Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 4 – Chapitre 107

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Chapitre 107 : L’homme infidèle

Dans la ville de Kirenect.

Il y avait deux hommes dans la tour de commandement qui avait été édifiée au centre de la ville.

Les deux portaient une armure, et d’après la position qu’ils occupaient, l’un d’entre eux était le commandant et l’autre son subordonné. L’homme qui commandait s’appelait Hérodote, une personne qualifiée qui était juste après Tanashi dans l’armée.

Il utilisait un télescope et regardait la bataille se dérouler à travers le mur extérieur.

« Nous avons de la chance. »

« Oui. »

L’adjudant avait répondu.

« Il y a des informations qui disent que les Mille Lames sont apparues dans Genesare, et “Lui” à Kirenect »

« Je vois, si c’est le cas, celui qui vient ici est... »

« La femme aux cent éclairs Io, je présume. »

Au moment où l’adjudant avait dit cela, la foudre était tombée sur les sources lumineuses.

Ce n’était pas un phénomène naturel. Des nuages ​​de foudre apparurent dans le ciel clair en un instant, et de nombreux éclairs tombèrent de là.

Il s’agissait d’une magie de foudre à grande échelle.

« On dirait que tu as raison. »

« Oui. Nous sommes très chanceux. Après tout, notre adversaire est le plus faible de l’armée de Siracuza, » répondit l’adjudant, et Hérodote sourit en hochant la tête.

« Avertis toute l’armée. Dis-leur de se battre avec toutes leurs capacités. Nous pouvons gagner si c’est elle en tant qu’adversaire. »

« Allons-nous gagner ? »

« Oui, mais que pour cette bataille. »

Hérodote sourit et regarda l’adjudant.

« L’armée barbare est morte, tu le sais. J’ai besoin de penser à ma prochaine vie. »

« Ne disais-tu pas que cette bataille ? »

« Si l’on devait se rendre, il faudrait le faire dans des conditions avantageuses, n’est-ce pas ? Nous pouvons nous rendre dans ces conditions après avoir gagné cette bataille, c’est une bonne occasion et nous nous rendrons immédiatement après. »

« Je vois. »

« Nous avons systématiquement perdu depuis qu’il est apparu, nous pouvons obtenir l’unique victoire de notre camp si nous gagnons ici. Et, c’est la plus faible parmi ses subordonnées. Nous pouvons seulement tout miser ici. C’est ce qu’ils disent quand il n’est pas là. »

« Comme prévu. »

« Fufufu, » rit Hérodote.

« Alors, finissons-en vite. Nous avons 3000 soldats. Va rapidement écraser cette magicienne. »

« D’accord. »

Hérodote regardait la situation de la bataille depuis la tour.

Ce n’est pas le type de commandant qui était en première ligne. C’est le type de commandant qui donne ses ordres depuis le centre de commandement, un endroit comme celui-ci... l’endroit le plus sûr. Et à partir de là, il envoyait ses ordres les uns à la suite des autres.

Les rapports de bataille qui lui avaient été transmis disaient tous que son armée était dans une situation avantageuse.

Et enfin, un soldat se précipita avec un visage plein de joie.

« Rapport ! L’armée ennemie a reculé ! »

« Nous avons gagné, hein »

« ... »

« Hérodote-sama ? »

« Devrions-nous entamer la poursuite... c’est comme ça, mais je veux plus de réalisations. »

Hérodote hésita.

L’adversaire était la femme aux cent éclairs, Io.

Elle était l’un des poids lourds de l’armée ennemie. Elle pouvait également être décrite comme l’une des plus fortes en tant que magicienne.

Cependant, juste comme ça, elle n’était pas puissante quand il s’agissait du champ de bataille.

Si c’était possible de capturer Io ? Cela ne rendrait-il pas les négociations plus avantageuses ?

En pensant à cela, Hérodote avait décidé.

« C’est bon, avertissez toute l’armée... »

« H-Hérodote-sama ! »

Un autre soldat s’était précipité avec un visage pâle.

« Qu’est-il arrivé ? »

« Des ennemis sont arrivés en renfort »

« Renfort, hein, à quelle échelle ? »

« C-C’est le démon à l’Épée Démoniaque. »

Une réponse qui n’en était pas vraiment une.

« Qu’est-ce que vous avez dit ? »

« S’il te plaît, calme-toi, Hérodote-sama. »

Hérodote fut surpris et son adjudant le fit se calmer.

« Il y a des informations selon lesquelles il est apparu dans Kirenect. En pensant aux “résultats de la bataille” là-bas, celles-ci sont vraies. Et, Kirenect est loin de Tibériade. Même s’il a volé dans le ciel comme un oiseau, il n’y a aucun moyen qu’il atteigne cet endroit aussi vite. »

« C-C’est vrai. »

Hérodote était devenu soulagé.

La distance entre chaque endroit que l’adjudant lui avait fait remarquer l’avait soulagé.

« Si oui, c’est un faux ou un bluff, hein. »

« Oui. C’est probablement quelqu’un qui tient les répliques de l’Épée Démoniaque, c’est assez tendance récemment. »

« Si c’est le cas, nettoyez-le. Écraser les troupes que ce faux porteur de l’Épée Démoniaque conduit. »

Hérodote avait donné l’ordre. Cependant, le soldat ne bougeait pas.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Allez envoyer le message. »

« C-c’est... »

« Quoi ? »

« Il n’y a pas de... troupes »

« Quoi ? »

« Il est tout seul. Le porteur de l’Épée Démoniaque se dirige vers nous seul. »

« ... ha ? »

Hérodote était stupéfait.

Il avait rapidement pris son télescope et avait regardé les lignes de front.

Devant l’objectif, un seul homme tenant deux Épées Démoniaques se dirigeait vers eux tout en soulevant une aura sombre.

« Il est tout seul...? Ne me dites pas... »

« Que c’est le vrai... ? »

Hérodote pâlit en entendant les mots de son adjudant.

L’homme ne dirigeait pas de troupes, mais s’avançait seul de front. L’homme qui avait dépassé la tactique et avait commencé à devenir une existence de type stratégique. L’homme qui contrôlait la véritable Éléanore et qui avait sorti une nouvelle Épée Démoniaque. Le maître de l’Épée Démoniaque, le grand général venu avec ces cinq tigres.

Hérodote avait pâli face à l’homme qui était apparu, mais avait immédiatement retrouvé son sang-froid.

« Fais en sorte que toute l’armée se concentre sur le front »

« Hérodote-sama? »

« Idiot, tu viens ici tout seul. Il n’y a aucune chance qu’une seule personne puisse gagner contre une armée, peu importe ta force. Faites charger toute l’armée, écrasez-le. »

« O-Oui ! »

Le soldat avait couru pour envoyer le message rapidement.

Après un moment, les soldats s’étaient rués vers l’adversaire.

Après avoir regardé cela pendant un moment, Hérodote ouvrit la bouche.

« Alors, allons-y. »

« S’il vous plaît, attendez, si vous allez en première ligne. »

« Qui a dit que je vais en première ligne ? »

« Eh ? Cependant, vous avez dit “allons-y”. »

« C’est vrai, je m’en vais. Je vais maintenant fuir d’ici. »

« ... hein ? »

L’adjudant avait été étourdi. Son visage montrait qu’il ne pouvait pas en croire ses oreilles.

« Nous ne pouvons plus rien faire depuis l’apparition du possesseur de l’Épée Démoniaque. Nous ne pouvons que nous enfuir pendant que les soldats nous font gagner du temps. »

« M-Mais. »

« Va et fonce si tu veux mourir. Je ne veux pas mourir. Je vais m’enfuir pendant que 3000 soldats me font gagner du temps. »

Hérodote sortit de la tour, avancé vers sa monture qui était attachée et sauta dessus.

Et, après avoir jeté un coup d’œil sur son adjudant hésitant, il fit galoper son cheval vers l’arrière.

La ville semblait très calme. Les citoyens avaient reçu l’ordre de rester dans leurs maisons pendant la bataille. Il avait pu ainsi rapidement galoper à travers la ville.

« J’ai besoin de penser à une autre façon. Une façon de survivre. »

Hérodote marmonnait. Il pensait à la façon de se protéger. C’était ce genre d’homme. Pourtant, il est un homme célèbre qui s’était élevé jusqu’à sa position actuelle, survivant grâce à son jugement et ses décisions rapides.

Et, ce jugement était correct. Il avait jugé avec les informations qu’il avait actuellement sur le pouvoir du possesseur de l’Épée Démoniaque, il serait capable de s’enfuir facilement s’il sacrifiait 3000 hommes.

Ce jugement... il avait été brisé pour la première fois, et cela par un homme qui défiait toute logique

Peu de temps après qu’il soit sorti de la ville du côté opposé, un homme l’attendait juste devant lui.

Un homme tenant une Épée Démoniaque, portant des vêtements noirs.

C’était l’homme qu’il avait vu à travers le télescope plus tôt.

« Ridicule ! Pourquoi es-tu ici ? »

« ... »

« Eii! Je vais te passer comme ça. »

Quand ils se furent croisés, l’homme avait frappé avec son Épée Démoniaque sans un mot.

La vision d’Hérodote avait basculé.

Il n’avait pas été capable de comprendre jusqu’à la fin que sa tête avait été tranchée en une frappe.

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10 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre.

  3. Julien Bonneau

    Merci pour le chapitre.

  4. Merci pour le chapitre

  5. C’est trop cool de voir e qui arrive parles mots dun autre

  6. Dominique Ringuet

    Merci pour le chapitre

  7. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.
    PS : Mec, il est pas juste  »fort », il est cheaté ! Il à reçu des pouvoirs surpuissants à la suite, évidement que tu n’avais aucune chance de t’enfuir ou de connaître sa vrai force !

    • amateur_d_aeroplanes

      Ben si, il se mettait des habits civils et resté dans la ville jusqu’à la fin de la bataille et attendait celle-ci pour sortir avec la foule 🙂

  8. Merci pour le chapitre

  9. Merci pour le chapitre

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