyage.

« J’AI TROP DORMIIIII ! »

Elle était nerveuse hier et n’arrivait pas à bien dormir.

Elle pensait à rencontrer la famille de Léon, et elle craignait aussi que ma famille ne tente quelque chose.

— En plus, elle avait une mauvaise prémonition.

À cause de cela, elle avait dormi très tard hier.

Et puis, quand elle s’était réveillée, il n’y avait pas eu beaucoup de temps avant l’heure de la réunion.

« Hau ! »

Marie s’était préparée très vite et s’était précipitée hors de sa chambre, mais elle était entrée en collision avec une étudiante en tournant au coin de la rue.

Marie était tombée, mais elle s’était immédiatement levée.

« Aïe aïe aïe — ah, ça va !? Je suis désolée. J’étais pressée, alors… hein ? » s’exclama Marie.

Quand elle avait tendu la main vers la fille avec laquelle elle était entrée en collision, Marie avait eu très peur en voyant les yeux de cette fille.

L’étudiante au regard sombre était Olivia.

Olivia se leva comme si de rien n’était et s’éloigna en ignorant Marie.

Marie avait réalisé qu’elle avait des sueurs froides.

« Quoi ? Qu’est-ce que c’était ? » demanda Marie.

— C’était vraiment effrayant.

Son image d’Olivia était quelqu’un qui souriait toujours joyeusement, mais tout à l’heure, elle n’avait pas une telle expression rose dans les yeux.

Cela avait fait peur à Marie.

Quoi ? Elle a l’air de tout détester — j’ai vu plusieurs filles faire ce genre d’yeux, mais, est-ce que quelque chose est arrivé ?

Elle pensait courir après Olivia, mais ses jambes ne bougeaient pas.

Son cœur battait fort dans sa poitrine.

Puis — .

« Oh, il semble que tu aies vraiment trop dormi. »

« Fuwah ! Moi, c’est toi, Luxon. Ne me surprends pas comme ça, » déclara Marie.

Marie, qui était mal à l’aise, essuya sa sueur et ramassa son sac de voyage.

« Le Maître est inquiet. Il pensait qu’il s’était peut-être passé quelque chose, » déclara Luxon.

« Je, je suis désolée. Je n’arrivais pas à bien dormir hier et quand je me suis réveillée, il était —, » déclara Marie.

Pendant qu’elle cherchait des excuses, Luxon bougea son seul œil d’un signe de tête.

« C’est bon s’il n’y a pas de problème. Alors, partons, » déclara Luxon.

« D-D’accord, » déclara Marie.

Marie qui se souvenait de ce qui venait de se passer s’inquiétait vraiment pour Olivia.

Mais, se demandant si elle pouvait l’appeler quand elles n’étaient pas du tout proches, et avec la façon dont Léon et sa famille l’attendaient — elle n’avait pas été parlé à Olivia.

***

« T’es une gamine, tu dors trop ! » déclarai-je.

« Je, je suis désolée, » répondit Marie.

J’étais vraiment soulagé d’apprendre que Marie était en retard parce qu’elle s’était réveillée trop tard.

J’avais eu une mauvaise prémonition, mais pour commencer, mon instinct n’était pas si précis.

J’étais content que mon instinct ait eu tort.

Tous les deux, nous nous étions précipités vers le port, dans la zone d’amarrage des dirigeables.

J’avais parlé à Marie en marchant.

« Le vaisseau est-il parti ? » me demanda-t-elle.

Il semblerait qu’elle s’inquiétait de savoir si le navire de mon père était parti ou non.

« C’est un navire privé, donc il peut être flexible bien que le port se plaindra à nous, » déclarai-je.

« C’est bien même si nous sommes laissés pour compte. Partenaire peut vous y envoyer tous les deux, » déclara Luxon.

« Partenaire se démarquera. Tu l’as rendu trop grand, » déclarai-je.

« C’était à cause des instructions du maître. Ce n’était pas ma faute, » répondit Luxon.

« Vraiment ? Oui, c’est vrai, hein, » déclarai-je.

J’avais aussi fait la conversation avec Luxon, mais l’étrange mauvaise prémonition dans ma poitrine ne s’était pas calmée depuis quelque temps.

« Marie, il ne s’est rien passé ? » demandai-je.

J’avais consulté Marie avec inquiétude, mais la personne elle-même ne comprenait pas de quoi je parlais.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? » demanda Marie.

« C’est pourquoi — non, comme je pensais, oublie le, » déclarai-je.

« Attends ! Je suis curieuse, alors dis-le ! » déclara Marie.

Cette fille ne rira que si je lui dis que j’ai cette étrange mauvaise prémonition.

J’avais regardé Luxon.

« Luxon, s’est-il passé quelque chose d’étrange hier ? » demandai-je.

« Est-ce que le maître pense que je saisis tout dans cette académie ? Je n’ai jamais reçu un tel ordre, donc je n’enquête sur rien, » déclara Luxon.

Quel type ennuyeux !

Marie regarda Luxon et fit une tête déçue.

« Même si je pensais qu’une IA serait plus incroyable que ça. Se pourrait-il que tu sois un enfant un peu désespéré ? » déclara Marie.

Les paroles de Marie semblaient enflammer Luxon. Il avait répondu.

« Je ne peux pas faire semblant de l’ignorer. La cause en est que le maître ne m’a pas ordonné de recueillir des informations en raison de son désintérêt pour l’académie. Comment pouvez-vous attendre des résultats de ma part alors qu’on ne m’a même pas ordonné quelque chose comme ça ? D’abord, je ne suis pas quelqu’un qui n’a rien à faire. Mon corps principal travaille d’arrache-pied, même maintenant, pour construire un atelier dans la maison du maître. Ne rien faire d’inutile est aussi la preuve de l’excellence — . »

Marie avait ignoré le Luxon qui parlait avec passion et s’était intéressée au sujet de l’atelier. « Tu as un atelier ? Eh, est-ce que c’est possible que tu sois riche !? »

« C’est quelque chose qui est loin d’être achevé. Mais après tout, il vaudrait mieux avoir beaucoup de sources de revenus pour plus tard, » déclarai-je.

« Super bien ~, » déclara Marie.

Marie et moi avions perdu tout intérêt face aux explications de Luxon. « — Vous avez tous les deux la même personnalité. La façon dont vous avez ignoré mon explication est exactement la même. »

« En quoi sommes-nous semblables ? »

« En quoi sommes-nous semblables ? »

Ma voix s’était encore chevauchée avec celle de Marie.

C’était embarrassant — et drôle.

On avait ri ensemble.

« D’abord, je veux manger du riz quand on arrivera chez Léon. Aussi — des biscuits au riz ! » déclara Marie.

« Je vais préparer ça, mais, comment dire, ton goût n’est pas pour les choses trop raffinées, » déclarai-je.

« C’est bien, n’est-ce pas ? Tu peux le manger tel quel avec sa texture croustillante, mais il est aussi savoureux à manger lorsqu’il est légèrement humide, » déclara Marie.

« C’est délicieux, mais il y a autre chose que ça, » déclarai-je.

« Mochi ? » demanda Marie.

Cette fille, espérant des biscuits au riz ou du mochi — .

Non, je comprends ce qu’elle ressent.

Ma mauvaise prémonition s’était calmée et je me détendis.

Il me semblait que la mauvaise prémonition n’était que mon imagination.

Pendant que nous nous échauffons avec notre conversation, une place d’amarrage pour un petit dirigeable était apparue de l’autre côté du port.

On dirait que le dirigeable allait partir du quai dans peu de temps.

« Oh, nous arrivons à point nommé. Mettons-nous à l’œuvre, » déclarai-je.

« Je prends le siège à la fenêtre ! » déclara Marie.

Marie s’était mise à courir. En la voyant, j’avais pensé à l’énergie qu’elle avait tout en pensant qu’elle était semblable à ma petite sœur.

Est-ce que j’ai une sorte de destin avec le caractère de ma petite sœur, que ce soit dans la vie précédente ou dans cette vie ?

Soudain, quelque chose avait pesé dans mon esprit et j’avais regardé en arrière.

Il y avait cette chose qui pesait sur mon esprit quoiqu’il arrive.

Il y avait eu aussi l’étrange mauvaise prémonition ce matin — je me demande rétrospectivement si c’est bien comme ça.

« Maître, quelque chose ne va pas ? » demanda Luxon.

« Ce n’est rien du tout, » déclarai-je.

Marie monta à bord du dirigeable et me fit signe de la main avec énergie.

« Cette fille est aussi vivante aujourd’hui, » déclarai-je.

J’avais l’impression d’avoir fait une erreur, mais c’était sûrement mon imagination.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre.

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