Chapitre 1 : Collecte de Fonds
Partie 1
Au 32e jour du 4e mois de la 1546e année du Calendrier Continental, le trône fut cédé à Kazuya Souma.
Ceci se produisit dans la capitale du Royaume Elfrieden, Parnam.
Cette ville était la capitale où se trouvait la résidence du roi du Royaume Elfrieden, le château Parnam. Une ville avait été bâtie autour de château Parnam. Avec ses murailles circulaires qui l’entouraient, ceci n’était pas sans rappeler une cité européenne du Moyen-Age.
Les toits dans les quartiers des nobles ainsi que ceux des paysans étaient uniformément orange et ceci s’adaptait bien avec l’image générale de la ville.
Avec le château Parnam au centre, relié avec le nord, le sud, l’est et l’ouest par de grandes portes qui menaient à de larges routes qui étaient toujours surchargées par des chariots et de grandes bêtes montées.
Mis à part les routes principales, il y avait aussi d’innombrables routes pavées plus petites qui rayonnaient depuis le château et ces petites routes étaient reliées par d’encore plus petites routes. Vu d’en haut, tout cela aurait ressemblé à une toile d’araignée, ou peut-être à un flocon de neige. Ces routes avaient, alignées des deux côtés, des commerçants et des gens de métier et elles étaient toujours très animées.
Puis comme aujourd’hui était un jour férié et aussi le premier jour de congé depuis que le nouveau roi (bien que, avec la cérémonie de couronnement n’avait pas encore eu lieu, le nouveau roi l’était seulement par ces actions), avait reçu le trône, le marché était encore plus occupé que d’habitude.
Ce changement soudain de monarques avait provoqué, pendant un petit moment, des tensions dans la ville du château. Mais une fois qu’ils avaient entendu dire que le trône avait été cédé au héros convoqué, que l’ancien roi, Albert, avait annoncé son abdication de sa propre volonté et pour finir, que Souma avait été promis en mariage à la princesse Liscia, la fille de l’ancien Roi, la confusion, à propos de la mort de l’ancien roi s’était dissipée naturellement.
Parce que l’ancien roi avait gouverné en voulant "être aimé", les rumeurs s’étaient donc répandues à ce propos :
« Eh bien ! Si le roi va bien, je suppose que c’est correct. »
« Oui, la pression semblait être devenue bien trop importante pour lui. Je suis content maintenant, que ce poids trop lourd lui soit retiré de ses épaules. »
« Oui, il pourra vivre plus doucement. C’est préférable pour tout le monde de cette façon. »
Les interprétations des gens de ce qui était arrivé ont été ainsi largement favorables. Il semblerait que les manières nonchalantes du roi étaient en phase avec le caractère national.
Ayant eu le trône ainsi refourgué à lui, Souma avait été inquiet qu’un mouvement de résistance puisse se soulever contre ce changement soudain, mais il fut légèrement déçu quand il n’eut jamais lieu. Quoi qu’il en soit, ce fut un autre jour paisible pour Parnam alors que des personnes de nombreuses races vaquaient à leurs occupations.
Comme si une lame tranchait cet après-midi paisible, un cheval blanc galopait à vive allure sur les pavés.
Le cheval était encouragé par une belle jeune fille portant un uniforme militaire rouge qui ressemblait à ce qui était présent dans ‘La Rose de Versailles’. [1] Elle devait avoir seize ou dix-sept ans avec la peau claire et de longs cheveux blond-platine qui, dans le vent, ruisselaient derrière elle. Son uniforme moulant accentuait les lignes bien équilibrées de son corps.
Cette belle fille sur un cheval blanc avait l’air tout droit sortie d’une scène pittoresque. Les habitants à côté de qui elle passait le long de son chemin laissaient échapper des soupires d’admiration, qui se tournèrent vers des acclamations quand ils réalisaient qu’elle était la princesse de leur pays.
« Félicitations pour vos fiançailles, Princesse ! »
« Nous vous souhaitons que du bonheur ! »
Les personnes qui lui envoyaient leurs salutations les plus chaleureuses, n’avaient aucune idée de comment elle se sentait à propos de cela. Bien sûr, il était peu probable de toute façon qu’actuellement qu’elle puisse les entendre parler.
« Père, Mère. S’il vous plaît, soyez en sécurité ! » murmura Liscia Elfrieden, se le disant à elle-même avec un regard peiné sur son visage.
◇◇◇
« Père ! Quel est le sens de tout cela ? » demanda Liscia, en haussant la voix vers ceux qui étaient devant elle.
Dans la chambre du roi. C’était une assez grande pièce où même un lit "king-size" [2] paraissait petit et où chaque meuble avait été superbement conçu. À l’origine, cette chambre était censée être les quartiers privés du couple royal et aurait donc dû être remise à Souma quand il monta sur le trône, mais Souma n’avait pas voulu passer par le trouble de les déplacer, de sorte qu’il avait donné la permission pour l’ex-couple royal d’y rester et ils étaient encore en train de l’utiliser en ce moment. Souma, soit dit en passant, avait apporté un simple lit dans le bureau des affaires gouvernementales et dormait là-bas.
Lorsque Liscia accourut dans cette pièce, à bout de souffle, elle fut accueillie par la vue de ses parents, profitant non seulement avec élégance d’un thé sur le balcon ci-joint, mais plongeant aussi des cakes à la crème dedans, les levant jusqu’à la bouche de l’autre personne, tout en se disant :
« Dis Ahhhhh, mon chou ! »
« Ahhhhh ! »
Et il amena ainsi un cake dans la bouche de l’autre.
Liscia se laissa tomber au sol à cette vue, mais se remit rapidement debout et marcha jusqu’à l’ancien roi, Albert, avec de la colère dans ses yeux.
« Père, quand j’ai entendu que ton trône avait été usurpé, j’ai hâté le retour de ma patrouille se trouvant en dehors de la capitale ! Alors, pourquoi est-ce que je vous trouve maintenant, vous deux, à vous nourrir l’un et l’autre comme si vous n’aviez aucun souci !? » (Liscia)
Liscia, en plus de son titre de Princesse (bien que, après l’abdication, elle était maintenant la nouvelle fiancée du roi), avait également été diplômée de l’école des officiers et tenait maintenant un rang d’officiers dans l’armée. Elle n’était pas particulièrement élevée dans les rangs, mais en raison de sa haute naissance, elle était souvent chargée d’assister à des funérailles dans l’armée royale, ou pour d’autres missions de nature particulière. Cette fois-ci, elle était en cours d’une patrouille régionale, donc après avoir appris l’abdication de son père, elle s’était précipitée vers la capitale.
« Il n’y a vraiment pas eu d’usurpation. J’ai abdiqué par mon propre chef. » Annonça calmement son père.
« Pourquoi voudriez-vous faire cela si soudainement !? » (Liscia)
« J’étais arrivé au moment où j’étais certain que cet homme ferait un bien meilleur roi pour cette nation que je ne le serais jamais. C’était donc une décision que j’ai pris pour ainsi lui permettre de changer ce pays et je prends la pleine responsabilité. Je ne tolérerai aucune objection, même venant de toi. » (Albert Elfrieden)
Dans cet instant, Liscia vit l’autorité digne de l’homme qui avait, jusqu’à tout récemment, porté une nation sur ses épaules et se trouvait incapable d’aller plus loin.
« Urkh. Mais comment pourriez-vous décider de mes fiançailles sans même me consulter ? » (Liscia)
« Vous pouvez en discuter entre vous. Pour commencer, les fiançailles étaient quelque chose que je l’ai forcé à accepter. Si vous n’en voulez pas, je doute que Monseigneur Souma ne vous force à accepter cela. » (Albert Elfrieden)
« Mèrrrrreeee ! » cria Liscia. Elle se tourna vers sa mère pour trouver de l’aide, mais Elisha se contenta de lui sourire en réponse.
« Parlez en premier lieu avec Monseigneur Souma. Ceci est votre vie, alors vous devez décider ce que vous allez faire par vous-même. Quelle que soit votre décision, nous la respecterons. » (Elisha Elfrieden)
Avec même pas une branche pour s’y raccrocher, les épaules de Liscia s’effondrèrent.
Elle quitta la salle de l’ancien couple royal et se dirigea rapidement à travers le palais.
Ceci faisait quelques semaines depuis qu’elle avait quitté ce palais pour ses patrouilles régionales. Quelque chose à propos du palais qu’elle n’avait jamais vu, il y a quelques semaines, attira immédiatement son attention. Un grand nombre de serviteurs étaient en train de courir partout autour d’elle... Les gardes, les femmes de chambre, les bureaucrates et même les ministres... toutes ces personnes se déplaçaient tous en courant dans tout les sens. La vue des ministres grassouillets qui couraient et haletaient avec de la sueur perlant sur le front était tellement surréaliste qu’elle ne pouvait que les regarder, abasourdie.
Cela n’avait jamais été comme ça avant. Le château dont elle se souvenait avait toujours été un endroit tellement détendu qu’on avait l’impression que même le temps lui-même s’écoulait plus lentement qu’ailleurs. Avant aujourd’hui, les femmes de chambre, les ministres... tout le monde marchait si lentement et tout était si calme, qu’on pouvait entendre la formation des gardes du palais dans la cour depuis n’importe où dans le palais. N’avait-elle pas rejoint l’académie des officiers parce qu’elle était devenue malade et fatiguée de cette atmosphère ?
Mais maintenant ? Peu importe où elle allait dans le château, le bruit de pas résonnait.
Liscia appela l’une des femmes de chambre proche d’elle qui se précipitait vers un lieu inconnu. « Puis-je avoir un court instant ? » Demanda-t-elle.
« Pourquoi, Princesse !? Comment puis-je vous être utile ? » demanda la femme de chambre, ce qui l’avait fait s’arrêter.
« Heu... Tout le monde dans le château semble être pris d’une terrible hâte. Y a-t-il quelque chose qui s’est produit ? » (Liscia)
« Non. Rien en particulier. » (Servante)
« Êtes-vous sûre ? Je me sens comme si tout le monde se précipitait pour faire quelque chose de spécial. » (Liscia)
« Je suis... Ah, mais, peut-être, est-ce dû à l’influence de notre nouveau roi. Quand on voit comment cet homme fonctionne, il nous fait nous sentir mal si nous ne travaillons pas aussi. Je ne peux pas supporter d’être moi-même ralentie, quoi qu’il en soit... Ah, je suis en plein milieu de quelque chose en ce moment, donc je vais devoir vous quitter ! » (Servante)
« J-Je vois... Faites de votre mieux ! » (Liscia)
Alors qu’elle regardait la vitesse à laquelle partit la servante, Liscia en fut abasourdie.
Pour qu’il fasse que même les femmes de chambre se sentent de cette façon, comment le nouveau roi travaille-t-il durement !? Quel genre de personnes ai-je obtenue comme fiancé !?
Liscia voulut enterrer sa tête entre ses mains d’autant plus après avoir pensé cela.
Enfin, elle arriva au bureau des affaires gouvernementales du roi. Quand elle ouvrit la porte, la première chose qu’elle vit, fut une montagne de paperasse. Sur un bureau assez grand pour que deux adultes puissent y dormir dessus, des papiers avaient été empilés et semblaient prêts à déborder. Et ce n’était pas tout. Quand elle regarda autour d’elle, elle vit un certain nombre de bureaucrates assis à côté d’une autre longue table, luttant contre une bataille perdue d’avance avec des paquets de paperasse encore plus grands.
Alors que Liscia se tenait là, abasourdie, un jeune homme lui parla de l’autre côté de la montagne de papier.
« Vous, celui qui vient d’arriver. » (Inconnu)
« ... Hein !? Quoi !? » Revenant à ses sens, Liscia laissa échapper un étrange cri, mais l’orateur ne sembla pas du tout se soucier de cela.
« Pouvez-vous lire ? Pouvez-vous faire des maths ? » (Inconnu)
« Ne vous moquez pas de moi ! Bien sûr qu’on m’a enseigné cela ! » (Liscia)
« Eh bien, parfait. Asseyez-vous ici et aidez-moi avec ce travail. » (Inconnu)
« Qui pensez-vous que vous êtes, pour me demander ainsi de l’aider ? » (Liscia)
« Il suffit de le faire. C’est un ordre royal. » (Inconnu)
En disant cela, la personne derrière la montagne de papier se leva.
Maintenant, pour la première fois, les deux se firent face à face. Ce fut la première rencontre entre le nouveau roi, Souma, et sa fiancée, Liscia.
Liscia décrirait plus tard sa première impression de lui comme "un jeune homme aux yeux fatigués".
◇◇◇
Dans les histoires où un héros était appelé depuis un autre monde, le héros gagnait parfois des pouvoirs à la suite d’avoir été convoqué. Il semblait que les personnes dans ce monde avaient toute une certaine capacité pour utiliser la magie et donc où était le mal en espérant que je pourrais aussi avoir acquis la capacité d’utiliser la magie, n’est-ce pas ? Techniquement, j’avais été convoqué ici en tant que héros.
Ainsi, juste après avoir reçu le trône qui m’avait été cédé, quelques personnes ressemblant à des prêtres vinrent effectuer une inspection de mes capacités.
Apparemment, il y avait différents types de magie que les gens pourraient utiliser, et ils avaient des appareils qui pourraient le tester. Celui-ci avait l’air un peu comme une ardoise en pierre. Quand une personne touchait l’ardoise, le type de magie ainsi que les capacités de cette personne étaient affichés dans la tête de cette même personne. Même les habitants de ce monde avaient compris les principes derrière la façon dont tout cela fonctionnait, mais il semblerait qu’il y avait un bon nombre de ces objets qui n’avait pas sa place dans ce monde.
Donc, quand je fis le test, voilà le pouvoir que j’avais gagné :
[Le pouvoir de transférer sa conscience dans un objet et de manipuler ledit objet.]C’était une capacité qui me permettait de transférer ma conscience dans un objet que je touchais et ainsi je pouvais, en même temps, manipuler jusqu’à trois objets animés.
Ceci ressemblait plus à un pouvoir psychique qu’à de la magie, surtout vu la légèreté de l’objet que je pouvais contrôler librement. Je pouvais aussi obtenir une vue aérienne de ce que je contrôlais. Qui plus est, en plus de ma propre conscience, je pouvais créer ces mouvements d’objet en utilisant une sorte de conscience indépendante. En utilisant un objet en tant que focalisateur, je pouvais ainsi penser à plusieurs choses en même temps.
Bien qu’il y ait une limitation à la portée de ce que je pouvais bouger, j’étais en mesure de faire déplacer les choses autour de moi comme s’ils avaient leur propre volonté. Comme si j’activais un effet poltergeist.
Alors, voilà pourquoi j’avais appelé ma capacité Poltergeist Vivant. On dira que j’avais eu quelques cas de ce syndrome au collège, peut-être ?
Après avoir obtenu mon Poltergeist Vivant, une chose m’était immédiatement venue à l’esprit :
« Cela va être vraiment génial pour faire de la paperasse ! » (Kazuya)
... Oui ! Copiant ma conscience dans trois stylos, je pouvais examiner plusieurs documents en même temps grâce à mes consciences parallèles et en manipulant ces trois stylos, je pouvais même écrire dessus.
Franchement, depuis que j’ai appris que j’avais cette capacité, je suis devenu tellement plus performant dans mon travail. En fait, sans cette capacité, la montagne géante de paperasse que j’avais accumulée dans la confusion aurait probablement, dès maintenant, enterré mon règne sous une avalanche.
... Oui. Je sais ce que vous devez vous dire. Après que je reçus cette capacité, la plupart du temps, elle s’était révélé être excellente pour l’exécution plus en douceur du travail de bureau !
Alors que je commençais à bien utiliser ce pouvoir, ceci me faisait souvent penser à ce qu’était réellement la puissance d’un héros.
Comment est-ce que la situation a pu devenir ainsi ?
C’était une des fréquentes pensées qui me traversait l’esprit.
Par là, je voulais dire que, même si je n’avais pas obtenu une puissante capacité qui me permettrait d’oblitérer des hordes d’ennemis en une seconde, j’aurais bien aimé avoir un peu de magie défensive qui permettrait de me défendre.
... Eh bien, pour le moment, même si je souhaitais ce genre de chose, je ne pouvais qu’aller de l’avant à la place de chercher partout un pouvoir qui n’existait pas. Surtout que finalement, mon pouvoir s’avéra bien plus utile dans ma situation.
Aujourd’hui, comme d’habitude, j’affrontais encore la montagne de paperasse grâce à mes Poltergeists Vivant. Alors que je faisais cela, quelqu’un entra dans la chambre avec un bruit tel le tonnerre qui me donnait l’impression qu’il essayait de défoncer une aussi belle porte une bonne fois pour toutes. Quand je jetai un œil à travers un trou dans la montagne de papier, je vis que c’était une jeune femme portant un uniforme militaire.
Avec ses traits réguliers, sa peau si pâle qu’elle semblait être translucide et ces cheveux soyeux d’un blond-platine, elle était si belle qu’à tout autre moment de ma vie, j’aurais été captivé par sa beauté. Cependant, après avoir effectué trois nuits blanches consécutives, je ne voyais pas une belle fille devant moi, mais juste une nouvelle source de main-d’œuvre.
Après lui avoir ordonné de m’aider, la forçant à s’asseoir à côté de moi, je poussais vers elle deux piles de papier dans sa direction.
« S’il vous plaît, comparez ces deux ensembles de documents et cherchez des endroits où les valeurs ou le nombre d’articles ne sont pas identiques à ce qui est indiqué dans l’autre et faites une marque indiquant que vous avez trouvé une incohérence. » (Kazuya)
« Hein !? Quoi !? Quelle sorte de travail est-ce ? » (Liscia)
« Demandez-vous ce que c’est ? Je creuse pour déterrer un trésor. Voilà ce que c’est. » Répondis-je à une jeune fille perplexe dans son uniforme militaire. Avant de préciser.
« Je cherche pour être plus précis, des sommes non comptabilisées dans les dépenses. Une des piles de documents contient les requêtes pour des budgets, alors que l’autre contient des rapports sur les revenus et sur les dépenses. Donc même si le montant demandé et le montant dépensé sont identiques, si le nombre d’objets lié à cette demande est différent, alors ceci est une indication qu’il y ait de fortes probabilités que cela soit des investissements inutiles faits pour utiliser la totalité du budget, ou encore pire, un détournement de fonds déguisé en tant qu’investissement. Dans les deux cas, nous irons vérifier tout cela pour savoir si des lois ont été transgressées et dans ce cas, nous ferons payer les parties responsables afin de compenser la perte causée par leur acte. De plus, si nous découvrons un acte grave comme un détournement de fonds fait pour son profit personnel, alors dans ce cas, nous organisons une demande de remboursement de l’intégralité de la somme, avec en plus, une majoration dût au crime, et dans le cas où ils ne pourraient pas payer, nous l’arrêtons et nous saisissons tous leurs biens. » (Kazuya)
« J-J’ai compris. » (Liscia)
Peut-être qu’elle avait été intimidée par l’air menaçant de l’homme qui n’avait pas dormi depuis plusieurs jours, car la jeune femme ne cessa pas de hocher la tête pendant toute la durée de l’explication.
Bien.
Notes
- 1 La Rose de Versailles (ベルサイユのばら, Berusaiyu no bara?) de Riyoko Ikeda est un manga de type shōjo paru pour la première fois au Japon en 1972.
- 2 « King-size » : Une des plus grandes tailles de lit disponible. Sa taille varie en fonction du pays.