La Croix d’Argent et Dracula – Tome 3 – Chapitre 2 – Partie 1

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Chapitre 2 : Touko-san

Partie 1

« Iyaaaaaaaaaaaaaah !! » Un hurlement résonnait dans le salon pendant que Rushella s’agrippait et s’enroulait autour du bras d’Hisui.

« Aïe, peux-tu arrêter ça !? Tu utilises la force brute dans tout ce que tu fais... Surtout les soirs à épinards. Et si tu me tords le bras, comment vas-tu me dédommager ? » demanda Hisui.

« M-Mais... C’est..., » Rushella protesta en larmes en montrant du doigt la télévision présente dans le salon.

Bien que la scène ait déjà changé, un instant plus tôt, l’écran montrait une femme vêtue de blanc, sortant d’une télévision. La vue plongeante et le gros plan de ce regard ensanglanté remplissaient tout l’écran.

« Qu’est-ce que c’était que ça !? » s’écria Rushella

« N’est-ce pas Sadako-san [1] ? Au fait, si tu as peur, ne le loue pas ! » déclara Hisui.

Je ne peux plus supporter ça. Hisui avait secoué la tête en regardant le DVD de location.

En rentrant chez lui après l’avoir ramassée à sa soirée, Rushella avait été fascinée par l’affiche d’un nouveau film d’horreur, alors ils s’étaient rendus dans un magasin de location de DVD dans le quartier.

Rushella souhaitait vraiment se rendre dans un tel endroit pour la première fois. Utilisant sa propre carte de membre, Hisui avait loué plusieurs DVD qu’elle avait choisis.

Après le repas et le bain, elle s’était habillée comme d’habitude avec l’uniforme d’Hisui. Rushella avait déclaré qu’elle voulait regarder un DVD, et ils en avaient donc regardé un... et c’était le résultat.

« Qu’est-ce qu’il y a avec cette femme... ? Que ce soit ses yeux ou ses mouvements, aucun d’eux n’est normal ! » s’écria Rushella.

« Euh, c’est tout à fait naturel... Parce que c’est un fantôme, tu comprends ? Au fait, comment un vampire pourrait-il avoir peur des films d’horreur ? En plus, je n’ai loué ça que parce que tu l’as choisi, » protesta Hisui.

 

« M-Mais... Je ne m’attendais pas à ce que quelque chose comme ça sorte... Oh non ! Qu’est-ce que je devrais faire... ? J’ai aussi regardé la vidéo maudite... serais-je maudite !? Est-ce que je serai aussi maudite !? Dans une semaine, cette femme viendra-t-elle frapper à notre porte ? » s’écria Rushella.

« Comme si elle allait venir. Même si elle le faisait, tu peux t’occuper de ça. Oui, tu n’as qu’à sucer son sang. Vide-là jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus une goutte de sang. C’est sûr que cela marchera. Et peut-être même qu’elle pourrait devenir ta servante... mais quand bien même, je n’ai aucun désir de voir la naissance du vampire Sadako, » répliqua Hisui.

« Comme si je la mordrais !!!!! Au fait, comment peux-tu être si calme et détendu !!!!?? » s’écria Rushella alors qu’elle s’appuyait contre Hisui et qu’elle enterrait son visage contre la poitrine d’Hisui comme pour échapper à sa peur.

Son comportement semblait un peu... Ou plutôt, c’était tout à fait adorable et mignon. Cependant, Hisui avait rassemblé sa volonté de fer et avait détourné sa tête d’elle.

« Parce que je l’ai déjà regardé plusieurs fois... Récemment, il y a même beaucoup de versions moe-isé, » répondit Hisui.

« Mais même ainsi... ! Franchement, les humains sont capables de créer des choses vraiment horribles..., » déclara Rushella.

« Des louanges dans ce domaine sont plutôt étranges. Bref, je vais me coucher, » annonça Hisui.

Hisui repoussa doucement le corps moelleux de Rushella et se dirigea vers l’escalier.

« A-Attends ! Où vas-tu !? » s’écria Rushella.

« Comme je l’ai déjà dit, je vais me coucher. Depuis aujourd’hui, mon corps a eu cette sensation désagréable et j’ai des frissons incessants. Mais je n’ai pas de fièvre, et en fait, ma température corporelle est plus basse que d’habitude... Qu’est-ce qui se passe ? » Hisui s’interrogeait sur son état inexplicable alors qu’il montait les escaliers.

Rushella était restée accrochée à son bras.

« N-Ne sois pas si pressé, d’accord ? Ce serait bien qu’un garçon et une fille papotent toute la nuit de temps à autre ❤, » déclara Rushella.

« ... Essaies-tu de recréer une charmante réunion de vieux amis à l’étranger ? Bien que je ne sois pas contre l’amitié entre les sexes, je ne peux toujours pas accepter les filles comme des amies intimes ou au-delà, » avait dit Hisui.

« Comme si quelqu’un était ton ami ici ! Je suis le maître et toi, tu es le serviteur ! Connais ta véritable place ! » répliqua Rushella.

« Alors il n’y a pas besoin de bavarder toute la nuit. Bonne nuit~, » secouant les bras de Rushella, Hisui retourna dans sa propre chambre à coucher.

Après avoir repositionné son oreiller, il avait étalé sa couverture et s’était installé dans son lit à ossature d’acier. Puis il s’était couché et avait éteint la lumière.

Cependant...

« ... Au fait, pourquoi es-tu ici ? » Hisui grogna vers Rushella.

Parce que la fille était étendue juste à côté de lui.

Elle avait pénétré sous la couverture et était allongée face à face avec Hisui qui était de son côté en position fœtale.

« Hmm, après y avoir réfléchi, j’ai réalisé que j’allais de toute façon sucer ton sang demain matin, » déclara Rushella.

« Pourrais-tu arrêter ça !? Arrête d’en parler comme si c’était déjà prédestiné, d’accord ? Veux-tu vraiment que je commence le dimanche matin couvert de sang ? » demanda Hisui.

« Tu fais du bruit, alors tais-toi. Comme de toute façon, je dois boire ton sang, n’est-il pas mieux d’occuper directement cet endroit ? Ça m’évite de venir ici, et donc, je fais d’une pierre deux coups ! » déclara-t-elle, fière d’elle.

Rushella avait serré le poing comme si elle avait soudain pensé à une idée géniale.

Oui, ça économise beaucoup d’efforts.

Mais il n’y a rien de bon là-dedans.

« Dis, Rushella... Ce que tu as dit n’est pas faux... Mais tu réalises... que tu vas dormir avec moi ? » demanda Hisui.

« ... Ah. »

Elle ne l’avait finalement réalisé qu’après le rappel d’Hisui.

Son visage était graduellement devenu rouge. Puis, avec sa longue et belle jambe, elle avait poussé Hisui directement hors du lit.

« T-T-T-T-T-Toi, vil manant ! Comment oses-tu partager un lit avec moi... ? Apprends ta place ! » cria Rushella.

« C’est toi qui es entrée dans mon lit, d’accord... !! » répliqua Hisui.

Ayant atterri la tête la première sur le sol, Hisui avait regardé Rushella avec furie.

Mais il n’avait aucun espoir de victoire.

De plus, c’était actuellement la nuit.

Après avoir évalué calmement la situation de la bataille, Hisui décida de faire une retraite tactique et sortit de la pièce.

« Hé, ne bouge plus, où vas-tu !? » s’écria Rushella.

« Aller n’importe où, c’est ma liberté, n’est-ce pas ? Je ne suis pas pointilleux sur l’endroit où je dors. Je suis d’accord de passer la nuit sur le canapé du salon, » annonça Hisui.

« A-A-A-Attends un peu, ne sois pas si pressé !!!! Partager un lit n’est pas bon... Mais je peux prendre le lit pendant que tu dors par terre ! » proposa Rushella.

« Comme si quelqu’un voulait dormir par terre ! Vas-y si tu veux dormir dans ce lit. Mais encore une fois, ce lit... Il fait face à la télévision, » annonça Hisui.

Ce n’était qu’après qu’Hisui avait montré quelque chose du doigt que Rushella avait découvert l’existence de la télévision.

Ce mini téléviseur LCD personnel avait été positionné à la bonne hauteur et à la bonne distance pour être vu confortablement depuis le lit.

Il était évident qu’il n’y avait rien à l’écran en ce moment, mais dans le film, la télévision s’allumait soudainement toute seule, et de l’écran était sortie...

« T-Tais-toi ! Éloigne ce truc de moi ! Pourquoi est-il dans la chambre ? » demanda Rushella.

« Hé, je n’ai même pas remis en question le fait que tu sois dans la pièce. Si ce truc sort vraiment de la télévision, fais de ton mieux pour t’en charger. Ne t’inquiète pas, tu peux gagner ! » Hisui l’encouragea avec enthousiasme et se prépara à quitter la pièce. Mais Rushella avait sauté du lit et l’avait attrapé.

Puis, en étreignant Hisui par-derrière, elle l’avait empêché de bouger.

« Qu’est-ce que tu fais... ? Dépêche-toi et laisse-moi dormir, d’accord ? » demanda Hisui.

« Interdit. Tant qu’un seul éclat de lumière pourpre restera dans mes yeux, je ne te laisserai jamais passer ! » répliqua Rushella.

« Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? » demanda Hisui.

« Oooh... Euh... Ah oui, nous n’avons toujours pas fini de regarder tous les Dee-Wee-Dee que nous avons loués ! Viens et regardons-les ! Essayons un changement de saveur. Viens les voir, viens les voir ! » demanda Rushella.

« La période de location est d’une semaine, il reste encore beaucoup de temps... Ou peut-être que tu peux le regarder seule..., » proposa Hisui.

« Qu’est-ce que ça peut faire ? Dépêche-toi de m’accompagner ! » demanda Rushella.

... À la fin, elle avait traîné Hisui dans le salon et l’avait forcé à regarder des films avec elle.

Après avoir placé un autre DVD dans le lecteur, l’écran avait commencé à afficher le film.

À la fin, la salle de séjour avait encore une fois résonné au son d’un cri.

« Iyaaaaaaaaaaaaaah !! » cria Rushella.

« ... Encore une fois, hein, » constata Hisui.

Rushella se serrait étroitement contre Hisui, le faisant ainsi soupirer profondément.

« P-Parce que..., qu’est-ce que c’était que cette chose ? L’horrible femme, toute couverte de sang, apparaissant dans la grande maison effrayante, et puis il y avait même ce petit enfant pâle, qu’est-ce qu’ils sont !? » demanda Rushella.

« Euh... N’est-ce pas Kayako-san et Toshio-kun [2] ? N’est-ce pas un autre film d’horreur ? Ne voulais-tu pas un changement de saveur ? Pourquoi es-tu passée à quelque chose d’encore plus effrayant !? » demanda Hisui.

« P-Parce que je ne m’attendais pas à ce que ce soit le même genre..., » répondit Rushella.

« ... Franchement, tu aurais dû au moins regarder l’emballage avant de le choisir, » déclara Hisui.

« En y repensant, cette maison n’est-elle pas assez semblable à celle-ci ? Pourrait-il y avoir des fantômes ici aussi !? Est-ce que cette maison a ces choses aussi ? » demanda Rushella.

« Ne dis pas quelque chose d’aussi grossier. Même si ma maison compte comme une maison occidentale, c’est complètement différent dans le style. Et il y a une vampire au lieu de fantômes. Ou plutôt, c’est toi qui es dedans. Je ne peux vraiment pas continuer à te tenir compagnie. J’ai la tête très lourde, et j’ai aussi des frissons..., » déclara Hisui alors qu’il avait sorti le DVD du lecteur et qu’il l’avait remis dans sa boîte.

En coupant la télévision, il pensait pouvoir enfin aller au lit, pour ensuite entendre Rushella crier à nouveau.

« ... Qu’est-ce que c’est cette fois ? » demanda-t-il.

« Dans la télévision ! Il y avait une silhouette dans la télévision tout à l’heure !! » répondit Rushella.

« Hein ? » en affichant une expression sceptique, Hisui s’était tourné vers la télévision éteinte. « ... Euh ? »

La télévision avait émis une minuscule étincelle pendant un instant, comme si quelqu’un l’avait allumée. Mais rien n’était apparu à l’écran et la noirceur était apparue comme prévu.

« Est-ce cassé... ? Cette télévision ne devrait pas être une antiquité, » déclara-t-il.

Vérifiant encore une fois, Hisui avait regardé la télévision pendant longtemps, mais il n’y avait pas eu de changements.

Bien que le reflet n’était pas aussi clair qu’un miroir, Hisui pouvait voir son propre visage sur l’écran.

« Il y avait vraiment quelque chose ! La silhouette d’une fille aux cheveux longs ! » déclara Rushella.

« Dis-moi, as-tu regardé trop de films ? » demanda Hisui.

« Absolument pas ! » déclara-t-elle. Puis Rushella s’était également approchée de l’écran pour l’examiner de près.

Tout comme dans les légendes, les vampires n’avaient pas de reflet dans les miroirs. Il n’y avait aucun signe de Rushella sur l’écran.

L’eau, les fenêtres, les murs — aucune surface réfléchissante n’était capable de faire apparaître l’image d’un vampire.

« Si je peux dire quelque chose, alors je trouve ton absence de reflet sur cette surface encore plus effrayante. Il n’y a pas de silhouette ici, n’est-ce pas ? » demanda Hisui.

« Il y en avait vraiment une tout à l’heure... » Rushella boudait, mécontente.

Alors qu’Hisui haussait les épaules, le plancher grinça.

*Grincement*, *Grincement*, *Grincement*... Ils avaient clairement entendu des bruits de quelqu’un qui marchait sur le sol.

« Qu’est-ce que c’est que ce bruit !? Pourrait-il y avoir... Quelqu’un ici !? » demanda Rushella.

« Comment pourrait-il y avoir quelqu’un ? Après tout, la maison est assez ancienne... Quelque chose est probablement trop vieux et a besoin d’être réparé, » répondit Hisui.

« Vraiment... ? » demanda Rushella à moitié convaincue. Un grand bruit était soudain venu de la cuisine.

« C’est quoi maintenant ? » demanda Rushella.

« C’est probablement des assiettes qui sont tombées par terre. N’est-ce pas parce que tu fais du bruit ici ? À en juger par le bruit, rien ne s’est probablement cassé. Je vais aller vérifier, » déclara Hisui.

« Attends..., attends. Ne me laisse pas seule ! » Rushella serra Hisui dans ses bras, le pressant sur le canapé.

Puis, afin de sceller toutes les issues de fuite, elle avait fermement fixé ses mains autour d’Hisui depuis le dos, immobilisant le corps d’Hisui.

« Qu’est-ce que tu fais ? Ça fait très mal, je ne peux pas bouger..., » déclara Hisui.

« J’ai un mauvais pressentiment... Quelque chose est dans cette maison, oui, il doit y avoir quelque chose ! » s’écria Rushella.

« ... Es-tu une experte du paranormal venant d’une sorte de spectacle occulte ? C’est juste un bruit et des assiettes qui tombent, n’est-ce pas ? Si regarder des films d’horreur provoque des événements surnaturels, alors tout le Japon ne serait-il pas dans un désastre total ? » demanda Hisui.

« Il n’y a aucun rapport. Je dis simplement que j’ai senti quelque chose de maléfique. Dans tous les cas... Ne pense même pas à me laisser seule ce soir..., » en disant cela, Rushella s’était accroupie et se serra encore plus contre Hisui.

Elle semblait vraiment sentir une présence qu’Hisui ne pouvait pas ressentir. Mais il était indéniable qu’elle avait été partiellement influencée par les films.

« ... Je croyais que tu interdisais de partager le même lit ? » demanda Hisui.

« Je peux aussi accorder des privilèges spéciaux ! Tant que tu n’as pas d’idées bizarres. Reste obéissant et ne bouge pas ! » déclara Rushella.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? Me traites-tu maintenant comme un oreiller !? » s’écria Hisui.

Malheureusement, les vampires étaient exceptionnellement forts la nuit. Hisui ne pourrait pas s’échapper même s’il le voulait.

Juste au moment où Hisui réfléchissait à la façon de gérer le fait d’être pressée sous son poids... Il entendit spontanément des bruits d’une respiration régulière.

« Hé... Rushella..., » murmura-t-il.

Il n’avait pas eu de réponse.

En regardant vers le bas, il avait trouvé la vampire utilisant sa poitrine comme oreiller, qui avait dérivé paisiblement vers le pays des rêves.

Sa puissante prise en main le retenant s’était probablement détendue, donc se libérer devrait être assez facile... Mais Hisui avait abandonné l’idée.

S’il la réveillait accidentellement, ce serait voué à l’échec... et plus important encore, son visage endormi était beaucoup trop charmant.

Il n’y avait plus aucune trace de ses manières bruyantes et de son arrogance. Enlaçant tendrement Hisui, la jeune fille respirait paisiblement.

Elle semblait trouver cet oreiller très confortable, car son visage était rempli de joie et de réconfort.

« ... C’est vraiment de la triche, » Hisui avait légèrement protesté. Puis il avait agi consciencieusement comme l’oreiller de corps de son maître.

Quelques heures plus tard...

Ou plutôt, quand le matin était finalement arrivé.

« Outch... !!! » cria-t-il.

Comme d’habitude, Hisui avait ressenti une douleur aiguë à son cou, ce qui l’avait poussé à se lever. Ou plutôt, avant qu’il ne puisse se lever, il remarqua qu’un corps mou l’alourdissait.

« Bonjour, » déclara Rushella.

La peur de la nuit dernière ayant disparu de son cœur, le visage de Rushella était radieux alors qu’elle lui mordait le cou, suçant son sang.

« Bon sang, c’est comme ça que tu me remercies de t’avoir laissée dormir contre moi !? J’ai déjà assez mal à la tête... ! » déclara Hisui.

« De toute façon, qu’est-ce que ça peut faire ? D’ailleurs, boire du sang dès que j’ouvre les yeux le matin s’avère être vraiment génial. Et si on dormait ensemble à partir de maintenant !? » demanda Rushella.

« Euh ! Ça, il ne faut pas... Hé, dépêche-toi et arrête-toi ! Ne bois plus ! » déclara Hisui.

« Tu fais du bruit, alors tais-toi ! » répliqua Rushella.

Ainsi, Rushella avait continué à profiter de son temps à boire du sang.

Avec une douleur aiguë au cou comme réveil hebdomadaire, le dimanche d’Hisui Kujou avait débuté.

Notes

  • 1 Sadako-san : Sadako Yamamura (en japonais 山村 貞子, Yamamura Sadako) est un personnage de fiction issu du roman Ring de l’écrivain japonais Kōji Suzuki. Elle apparaît également dans les adaptations cinématographiques du roman, ainsi que dans les adaptations en manga, anime, dramas, et a inspiré ses équivalents dans les remakes américains et coréens du film.
    C’est un produit du cinéma fantastique des années 1990 et 2000, devenu une icône du cinéma d’horreur. Dans les films, elle a été victime d’agression sexuelle à l’adolescence.
  • 2 Toshio-kun et Kayako-san : une paire de fantômes vengeurs (respectivement une mère et son enfant à l’époque où ils étaient vivants), de la franchise horreur Ju-on (呪怨).

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