Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Petite histoire 2 – Partie 6

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Petite histoire – La Route de Marie 2

Partie 6

J’étais aussi envieux quand j’avais appris que cette femme aux gros seins allait devenir l’épouse de mon grand frère, mais j’étais devenu capable de sympathiser quand j’avais appris sa personnalité.

C’était quelqu’un de dur, comme son apparence le suggérait.

« Vous avez l’air de bien vous amuser tout en ignorant votre épouse ! »

Quand Dorothea-san avait dit cela sur un ton ferme, mon grand frère avait crié « Hii » et il avait reculé.

S’était-elle déjà appelée son épouse ?

Eh bien, l’introduction d’aujourd’hui est en fait un entretien de mariage formel. Le mariage était déjà décidé à 80 %.

J’avais arrangé ça jusque-là.

Leur père, le comte Roseblade, était aussi impatient.

« C’est quoi ce comportement, même si vous allez devenir le mari de ma fille ? Même si j’attendais ce moment avec impatience après avoir appris que vous aviez vaincu ce méchant Offley — c’est une déception, » déclara le comte Roseblade.

Deirdre-senpai semblait également déçue. « En effet. Père aussi, je ne comprends pas pourquoi il attend ce mariage avec impatience. »

— J’avais demandé à Luxon d’enquêter. Il semblerait que le père de deux filles, le comte Roseblade, s’inquiétait de savoir si Dorothea-san serait capable de se marier correctement.

Il semblait vouloir la marier s’il y avait un bon candidat.

Dorothea-san regarda mon grand frère.

« Même si votre petit frère Léon avait réalisé un exploit en tant qu’aventurier — il ne semblerait pas que vous, son grand frère ait fait quelque chose. Partagez-vous vraiment le même sang ? » demanda Dorothea-san.

Elle parlait comme bon lui semblait.

Collin se cachait derrière notre père.

Mon père aussi murmura quelque chose d’horrible comme « Léon est la mutation dans notre famille alors que Nix est le cas normal. »

Puis, mon grand frère, tremblant, leva le visage. « Ouais, c’est vrai ! Je suis un frère aîné inférieur à mon petit frère. Et alors ! »

Il semblerait qu’il ait quelque chose en tête et qu’il ait agi de manière belligérante envers Dorothea-san.

Ce type est-il sain d’esprit ?

Après avoir pensé ça, j’avais réalisé le plan de mon grand frère.

« Grand frère, ne dis plus rien ! » m’écriai-je.

« La ferme ! »

Il semble que mon grand frère se battait avec Dorothea-san pour annuler cette discussion sur le mariage.

Apparemment, il avait l’impression que les choses allaient s’arranger s’il parvenait à faire partir Dorothea-san alors qu’elle était en colère.

« Grand frère, tu ne sais vraiment pas quand abandonner ! Calme-toi aussi. Tu ne devrais pas mettre en colère l’autre partie ! » déclarai-je.

« Léon, je ne veux pas entendre ça de ta bouche ! Écoutez-moi bien, femme égoïste ! » s’écria mon grand-frère.

Mon grand frère avait pointé Dorothea-san du doigt.

Dorothea-san déclara. « Quoi !? Vous avez bien dit, femme égoïste ! » Dans l’indignation avec un visage surpris.

« Ne vous méprenez pas. Ce n’est pas vous qui me faites une faveur en m’épousant, c’est moi qui vous fais une faveur de vous épouser ! Si vous n’aimez pas ça, alors c’est dur, mais rentrez chez vous immédiatement ! » déclara mon grand-frère.

Les deux individus étaient tous les deux rouges face à l’indignation.

Mon père déclara « Nix, arrête ! Tu vas provoquer une guerre contre la maison Roseblade ! » avec un visage qui semblait indiqué qu’il voulait pleurer.

— Mais.

L’escorte Deirdre-senpai se mit à sourire.

« Onee-sama, je suis contente. »

— Hm ?

Dorothea-san, dont le visage était rouge sang, se mit à sourire et elle se lécha les lèvres de manière envoûtante.

Plutôt que de dire qu’elle était enragée, on dirait qu’elle était excitée.

« Bien. Tu es la meilleure. Tous les hommes d’avant, chacun d’entre eux devenait servile rien qu’en entendant le nom Roseblade. J’attendais un homme comme toi qui vaudra la peine d’être avec moi, » déclara Dorothea-san.

Mon grand frère était choqué par ça. « — Hein ? Qui, pourquoi ? »

Dorothea-san croisa les bras et ses yeux brillèrent.

« Non, c’est plutôt nous deux qui nous disciplinons l’un et l’autre — un gentleman qui s’opposera farouchement à moi est à la place ce que je préfère. Je déteste les hommes dociles. J’ai enfin trouvé l’homme idéal ! »

Mon grand frère avait eu des sueurs froides.

Dorothea-san avait serré le bras de mon grand frère dans ses seins — et l’avait tirée hors de la pièce.

« Tu es le meilleur, » déclara Dorothea-san.

Mon grand frère était traîné dehors. Sa main s’était tendue vers moi quand il passa la porte.

« Hé, à l’aide —, » gémit-il.

J’avais agité la main en souriant.

« Je suis content pour toi, grand frère ! » déclarai-je.

Notre père et Collin agitèrent également la main vers le grand frère qui était emmené.

« E-Est-ce bien comme ça, n’est-ce pas ? » demanda notre père.

« Nix-niichan est traîné loin, » déclara Collin.

J’avais réussi à pousser en toute sécurité la position gênante du comte jusqu’à mon grand frère.

J’avais même trouvé une partenaire de mariage pour mon grand frère pendant que j’y étais. Y a-t-il un petit frère aussi capable que moi dans ce monde ?

Quand la porte s’était fermée, on avait entendu la voix de mon grand frère. « Je ne l’oublierai pas, salaud ! »

Il semble qu’il pleure de bonheur.

Deirdre-senpai haussa les épaules. « Je suis jalouse de Onee-sama. Je souhaite aussi trouver un homme qui a du cran. »

— J’espère que vous trouverez un homme comme ça. C’est pourquoi s’il vous plaît, ne me regardez pas comme ça.

Maintenant, occupons-nous du reste.

***

Marie pleurait quand j’étais retourné à l’académie.

« Ma maison a disparu, je ne suis plus une noble maintenant ! » déclara Marie.

Si elle pleurait, c’était parce que sa maison avait été écrasée et que son statut de noble lui était retiré.

Maintenant, Marie avait perdu sa qualification pour fréquenter l’académie.

« Serait-ce mieux si tu épousais l’héritier de la Maison d’Offley ? » demandai-je.

« Je, je ne veux pas ça, » répondit Marie.

J’avais confirmé ce fait avec Marie.

Il y avait un moyen pour Marie de rester aussi une noble et de fréquenter l’académie.

Mais, pour ce faire, il y avait quelque chose que je devais d’abord confirmer avec elle, quoi qu’il arrive.

En fonction du résultat, je devrai trouver un partenaire pour Marie.

« Je t’ai déjà dit que j’avais une petite sœur dans ma vie antérieure, non ? » demandai-je.

Marie avait aussi l’air de vouloir dire quelque chose. Elle avait hoché la tête avant de détourner les yeux de moi et de regarder vers le sol.

« O-Oui, » Marie aussi a dû vaguement le soupçonner.

Peu à peu, j’avais parlé de ma petite sœur — la petite sœur de ma vie précédente.

« Je ne me souviens pas de son nom, mais j’avais deux parents et une petite sœur. C’était une famille de quatre personnes, » déclarai-je.

« — Moi aussi, » répondit Marie.

J’aurais dû le remarquer plus vite.

Je pensais que c’était impossible, mais — j’aurais dû remarquer que Marie était ma petite sœur de la vie précédente plus vite.

Si je l’avais fait, je n’aurais pas besoin d’avoir ce sentiment.

« C’était une petite sœur très égoïste. Elle avait l’air gentille, mais elle était douée pour faire l’innocente alors mes parents croyaient ma petite sœur plus que moi, » déclarai-je.

J’avais parlé à Marie de ma vie antérieure.

Mais Marie, qui hochait la tête et écoutait, pencha la tête au milieu.

« Attends une seconde ? Tes parents faisaient plus confiance à la petite sœur qu’au grand frère ? » demanda Marie.

« C’est bien ça. Cette fille était douée pour feindre l’innocence après tout, » déclarai-je.

« Attends, alors c’est étrange. Parce que mes parents faisaient plus confiance à mon grand frère, » déclara Marie.

« Hein ? » m’exclamai-je.

Il semblerait qu’il y ait une certaine divergence.

« Non, attends. Continuons ! Toi aussi, tu as poussé ce jeu à ton grand frère parce que tu n’arrivais pas à le finir correctement !? » demandai-je.

« Certes, j’ai poussé ce jeu sur mon grand frère, mais je lui ai demandé de le faire. J’ai aussi entendu dire que mes connaissances ont aussi demandé de l’aide à leur frère ou à leur sœur. Et d’abord, je n’étais pas si horrible que ta petite sœur, » déclara Marie. « Mon grand frère était vraiment effrayant quand il se mettait en colère. Il allait souvent trop loin, mais il était fondamentalement un type que je pouvais facilement tenir sur la paume de ma main. Comment le dire, c’était quelqu’un d’idiot. Aussi, quand je lui demandais de l’aide, il était heureux de faire beaucoup de choses pour moi. »

« Eh, tu avais ce genre de grand frère ? Ou plutôt, même s’il était effrayant lorsqu’il était en colère, c’est étonnant qu’on puisse penser qu’il est facile à contrôler, » déclarai-je.

« C’était mon grand frère, après tout. Il y avait une limite avant qu’il ne soit vraiment en colère. Je savais jusqu’à quel point je pourrais le pousser avant de franchir cette ligne. En y repensant, je me suis laissée trop gâter en tant que petite sœur, » déclara Marie.

— Ce grand frère est complètement différent de moi, n’est-ce pas ?

Tout d’abord, ma petite sœur de la vie précédente m’a forcé à jouer à ce jeu.

En plus, on ne me disait jamais que je suis quelqu’un d’effrayant quand je suis en colère.

Je ne vais jamais trop loin, non plus. Et c’est aussi impossible pour moi d’être facilement manipulée par ma petite sœur.

— Après tout, je me vengeais correctement de ma petite sœur quand elle se moquait de moi.

Et puis, je ne suis pas entêté !

C’est quoi ce grand frère qui est comme un personnage principal de Light Novel !

De plus, je n’avais pas l’intention de gâter ma petite sœur — donc il n’y a aucune chance que ce soit moi !

« La personnalité de ma petite sœur était vraiment horrible. Tu sais, comme quelqu’un dont le visage va complètement changer à l’extérieur par rapport à la maison. Elle savait lire le flux et faisait ce qu’elle voulait en se cachant derrière la confiance de mes parents, » déclarai-je.

« Alors ce n’était pas moi. Ou plutôt, de penser qu’il y a vraiment une femme comme ça, cela me dégoûte. Cette petite sœur n’était sûrement pas quelqu’un de bien, » déclara Marie.

« Ouais, » répondis-je.

Dois-je mentionner ici comment ma petite sœur avait un passe-temps pourri ou comment elle me l’a imposé ?

Pendant que je réfléchissais, Marie avait pris la pose d’une idole de l’héliogravure devant moi.

« Aussi, j’étais une beauté dans ma vie antérieure. Même si je ressemble à ça maintenant, mon style dans la vie précédente était vraiment incroyable, » déclara Marie.

— Ma petite sœur avait bonne mine, mais son style était-il agréable ? Certes, elle était mince, mais son style ne devrait pas être si bon qu’elle puisse s’en vanter à ce point.

Trop d’informations étaient mal assorties les unes aux autres et mon sentiment s’était compliqué d’une façon ou d’une autre.

J’avais dit à Marie. « Désolé, j’ai pensé que tu pourrais être ma petite sœur. »

« Arrête ça ! Ai-je l’air de quelqu’un d’aussi horrible ? N’est-ce pas horrible !? » s’écria Marie.

« N, non, c’est de ma faute. Mais, tu pensais aussi que j’étais ton grand frère de ta vie précédente, non ? Je ne suis pas effrayant comme ton grand frère, » déclarai-je.

Je suis un homme normal qu’on peut trouver n’importe où.

« Je, je suis en train de m’introspecter ! J’ai juste pensé que peut-être — mais ce n’est pas le cas comme je le pensais, » déclara Marie.

En premier lieu, le fait que le grand frère et la petite sœur qui se seraient réincarnés dans ce monde de jeu vidéo otome ensemble ne serait pas drôles du tout.

Marie et moi avions fait une expression compliquée, mais peu à peu, nous nous étions amusés et avions commencé à rire.

« Quoi ? Donc nous avons tous les deux été mal compris, » déclara Marie.

« On dirait que oui. C’est tout simplement impossible, » déclarai-je.

C’est pour ça que j’avais dit à Marie. « Ah, alors il n’y a pas de problème. Marie — viens chez moi. »

« — Hein ? » demanda Marie.

La bouche de Marie se referma et s’ouvrit en raison de la surprise. Je me grattais la joue pour cacher mon embarras.

« Même ruiné, tu es toujours d’une lignée noble. D’ailleurs, il y a une discussion en cours pour te confier à ma garde. Il semble qu’ils donneront la permission, donc s’il n’y a pas de problème — comme ceci, tu peux — tu sais, » déclarai-je.

Je m’étais gratté la tête et j’avais baissé les yeux. Des gouttes de larmes coulaient des yeux de Marie.

« Prépare davantage l’ambiance si tu veux te confesser. Idiooottt ! » s’écria Marie.

J’étais paniqué pour l’avoir fait pleurer. Mais Marie hocha la tête même en reniflant.

« J’accepterai les aveux, alors refais-le. C’est mon rêve de recevoir une confession dans un endroit où le ciel nocturne est visible, et de recevoir une bague, » déclara Marie.

Quelle femme éhontée !

Cependant, j’avais le sentiment que ces actes seraient suffisants.

Même une beauté n’était pas bonne si c’était quelqu’un comme Dorothea-san.

J’avais beaucoup appris du mariage de mon grand frère.

« J’ai compris. Je vais dire à Luxon d’en préparer un, » déclarai-je.

Luxon était sorti de sa cachette quand j’avais murmuré ça. « On dirait que le maître s’est enfin résolu. »

« Ah, tu écoutais !? » m’écriai-je.

J’étais choqué. D’un autre côté, le Luxon semblait être de bonne humeur. Apparemment, il était heureux.

« Oui. Je trouverai immédiatement un endroit avec la meilleure vue nocturne et je commencerai la création de l’anneau. Je finirai tous les préparatifs si vous pouvez attendre trois heures, » déclara Luxon.

Marie s’était plainte quand elle avait entendu ça. « Je ne veux pas d’un truc comme ça ! Planifiez-le plus sérieusement ! Faites aussi la bague correctement ! C’est bon même si c’est bon marché ! »

Le résultat ne changera pas même si j’y passe plus de temps.

« Mais même ainsi ! » Luxon l’avait accepté à contrecœur. « C’est gênant. Ne vous inquiétez pas pour la bague. Je vais y attacher une grosse gemme. Si vous voulez, que diriez-vous que je prépare une bague pour chacun de vos doigts avec des gemmes différentes pour chaque doigt ? »

Marie était consternée par le bon sens de Luxon.

« Ne t’a-t-on jamais dit que tu avais un mauvais sens des valeurs ? » demanda Marie.

« N’y a-t-il pas des données qui disent que les femmes aiment le métal précieux ? » demanda Luxon.

« Ça ne veut pas dire que tout va bien en agissant ainsi, » déclara Marie.

Il semblerait que Luxon ne puisse pas comprendre le bon sens dans ce genre de domaine.

« Donc même toi, tu as des choses pour lesquelles tu n’es pas doué, » déclarai-je.

Luxon avait tourné son objectif rouge vers moi quand je m’étais moqué de lui.

« Pourquoi le maître est-il si heureux ? » demanda Luxon.

« Ce n’est pas vraiment le cas ~, » répondis-je.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

3 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.
    Dorothea-san est un peu maso… courage Nix-nii-san !
    Et Frère et soeur réincarnés, qui vont se marié… inceste ou pas ? Oo
    LéonXMarie !

  2. Merci pour le chapitre xD
    « Qui se ressemble s’assemble ».

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