Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 1 – Extra 1

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Histoire Bonus : Le Travail d’une Femme de Ménage

Je pouvais entendre un bruit provenant de l’entrée. On dirait que quelqu’un était venu à la maison.

J’étais donc allée jusqu’à l’entrée et là, je vis que Mademoiselle Hélèna était là.

J’avais toujours été fascinée par les manières d’agir d’Hélèna. Madame Hélèna était très belle, si gracieuse. Elle était vraiment "La Princesse" par excellence.

« Bienvenue, Mademoiselle Hélèna. Êtes-vous venue seule aujourd’hui ? » (Miyu)

« Oui. Est-ce que Monsieur Kakeru est présent ? » (Hélèna)

« Non, il n’est pas en ce moment à la maison. Je pense qu’il reviendra au cours de la soirée. » (Miyu)

« Vraiment ? Alors est-ce que je pourrais utiliser le bain avant qu’il revienne ? » (Hélèna)

« D’accord. Je vais immédiatement aller le préparer. » (Miyu)

J’étais donc allée très rapidement préparer le bain. Puis j’étais allée guider Hélèna jusqu’au vestiaire où je l’avais aidée à enlever ses vêtements.

« Wôw ... » (Miyu)

« Qu’est-ce qu’il y a ? » (Hélèna)

« Non-Non ! Ce n’est rien ! » (Miyu)

*Faible son*. Hélèna fit basculer sa tête tout en souriant d’aise.

Hélèna était une véritable princesse, car elle n’était pas du tout gênée après que je lui ai enlevé tous ses vêtements.

Elle ne se souciait nullement que des femmes de chambre telles que moi puisse voir son corps, comme prévu d’une princesse.

J’avais ensuite aidé Hélèna à prendre son bain, et après ça, j’avais pris soin d’elle.

J’avais escorté Hélèna jusqu’à sa chambre se trouvant dans le manoir. Puis, elle avait commencé à sécher délicatement ses cheveux après les avoir placés de manière appropriée.

« Wôw ... » (Miyu)

« Hmm, que se passe-t-il cette fois-ci ? » (Hélèna)

« Hein !? Ha ! Je suis désolée ! Mais vos cheveux sont si magnifiques ! » (Miyu)

« Vraiment ? » (Hélèna)

« Oui ! Le fait qu’ils soient dorés et si longs, c’est vraiment joli ! » (Miyu)

« Merci beaucoup ! » (Hélèna)

« Je sais ! Madame Hélèna, c’est quelque chose que j’ai entendu d’autres servantes, mais il y a une coiffure qui était populaire récemment auprès des dames de la haute société. » (Miyu)

« Populaire ? » (Hélèna)

« Oui ! Elles ont dit que c’était une coiffure qui était populaire auprès des hommes ! Je pensais moi-même l’essayer, mais il s’agit d’une coiffure qui n’est possible que si vos cheveux sont assez longs. » (Miyu)

« Populaire auprès des hommes... je me demande si Monsieur Kakeru l’aimerait. » (Hélèna)

« Je suis sûre qu’il l’aimerait ! » (Miyu)

« La prochaine fois, pouvez-vous me la faire si Monsieur Kakeru est présent ? » (Hélèna)

« D’accord ! » (Miyu)

Après avoir séché ses cheveux, Hélèna avait sorti des documents qu’elle avait emportés avec elle et avait commencé à travailler dessus.

Son visage vu de côté semblait très sérieux. Dès le début, son visage était beau, mais la, elle devenait de plus en plus jolie.

« Je sais ! » (Miyu)

J’étais alors partie faire du thé pour Hélèna.

Il s’agissait d’une méthode que j’avais entendu d’autres servantes. C’était un thé qui soulageait le stress lorsque l’esprit et les yeux étaient trop fatigués.

Après tout, il s’agissait d’une épice magique.

Il s’agissait d’une épice qui augmentait les phéromones des femmes qui le buvaient.

Je ne savais pas vraiment ce qu’étaient ces phéromones, mais je pensais que si Hélèna avait plus de phéromones, le Maître serait heureux, et donc, j’en avais mis un peu dans le thé.

Après que je fus rentrée dans la pièce, Hélèna travaillait toujours très sérieusement, alors j’avais simplement laissé le thé à côté d’elle, et j’étais sortie discrètement.

Après que je fus retournée jusqu’au vestibule, cette fois, il s’agissait de Mademoiselle Delphina qui était arrivée.

La marchande Delphina. Aujourd’hui, elle portait comme à son habitude des vêtements sexy.

Elle était grande et mince, et peu importe comment on la regardait, elle était vraiment une personne très attirante.

« Bienvenue, Mademoiselle Delphina. Aujourd’hui, êtes-vous venus par vos propres moyens ? » (Miyu)

« Oui, j’étais pour des affaires pas très loin. Est-ce que Monsieur Kakeru est là ? » (Delphina)

« Il n’est pas là maintenant. Il a dit qu’il reviendrait dans la soirée. » (Miyu)

« Vraiment ? Alors devrais-je me dépêcher et rentrer chez moi ? » Delphina avait déclaré ça.

Cette personne avait une merveilleuse promesse avec mon Maître. Il s’agissait de la promesse que, lorsque Delphina le voulait, le Maître allait la chercher et la ramenait jusqu’au manoir.

Si on m’avait demandé si j’étais jalouse d’elle, alors j’aurais dit que c’était un petit peu compliqué.

Parce que j’étais une femme de ménage, travailler dans le manoir du Maître était ma plus grande joie.

Mais pour pouvoir ressentir le bonheur qu’il vienne me chercher, alors le bonheur de travailler pour le Maître devrait être sacrifié.

C’était donc quelque chose de complexe.

Pendant tout ce temps où je pensais à cela, Delphina me regarda attentivement.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » (Miyu)

« Au fait, j’ai quelque chose que je voulais vous demander depuis un moment. » (Delphina)

« Me demander ? » (Miyu)

Je me demandais ce que c’était ? Delphina avait-elle vraiment quelque chose à demander à quelqu’un comme moi ?

« Vous, pourriez-vous travailler chez moi ? » (Delphina)

« Hein !? » (Miyu)

« En bref, je voudrais vous recruter. Qu’est-ce que vous en pensez ? » (Delphina)

« R-R-R-R-R-Recrutez, moi !? » (Miyu)

« Pourquoi paniquez-vous autant ? » (Delphina)

« P-Parce que vous voulez recruter quelqu’un comme moi. » (Miyu)

« J’ai une devise, que je n’entreprendrais jamais une affaire où j’y perdrais quelque chose. » (Delphina)

« Mais, je travaille déjà dans ce manoir... » (Miyu)

« Je pourrais tout à fait envoyer dix femmes de ménage afin de vous remplacer. Avec un tel nombre, elles devraient être en mesure de couvrir tout le travail que vous effectuez. » (Delphina)

« Dix ? » (Miyu)

Je me demandais pourquoi elle avait dit le chiffre dix. Est-ce que cela signifiait quelque chose en particulier ?

« Je suis désolée. » (Miyu)

Je m’étais alors excusée. Il s’agissait là d’un marché très gratifiant, mais je ne pouvais pas l’accepter.

« Car après tout, je suis l’esclave et la femme de ménage du Maître. » (Miyu)

« Vraiment !? C’est dommage. Et bien, je ne pensais pas être capable de lui voler quelqu’un comme vous... Je suis moi-même comme ça. » (Delphina)

À la fin, Delphina avait marmonné quelque chose. Je ne pouvais pas l’entendre correctement, mais ses lèvres souriaient, donc c’était probablement quelque chose de joyeux.

« Désolée pour l’intrusion. Je reviendrai ce soir. » (Delphina)

« D’accord. Prenez soin de vous. » (Miyu)

Je fis alors une révérence, puis je conduisis Delphina jusqu’à la sortie.

Je m’étais donc retrouvée seule, et j’avais alors compté le nombre de tâches qu’il me restait à faire à l’aide de mes doigts.

Je dois finir le nettoyage, je dois aussi finir de laver les vêtements.

J’ai déjà été passer la commande pour les ingrédients pour la cuisine à Monsieur Lucas, alors mes autres tâches sont...

Je sais, je devrais aussi aller couper du bois de chauffage. Comme j’avais préparé un bain pour Hélèna, il n’en restait plus beaucoup.

J’étais alors allée dans le jardin, et je m’étais mise à couper du bois de chauffage.

Afin de m’assurer que tout irait bien, je devais choisir le bois de chauffage afin qu’il puisse être utilisé à n’importe quel moment.

Après avoir fini de couper le bois de chauffage, le soir était déjà venu.

La fin de la journée se rapprochait à vue d’œil.

« Il était temps que le Maître revienne. » Murmurai-je.

J’étais alors rentrée dans ma chambre en toute hâte.

Car après tout, le travail le plus important était encore à faire.

J’avais pris la brosse que le Maître m’avait donnée et je m’étais mise à me peigner la fourrure. J’avais soigneusement arrangé l’agencement en les peignant avec délicatesse et très soigneusement.

Tout en peignant délicatement ma fourrure, j’avais aussi mélangé de l’air afin d’en améliorer la texture.

J’avais aussi utilisé de la poudre magique que j’avais achetée avec le salaire que le Maître me donnait, et je l’avais appliqué sur ma fourrure pour qu’elle soit duveteuse.

J’avais ainsi nettoyé tout mon corps, et je l’avais rendu entièrement doux et soyeux.

Après avoir fini ça, j’étais enfin prête pour que le Maître revienne à tout moment.

« Je suis de retour ! » (Kakeru)

« ... ! » (Miyu)

À cet instant, mon cœur se mit à battre la chamade, car il s’agissait d’une voix familière.

Je me levai rapidement et pris une profonde respiration.

Calme-toi ! Calme-toi !

Après une profonde respiration, j’étais allée rapidement jusqu’à l’entrée.

Le Maître est là.

« Bienvenue à la maison, Maître ! » (Miyu)

« Miyu, je suis de retour ! » Déclara le Maître alors qu’il écarta ses bras.

*Battement de cœur* *Battement de cœur*

Mon cœur s’était alors mis à battre encore plus fortement. C’était bien plus rapide qu’avant.

Comme d’habitude, je m’étais rapidement approchée de Maître qui faisait un geste de « Viens ici, viens ici ! »

« Miyu, je suis de retour ! » (Kakeru)

Le Maître l’avait dit une fois de plus, puis il m’avait enlacée avant de me faire *MofuMofu*.

*MofuMofu*,*MofuMofu*.

C’était le moment du Super Retour à la Maison *MofuMofu*.

Voir le Maître qui me *MofuMofu* me rendais très heureuse et me satisfaisait pleinement.

Après avoir été capable de faire le travail le plus important, j’étais enveloppée par un pur bonheur.

***

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5 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.
    PS:Pas très très instructif ce chapitre. À part peut-être pour comment elle travaille.

  3. Merci pour le chapitre.
    P.S : VIVE LES DOUCEUR SUCRÉES ! (Dit la personne en train de préparer un diabète. )

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