Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 4 – Chapitre 108

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Chapitre 108 : Vous ne pouvez pas vous enfuir devant Kakeru

J’avais regardé la tête qui roulait sur le sol.

« Est-ce que ça veut dire que ce mec est le chef ? »

{Vus comment sont ces habits, il devrait l’être ? En plus, c’était exactement comme l’information l’indiquait.}

« L’information qu’il s’enfuyait chaque fois que la situation est dangereuse... »

{C’est bien que tu aies acheté cette information à Delphina, hein. Cependant, cela t’a coûté cher.}

Delphina m’avait demandé si je voulais acheter des informations relatives à cet homme, Hérodotos, pour 1000 pièces d’argent.

Je l’avais achetée pour 1200 pièces d’argent. L’expression de Delphina à cette époque était un peu intéressante.

Quand j’achetais des choses cher, je pouvais obtenir des billets de loterie pour 300 pièces d’argent.

Puisque c’était une bonne occasion, il était préférable de payer un peu plus cher pour ainsi obtenir 4 tickets avec 1200 pièces, plutôt que de payer 1000 pièces d’argent pour n’en obtenir que 3. Eh bien, c’était une digression.

{Tes informations étant également diffusées, tu aurais dû l’utiliser pour négocier.}

« Je peux obtenir des billets de loterie en retour. Et aussi, je ne l’ai pas perdu. »

{Aussi ?}

« Delphina va être ma femme un jour, je ne perdrai rien à la fin. »

{Je vois.}

Éléanore avait été convaincue.

Pendant que nous parlions, j’avais avancé vers la ville de Kinerect en revêtant l’aura sombre.

Apparemment, les civils jetaient un coup d’œil aux fenêtres de leur maison.

Étaient-ils à la poursuite d’Hérodotos ? Cependant, les soldats venaient de temps en temps.

« Le Porteur de l’Épée Démoniaque. »

« C’est le grand général de Siracuza »

« Hiii !! »

Aucun soldat ne m’avait attaqué.

La plupart d’entre eux avaient peur dès l’instant où ils m’avaient vu et certains s’étaient même enfuis instantanément. J’étais ainsi capable d’avancer avec uniquement de l’intimidation.

{Cet endroit est tombé aussi, hein.}

« Ouais. Le reste est... »

{Maître~}

{Nous avons un rapport.}

Les servantes fantômes avaient volé avec un petit temps d’écarts entre elles. Récemment, la gamme de leurs mouvements était devenue plus large, donc je les avais laissées toutes les deux à Gariraya et à Tiberia.

{Gariraya est entièrement soumise~ !}

{Tiberia avait occasionné une certaine résistance juste après votre départ, mais elle a été supprimée}

« Je vois, bon travail »

{Résistance, hein, peut-être que tu aurais dû rester jusqu’à la fin.}

« Ça devrait suffire. Tania, Peggy »

J’avais appelé les noms des servantes fantômes.

« Comme vous pouvez le voir, cet endroit est également sur le point d’être capturé. Va voler chez Nana et dis-lui qu’il n’y a plus besoin de gagner du temps. »

{Compris !}

Les deux fantômes avaient rapidement disparu dans le ciel au loin.

{Avec ceci, il ne reste que la capitale royale d’Adoa.}

« Oui, juste comme ça... »

{Maître !}

Tania était descendue du ciel. Je l’avais envoyée chez Nana, mais elle était revenue pour une raison quelconque.

« Qu’est-ce que c’est ? N’es tu pas revenue un peu trop rapidement ? »

{Il y a des ennemis, les ennemis viennent d’ici.}

Tania pointa dans la direction opposée, à la direction où Hérodotos courait.

J’avais vu des nuages ​​de poussière à l’horizon.

Quand j’étais sorti de la ville et après avoir attendu un peu, ils étaient arrivés.

Les nuages ​​de poussière s’étaient approchés jusqu’à une centaine de mètres devant moi et s’étaient arrêtés.

Avec cela, on pouvait le voir clairement maintenant.

{Waa~, il y a tellement de chevaux ~} disait Hikari avec sa voix insouciante.

Ce qui était arrivé était une unité de cavalerie.

Il y avait d’environ 300 soldats. Et bien qu’il n’y avait qu’un faible effectif, si c’était réellement une unité de cavalerie organisée, elle devrait avoir une force de pénétration assez importante.

{Il y a des drapeaux inconnus mélangés à l’intérieur.}

« Oui, il y en a un qui semble être assez agressif sous le drapeau de l’armée barbare normale. »

{C’est similaire au drapeau du grand général que tu as demandé de faire.} dit Éléanore.

Après que j’avais été nommé Grand Général par Fiona et Maria, elles m’avaient aussi fait un drapeau pour ça.

C’étaient les pensées des deux reines pour en faire une existence symbolique.

C’était similaire à ça... ça voulait dire.

« Que leur roi est sorti, hein. »

{Hmm. Cela devrait être le roi barbare ou quelque chose du genre.}

{Cela ressemble à un nom très fort.}

Les mots de Hikari étaient un peu simples après tout. Et pendant que je parlais comme ça à la mère et à la fille Épée Démoniaque, un homme était sorti des troupes de cavaleries.

Il avait avancé sur son cheval en manipulant habilement son cheval.

« Tu devrais être Kakeru Yuuki ! »

C’était une voix très forte. Une voix grave qui pouvait être clairement entendue même si nous étions à une centaine de mètres.

J’avais regardé l’homme, j’observais cet homme qui se trouvait à une centaine de mètres en utilisant ma vue qui était multipliée par 777 fois.

Il avait un visage barbu couvert d’un casque et une armure pleine de fines rayures. Il avait également un corps très musclé et des épées jumelles qui étaient aussi longues qu’une longue épée. C’était un homme qui dégageait une aura incroyable autour de lui rien qu’avec sa présence.

Cet homme avait rouvert la bouche.

« Je suis Thioza ! Thioza Stratos ! Roi du royaume de Cropolis ! »

Le roi du royaume de Cropolis, Thioza.

C’est l’organisation que nous avions toujours appelé l’armée barbare et le nom de cette organisation.

{C’est le vrai.}

« Oui, je peux dire rien qu’avec l’aura qu’il dégage. »

{C’est aussi une sorte de héros.}

Éléanore murmurait sans émotion.

Quand je l’entendais parler de choses comme celle-ci, je pensais que les héros étaient comme une énorme vente de produits en soldes.

« Je suis Kakeru Yuuki. »

J’avais également crié d’une voix forte ne perdant en rien face à Thioza.

Une voix qui s’était amplifiée par 777 fois.

Ce n’était pas un cri, c’était une voix décontractée, normale, mais forte.

Leurs chevaux étaient étourdis par ma voix plus forte que celle de Thioza.

Le seul qui n’était pas affecté et qui se portait relativement bien était le cheval que montait Thioza.

Thioza me regarda pendant qu’il calmait son cheval.

« Tu nous as réellement fait beaucoup de tort, hein »

« Nous sommes des ennemis, en plus, c’est quelque chose qui s’est passé sur un champ de bataille. »

« Pourquoi t’opposes-tu à moi ? Est-ce à cause de ton titre de Baron ? »

En y repensant, j’étais le baron de Siracuza, non ?

J’oubliais vraiment ça souvent.

« Je vais te faire duc. Je rendrais en prime ton titre héréditaire. Si tu le veux, je donnerai même un titre à ton deuxième fils. »

C’était une proposition assez généreuse.

Si c’était héréditaire, non seulement moi, mais mon fils aîné deviendrait un duc, de plus, il donnerait même un deuxième titre à mon deuxième fils. C’était de bonne condition.

Eh bien, normalement cela l’était.

« Je ne suis pas intéressé. »

« Alors pourquoi te bats-tu ? »

« C’est pour mes femmes. Je vais faire de mes femmes les reines. »

« Ne plaisante pas !! »

Il m’avait crié dessus pour une raison quelconque. Tout le monde devrait savoir à ce sujet.

« Pourquoi un homme de ton calibre fabrique des marionnettes ? »

« C’est un malentendu. »

{Mais, ce qu’il dit est assez correct, la chose que tu fais est trop folle.}

Cela pouvait être vrai, mais cela n’avait aucune importance. Que j’essayais vraiment de faire en sorte que mes femmes deviennent des reines ou que j’avais un programme différent. Il n’y avait pas de différence, j’allais vaincre cet homme devant moi de toute façon.

« Viens à moi. »

« Quoi ? »

« Peu importe ce que je prévois si tu me vaincs, n’est-ce pas ? »

« ... hmph »

Thioza riait.

Il riait alors tout en levant le coin de ses lèvres.

« Fuhahaha, c’est vrai, c’est effectivement le cas »

Thioza portait ses épées jumelles.

« Tout finira bien vite une fois que je t’aurais coupé la tête. Allons-y ! »

Thioza chargea avec son cheval.

À cet instant, nous nous étions croisés, ses deux épées frappèrent.

J’avais bloqué avec Éléanore et Hikari.

Ses attaques étaient tranchantes, mais la puissance derrière ça n’était pas si importante. Il n’y avait pas de problème si c’était juste ajouté avec une charge.

J’allais bloquer et laisser tomber sa tête, ça en finira là...

{Papa !}

Fait inhabituel, j’avais entendu la voix désespérée d’Hikari.

L’instant d’après, un pouvoir extraordinaire m’avait attaqué.

Les deux Épées Démoniaques avaient été repoussées, et une lumière en forme d’arc volait vers mon cou.

« ... hmph ! »

Mon corps avait instinctivement réagi.

J’avais fait un coup de pied et j’avais sauté en arrière pour échapper au danger.

« J’étais insouciant », murmurai-je. Maintenant que j’y pensais, c’était bien le cas.

« Que se passe-t-il ? »

L’apparence de Thioza avait changé. Des miasmes sombres s’étaient rassemblés autour de son corps, et il s’était transformé. Il avait deux cornes de chaque côté de sa tête et des ailes de chauve-souris dans son dos.

{On dirait un diable.}

« Oui »

{Uu ... J’ai peur ~.}

Hikari avait eu peur.

En regardant l’apparence de Thioza, je m’étais souvenu d’Aura.

Le Royaume Comotoria, le pays qui avait été infiltré par la race des démons sans le savoir.

Thioza était-il de cette espèce ?

« Où avez-vous eu ce pouvoir ? »

« C’est ma puissance. »

« ... Je vois. »

Il ne semblait pas qu’il envisageait de se taire. Ses yeux semblaient vraiment dire que c’était son propre pouvoir, et il se sentait extrêmement fier.

« Ici, je reviens. UOOOOOO !! »

Thioza était venu me frapper. Il contrôlait son cheval et m’attaquait avec ses deux épées en mouvements continues.

J’avais paré ça en utilisant Éléanore, mais ma main s’était engourdie.

« ... haaa !! »

J’avais réussi à rester en place en ajoutant de la force, et je le repoussais.

{Tu ne continueras pas ainsi si tu n’attaques pas.}

« Bien sûr ! »

J’avais répondu à l’appel d’Éléanore.

Je m’étais préparé et j’avais fait apparaître la cape noire faite à partir de l’aura d’Éléanore et Hikari.

Et après cela, j’avais rapidement sauté après avoir poussé Thioza en arrière et je l’avais attaqué d’en haut.

Il avait paré le coup avec ses épées jumelles. Thioza n’avait subi aucun dégât. Mais cet impact était lié et le cheval qu’il chevauchait était blessé.

Manteau noir et deux Épées Démoniaques contre de longues épées jumelles et un homme ayant l’apparence d’un diable.

La cavalerie de Thioza qui s’était approchée regardait le combat entre deux hommes qui étaient semblables tout en retenant leur souffle.

Thioza qui se tenait sur le sol était devenu plus fort.

Son cheval semblait le retenir, et sa puissance et sa vitesse augmentaient depuis qu’il n’était plus dessus.

... mais.

« Ku !! »

« Quoi, c’est tout ce que tu as. »

Bien que ce ne soit que de peu, j’avais repoussé Thioza.

Puissance, vitesse et compétence. Je l’avais dépassée sur tous ces points, et, sur l’endurance aussi. Après avoir échangé des coups pendant environ dix minutes, il avait commencé à perdre ses forces.

La sueur s’échappa de lui et il avait le visage tendu.

{Il avait un temps limité, hein.}

« C’est assez commun, UOOOO !! »

J’avais continué à attaquer.

« Je vais le pousser de cette manière... », mais quand j’avais pensé à ça des gongs avaient fait écho sur les côtés et les soldats s’étaient rassemblés.

C’étaient les soldats de mon... Siracuza, les soldats rassemblés de trois royaumes. Les soldats que j’avais sauvés en capturant cette ville par moi-même étaient venus.

Et à cet instant où j’avais été distrait par ça.

« Haaaaaa !! »

Thioza me repoussait dans un enchaînement à l’épée, comme s’il rassemblait ses forces pour le faire.

J’avais aussi concentré mes pouvoirs et je m’étais arrêté, d’un autre côté, Thioza avait reculé en utilisant cet élan.

Quand j’avais essayé de le suivre.

« Thioza-sama ! »

Un soldat était avancé des troupes de cavaleries.

Il tirait un cheval différent et courut au côté de Thioza.

Thioza avait sauté et était monté sur ce cheval.

« Des gêneurs sont venus, notre match est reporté. »

En disant cela, il fit tourner son cheval comme s’il en avait l’habitude, et partit avec sa cavalerie.

Thioza semblait épuisé, mais le nouveau cheval qu’il chevauchait était plein de vie et courait comme le vent.

Ils étaient plus rapides que mes soldats qui s’étaient rassemblés sur le côté, ne pouvant pas les suivre, ils étaient venus rapidement et partirent de même.

« La raison pour laquelle ils avaient si vite vaincu Siracuza était probablement à cause de leur mobilité. »

{C’est vrai, c’est frustrant, mais ce sera pour une autre fois.}

« Qu’est-ce que tu dis. »

J’avais sorti la plume de téléportation.

« Il n’y a pas besoin d’attendre ça. »

Je l’avais dit et m’étais téléporté.

Le chemin où Thioza reculait à une vitesse incroyable, c’était le chemin que j’avais pris quand j’étais venu capturer cette ville.

Je m’étais téléporté, juste devant Thioza.

« Quoi ? … »

Je m’étais présenté devant un Thioza surpris, et je l’avais tranché avec une attaque combinée en utilisant les deux Épées Démoniaques.

Thioza était tombé, coupé en quatre parts. Il avait un visage qui indiquait qu’il ne pouvait pas comprendre ce qui s’était passé jusqu’à la fin.

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8 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre

  3. Julien Bonneau

    Merci pour le chapitre.

  4. Merci pour le chapitre

  5. Merci pour le chapitre
    PS : nul n’échappe à Kakeru

  6. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.

  7. amateur_d_aeroplanes

    Merci pour le combat 😉

  8. Merci pour le chapitre

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