Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 3 – Chapitre 9 – Partie 2

+++

Chapitre 9 : Démon

Partie 2

Hertrude et la flûte magique avaient été volées.

Ou plutôt, j’avais l’impression d’avoir déjà vu quelque part cette armure noire qui se déchaînait.

Je ne savais plus où je l’avais vu, mais cela ne servait à rien d’y penser maintenant.

Mon frère me gifla la tête pendant que je réfléchissais avec les bras croisés.

« Ne dors pas ! » déclara mon frère.

« Aïe. Je ne dors pas, » répondis-je.

J’avais pressé ma tête en regardant les nombreux dirigeables qui flottaient autour de Partenaire.

Mes amis qui étaient liés par contrat étaient venus en renfort.

Les dirigeables de l’armée du royaume étaient également visibles dans le ciel de la capitale.

Les dirigeables des seigneurs féodaux qui s’étaient hâtés ici — près de 200 navires flottaient en ligne.

Mon père avait l’air nerveux face à cette vue.

« J’ai entendu dire que Léon est celui qui commande cette flotte. Qu’est-ce qui s’est passé, au juste ? Comment cela a-t-il pu finir ainsi ? » demanda mon père.

Du point de vue du père, son fils était devenu le commandant suprême alors qu’il était arrivé ici. C’était trop étonnant, alors il était choqué.

« Je suis devenu le commandant en raison de l’humeur et de l’élan, » répondis-je.

« Impossible que ce soit vrai ! Normalement, c’est impossible ! » cria mon père.

Le frère avait fait une grimace de résignation et m’avait demandé. « Et, comment allons-nous gagner contre l’armée de la principauté ? Je l’ai vu de loin, mais est-il vraiment possible de vaincre un monstre stupidement énorme comme ça ? »

J’avais regardé le bateau blanc — Weiss qui flottait au milieu de la flotte.

« Mes principes sont de ne pas mener une bataille impossible à gagner. J’ai bien sûr préparé un atout, » déclarai-je.

Mon père m’avait envoyé un regard dubitatif.

« Tu veux dire Lady Anjelica et Mademoiselle Olivia ? Les envoies-tu toutes les deux sur le champ de bataille ? Ce n’est pas bon signe. Ce n’est évidemment pas bon. Tu aimes ces deux-là, n’est-ce pas ? » demanda mon père.

— N’en dis pas plus que ça.

« Quoi qu’il arrive, ces deux-là sont nécessaires, » répondis-je.

Mon père ne pouvait pas l’accepter. Malgré tout, j’avais affirmé que c’était nécessaire, alors il avait fini par abandonner.

« Protège-les quoiqu’il arrive. — Tu le regretteras toute ta vie si elles meurent ici, » déclara mon frère.

Je l’avais compris même sans qu’on me le dise.

Mon frère s’inquiétait aussi pour moi, alors j’avais souri.

« J’ai compris, » déclarai-je.

Quelqu’un était venu interrompre notre conversation familiale. C’était Marie qui secouait la tête.

« Attendez. Pourquoi suis-je dans ce vaisseau ? » demanda Marie.

« C’est évident. Partenaire sera en tête et chargera sur l’ennemi. Tu es une barrière de substitution, fais donc ton travail correctement, » lui expliquai-je.

J’avais aussi vol — emprunté avec force les équipements de la Sainte au Temple réticent.

J’allais faire travailler cette fille.

Mon frère et mon père inclinèrent la tête.

« Qui est cette personne ? J’ai l’impression de l’avoir vue quelque part. Père, tu la connais ? » demanda mon frère.

« Je ne la connais pas. Léon, qui est cette fille ? » demanda mon père.

« Cette fille ? C’est Sa Sainteté la sainte. Je pense l’utiliser comme bouclier quand nous chargerons, » répondis-je.

Ils m’avaient tous les deux regardé et avaient fait une grimace qui semblait dire « Pas possible ~ ».

« Utiliser une fille comme bouclier, j’ai honte d’être ton père, » déclara mon père.

« Tais-toi. Mon principe est d’utiliser tout ce que je peux utiliser même si ce sont mes parents. Naturellement, je ferai en sorte qu’elle travaille dur comme un esclave, » déclarai-je.

« Tu es le pire ! » s’écria Marie.

J’avais frappé la tête de Marie, puis je lui avais envoyé un regard sérieux.

« Fais juste ton travail même si cela te tue. Si tu fais ça, je t’aiderai à sauver ta vie, » déclarai-je.

Marie tenait sa tête avec des yeux larmoyants. « Ça n’aura aucun sens si je meurs ici ! »

« Je m’en fous de tout ça ! Assume tes responsabilités à tout prix. Je te tuerai si tu t’enfuis. Je te poursuivrai jusqu’à la fin du monde et je te tuerai, » déclarai-je.

Marie baissa les yeux, mais je ne voyais pas d’autre moyen que celui-ci afin de lui sauver la vie.

Elle allait mourir si nous perdions. Même si l’on gagnait, cette fille était une criminelle odieuse qui se faisait passer pour la Sainte.

La seule façon était de la faire se battre et risquer sa vie, puis d’espérer qu’elle obtienne un pardon en raison de cela.

« Marie, tu n’as pas à avoir l’air si anxieuse. »

Des armures aux couleurs très voyantes avaient atterri sur le pont.

Je voulais claquer ma langue en voyant l’armure de couleur rouge.

« Les gars —, qu’est-ce que vous faites là ? » demandai-je.

Rouge, bleu, violet, vert — les quatre pilotes descendirent des armures et se rassemblèrent autour de Marie.

« Moi, Greg Fou Seberg, je vais te protéger. »

Marie avait crié en voyant le Greg confiant. « Vous, vous tous — . »

« Je serai troublé si tu m’oublies, » Chris enleva ses lunettes et sourit à Marie.

« Tout ira bien tant qu’on sera là. » Brad avait brossé ses cheveux de devant et avait pris la pose.

Puis Jilk tendit la main à Marie. « Marie, cette fois, nous serons à tes côtés. Tu n’es pas seule. »

« Vous tous — Je, je ! » s’exclama Marie.

Et puis une armure toute seule avait atterri sur le pont de Partenaire, interrompant les paroles de Marie.

« Permettez-moi de me joindre à vous ! » déclara le nouveau arrivant.

C’était une armure blanche rayonnante avec une cape bleue qui se balançait sous l’effet du vent.

J’avais levé les yeux et j’avais réfléchi. « — Va-t’en ! »

La plaque d’armure de poitrine s’était ouverte et un chevalier masqué était sorti de là.

C’était Son Altesse Julian, peu importe comment je le voyais.

Il portait une combinaison de pilote moulante, un masque et un manteau.

Qu’est-ce que tu viens faire ici ? Arrête avec cette apparence idiote. C’est embarrassant.

Cependant…,

« Qui êtes-vous ? » Jilk, qui devrait être le frère adoptif et le meilleur ami de Julian, était vraiment surpris.

Non, tu mens, c’est ça ? Tu lis juste l’humeur et tu fais semblant de ne pas savoir, n’est-ce pas ?

Greg s’avança devant Marie et la couvrit. Sa méfiance s’était manifestée ouvertement. « Espèce de salaud masqué, qu’est-ce que tu viens faire ici !? »

— Eh?

J’avais regardé autour de moi. Tout le monde avait vraiment l’air surpris et méfiant.

Mon père et mon frère étaient stupéfaits parce qu’ils ne pouvaient pas suivre le développement.

Chris avait dégainé son épée. « Marie, reste derrière moi. »

« Hein ? Mais, c’est Juli —, » déclarai-je.

Brad avait fait apparaître une flamme dans ses deux mains et s’était préparé à se battre à tout instant.

C’est quoi votre problème ? C’est Son Altesse Julian, peu importe comment vous le regardez !

Son Altesse Julian qui portait un masque s’était précipitée devant nous.

Tandis que les quatre étaient sur leurs gardes, il avait atterrit d’une manière magistrale et se leva lentement — et se présenta.

« Il semble que tout le monde se préoccupe de mon identité. Vous tous, — je vous demande de m’appeler le chevalier masqué, » déclara Julian.

« Chevalier masqué ? » Jilk pointa le canon de son arme de poing avec surprise vers Son Altesse Julian qui se présenta comme chevalier masqué. Ça m’avait donné envie de pleurer pour de vrai.

« C’est vrai. Je suis ému par la volonté de chacun. Permettez-moi de vous aider au mieux de mes maigres capacités — qu’est-ce que vous faites ! Vicomte Baltfault, pouvez-vous me lâcher ! »

« Tais-toi et viens, idiot, » déclarai-je.

Mon bras s’était enroulé autour du cou du chevalier masqué et je l’avais traîné loin de tout le monde. Nous nous étions tous les deux déplacés derrière un obstacle, bloquant leur vision.

Quand ma main avait atteint le masque, Son Altesse Julian avait tenu le masque en place avec les deux mains.

« Pourquoi es-tu venu ici, Votre Altesse ? » demandai-je.

« N-Non ! Je ne suis pas un noble personnage comme Son Altesse Julian. Je ne peux pas exposer mon visage parce qu’il y a une raison, mais je viens me joindre à cette bataille comme chevalier. — Je vous dis que je ne suis pas Son Altesse Julian, » déclara Julian.

— Peut-être se moque-t-il de moi ?

« Peu importe, tu retournes d’où tu viens, » déclarai-je froidement.

« Attends ! Vicomte Baltfault, tu ne dois pas refuser de l’aide, même si elle est minime dans ce genre de moment ! » déclara Julian.

« Je ne peux pas utiliser un type suspect d’origine inconnue. Allez, rentre chez toi, » déclarai-je.

« At-Attends une seconde ! On ne peut donc pas faire autrement, » Son Altesse Julian avait dit cela et avait enlevé son masque, m’exposant son visage.

« — Je suis Julian, » déclara-t-il.

« Franchement, je le savais déjà. J’ai réalisé dès le début, » déclarai-je.

« Quoi !? Mon déguisement devrait être parfait, » répondit Julian.

« Je comprends maintenant que tu t’es moqué de moi, » déclarai-je.

« Attends. Alors je te dirai la vérité à toi seul. À propos de cette bataille, je veux aussi y participer, » déclara Julian.

« La sortie est par là, » déclarai-je.

Quand j’avais montré la sortie, cet enfoiré s’était accroché à moi.

« S’il te plaît ! Je veux me battre avec tout le monde, » déclara Julian.

« Si tu meurs, ça deviendra ma responsabilité ! » déclarai-je.

« C’est pour ça que je porte un masque ! » déclara Julian.

Et si tu portes un masque ?

« Va-t’en ! » déclarai-je.

« Impossible ! » déclara Julian.

Ce type, même si je le renvoyais comme ça, ne va-t-il pas venir secrètement et mourir quelque part ? Ce type était trop dangereux maintenant qu’il était devenu un prince inutile.

Qu’est-ce que je dois faire ?

Quand j’avais détourné mon regard, Weiss était soudainement entré dans mon champ de vision.

— Bon sang, alors rassemblons tout le monde en un seul endroit.

Ça ira si je le mets sur Weiss comme garde du corps de Livia et d’Anjie.

La protection y était aussi la plus lourde, donc son taux de survie y serait plus élevé.

Mais, si je lui disais de rester à l’arrière, ce type allait sans doute se plaindre continuellement.

« — Es-tu sérieux ? » demandai-je.

« Bien sûr que oui, » répondit-il.

« Alors, je te mettrai à l’endroit le plus exigeant, » déclarai-je.

« Veux-tu dire en tant qu’avant-garde ? Fuh, donc tu as tout compris après tout, Baltfault, » déclara Julian.

Je voulais frapper le visage ravi de ce type, mais c’était le moment d’endurer.

« Ne sois pas stupide. La pierre angulaire de notre stratégie cette fois-ci est le Weiss — le vaisseau de la famille royale. Pour vaincre ce monstre stupidement énorme, nous utiliserons le vaisseau de la famille royale. L’ennemi y concentrera son attaque, » déclarai-je.

L’expression de Son Altesse Julian devint sérieuse.

Si j’y mets Marie aussi, il protégera sûrement cet endroit jusqu’à la mort.

« J’y placerai aussi Marie. Les ennemis y défileront et ce sera l’endroit le plus dangereux. As-tu la volonté d’y arriver ? » demandai-je.

Son Altesse Julian avait mis son masque tout en faisant un sourire.

« Vous pouvez me laisser m’en charger, Seigneur Commandant Suprême, » déclara Julian.

— Ça aide vraiment que tu sois stupide.

Je devais envoyer Marie là-bas aussi, mais endurons cela si je pouvais envoyer les cinq idiots avec ça.

« Dépêche-toi, va sur le Weiss, » déclarai-je.

« Oui, je répondrai à vos attentes. — Au fait, j’ai sauté par impulsion, mais d’où dois-je grimper pour atteindre l’armure ? » demanda Julian.

Le chevalier masqué leva les yeux vers son armure et réfléchit à la façon de monter là-haut.

— C’est trop stupide.

+++

Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, informez-nous en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée s’il vous plaît. Il est conseillé de se connecter sur un compte avant de le faire.

Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

2 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.
    Un idiot même inoffensif, peut avoir de grandes conséquences.

Laisser un commentaire