Kujibiki Tokushou: Musou Haremu ken – Tome 1 – Chapitre 30

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Chapitre 30 : Il n’y a pas d’autre choix que de faire un harem

Delphina, complètement épuisée, était allongée sur le lit.

Parce que nous faisions l’amour depuis plus de deux heures sans interruption, elle avait l’air complètement épuisée. Moi en revanche, j’avais encore beaucoup de force à revendre. Ou pour être précis, tout ce que j’avais fait jusqu’à présent se révélait très insuffisant. En y pensant normalement, nous avions eu une quantité surprenante de (*), et donc, je ne devrais plus avoir de force. Mais à la place, je voulais le faire de plus en plus.

C’est comme si, même si je n’avais pas faim, j’avais attrapé de la nourriture, et que cela m’avait rendu affamé. C’était ce genre de sentiment que je ressentais en ce moment. Je ne m’étais jamais senti comme ça avant aujourd’hui. Pour être honnête, j’étais tout à fait normal avant.

Cela dit... ne me dites pas que ma libido avait également été multipliée par un facteur 777 ?

« ... c’est tout à fait possible. » (Kakeru)

"Il" ne voulait pas se calmer du tout. Je regardai alors mon (*) et lui murmurai quelque chose. Ceci faisait déjà plus de dix fois que je l’avais fait et c’était toujours dans le même état. Alors c’était fort possible que c’était tout comme je l’avais pensé juste avant.

Mais même ainsi, je voulais encore plus le faire. Je voulais le faire, que ce soit physiquement ou en utilisant d’autres moyens.

À côté de Delphina, un billet de loterie apparut subitement.

Il n’y avait pas de billet de loterie avant de le faire avec Delphina, mais maintenant un ticket de loterie était apparu. Il n’y avait pas de doute possible. C’était bien un ticket de loterie provenant du fait que j’avais fait l’amour avec Delphina. Que ce soit pour la satisfaction physique ou pour la loterie, je voulais le faire de plus en plus. Mais demander à une Delphina épuisée de le faire plus, ceci serait un peu gênant.

« Je suis désolée... je ne pense pas que je puisse... » Delphina s’était excusée tout en étant complètement épuisée.

« Ne vous inquiétez pas. » (Kakeru)

Si elle était vraiment multipliée par 777 fois, alors tout lâcher dans une seule femme serait illogique. C’est pourquoi Delphina n’avait rien fait de mal. Elle n’a rien fait de mal, mais en réalité, j’étais un peu troublé. Franchement, à l’heure actuelle, ma seule partenaire était Delphina, et donc, après son abandon, cela ne me laissait personne avec qui je pourrais continuer.

... Devrais-je le faire par moi-même ?

Non, c’était trop pitoyable, et je pouvais être sûr que le ticket de loterie n’apparaîtra pas dans ce cas. Oui, cela ne faisait aucun doute que le billet de loterie n’apparaîtrait jamais dans une telle situation. Ce n’était pas juste une théorie, mais c’était ce que je ressentais au plus profond de moi.

« Je devrais appeler... pour faire venir la femme de chambre. » (Delphina)

« Femme de ménage ? Vous parlez de Miyu ? » (Kakeru)

« Oui, afin d’échanger avec moi pour qu’elle devienne votre partenaire — . » (Delphina)

« Ah ! Mais Miyu n’est pas cette sorte de femme de chambre. » (Kakeru)

« Hein !? » (Delphina)

« Hein !? » (Kakeru)

Pour une raison inconnue, Delphina fut très surprise. Aussi surprise qu’elle fût, elle reprit ses esprits avant de dire. « Alors, qu’en est-il de cette magicienne ? »

« Io ? Elle aussi, je ne suis pas dans ce genre de relation avec elle. » (Kakeru)

« Hein !? Alors, qu’en est-il de Son Altesse Royale Hélèna ? » (Delphina)

« Je n’ai pas non plus ce genre de relation avec Hélèna. » (Kakeru)

« Yuuki, je m’en rends compte soudainement. Mais l’avez-vous fait avec une autre personne que moi ? » (Delphina)

« ... Personne. » (Kakeru)

Il était inutile de le cacher, alors je lui avais révélé la vérité. Comme je n’avais vraiment plus personne afin que je puisse le faire autre que Delphina, on ne pouvait pas y faire grand-chose.

« Vraiment ? » (Delphina)

« Oui. » (Kakeru)

« Je pensais vraiment que Son Altesse Royale et cette magicienne étaient dans ce genre de relation avec vous. » (Delphina)

Je suppose que cela en avait vraiment l’air. C’était logique de penser que la relation entre Hélèna et moi-même était censée être comme ça. Mais en raison de divers problèmes, nous n’avions pas eu de moments propices afin d’améliorer notre relation dans ce sens. Hélèna venait toujours dans mon manoir, mais elle retournait toujours au château le soir venu. C’est pourquoi nous n’avions pas encore pu passer aux actes.

Et juste le fait de me souvenir de cela me rendit encore plus excité. Je me sentais tellement excité comme si ma tête était comme coupée en deux à cause d’un gros mal de tête juste en pensant à combien je voulais faire cela avec elle.

« Hum, Yuuki. » (Delphina)

« Oui ? » (Kakeru)

« Il semblerait que j’ai retrouvé un peu de force alors... Je peux à nouveau être votre partenaire. » (Delphina)

Delphina déclara cela timidement.

Son regard épuisé n’avait pas changé quand elle m’avait dit cela, mais je fus touché de son attitude amoureuse.

Je poussai alors Delphina sur le lit, lui chuchotant doucement à ses oreilles ces mots, « Merci beaucoup. »

***

Le lendemain, je me sentis encore plus excité.

Le matin, c’était pareil comme d’habitude avec une Io qui vint au manoir pour faire notre activité quotidienne telle que la chasse à la vache des montagnes et la récupération d’une cargaison de minerai d’Orikudite. Mais, je ne pouvais m’empêcher de temps en temps de jeter un coup d’œil à Io.

Il y avait beaucoup de magiciennes avec une telle silhouette et le même genre de vêtements que Io. Cependant, comme il y a certaines parties de son corps qui était révélé par son linge, elle était particulièrement sexy.

Avec seulement cela, c’était plus que suffisant pour me faire réveiller à nouveau mon excitation. Donc, j’avais évacué mes désirs insatisfaits en frappant Orikuto. J’avais découpé Orikuto en morceaux, puis il avait ressuscité, et je l’avais de nouveau tranché en morceaux, encore et encore. C’était la même chose que lors vous essayiez d’oublier quelque chose en utilisant les sports. J’avais tout mis dedans.

Cependant, à la fin, il n’y avait aucun sens derrière tout ça. Plutôt que de me calmer, je devenais encore plus excité qu’auparavant. Comme ceci devenait dangereux, j’avais alors sorti une excuse et je m’étais séparé de Io. Après nous être séparés, j’étais allé sur la plaine herbeuse. Comme je l’avais imaginé, plutôt que d’aller dans la ville où il y avait beaucoup de personnes, cet endroit était beaucoup mieux.

Comme dans la ville de Roizen, il y avait beaucoup de jeunes et de belles dames, je pourrais finir par devenir un criminel si je n’avais pas été capable de me retenir. Alors que le jour s’écoulait avec la lumière du coucher du soleil présente sur la plaine herbeuse, j’avais attendu le moment promis et j’avais utilisé ma plume de téléportation pour aller ramener Delphina à la maison.

Dans la chambre de Delphina, Hélèna était également là. Hélèna n’était pas dans sa tenue de ninja. Elle était habillée comme la première fois que je l’avais rencontrée, elle portait sa robe royale. Cette tenue laissait entrevoir une grande quantité de peau. Ses seins étaient encore plus soulignés, le genre de robe amplifiant son "Attitude de Princesse" raffinée. Il s’agissait de la robe que portait Hélèna en ce moment...

Au moment où je la vis, ma libido débordante éclata d’un coup.

***

Dans ma chambre de mon manoir. Au-dessus du lit, Hélèna et Delphina, complètement épuisées, étaient là. À la suite du fait que nous ayons tous les trois fait l’amour de manière répétée et avec intensités, les deux filles avaient l’air complètement épuisés, presque évanouies. Quant à moi, je me tenais encore dur ne l’ayant pas assez fait. Comme mon nombre de partenaires n’avait augmenté que d’une seule fille, il n’y avait rien de différent de la nuit dernière.

« Penser que même toutes les deux ensemble, nous ne pouvons pas vous soulager... » (Delphina)

« C’est un... fait. C’est... Kakeru après... tout. » (Hélèna)

« Si cela continue ainsi, mon corps ne pourra pas tenir plus longtemps. » (Delphina)

Les murmures de Delphina purent être entendus. Alors qu’elle l’avait dit comme ça, je ne me sens pas bien du tout... En tant qu’homme. Au fait, un autre billet de loterie était apparu entre temps. Après avoir fait l’amour avec les deux filles un peu plus d’une dizaine de fois, je n’avais reçu qu’un seul billet de loterie. Donc il ne semblerait pas que le nombre de partenaires que j’avais affecterait le nombre de tickets que je pourrais obtenir.

Je me demandais si ce n’était pas au hasard comme quand je tuais des monstres. Je voudrais confirmer mes soupçons en le faisant beaucoup plus de fois, mais comme elles avaient toutes les deux dit que leur corps ne pourrait pas supporter cela plus longtemps, c’était impossible. Ce ne serait pas bien si je les forçais plus que ce qu’elles étaient capables de supporter.

Après tout, Hélèna et Delphina étaient mes femmes.

Et ce n’était pas mon style de détruire mes femmes. Plutôt que de le faire jusqu’à ce qu’elles soient "détruites", je préférais les avoir à mes côtés et avoir pour toujours leur affection.

Indépendamment des tickets de loterie, en tant qu’homme, c’était quelque chose que je trouvais normal. Je regardai alors les deux filles qui étaient sur le lit. Comme je l’avais pensé, je ne devrais pas leur demander l’impossible.

J’ai de l’argent, je dois bien pouvoir trouver une prostituée — c’était ce que je pensais quand la porte avait soudainement été frappée.

« Maître, Mademoiselle Io est ici — Hiyan ! » (Miyu)

« Monsieur Kakeru, est-il possible que votre condition physique soit — Kyaa ! » (Io)

Miyu et Io entrèrent dans la chambre.

C’était comme une mouche qui volait dans une flamme. Miyu était ma servante, en d’autres termes, elle est ma chose, d’autre part, Io était en adoration envers moi, car j’étais le porteur de l’Épée Maudite, Éléanore. Elle était donc la croyante.

En tant que tel, je les avais poussées toutes les deux sur le lit avant de passer à l’acte.

***

Sur le lit, la quantité de personnes qui haletaient pour reprendre leurs souffles tout en étant complètement épuisées avait été augmentée à quatre personnes. Miyu et Io qui l’avaient fait pour la première fois juste avant étaient complètement sans force, alors que Hélèna et Delphina qui étaient déjà épuisées dès le début semblaient comme mortes. Cependant, j’étais toujours dur et plein d’énergie.

C’était troublant. J’étais troublé au point où c’était plus qu’un simple sentiment de trouble. Étant grandement perplexe, j’avais besoin de faire quelque chose (pas que je puisse faire n’importe quoi), une sorte de méthode m’apparut alors que je me promenais dans la chambre. M’appuyant sur le mur, j’aperçus Éléanore.

(Tu sais, je suis hors de portée !)

Éléanore, une voix extrêmement agitée retentit dans mon cerveau.

« C’est un fait connu, idiote. » (Kakeru)

Même si j’étais excité au point que cela sortait de ma poitrine, et même si c’était moi, je ne pouvais pas le faire avec Éléanore. Il n’y avait rien que je puisse faire avec Éléanore dans sa forme d’épée.

Et encore plus, vu qu’il était impossible de le faire.

... Mais même si elle était dans sa forme humaine, comme quand elle était dans la salle de loterie, alors cela pourrait être un peu dangereux.

« Maître, vous, une brute... *Hiii* » (Miyu)

« Comme je l’ai pensé, Kakeru est vraiment incroyable. » (Io)

D’une certaine manière, j’avais l’impression que Miyu et Io avaient murmuré quelque chose. Miyu avait l’air de bouder un peu, mais d’autre part, sur les quatre, Io avait l’air d’être celle qui était la plus extatique.

En regardant les deux filles étant dans cet état, je devins, une fois de plus, excité, et encore plus après avoir regardé Hélèna et Delphina.

Je dois dire — je suis vraiment mauvais.

***

Avec le soleil du matin qui faisait disparaître la nuit, je pris une pose découragée. Derrière moi, sur le lit, il y avait quatre femmes allongées qui semblaient complètement ensorcelées. Après l’avoir fait plus d’une centaine de fois, le résultat final fut une récompense de trois billets de loterie. Et enfin, la quantité d’excitation que j’avais en moi avait un peu diminué de sorte qu’elle n’interfère plus dans ma vie quotidienne.

Avec les choses qui m’étaient arrivées depuis deux jours, je m’étais finalement résolu. Afin d’obtenir une grande quantité de billets de loterie et aussi dans le but d’éviter que mes femmes soient surmenées...

« Je dois me faire un harem. » Déclarai-je à haute voix.

***

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9 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Je le plein tellement…Vraiment,ça ressemble à une malédiction pour quelqu’un ayant été propulsé en enfer ça.
    PS:Merci pour le chapitre.

  3. bon je crois que cela annonce la couleur … XD

  4. Merci pour le chapitre

  5. Et bein monsieur ne se prive pas ^^

  6. Oue mais en même j’ai pas envie de le plaindre Che pas pourquoi 😉

  7. Première com est une réponse à Kurokagespirit 🙂
    Merci pour le chapitre
    PS: si il faut qu’il le fasse « 100 » foi pour être un peu satisfait je me demande bien combien il en aura pour être complètement satisfait :/ se serai plus un manoir qu’il aura besoin pour les mettre toute 😉

  8. Merci pour le chapitre.
    Bon bah apparemment l’introduction se conclut ici.

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