Ecstas Online – Tome 1 – Prologue – Partie 2

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Prologue

Partie 2

Celle au téléphone était Aikawa Shuuko. Une esclave de l’entreprise, non, une employée de l’entreprise de jeux vidéo dans laquelle je travaillais à temps partiel, le « HELLZ DOMAIN ». Et ce qu’elle voulait dire par Seigneur-Démon Hellshaft, c’était un personnage qui apparaît dans le jeu en cours de développement qui recevait actuellement de grands éloges, « Exodia Exodus ».

« Aikawa-san, je suis tellement désolé ! Les données sont déjà terminées, donc je vous les envoie tout de suite ! » déclarai-je.

« Franchement, c’est incroyable de ne pas mettre le client en premier et ne pas livrer la marchandise ! N’ayant pas ces données, j’ai perdu ce matin cinq bonnes minutes de mon temps de travail si précieux, n’est-ce pas horrible !? Je prendrai le coût de ces minutes de votre salaire à temps partiel ! » déclara-t-elle.

« Attendez un peu, s’il vous plaît ! De mon côté, ce sont des données sur lesquelles j’ai travaillé toute la nuit. Les données vocales ainsi que les données pour chaque mouvement du Seigneur-Démon Hellshaft regroupent plus de 150 sections. Vous rendez-vous bien compte de la masse de données ? En recevant cette commande qu’hier soir tard, j’ai due passé un moment terrible jusqu’à ce matin pour pouvoir les finir il y a quelques instants ! Vous rendez-vous compte de ça ? » déclarai-je.

« Haaa ? Avec un statut social où vous recevez de l’argent, de quoi vous plaignez-vous ? Pour un solitaire souffrant du syndrome “chuunibyou” [1] aggravé comme vous, il n’y a aucune chance pour vous de contribuer à la société, sauf pour des emplois comme celui-ci, » répliqua-t-elle froidement.

Je ne peux pas être totalement d’accord avec elle. Je vais plus ou moins au lycée et je ne nierai pas que je suis un solitaire et que j’ai un état d’esprit proche du chuunibyou, pensai-je.

« Euh... Aikawa-san ? Même si vous parlez d’argent, la commande d’hier n’était qu’une correction, n’est-ce pas ? Puisqu’il s’agissait d’un contrat où j’ai reçu le paiement complet que pour le travail à la pièce, quelque chose comme les corrections pour mise à jour est identique au fait de travailler gratuitement ! » déclarai-je.

« C’est parce que le précédent travail était de mauvaise qualité qu’il a fallu le corriger ! Le nombre de contrôles qui doivent être effectués avec succès a augmenté, donc c’est une nuisance aussi pour nous ici ! » déclara-t-elle.

Non, peu importe ce que vous en pensez, la commande d’hier n’était pas une correction, mais un changement dans les spécifications. Le contenu de la commande avait clairement changé. Je suis sûr que le directeur a changé d’orientation en fonction de ses envies. J’avais abandonné et j’avais poussé un grand soupir forcé.

« Haa... Dans un instant, je vous enverrai les données. Vous les aurez dans cinq minutes, » déclarai-je.

« Dans les trois minutes ! » avec cette voix en colère, elle déclara ça puis elle raccrocha le téléphone.

Aikawa-san était encore jeune, étant au début de la moitié de la vingtaine. Pour être franc, elle était belle et vraiment mignonne. Elle avait les cheveux longs de couleur brun clair. Son apparence lorsqu’elle portait un costume élégant et soigné donnait certainement le sentiment qu’elle était une femme de carrière capable. Quand je l’avais rencontrée pour la première fois, avec son visage et sa silhouette, j’avais pensé qu’elle devait être très troublée d’être courtisée par tous les hommes de l’entreprise. Mais ce n’était pas une humaine. Elle était une démone (Oni) sous forme humaine. Les corrections des travaux et les changements de spécification qui m’avaient fait perdre connaissance étaient des instructions que j’avais reçues de cette personne.

Mais quand même, Aikawa-san était obligée d’aller travailler si tôt le matin. Elle avait peut-être ses propres problèmes dans l’entreprise... mais vous savez, il n’y avait pas de loi qui disait que c’était une très bonne chose de décharger toute son amertume sur mon dos.

Après avoir saisi la souris sur mon PC, j’avais envoyé les données qui m’avaient pris toute la nuit à faire sur leur serveur FTP. Quand j’avais finalement regardé l’horloge sur le bureau, il était déjà temps pour moi d’aller à l’école.

Sans un instant de retard, j’avais saisi mon sac d’école et j’avais quitté ma chambre. Quand j’avais crié « Je m’en vais ! » dans le salon, la réponse peu enthousiaste de ma mère m’avait été retournée. Il semblerait que mon père était déjà parti travailler. Quel que soit le monde, les employés de bureau avaient la vie dure. De mon côté, je voulais vivre aussi confortablement que possible. En poussant les choses inutiles sur d’autres personnes, en agissant avec habileté et en obtenant les meilleurs résultats avec la plus petite quantité d’efforts, je pourrais vivre confortablement.

Si je considère le temps d’étude comme faisant partie de tout ça, ainsi que l’emploi à temps partiel, alors je pourrais même endurer une fréquentation quotidienne qui n’aurait servi à rien d’autre qu’à obtenir la preuve que j’avais terminé le lycée.

Après être sorti de l’appartement qu’occupait ma famille, et même après avoir pris l’air frais du matin, je ne pouvais pas m’arrêter de bâiller. Tout en pressant sur mes yeux emplis de sommeil, j’avais marché jusqu’à la gare la plus proche.

Je n’aurais jamais dû faire quelque chose comme une mise à jour des données du modèle d’Asagiri dans la Réalité Virtuelle après être sous l’effet de ma bonne humeur d’avoir terminé le travail après une nuit blanche. J’avais pensé après coup qu’il aurait été préférable d’avoir une heure de sommeil, et maintenant, je le regrettais amèrement. C’était une simple erreur de jeunesse que j’avais faite cette nuit.

Pourtant, mon Asagiri personnelle était assez bien réalisée. Elle n’était pas inférieure à la personne réelle. Et après tout, j’avais fait tout cela parce que je ne pouvais pas faire ce genre de choses avec la vraie personne. Et je pensais même que sur bien des côtés, mon Asagiri pourrait être meilleure que la véritable fille.

Bien sûr, si je pouvais parler en étant en bons termes avec la vraie et traîner comme je le voulais avec elle, je n’aurais pas besoin d’un personnage d’Asagiri dans cette Réalité Virtuelle. Mais pour que l’idole de l’école soit avec moi qui étais tout en bas de l’échelle scolaire..., ce genre de chose n’arriverait jamais. C’était quelque chose qui serait vraiment digne pour être incorporé dans de la science-fiction pure et simple.

Mais, ce n’était pas inutile pour moi d’avoir mis en place les données d’Asagiri. Le fait de réaliser des travaux graphiques de conception de modèle 3D dans le futur n’avait pas l’air d’être une mauvaise idée.

... Cela dit, le corps des données d’Asagiri avait été choisi parmi plusieurs modèles de base d’Exodia Exodus, et je l’avais utilisé comme base. La seule chose qui avait été remplacée avait été le visage. Mais même cette partie avait été faite par moi en utilisant une image de son visage et en la changeant raisonnablement avec un logiciel approprié.

Mais il n’y avait aucune raison de se sentir coupable d’avoir fait ça. C’était une technique traditionnelle transmise depuis l’antiquité appelée « Photoshop ». On pourrait même dire qu’il s’agissait d’un art traditionnel en vue du nombre de personnes qui l’avait utilisé pour un oui ou un non. J’avais simplement hérité de cette tradition et j’avais juste besoin de la transmettre à la prochaine génération.

Et si l’on y pense, je n’avais jamais vu le corps dénudé d’Asagiri et il n’y avait aucun moyen pour moi d’obtenir ses mesures. Donc il était clairement impossible de tout faire à partir de zéro en ayant un résultat potable.

Alors que je pensais à ce genre de choses, j’étais monté dans le train puis j’étais arrivé à mon alma mater [2], le lycée public de Minamimyoujin. Alors que j’étais arrivé dans la classe de deuxième année 2-A, j’avais eu l’illusion d’avoir erré dans une partie de la Réalité Virtuelle.

« Ah, bon matin. Doumeguri-kun. »

Quant à savoir pourquoi je ressentais ça, c’était parce qu’Asagiri était là. De façon inattendue, j’avais immédiatement rencontré Asagiri qui était déjà là, après que j’eus ouvert la porte. Contrairement à moi, qui m’étais figé, Asagiri avait immédiatement souri et m’avait envoyé un salut.

« Oh-oh... »

La vraie Asagiri..., c’était certainement la vraie qui se trouvait devant moi. Elle était différente de celle que j’avais réalisée et modifiée avec Photoshop puis rendue irréel. Son existence réelle semblait lumineuse. De plus, elle avait même salué quelqu’un comme moi. Étant au sommet d’échelle scolaire, elle était l’Asagiri-san qui vivait dans le monde céleste alors que j’étais dans les profondeurs.

Asagiri était une demoiselle d’une bonne famille. Cependant, elle était amicale, et elle n’agissait pas de manière hautaine. De plus, si personne ne me l’avait dit, on n’aurait même pas pu dire qu’elle était une fille d’une famille riche. Cependant, avec son apparence et son comportement, on pouvait ressentir qu’il y avait une sorte de différence de statut. Il serait probablement normal qu’elle aille dans une école privée pour filles, mais pour une raison inconnue, elle allait dans une école publique mixte.

Ha, oh non. Je viens d’effectuer une réponse vague ! Un bonjour, j’ai besoin de faire un salut correct. Par chance, je pourrais avoir une conversation avec Asagiri ! pensai-je.

« E-Euh... Hmm..., » essayais-je.

« Ah, Akira-kun. Bon matin..., » en regardant derrière moi, Asagiri avait fait un salut.

« Salut, Ririko. »

Après m’être retourné, j’avais vu qu’il y avait le joli visage d’un garçon dans un endroit ou je devais légèrement lever la tête pour le voir.

C’était un homme chez qui je pouvais sentir la différence de statut entre nous. Ichinomiya Akira avait fait son apparition dans la classe.

Je n’en suis pas sûr, mais il semblerait que la famille de ce type soit aussi riche. Avec des cheveux bruns clairs, il avait un joli visage de garçon qui lui donnait l’air d’être une célébrité. Il était grand, mesurant près de 180 cm. Depuis qu’il était dans le club de basket-ball, j’entendais souvent de sa part qu’il regrettait d’être petit, mais j’étais près de 10 cm plus petits que lui.

Ce n’était pas comme s’il était nul en ce qui concerne le sport. Je devrais plutôt dire qu’il était même bon aux jeux. En plus, il semblerait qu’il avait participé à un tournoi mondial d’eSports de F1 Racing.

Cet Ichinomiya souriait en ce moment avec un air un peu troublé.

« Ah... désolé. »

Je vois. Comme je m’étais arrêté à l’entrée, il ne pouvait pas entrer dans la salle de classe. Étant au bas de la hiérarchie de classe, j’étais vraiment désolé d’entraver le chemin du roi.

Après que j’eus quitté cet endroit comme si je m’enfuyais, j’avais entendu les voix d’Asagiri et d’Ichinomiya qui s’amusaient derrière moi. Alors que je décidais d’ignorer ces voix, je m’étais dirigé vers mon siège.

En chemin, mes yeux s’étaient arrêtés sur la fille qui était assise à côté de moi.

Cette fille avait un livre ouvert posé sur son bureau, et son regard était fixé sur les pages de cet ouvrage. Ses longs cheveux noirs étaient magnifiques, et elle avait un visage bien taillé qui semblait avoir été fabriqué artificiellement. Si Asagiri était le soleil, alors cette fille était la lune.

Shizukuishi Non.

Il y avait un autre humain que moi en deuxième année de classe A qui ne s’était pas fait d’amis et ne s’était pas rapproché des autres. Mais même si nous faisions la même chose, je ne pouvais pas accepter que, bien que je sois vu comme un solitaire à ignorer, Shizukuishi fût considérée comme une existence mystérieuse et distante.

Sentant mon regard, Shizukuishi avait levé la tête.

Au moment où elle l’avait fait, il y avait un pli gravé sur le front de Shizukuishi, et elle m’avait regardé avec une expression qui ressemblait à de la colère.

J’avais alors versé une sueur froide dans mon esprit, mais en faisant semblant de ne pas l’avoir remarqué, j’étais passé devant Shizukuishi puis je m’étais assis à mon propre siège.

Shizukuishi avait toujours un pli sur son joli visage et faisait une expression sévère alors qu’elle fit retourner son regard sur son livre.

Pourrait-elle toujours penser à des problèmes compliqués ? Des choses comme les vérités de ce monde, comme les systèmes du monde caché, ou encore des romans dont les suites n’étaient pas encore sorties.

 

 

À ce moment, un homme bruyant s’était précipité dans la salle de classe.

« Oh Oh Oh, tout le monde... ! Qu’est-ce que... vous faites en agissant avec tant de désinvolture !? Ce n’est pas le moment pour ce genre de choses, vous savez... ? »

« C’est quoi ce bordel, Ougiya ? Qu’est-ce qui ne va pas ? »

Le roi Ichinomiya avait dit cela pour calmer celui qui criait, Ougiya Takuya.

« Évidemment, il s’agit de la visite éducative. L’as-tu oublié, Akira-kun ? » demanda Ougiya.

Ichinomiya, comme pour dire « Bon sang ! », avait fait un sourire ironique.

« Je ne l’ai pas oublié. N’est-ce pas dans la salle audiovisuelle ? Devons-nous déjà quitter la salle de classe ? » lui demanda Ichinomiya.

« Tout à fait ! Sensei est venu nous appeler, » répondit Takuya.

Dans ce cas, tu aurais pu le dire plus tôt, j’étais sûr que tout le monde dans la classe le pensait.

Alors que nous nous étions séparées en petits groupes, tous les étudiants de la classe avaient quitté la salle de classe en masse. La mise à l’essai d’un système d’enseignement en utilisant une Réalité Virtuelle de nouvelle génération, qui avait été annoncée il y a plus d’un mois, allait commencer aujourd’hui. Il s’agirait d’abord d’une visite éducative, où nous ferions le tour du monde en une heure pour observer les cultures du monde entier.

En parlant du système RV de la prochaine génération, il semblerait que le jeu que j’avais réalisé dans mon emploi à temps partiel, « Exodia Exodus », utilisait aussi le système RV de la prochaine génération. Pour la fabrication des données par un larbin comme moi, on ne nous donnait que l’équipement normal, mais la version commerciale semblait être quelque chose de vraiment incroyable. Selon Aikawa-san, on ne pouvait pas du tout faire la différence entre la réalité et le monde virtuel avec ceux-là.

Tout en pensant à ce genre de choses, j’avais suivi en regardant les dos d’Asagiri et d’Ichinomiya qui marchaient côte à côte.

« Hé, Akira-kun, dans quel pays comptes-tu aller ? » lui demanda Asagiri.

« Hmm ? Je pense que j’aimerais voir le Colisée de Rome. Et toi, Ririko ? » lui demanda Ichinomiya.

« Je pensais que le Mont-Saint-Michel en France serait bien, mais je me demande ce que je devrais faire..., » répondit Asagiri.

« Alors, veux-tu qu’on se balade ensemble ? » lui demanda Ichinomiya.

Asagiri hocha la tête avec un visage ravi. Ce visage souriant me faisait mal à la poitrine. Quand j’avais détourné mon regard, la personne nommée Ougiya qui était survoltée sans raison apparente était entrée dans mon champ de vision.

« Homme... Je suis super... excité... N’est-ce pas comme un voyage à l’étranger ? » demanda Ougiya à une personne à côté de lui.

« Ouais. J’ai hâte d’y être. Mais comme c’est la première fois que ce système de RV est utilisé, c’est une sorte de test grandeur nature, » un étudiant du nom d’Arisugawa avait répondu Ougiya. Ce type avait étrangement des traits féminins. Il semblerait qu’on l’ait pris pour une fille en ville et qu’il avait été dragué après ça.

« Puisqu’il s’agit du premier test, c’est vraiment une première fois. »

À côté d’Arisugawa, il y avait un type beaucoup trop normal, Yamada Yoshimune. Il était surnommé « Shogun classique ». Il allait toujours à fond dans les sujets dont il parlait, mais sa taille et son poids étaient normaux. Même ses notes étaient toujours à la moyenne. C’était un pro de la banalité.

Même ce type ordinaire marchait tout en parlant joyeusement avec nos camarades de classe. J’étais le seul à marcher isolé et en silence. Même Shizukuishi marchait avec d’autres étudiants. Mais encore une fois, quand on lui parlait, et elle traitait la discussion comme si elle trouvait ça ennuyeux.

Cependant, personne ne m’avait parlé. Mais en ce qui concerne ce fait, je ne me sentais pas seul, et je n’avais pas de sentiment d’infériorité. Au contraire, je me sentais même bien quant à tout cela.

Et ce n’était pas comme si je disais ça avec un sens négatif. Je détestais communiquer avec les autres. On pourrait même dire que je l’évitais de toutes mes forces.

Ce qu’on appelle la communication était extraordinairement coûteux de mon point de vue. Que cela soit financièrement, mentalement et physiquement. Quand je communiquais avec quelqu’un, ce n’était pas pour mon propre bien, mais pour le bien de l’autre personne. Le temps était selon moi précieux. Par exemple, le temps pourrait être remplacé par de l’argent. Et avec ce temps, il était possible de travailler à temps partiel, d’étudier dans le but de s’investir dans l’avenir, et même d’accroître ses connaissances, alors c’était bien de l’utiliser pour ça. Le fait que ces occasions seraient perdues en communiquant signifiait qu’il s’agissait d’une perte extraordinairement importante en termes de coûts par rapport aux bénéfices.

Quand on parlait de la chose que j’avais obtenue en oubliant ce coût, ce serait seulement l’autosatisfaction que je ne sois pas un humain solitaire ni un humain ennuyeux.

C’est pourquoi je n’avais pas pris de dispositions particulières pour une place d’arrivée après m’être connecté comme avaient fait toutes les autres personnes. Au contraire, j’avais prévu de rendre le lieu d’arrivée aléatoire. Je ne saurais pas non plus où j’irais. J’attendais avec impatience de découvrir l’endroit où je me rendrais.

Et ainsi, même les solitaires avaient des moyens de s’amuser.

Et puis, j’étais arrivé à destination et j’avais franchi la porte de la salle audiovisuelle.

Il s’agissait là de la porte d’un nouveau monde, où une autre vie allait désormais commencer.

Notes

  • 1 : Chuunibyou : Trouble mental où l’adolescent pense posséder des super-pouvoirs tout en vivant dans un monde fantastique où ils ont un rôle important à jouer.

  • 2 : Alma mater : Alma mater est une expression d’origine latine, traduisible par « mère nourricière ». En Belgique, en Suisse et au Canada, il désigne l’université où une personne a fait ses études. Pour les pays anglophones, cela couvre aussi le lycée et collège et non pas uniquement l’université.

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