Genjitsushugisha no Oukokukaizouki – Tome 5 – Chapitre 1 – Partie 5

Bannière de Genjitsushugisha no Oukokukaizouki ☆☆☆

Chapitre 1 : Faisons un programme éducatif (Le début de Silvan)

Partie 5

— Plus tôt, au milieu du douzième mois de l’année 1546 du Calendrier Continental

Sur ce jour-là, il faisait particulièrement froid...

« Nous avons changé la façon dont nous produisons du grain sur notre territoire. Cela a considérablement augmenté notre taux d’autosuffisance alimentaire, » un homme me disait ça. « Grâce à votre réseau de transport, Sire, mon domaine est plus prospère que jamais. »

« Oh, ho, » dis-je. « Je vois... »

Je me tenais à côté d’un homme costaud, d’âge moyen et souriant tout en nous promenant indéfiniment. Le nom de l’homme était Moltov Juniro. Il était à la tête de l’une des dix maisons nobles les plus influentes du pays, la Maison Juniro. Aujourd’hui, j’avais été invité à un banquet qu’ils organisaient.

Ces jours-ci, j’étais invité à un banquet tenu par un noble influent tous les jours. Il semblait que dans ce pays, au milieu et vers la fin du douzième mois, les nobles invitaient des personnes proches et organisaient un banquet. Là, ils les remercient pour leurs interactions tout au long de l’année, et exprimaient leur espoir de rester tout aussi proche lors de la prochaine année.

En fait, il s’agissait des fêtes de fin d’année dans ce monde.

En outre, il semblait que le nombre et le rang des invités qu’ils pouvaient attirer servaient de baromètre du pouvoir et de l’influence du noble. C’est pourquoi, à cette époque de l’année, les nobles invitaient autant de monde qu’ils le pouvaient, surtout ceux de haute stature.

Maintenant, si vous demandiez qui était la personne de la plus haute stature dans ce pays, tous diraient que c’était moi, le gars qui se tenait actuellement sur le trône. Naturellement, même s’ils le voulaient, aucun noble ordinaire ne pouvait inviter le roi sans avoir de lien particulier avec lui. Et après tout, je n’étais pas trop friand de ces banquets, alors normalement, même si j’avais reçu une invitation, je l’avais refusée parce que j’étais trop occupé.

Donc, si je devais quand même assister au banquet de quelqu’un, cela signifiait qu’ils n’étaient pas de nobles ordinaires. Bien qu’ils ne soient peut-être pas au niveau d’Excel, il y avait encore de puissants nobles dans ce pays. Il était difficile de refuser les invitations de ce genre de personnes. C’était le devoir d’un supérieur de socialiser avec ceux qui servent sous leurs ordres.

Parce que j’en avais refusé beaucoup, Hakuya m’avait dit : « S’il vous plaît, assistez au moins aux banquets de fin d’année ». À cause de cela, depuis quelques jours, j’étais obligé d’assister aux banquets de ces puissants nobles.

Tout en étant habillé comme d’habitude pour les banquets (c’était une tenue royale. Même mes manches avaient des fioritures.), j’avais grogné, « Argg ! Quelle douleur ! » ou « Je ne veux pas y aller » ou « C’est trop compliqué ! » et Liscia, qui m’aidait à me changer, me l’avait reproché.

« Il s’agit là de ton devoir de roi, » déclara-t-elle. « En tant que fiancées, nous serons là également. Alors, prends-toi en main, veux-tu bien le faire ? »

Comme elle l’avait dit, Liscia et mes autres partenaires étaient également présentes. Même ainsi, elles n’étaient pas dans une situation aussi mauvaise que la mienne. Mes fiancées, Juna exclue, se relayaient et m’accompagnaient, mais c’était seulement une à la fois qui venait avec moi. Moi, d’autre part, j’étais obligé d’assister à chaque banquet.

« Comme vous pouvez le voir, mon domaine est en excellente forme, » Moltov était en train de monologuer.

« ... »

Si vous me demandiez ce que je n’avais pas aimé dans ces banquets, c’était de jouer avec « l’hospitalité » de mon hôte qui consistait à parler longuement sur ceci ou cela. Même si la nourriture avait l’air luxueuse, je n’avais pas le temps de manger ou de boire. De plus, les nobles avaient tous tendance à parler des mêmes choses.

En premier, ils se vantaient de la façon dont ils avaient géré leur domaine. C’était sans doute en grande partie parce que j’avais ajouté la gestion de leurs domaines dans leurs évaluations de performances. La plupart des nobles avaient essayé de montrer qu’il n’y avait pas de problèmes dans leur gouvernance, et les plus capables avaient eu l’occasion d’exprimer à quel point leurs compétences de gestions étaient merveilleuses.

Les évaluations avaient été effectuées par des inspecteurs envoyés à cette fin, et ils recevraient une estimation appropriée en provenance des personnes vivantes dans le domaine. Cela avait fait qu’ils essayaient de me convaincre lors d’un banquet vide de sens, mais c’était la nature humaine de vouloir mettre la chance de leurs côtés. S’ils pensaient que le roi les surveillait de près et que cela améliorait la vie de leur peuple, c’était une bonne chose. Pourtant, j’en avais eu rapidement marre d’avoir à entendre des récits semblables à chaque banquet.

« Sire, permettez-moi d’aller prendre un verre pour vous, » Aisha, ma partenaire pour la journée, m’avait parlé avec une petite voix. La robe d’argent qu’elle avait était celle qu’elle avait également portée pour l’émission de musique quand elle m’avait aidé à servir d’hôte à Amidonia. Elle lui allait également bien maintenant. Elle avait dû sentir mon épuisement et essayait d’être prévenante.

Je venais juste de me sentir un peu assoiffé, alors je lui avais demandé de le faire, et Aisha était partie en silence me chercher un verre.

Au moment où Aisha était partie, il y avait un changement soudain dans le comportement bavard de Moltov. Il m’avait alors dit. « ... En passant, Sire. »

Ses yeux étaient vifs, comme un serpent qui avait trouvé sa proie.

En cet instant, j’avais réalisé que j’avais commis une erreur. J’avais traversé cette situation plusieurs fois auparavant. Quand la partenaire du roi avait quitté ses côtés, ils avaient souvent vu cela comme le moment parfait pour agir d’une manière très opportuniste.

« Cela vous dérangerait-il si nous parlions ailleurs pendant un petit moment ? » demanda Moltov.

« ... Vous rendez-vous compte qu’Aisha n’est pas encore revenue ? » dis-je.

« Cela ne prendra pas beaucoup de temps. Je suis sûr que vous serez en mesure de vous revoir en un rien de temps, » répondit Moltov.

Ayant dit cela, Moltov m’avait pris la main et m’avait à moitié tiré vers un autre lieu.

Ouais... C’était à coup sûr ce genre d’événements...

Je n’aime pas ça... Moltov peut penser que c’est sa grande chance, mais j’ai l’impression d’être sur des charbons ardents ici...

Alors que je pensais cela, comme je l’avais prévu, il y avait une seule jeune femme qui m’attendait quand nous étions arrivés à notre destination. Elle devait avoir environ seize ans. Elle était clairement une charmante jeune femme de bonne éducation.

« Permettez-moi de vous présenter, Sire. Il s’agit de ma fille, Siena, » déclara Moltov.

« Toutes mes salutations, Votre Majesté. Je m’appelle Siena Juniro, » déclara-t-elle tout en faisant une révérence.

... Je le savais. Il avait vu cela comme une occasion rêvée de me présenter à la jeune fille qui était liée à leur famille.

À chaque époque, les liens du sang avec la maison royale avaient été une source de fierté pour la noblesse. Si elle devenait ma reine, leur maison serait en sécurité, et elle pourrait même donner naissance à un héritier. En plus de cela, parce que mes fiançailles avec Juna n’avaient pas encore été annoncées, en ce qui me concerne, je n’avais que trois fiancées. Ce nombre était, à l’exception des cas spéciaux comme mon prédécesseur, le Roi Albert (il s’était marié dans la famille de la reine), considéré comme faible. À cause de cela, chaque noble cherchait désespérément à me vendre ses filles.

En l’espace d’une demi-année depuis que le trône m’avait été confié, j’avais annexé Amidonia et avais eu beaucoup d’autres grandes réalisations, si bien que les gens avaient placé de grands espoirs en moi. Il y avait toujours un grand nombre d’offres de mariage qui arrivaient au château, et mon chambellan, Marx, était toujours occupé à les traiter.

« Cela me peine de toujours les refuser, alors pourriez-vous au moins en rencontrer quelques-unes ? » Marx m’avait demandé cela avec des yeux suppliants, mais cela avait l’air d’être très problématique pour moi, alors j’avais tout refusé.

Mais même ainsi, j’avais fini par avoir affaire à des nobles qui m’avaient approché pour ces mêmes raisons, avec l’intention de ne pas manquer leur chance.

Bien sûr, les nobles n’étaient pas assez audacieux pour amener ce genre de discussions quand l’une de mes fiancées était là, mais que ce soit Liscia, Roroa ou Aisha qui était avec moi, ils s’étaient toujours assurés de créer une ouverture pour le faire. Mon opinion sur les compétences des nobles à cet égard dépassait l’exaspération et entrait dans le domaine de l’admiration.

N’ayant pas beaucoup d’autre choix, j’avais salué la fille. « C’est un plaisir de vous rencontrer, Mademoiselle Siena. Je suis Souma Kazuya. »

« J’ai déjà entendu votre grand nom, Sire, » dit-elle. « J’ai entendu dire que vous étiez un grand souverain béni à la fois pour sa bravoure et sa sagesse, mais je suis soulagée de constater en vous rencontrant que vous semblez également être une personne aimable. »

« Les rumeurs à propos de moi n’ont pas seulement été exagérées, elles se sont vu pousser des membres et ont même pris vie, » répondis-je.

« Mon Dieu ! Vous les faites paraître adorable, » Siena affichait un sourire réservé. Elle semblait être une fille simple. Ces types de filles étaient toujours les plus difficiles à gérer.

Il était facile de se débarrasser de quelqu’un qui essayait manifestement d’épouser pour l’argent et le statut, mais je ne pouvais pas être aussi cruel envers une fille innocente et pure. Je veux dire par là qu’il était difficile de dire si elle savait même que c’était une tentative d’entremise qui se déroulait en ce moment. Eh bien ! Peu importe comment elle se sentait à ce sujet, son père essayait définitivement de la faire épousée pour de l’argent et du statut.

Moltov m’avait fait venir à une certaine distance de Siena et avait parlé. « Que pensez-vous de ma Siena ? »

« ... Elle a l’air d’être une jeune fille très pure et simple, » dis-je. « Et très mignonne. »

« Oh, je vois ! Si elle vous plaît, envisageriez-vous de la prendre pour épouse ? » demanda Moltov.

« Non, j’ai déjà trois (quatre, en fait) fiancées..., » dis-je.

« Que dites-vous ? Vous êtes encore jeune, Sire, » insista Moltov. « Pour le bien de la maison royale, vous devriez augmenter le nombre de femmes que vous avez. Si vous êtes réticent à l’égard de la Princesse Liscia, alors ça ne me dérangerait pas qu’elle soit une reine secondaire... »

Tout en parlant aussi vite qu’une mitraillette, Moltov avait essayé de faire avancer les choses. Et alors, quand je pensais, Arg ! Franchement, quelle plaie ! Aisha, pouvez-vous vous dépêcher et rapidement revenir ? C’était arrivé.

« Hahh, ha, ha, ha ! Hahh, ha, ha, ha ! » Ce rire passionné avait soudainement fait écho dans le hall.

« Ivan ?! Cet idiot ! » Moltov, qui avait seulement un instant le visage d’un vieil homme aimable qui m’offrait sa fille, avait maintenant un regard aigre présent sur son visage alors qu’il regardait à travers l’espace ouvert du deuxième étage de la salle de banquet.

J’avais suivi son regard pour trouver quelqu’un qui se tenait sur la balustrade du balcon.

Il s’agissait d’un homme dans la mi-vingtaine, grand et musclé. Avec ses épais sourcils, ses yeux perçants et ses dents blanches et brillantes, il avait un visage étrangement distinctif. Il était un jeune homme passionné, qui ne quitterait pas rapidement les souvenirs de quiconque l’aurait vu.

... Eh bien ! Franchement, qui est ce type ?

L’homme avait crié et avait sauté du balcon. Au moment où il avait fait...

Badaboum !

Il y avait une grosse explosion juste derrière le jeune homme. Des flammes avaient surgi, et il y avait une explosion rugissante qui avait secoué mes tripes. Pendant un moment, j’avais pensé qu’il était un terroriste et qu’il était sur le point de provoquer une panique, mais pour une raison inconnue, les autres invités autour de lui avaient simplement regardé le jeune homme avec des sourires désabusés.

Hein !? Quoi ? Que suis-je censé faire de cela ?

« Votre Majesté ! » Aisha m’avait finalement trouvé et s’était précipitée à mes côtés. « Sire, cela pourrait être une attaque ! S’il vous plaît, restez derrière moi ! »

« ... Non, il y a quelque chose de bizarre dans tout cela, » dis-je.

« Hein !? Qu’entendez vous par “Quelque chose de bizarre” ? » demanda-t-elle.

J’avais regardé autour de moi, mais personne ne semblait être paniqué vis-à-vis de ce qui venait de se produire. La plupart d’entre eux regardaient simplement le jeune homme avec des sourires ironiques ou moqueurs. En y regardant de plus près, malgré l’étendue du feu, la zone où l’explosion s’était produite derrière le jeune homme n’était même pas légèrement roussie.

« Oh mon Dieu, mon idiot de frère, » déclara une voix féminine.

Quand je m’étais retourné pour voir qui venait de parler, Siena regardait l’homme avec un air troublé.

« Frère ? » répétai-je.

« C’est bien ça, Sire. Il s’agit de mon frère aîné, Ivan Juniro, » répondit Siena.

« Hmm... À mon avis, on dirait qu’il y a eu une explosion, » dis-je.

« Il s’agit de la capacité de mon frère, » répondit-elle. « Elle lui permet de faire apparaître des effets criards de feu et de bruit, mais c’est plus quelque chose comme une simple illusion. Il n’y a pas de véritable force derrière ces effets. Hee hee. N’est-il pas sympa ? »

« Euh... Hmm, bien sûr..., » dis-je.

Si elle était capable de décrire cela comme étant juste « sympa »... à certains égards, cette fille pourrait être assez impressionnante.

Je vois, pensai-je. Les personnes invitées ici étaient celles qui avaient des relations régulières avec la Maison Juniro. Naturellement, ils devaient être conscients de l’étrange fils de la famille. C’est pourquoi, même quand il y avait eu une explosion, ils avaient seulement réagi avec des sourires désabusés.

Moltov avait crié de colère. « Ivan ! Comment peux-tu agir si grossièrement devant Sa Majesté ? »

« Mon vieux, ferme là ! » Ivan avait fait une pose, et cette fois il y avait eu un éclair derrière lui. « Vieillard avide, essayant de profiter de l’innocence de Siena pour la pousser vers un mariage ! Même si les cieux le permettent, moi, son frère, je ne le ferai pas ! »

Quand il avait déclaré cela, il y avait eu une flamme présente dans les yeux d’Ivan. On pouvait dire littéralement que des flammes sortaient de ses yeux.

... Je ne savais pas quoi dire. Je commençais à un peu m’amuser devant ce spectacle. Moltov, d’autre part, était furieux.

« Épouser le roi est le plus grand honneur qu’une femme née dans une maison noble peut espérer réaliser pour elle-même ! » déclara Moltov. « Quel est le problème avec un père qui veut que sa fille trouve le bonheur !? »

« Siena peut décider par elle-même de son propre bonheur ! Ce n’est pas quelque chose que tu dois décider pour elle ! » cria Ivan.

« Tais-toi ! Tu n'es qu’un bouffon, tout comme ta capacité ! » s’écria Moltov.

« Tu as la même capacité, mon vieux ! C’est dans notre sang ! » cria Ivan.

Leurs yeux s’étaient rencontrés et les étincelles avaient volé. Des nuages ​​noirs s’étaient formés entre eux et la foudre avait frappé juste au centre. Je ne parlais pas en métaphore, ces choses s’étaient réellement déroulées devant nous. Et pourtant, il n’y avait pas eu de dégâts. C’était amusant à regarder, tant que vous n’étiez pas impliqué par tout ça.

Je m’étais tourné vers Siena et lui avais demandé. « Euh, hmm... Ne devrions-nous pas les arrêter ? »

« Ils le font tout le temps, » avait-elle répondu avec un large sourire.

« Oh, bon alors..., » commençai-je à dire.

Même pendant notre petit échange, les deux hommes avaient continué à se lâcher des répliques.

« Aujourd’hui, c’est le jour où je vais finalement réussir à faire rentrer un peu de bon sens en toi, » cria Moltov.

« C’est ma phrase ça ! Amène-toi, le vioc ! » cria Ivan.

« Chowahhhhhhhhhhhhh! »

« Dahhhhhhhhhhhhhhhh! »

Alors que les deux hommes s’étaient approchés, un groupe de bras et de jambes étaient apparus entre eux, effectuant des coups de poing et coups de pied ainsi que des blocages. C’était comme si quelqu’un avait fait une adaptation en réel de Dragon Ball, et cela m’avait vraiment excité. Pendant un moment, je les avais regardés avec enthousiasme, en pensant, ouais, encore un peu plus d’actions ! Mais alors...

« Presque tous ces membres sont des illusions, » déclara Aisha. « Ce sont juste leurs vrais corps au milieu qui se battent vraiment l’un contre l’autre. »

J’étais resté silencieux. Quand Aisha, qui avait vu à travers ça avec sa vision cinétique de guerrière, m’avait dit ça, cela avait tué mon amusement.

Cinq minutes plus tard, Moltov et Ivan s’étaient effondrés, tous deux étaient tombés sur le dos, presque au même moment.

« Arg... Pas mauvais, le chnoque ! »

« Hmpfff. Je ne suis pas vieux au point où je t’aurais laissé me vaincre, » répondit Moltov.

OK, c’était très voyant. Mais tout ce qu’ils avaient fait, c’était se battre l’un contre l’autre, donc s’ils venaient vers moi en tant que « rivaux qui ont communiqué par leurs poings », je ne savais pas trop comment réagir. Eh bien, ce n’était pas comme si cela importait vraiment.

Quoi qu’il en soit, je m’étais dirigé vers Moltov, qui s’était effondré sur le sol. « Moltov. »

« Qu-Quoi, Sire !? Nous avons fait une démonstration misérable de nous-mêmes ! Je vous demande pardon ! » Moltov se leva précipitamment et s’excusa humblement, mais j’agitai une main et lui dis de ne pas s’inquiéter à ce sujet.

« Ça ne me dérangeait pas. Cela a créé un spectacle assez divertissant. Sur cette note, il y a quelque chose dont je voudrais vous parler..., » dis-je.

« Qu-Qu’est-ce que cela pourrait-il être ? » demanda Moltov.

« Ce n’est pas à propos de Siena. Seriez-vous prêt à m’offrir les services d’Ivan pour le bien du pays ? » demandai-je.

« « ... Pardon... ? » » Moltov et Ivan avaient tous les deux cligné les yeux en raison de la surprise induite par ma demande.

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4 commentaires :

  1. Merci pour le chapitre.

  2. Merci pour le chapitre
    On comprend mieux maintenant

  3. kurokagespirit

    Merci pour le chapitre.
    PS: Il lui présente la fille de laquelle il es fier, le roi refuse, son fils duquel il à honte fait interruption, le roi veut l’engager… Le pauvre homme doit mentalement faire un sourire désabusé/ironique !

  4. Ethan_Nakamura

    Merci pour le chapitre.

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