Le Monde dans un Jeu Vidéo Otome est difficile pour la Populace – Tome 1 – Épilogue – Partie 2

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Épilogue

Partie 2

Ce n’était pas bon du tout.

J’avais été conduit jusqu’au palais royal. Peut-être qu’il vaudrait mieux le considérer comme un château avec un roi dedans. Bien qu’il s’agisse de la cour royale, il y a une certaine atmosphère dans la région. Il serait peut-être bon d’y réfléchir à deux fois avant d’agir.

J’avais mis une tenue de chevalier avec des décorations sur le dessus, et mon armure Arroganz avait été placée dans la salle de réunion. Pour empirer les choses, il y avait beaucoup de participants.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? Pourquoi y a-t-il tant de monde ? » demandai-je.

Pendant que je criais dans la salle d’attente, mes parents, qui étaient venus à la capitale royale pour cette journée, m’avaient regardé et avaient fondu en larmes.

... Ma mère avait été cruelle avec moi.

« Tu es devenu si élégant. J’avais l’habitude de penser que tu étais un enfant stupide quand tu étais plus jeune, mais tu étais en fait tout à fait merveilleux. Ta mère est très fière de toi, » déclara-t-elle.

Et mon père pleurait aussi.

« Je n’aurais jamais pensé que tu deviendrais chevalier aussi vite. Pour l’amour de Dieu... J’ai les larmes aux yeux, » déclara-t-il.

Mon frère aîné et ma sœur aînée portaient des uniformes.

« Hein ? Qu’est-il arrivé à l’autre membre de la famille ? » demanda mon frère aîné.

Mon frère aîné trouvait étrange que Zola et les autres ne viennent pas, mais ma sœur aînée savait depuis le début qu’ils ne viendraient pas.

« Ils ne viendront pas. Tout d’abord, Léon fait maintenant partie d’une famille indépendante et séparée des Baltfault. Un au-dessus du sixième rang, et en plus..., » déclara ma sœur.

Mon frère aîné et ma sœur avaient continué leur conversation.

« En plus quoi ? » demanda mon frère.

« À ce rythme, si Léon entre à la cour royale, il sera probablement convoité par les filles, » déclara ma sœur.

« Léon sera convoité ? N’était-ce pas le type que tous les élèves de l’école détestent ? Nous ne savons même pas ce qui va se passer une fois le nouveau trimestre scolaire commencé, » déclara mon frère.

« Comme c’est stupide. Il a été promu. Cela signifie que Léon a été reconnu par le palais royal. Seul un idiot ne pourrait pas réaliser ce que cela implique, » déclara ma sœur.

« Dans ce cas, je suppose que c’est bien même s’il retourne à l’académie, » déclara-t-il.

« Je n’en suis pas si sûre. Ne serait-ce pas dur pour lui ? Après tout, il y a des enfants à qui il a pris toute leur fortune, » déclara ma sœur.

« Je me demande ce qui va se passer. Je pense que tout deviendra clair rapidement, » déclara mon frère.

« Tu deviens bruyant. Je ne sais pas non plus ce qui va se passer, » déclara-t-elle.

Merde ! Bon sang ! J’ai gagné la haine des élèves de toute l’école, et donc, le fait de retourner à l’école va être effrayant. Tout d’abord, je n’ai jamais pensé que j’allais y retourner.

Si j’avais su que j’y retournerais, j’aurais fait des ajustements, et je n’aurais pas fait quelque chose comme voler les autres à l’aide d’un pari. Maudit soit mon comportement imprudent !

Dans le pire des cas, si ma famille se retrouvait dans une situation dangereuse, j’aurais dû penser à faire monter tout le monde à bord de Luxon et à m’échapper. Je me suis laissé emporter.

J’avais soudain pris conscience de la foule se trouvant tout autour de moi.

« Le père de l’ancien prince héritier est le roi, non ? » demandai-je.

Mon père s’était calmé et s’était tourné vers moi.

« C’est tout à fait naturel. Ne te comporte pas bizarrement devant Sa Majesté. Si tu fais quoi que ce soit, ta tête va voler, » déclara mon père.

Je l’avais ignoré et j’avais continué à parler.

« Je me demande ce qu’il pense de... la promotion de la personne qui a battu son fils, » déclarai-je.

Mon père avait réfléchi en croisant les bras et détourna son regard de moi.

« ... À vrai dire, ce ne serait pas agréable. Je détesterais que ce soit moi, » répondit-il.

Bien sûr que oui.

Peu importe à quel point son fils était mauvais, je ne pensais pas qu’il aimerait ça. Je voulais lui demander à quoi il pensait exactement.

Non, en fait, je ne voulais pas le savoir.

 

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Et voici le lendemain.

Un chevalier était né dans ce royaume.

C’était inhabituel dans le royaume de Holfault que quelqu’un soit officiellement reconnu comme chevalier à l’âge de seize ans et qu’il reçoive en même temps un grade.

Son rang était au-dessus du sixième.

C’était vraiment succès pour un aventurier.

En outre, le fait de critiquer le prince héritier pour son comportement stupide comptait aussi parmi ses réalisations.

En fait, on avait dit qu’il avait démontré son habileté en battant cinq personnes de familles célèbres, mais la raison exacte pour laquelle il l’avait fait était inconnue.

Cependant, il était indéniable qu’un jeune chevalier puissant soit né dans le Royaume de Holfault.

Nombreux sont ceux qui avaient afflué dans le palais royal pour voir un tel chevalier.

Il était évident que Léon recevait beaucoup d’attention.

 

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C’était la nuit.

Ma vie scolaire reprendrait dès le lendemain, alors j’étais venu au dortoir des étudiants.

Je me grattais la tête devant le membre du personnel alors que j’étais dans le hall de l’académie.

« Ma chambre a changé ? » demandai-je.

Le membre du personnel à la réception m’avait fait un sourire raide en me répondant. « C-C’est exact ! Léon Fou Baltfault, vous êtes déjà chevalier et baron. Vous êtes étudiant, mais on en a tenu compte. »

La pièce que l’on m’avait montrée sur une carte était à un niveau plus élevé que la précédente.

« Je vois. Dans ce cas, je prends la clé, » déclarai-je.

« Nous vous y conduirons tout de suite ! Vous pouvez nous laisser le transport de vos bagages, » déclara-t-il.

Le membre du personnel avait pris mes bagages, avec vivacité — ou plutôt, avec nervosité, pour me servir.

La différence entre la façon dont ils me traitaient avant mon inscription et la façon dont ils me traitaient maintenant était claire.

 

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Je m’étais étendu sur le lit dans ma chambre spacieuse, regardant le plafond en marmonnant. « Pourquoi les choses se sont-elles passées ainsi ? »

Luxon, qui flottait à côté de moi, m’avait fait une réponse honnête. « N’est-ce pas le résultat d’un comportement négligent ? Tu as supposé que parce que j’étais ici, tu pouvais plus ou moins faire quelque chose de déraisonnable tout en allant bien, ce qui s’est avéré fatal lorsque tu t’es laissé emporter et que tu as participé au duel. Tu pensais que faire des bévues serait toujours acceptable, mais tu n’aurais pas dû te comporter violemment, en faisant ce que tu voulais. Il s’agit maintenant de faire face aux conséquences. Tu as payé une grosse somme d’argent pour ta vie, sachant qu’une grande partie de cette somme irait à la cour royale. Le résultat a été une promotion, ou plutôt, un résultat que tu ne voulais pas. Eh bien, pour être clair... tu récoltes ce que tu as semé. »

« Merci pour la réponse exacte. Si tu l’avais déjà remarqué alors que l’épreuve était encore en cours, tu aurais dû le dire à haute voix, idiot, » déclarai-je.

« Même si nous avions essayé de corriger cette situation à mi-chemin, il n’y avait pas assez d’information pour nous en sortir. Si je devais parler honnêtement, alors même moi, je suis un peu surpris de ce résultat, » déclara-t-il.

Quelle intelligence artificielle inutile !

« Merde... à cause de ça, je suis de retour dans une vie où je vais devoir chercher une partenaire de mariage, » déclarai-je.

« N’est-ce pas bien ? Il est possible que l’opinion que les filles ont de toi ait changé maintenant que tu as été promu, » déclara-t-il.

« Crois-tu qu’elles changeraient ? » lui demandai-je.

« Oui, » répondit-il. « Mais pas pour ceux qui ont parié sur le duel. C’est probablement pour ça que tu es ennemi avec environ 70 % des étudiants de l’académie. J’ai recueilli de l’information, et il semble que les garçons et les filles aient passé les vacances d’été à gagner de l’argent dans des donjons comme jamais auparavant. »

Il y avait ceux qui avaient parié tout ce qu’ils possédaient, et les imbéciles qui avaient emprunté de l’argent. Ils n’auraient pas dû aller aussi loin dans leur croyance qu’ils gagneraient.

Eh bien, si c’était moi et que je n’en savais pas plus, alors j’aurais aussi parié sur Julian et les autres.

« En passant, maître, en conséquence, il y a eu beaucoup de calomnies abusives à ton sujet, avec des gens qui te traitent de lâche, du plus grand des crétins, et ainsi de suite, » déclara-t-il.

« C’est l’information que tu as découverte !? Ça ne veut-il pas dire que ma réputation ne s’est pas améliorée du tout !? Au contraire, ça n’a pas empiré !? » m’écriai-je.

« J’en ai vu beaucoup qui te haïssent, maître. Cependant, tu sembles être populaire parmi une partie des garçons. Ils ont parlé de la façon dont tu as dit les choses qu’ils voulaient entendre, » déclara-t-il.

« Ça me fait tellement plaisir que je pourrais verser une larme ! » m’exclamai-je.

Mon mariage était devenu encore plus difficile qu’avant mon inscription à l’académie.

Je récoltais certainement ce que j’avais semé, mais si j’avais su qu’il en aurait résulté ceci, je me serais retenu !

« Franchement, n’est-ce pas bien ainsi ? Ce monde où les femmes dominent les hommes est peut-être difficile, mais le mariage n’est pas tout. S’ils ne se soucient pas de leur réputation, ils sont libres de faire autre chose que de se préoccuper du mariage. Le pouvoir de l’argent est particulièrement puissant. Tu pourrais trouver des filles qui ont des difficultés financières, » déclara-t-il.

« Hmm ~, n’est-ce pas cruel ? Si c’est ce que tu penses, n’es-tu pas le pire ? » demandai-je.

« C’est exactement comme ça que tu as résolu les problèmes, maître. Alors, j’ai préparé un miroir. Regarde-le et exprime tes plaintes autant que tu le veux. Tes plaintes et tes grognements s’appliqueraient aussi à toi, maître, » déclara-t-il.

J’avais alors vu un grand miroir dans la pièce.

... Hein ? Luxon en a-t-il vraiment préparé un ? Était-ce juste pour exprimer son sarcasme et son aversion envers moi ?

« Tu... as vraiment beaucoup de temps libre, » déclarai-je.

« Je ne veux pas entendre ça de ta bouche, maître. En plus, je suis occupé. Veux-tu savoir pourquoi ? Tout d’abord, le fait de recueillir des informations à l’académie, c’est —, » commença-t-il ?

J’avais immédiatement ignoré ce qu’il me disait et j’avais fermé les yeux.

Dans tous les cas, c’était troublant... Je ne pensais pas que ces cinq-là seraient déshérités.

Qu’est-ce qui allait se passer à partir de maintenant ?

 

♥♥♥

 

Trois jours s’étaient écoulés depuis la cérémonie pour le nouveau trimestre scolaire.

Il serait difficile de dire que ma vie à l’académie allait bien.

Les personnes autour de moi m’évitaient.

C’était un soulagement que Daniel et Raymond soient venus me présenter des excuses, mais il faudrait du temps pour que notre relation soit comme avant.

Peut-être qu’ils s’étaient sentis redevables envers moi, car ces deux personnes étaient un peu gênées quand ils m’avaient parlé.

Cependant, il semblait qu’ils se débrouillaient bien sans moi.

Selon les enquêtes de Luxon, ni Anjie ni Livia ne semblaient être troublées dans leur vie académique. Trois jours s’étaient écoulés et je ne savais toujours pas ce qui allait se passer, mais les personnes semblaient s’être calmées autour de ces deux-là.

Il semblait qu’Anjie en avait assez de ses partisans qui tentaient désespérément de regagner sa confiance, mais à part cela, les choses se déroulaient comme avant.

Livia avait continué à étudier pendant les vacances d’été, et avait déjà atteint un niveau où je ne pouvais pas comprendre ce qu’elle disait.

Elle avait déjà commencé à étudier les leçons du cours de deuxième année.

J’avais peur qu’elle me demande de l’aider dans ses études.

Je voulais m’excuser et qu’elle me pardonne d’avoir prétendu être plus compétent que je ne l’étais en réalité.

Cependant, il y avait aussi un problème.

C’était à propos de Julian et des autres.

Ils ne s’étaient pas séparés de Marie. Bien qu’il semblait qu’ils n’étaient plus amoureux, ils avaient formé un groupe de sept personnes, dont Marie et Kyle, et défiaient les donjons à maintes reprises.

Il semblait que Greg et Chris essayaient d’augmenter leur force pour qu’ils puissent avoir une revanche avec moi.

Pour Jilk et Brad, il semble que leur objectif principal était de gagner de l’argent, puisqu’ils ne recevaient plus de soutien de leur famille.

Il en était de même pour Marie.

Le ménage du vicomte de Marie était en difficulté financière depuis le début. Il semblait qu’elle contestait les donjons vu qu’elle ne recevait aucun soutien de leur part.

De plus, Julian participait aussi avec Marie et les autres. Ils avaient fait valoir qu’ils s’étaient « rassemblés par hasard pour s’attaquer à un donjon », mais c’était une excuse stupide.

Alors que ma réputation s’était effondrée après le duel, il semblait que certaines filles étaient devenues sympathiques envers le prince et les autres, en les encourageant.

Tout bien considéré, tous les sept semblaient s’amuser — non, attendez, l’un d’eux ne semblait pas s’amuser.

Cette personne était la meneuse, Marie.

Elle semblait cacher un côté d’elle qui souffrait de sa perte de statut, d’honneur et de fortune. Son autre côté donnait l’impression qu’elle s’amusait.

Bien qu’elle ait l’air de s’amuser aux yeux des gens autour d’elle, Marie riait parce qu’elle avait dû faire face à la réalité troublante.

Ses mouvements astucieux avaient pris fin, et rien n’était plus merveilleux que de penser à quel point cela n’était pas le résultat que Marie voulait.

Comme c’est rafraîchissant. Il me semblait que j’allais pouvoir bien dormir ce jour-là.

J’étais assis sur un banc dans la cour de l’école, et pendant que je réfléchissais à de telles choses, deux personnes s’étaient assises à côté de moi. J’avais d’abord supposé qu’il s’agissait de Daniel et Raymond, mais j’avais pensé différemment quand j’avais remarqué une certaine atmosphère douce et un parfum agréable.

Ils ne sentaient pas comme ce soit ces personnes.

J’avais levé les yeux et j’avais vu Livia et Anjie assises.

 

 

« Léon, es-tu encore tout seul aujourd’hui ? » déclara Livia.

« Merci d’avoir mis du sel sur mes plaies. Oui, je suis seul encore aujourd’hui, » répondis-je.

« Bon sang, que faire de cette façon de parler que tu as ? En laissant cela de côté, si tu as du temps libre, viens avec nous. » Anjie affichait une expression un peu fatiguée, peut-être parce qu’elle avait à traiter avec ses partisans.

« Je viens avec vous ? Où ça ? » demandai-je.

Livia semblait avoir une expression joyeuse. « Il y a un stand avec ces fameuses crêpes. »

Comme on s’y attendrait dans un monde de jeu vidéo Otome.

C’était un monde fantastique d’épées et de magie, avec des crêpes et d’autres sucreries. Un monde doux pour les femmes.

Et aussi un monde qui serait vraiment très dur pour les hommes.

« Ont-ils des fraises ou du chocolat ? » demandai-je.

Cependant, mon corps avait besoin d’un peu de sucre, alors j’étais aussi un peu intéressé. Ce monde amer était dur pour les mâles, alors je mangeais au moins quelques bonbons.

Livia répondit en souriant. « C’est ce qu’ils font ! Et en plus, leur confiture de fraises est populaire. »

Pour Anjie, les crêpes semblaient être un concept nouveau. « Un stand ? Je n’ai pas beaucoup d’expérience avec ça. Je n’ai jamais eu l’occasion d’acheter quelque chose à ceux-là puisque mes partisans n’arrêtaient pas de me dire que je ne devais pas manger chez eux. »

La plupart des filles qui avaient dit ça mangeaient dans ces échoppes. Je crois que Luxon avait fait un rapport sur quelque chose comme ça.

Les deux filles s’étaient tenu la main, s’étaient levées et s’étaient dirigées vers le stand de crêpes.

« Léon, dépêche-toi, » déclara Livia.

« Hé, sois plus rapide, » déclara Anjie.

Elles marchaient en me poussant le dos.

Ces deux filles étaient gentilles et mignonnes, mais c’étaient des filles sur qui je ne pouvais pas poser la main.

... N’était-ce pas trop déraisonnable d’avoir les personnes les plus proches de moi qui sont celles auxquelles je ne pouvais rien faire ?

Ce monde de jeux vidéo est vraiment difficile pour moi.

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Claramiel

Bonjour, Alors que dire sur moi, Je suis Clarisse.

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