Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Petite histoire 2 – Partie 1

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Petite histoire – La Route de Marie 2

Partie 1

Il s’agissait du deuxième trimestre de l’académie.

Marie Fou Lafan qui devrait être encore une première année était, — dans un établissement religieux qui s’appelait Temple.

Cet endroit présentait un style qui lui rappelait l’Église dans sa vie antérieure. Marie portait une robe d’un blanc pur à cet endroit.

Quand elle avait regardé le vitrail à travers son voile, la lumière du soleil qui brillait à travers elle était très jolie.

C’était la robe de mariée qu’elle n’avait jamais portée jusqu’à la fin de sa vie antérieure, malgré son désir ardent pour ça.

De plus, les parents de son compagnon et de son compagnon étaient présents à l’intérieur du temple.

Elle était au milieu d’une cérémonie de mariage. C’était un de ses rêves qui ne s’était pas réalisé dans sa vie antérieure.

— Pourquoi ça s’est passé comme ça

Mais, le sentiment de Marie était — vraiment horrible.

Cela ne faisait même pas un an qu’elle s’était inscrite à l’académie.

Et pourtant, elle allait se marier comme ça.

Ce n’était pas seulement des fiançailles, c’était un mariage qui l’obligeait à se retirer de l’académie.

Quand elle avait jeté un coup d’œil à sa famille qui était assise sur le banc, ils avaient l’air vraiment ravis.

Sa famille dans cette vie ne pouvait pas être appelée une bonne famille que par flatterie, mais il y avait une raison pour laquelle ils étaient heureux avec le mariage de Marie.

Son père dans cette vie disait. « Notre fille cadette inutile a obtenu un très bon prix. »

Sa mère dans cette vie avait aussi l’air heureuse. « En effet. Avec cela, la dette de notre maison disparaîtra. »

— Marie avait été vendue par sa famille.

Ces gars sont absolument impardonnables !

Marie grinça des dents et trembla de fureur. Son époux marcha vers elle.

Marie l’avait maudit dans son cœur en voyant l’apparition de cet époux.

— Ce type, j’ai eu un mauvais pressentiment de sa part !

Il soupira en voyant l’apparence de Marie et s’approcha de son côté avec un air réticent.

L’âge de l’homme avait dépassé trente ans. Il avait l’air malsain avec un corps gras. L’homme retira son regard de Marie.

« Pourquoi dois-je me marier avec ce genre de grincheuse, alors même si je préfère une femme plus glamour, » murmura-t-il.

Son attitude était emplie de mécontentement et ses paroles étaient en outre comme ceci.

Marie était en colère.

C’est ta maison qui nous a approchés avec ce mariage !

Si l’on mettait de côté l’âge mental de Marie, si l’on ne regardait que son corps physique, elle avait encore 16 ans.

Elle était reconnue comme une adulte dans ce monde et pouvait aussi se marier.

Mais, du point de vue de Marie — à l’heure actuelle, sa vie académique agréable lui avait été retirée et elle était mariée de force à un homme qu’elle n’aimait même pas.

En plus, le fait qu’elle ait été vendue par sa famille comme ça n’était pas du tout drôle.

Elle n’était pas du tout d’accord avec ce mariage.

Ne te fous pas de moi ! Pourquoi dois-je vivre ce mariage sans même aucun rêve ou espoir dans le monde de « ce jeu vidéo otome ». Je veux me marier — correctement avec quelqu’un que j’aime —

Marie avait continué à vivre dans la misère depuis qu’elle s’était réincarnée dans le monde de jeu vidéo otome.

Son seul espoir était de s’inscrire un jour à l’académie et pour cela, elle avait perfectionné sa magie de guérison jusqu’à maintenant.

Elle s’était tellement entraînée qu’elle avait sacrifié la croissance de son corps à cause de cela.

Elle entraînait sa magie de guérison en secret parce que si sa famille l’apprenait, elle s’en servirait à sa guise.

Ils étaient vraiment horribles comparés à sa famille dans la vie précédente.

Après tout, leur dette avait trop gonflé — qu’ils avaient vendu Marie à une maison riche en échange de l’annulation de leurs dettes.

Combien de difficultés pensez-vous que j’ai traversées jusqu’à maintenant !? Même si j’ai finalement pu m’inscrire à l’académie et avoir une vie assez agréable même si elle différait de mon plan original !

Le prêtre — l’équivalent dans ce monde — avait commencé la cérémonie de mariage où les deux étaient debout.

« Alors, commençons la cérémonie du mariage, » déclara le prêtre.

Le marié avait l’air de vouloir que cette cérémonie se termine rapidement.

Depuis le début, il ne s’intéressait pas du tout à Marie.

Ce qui l’intéressait, c’était la lignée de Marie.

La maison du marié était pour ainsi dire une maison d’arriviste.

Et puis, la façon dont ils grimpaient jusqu’à leur position actuelle était également étrange. D’autres nobles avaient de l’antipathie pour eux.

Parce que c’était ce genre de maison, ils voulaient du sang noble quoiqu’il arrive.

Ce n’était pas comme si cela devait être Marie.

« Finissons-en rapidement. »

Que lui arriverait-il si elle épousait quelqu’un comme ça ?

Marie pouvait facilement l’imaginer.

Un mariage sans amour l’attendrait sûrement.

Dans le pire des cas, elle serait traitée froidement après avoir donné naissance à un enfant parce qu’ils n’avaient plus besoin d’elle.

J’ai décidé de faire de mon mieux cette fois — je veux être heureuse dans ma seconde vie, et pourtant !

Les larmes étaient sorties.

Et puis, Marie se souvient de son grand frère dans la vie précédente.

Rétrospectivement, c’était un grand frère très fiable.

— Sauve-moi, Onii-chan.

Marie marmonnait dans son cœur, et puis — elle se rappelait comment c’était devenu comme ça.

***

À l’époque où il ne restait que quelques jours de vacances d’été.

Moi, Léon Fou Baltfault, je passais mon temps à me détendre chez moi.

Mon partenaire Luxon flottait proche de mon épaule droite, sa lentille rouge et simple qui servait d’œil regardait Collin et — Marie qui couraient dans le jardin.

Marie courait après Collin avec colère. « ATTENDS, PETIT MORVEUX ! »

Collin courait en riant.

« Pas possible ~ ! »

Marie courait après mon petit frère, mais c’était à cause de Collin.

« Se disputent-ils encore ? » demandai-je.

Je regardai avec exaspération. Luxon m’avait expliqué la situation. « Oui. C’est à cause du petit frère du maître qui taquine Marie. »

Il semblerait que Collin pensait à Marie comme à une grande sœur qui n’était pas beaucoup plus âgée que lui.

Il se moquait de Marie qui se comportait comme une personne plus âgée et jouait avec elle.

Il vaudrait mieux que Marie l’ignore, mais Marie elle-même s’était aussi énervée, ce qui avait inutilement amusé Collin.

Puis mon père était sorti du manoir et avait frappé de son poing sur la tête de Collin.

« Aïe ! »

« Collin, ne te moque pas de Marie-chan ! » déclara mon père.

Marie, qui poursuivait Collin, fut bouleversée par l’acte de mon père.

« E, euh, monsieur, vous n’avez pas besoin d’y aller…, » déclara Marie.

Mon père avait l’air de s’excuser auprès de Marie. « Désolé, Marie-chan. Ce n’est pas que Collin ne t’aime pas. J’espère que tu ne le détesteras pas. »

« Ah, oui, oui, » répondit Marie.

Collin pressa la tête des deux mains et courut dans le manoir. En échange de Nicks, le deuxième fils était sorti.

Il s’était approché de moi et m’avait immédiatement parlé. « Collin se moquait-il encore de Marie-chan ? »

« C’est bien ça. Ils ne s’en lasseront pas tous les deux. Ils sont comme des frères et sœurs qui sont proches en âge, » j’avais dit ça en riant avec désinvolture. Grand frère haussa les épaules.

« C’est sa belle-sœur après tout, donc ce n’est pas si mal, » déclara mon grand frère.

« — Hein ? » m’exclamai-je.

J’avais été choqué d’entendre cette réponse. Grand frère avait aussi l’air choqué.

« Hein ? »

« Non, parce que… hein ? Pourquoi Marie est-elle belle-sœur ? »

« — T-Toi, es-tu sérieusement en train de dire ça ? » demanda-t-il.

J’avais aussi du mal à voir que mon grand frère est vraiment choqué.

« Non, parce que —, »

« Rien de tout ça ! Tu l’as ramenée à la maison et tu vis avec elle depuis plus d’un mois ! De l’extérieur, ça ne semble pas différent du fait que vous soyez déjà mariés ! » déclara mon grand frère.

Nous n’étions pas officiellement mariés, mais, du point de vue de notre entourage, pour une fille, passer toutes ses vacances d’été dans la maison d’un garçon, c’était comme si nous étions fiancés.

« Ce n’est pas le cas ! Marie ne peut pas rentrer chez elle, » répondis-je.

À propos de la maison de Marie, il s’agissait d’une famille terrible d’après ce que j’avais entendu dire.

C’est pourquoi Marie m’avait dit qu’elle ne voulait pas rentrer chez elle pendant les vacances d’été, alors je l’avais amenée chez moi.

Naturellement, je n’avais jamais posé la main sur elle.

Il y avait mon île flottante près de cette maison. Il y avait des sources chaudes et des champs — on y cultivait du riz et d’autres choses.

Tout ce que nous avions fait, c’était d’aller aux sources chaudes et de manger de la nourriture japonaise avec plaisir après si longtemps.

Marie était aussi une réincarnée comme moi.

Nous nous entendions bien parce que nous avions le même sens des valeurs, mais c’est tout.

Tout d’abord, Marie aimait les beaux hommes.

Si on me demandait si j’étais beau, ce n’était pas le cas. Je n’étais pas dans les préférences de cette fille.

Et puis j’aimais moi-même les gros seins.

Marie était plate comme une planche, donc elle était hors de question.

— Nos deux préférences ne correspondent pas l’une à l’autre à un degré lamentable.

Mon grand frère me regarda avec une expression contradictoire. « Il n’y a aucune garantie que tu pourras retrouver une autre fille bien comme ça. En plus, père et mère pensent que toi et Marie-chan allez vous marier. »

— Est-ce pour ça que mes parents sont étrangement gentils avec Marie ?

J’avais l’impression que ce serait un gros problème si ce malentendu n’était pas dissipé.

Mon grand frère soupira.

« Tu l’as vraiment fait. Tu as tout de suite pu trouver une partenaire à l’académie, après tout. Même si c’est dur parce que je ne trouve personne, » déclara mon grand frère.

On dirait que mon grand frère souffre aussi de la chasse au mariage.

Contrairement à moi, il s’était inscrit en classe normale, alors j’avais pensé que sa recherche de mariage serait plus facile, mais — il semblerait que ce ne soit pas le cas.

« J’ai pensé que si c’était ta classe, grand frère, alors tu pourrais trouver une fille tout de suite, » déclarai-je.

Mon grand frère s’était gratté la tête.

« Même les filles de la classe normale veulent vivre dans la capitale. Elles sont à la recherche d’une personne ayant des liens qui leur permettent de vivre dans la capitale ou du moins sur le continent. Quelqu’un comme moi n’est même pas leur deuxième ou troisième choix, » répondit mon grand frère.

On dirait que mon grand frère avait aussi la vie dure.

Je voulais l’aider d’une manière ou d’une autre, mais pour l’instant, j’avais les mains occupées par ma propre situation, donc c’était impossible.

« Plus important, Léon. Vous deux, vous retournerez aussi à l’académie demain, n’est-ce pas ? » demanda mon grand frère.

« C’est le plan, » répondis-je.

Mon humeur était lourde quand j’avais pensé à la chasse au mariage qui m’attendait à l’académie.

C’était la même chose pour mon grand frère.

Il soupira et fit un visage très troublé.

« Je ne trouve toujours pas de fille, même si j’aurai mon diplôme cette année. Si seulement je pouvais être aussi habile que toi, » déclara mon grand frère.

« — Grand frère, » murmurai-je.

« Oi, arrête ça. Ne me regarde pas avec pitié. Avoir la pitié de mon petit frère me donne envie de pleurer, » déclara mon grand frère.

Vraiment, je me demande pourquoi ce monde est si dur envers les hommes ?

Non, c’est plus comme si c’était dur envers les mobs ?

Contrairement à nous, la protagoniste de ce jeu, Olivia-san et les garçons qui étaient les cibles de la conquête, devaient profiter de leurs vacances d’été sans se soucier de rien.

— Je suis vraiment jaloux.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.
    Vite la suite !

  2. Merci pour le chapitre.

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