Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 10 – Chapitre 312

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Chapitre 312 : L’Empereur du Peuple Cajole

« Dis-m’en un peu plus. »

« Hm »

Dunamis me fixa.

En me regardant droit dans les yeux, c’était comme si elle me jugeait.

« D’accord. Mais je suis en plein milieu d’une inspection. »

« Entendu. »

J’avais commencé à marcher aux côtés de Dunamis.

« Alors, que veux-tu entendre ? »

« Je me suis dit : y a-t-il des ordres impériaux qui n’ont pas encore été donnés ? »

« Bien sûr. »

« Et lesquels ? »

« Hum… de l’eau »

« De l’eau ? »

« Pour maintenir la santé des gens et l’assainissement de la ville, l’approvisionnement en eau propre est essentiel. Le pays doit la gérer. »

« Je vois, l’approvisionnement en eau ? »

« L’eau… »

« L’eau vient du haut et coule vers le bas, n’est-ce pas ? Donc l’eau propre que vous fournissez est l’eau du robinet, elle est ensuite utilisée, puis elle va dans les égouts. »

« Oh… »

Dunamis s’arrêta et me regarda.

« Eh bien, le pays devrait être responsable du traitement des eaux usées. Tu viens de me faire réaliser ça. »

Au bout d’un moment, j’avais écouté diverses histoires de Dunamis en marchant.

Ses idées me semblaient « normales », mais la plupart des technologies de notre monde étaient « avancées ».

Il y avait beaucoup de choses qui étaient difficiles à réaliser, et certaines de ses idées étaient bizarres.

« Ugh. »

« Qu’est-ce qui se passe ? »

« Ce garde… »

« Il y a un garde devant Dunamis qui fronce les sourcils. »

Un garde était un officier de bas niveau qui protégeait les zones publiques de la ville comme un policier.

« Qu’est-ce qu’il y a de mal à ça ? »

« Ses vêtements sont négligés. »

« Vêtements ? »

Je regardais à nouveau l’homme.

Effectivement, sa tenue semblait négligée.

Il ressemblait à un héros d’un certain manga national, à un mauvais policier qui s’était perdu.

Dunamis s’approcha du garde.

« Hé, toi. Le garde là-bas. »

« Qu’est-ce que c’est ? »

« Tu es un garde qui protège les gens. »

« Et alors ? »

« La façon dont tu t’habilles donne aux gens de l’anxiété et de l’incrédulité. »

« Quoi ? Qu’est-ce que tu vas faire ? »

« Qui es-tu ? »

Dunamis rit

« Tu dois être ignorant pour me demander mon nom, mais je fais partie de la famille impériale. »

« … Quoi ? »

Je ne savais pas quoi faire.

« Je suis l’impératrice de Mercuri, Dunamis Zavma I »

« Impératrice ? »

L’homme devint plus conscient des gens qui l’entouraient.

« Soit tu es folle, soit tu es une traîtresse. »

L’homme murmura et sortit ses menottes qui étaient accrochées autour de sa taille.

Il les jeta sur Dunamis.

« Viens avec moi. »

« Hein ? Qu’est-ce que tu me fais ? »

« Je ne peux pas laisser une personne dangereuse comme toi seule. »

Elle était menottée et allait être emmenée

« Qu’est-ce que tu fais ? »

« Tu es irrespectueux envers Sa Majesté. »

Les habitants de la ville s’étaient rassemblés les uns après les autres parce qu’ils avaient entendu du bruit.

J’étais désolé, mais dans ce cas, le garde avait un peu raison.

Il était correct de faire respecter l’ordre public lorsqu’une personne voit un « empereur autoproclamé » dans la ville.

Cependant, les habitants avaient réagi différemment.

J’avais eu l’impression que Dunamis était véritablement empereur.

Au début, il y avait deux personnes, mais le nombre a augmenté et les gens venaient des magasins, des guildes et même des églises des environs, et presque tout le monde était du côté de Dunamis.

Finalement, le maître boulanger portant un tablier arrêta le criminel actuel.

« Qu’est-ce que tu fais ? »

« C’est une grande trahison. Tu es impoli envers ma majesté. »

« Désolé. Pardonne-le, s’il te plaît. »

« Ce n’est pas à nous de décider, c’est à Sa Majesté de décider. »

Au moment où cette personne avait dit ça, les yeux des résidents se tournèrent vers Dunamis.

« Pardonnons-lui. »

Dunamis fit une pause pendant une seconde, puis elle fut relâchée par l’homme.

Celui-ci regarda autour de lui et prit peur.

Il semblait avoir peur du fait que les résidents autour de Dunamis étaient clairement amis avec elle.

« Regarde ta tenue négligée ! »

« C’est mauvais pour l’éducation des enfants. »

L’homme quitta la scène.

Il ne restait que Dunamis et les résidents qui l’entouraient.

Puis l’écoute des pétitions commença.

Dunamis écouta chacune des différentes pétitions que chaque personne avait faites, et répondit, « Faisons ça. »

« Votre Majesté, mon village est de l’autre côté de la rivière, mais le pont est tombé à cause de la précédente montée des eaux. »

« Oui, la circulation affecte non seulement les gens, mais aussi le flux des marchandises. Y a-t-il du papier et un stylo ? »

Quand les résidents entendirent Dunamis demander cela, ils se précipitèrent dans l’immeuble et apportèrent du papier et des stylos.

Dunamis avait ainsi reçu du papier et elle y écrivit quelque chose. Elle sortit ensuite l’enveloppe de sa poche et le plaça dedans.

Elle regarda autour d’elle et me fit signe après m’avoir trouvé.

Alors que je m’approchais, on me remit l’enveloppe.

« C’est une commande supplémentaire, livre-la au bon endroit. »

« Pourquoi moi ? »

« Je te fais confiance. »

Immédiatement après que Dunamis l’ait dit.

« Ooooooo ! !! »

Les gens m’acclamèrent et me regardèrent avec le même respect et la même impatience que pour Dunamis.

J’étais un dirigeant très sérieux…

***

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre.
    PS: Robinet ils ont l’eau courante dans ce monde ?

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