Chronicle Legion – La Route de la Conquête – Tome 1 – Chapitre 1 – Partie 2

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Chapitre 1 : Légions envahissantes (1)

Partie 2

En ce début octobre, le Lycée Rinzai avait reçu une nouvelle étudiante transférée directement depuis la capitale Tokyo.

Elle était collet monté et adorable, tout en étant extravertie et animée. Elle était vertueuse quant à son comportement tout en étant innocente et pure. Telle était sa beauté incomparable que l’on pourrait appliquer à chaque procédé littéraire fleuri utilisé afin de la décrire... Mais plus simplement, il s’agissait d’une magnifique jeune fille pratiquement aimée par toutes les personnes présentes au sein de l’école.

La nouvelle déesse du campus avait pour nom de famille, Tachibana combiné avec le prénom de Hatsune.

Selon les témoignages, elle était une jeune fille de bonne famille issue du clan Tachibana, une prestigieuse famille de samouraïs assez réputée dans la ville de Suruga, et elle avait servi au palais impérial de Tokyo afin d’apprendre toutes sortes de règles d’étiquettes...

« Tout le monde parle de moi ainsi ! C’est assez troublant. Ces types de commentaires n’ont obtenu que six choses exactes sur sept  ! » déclara Hatsune.

« En d’autres termes, n’approchent-ils pas des quatre-vingt-cinq pour cent de précision ? Je pense que ton image de soi est surestimée, » déclara Masatsugu.

Malgré le fait qu’elle se sentait troublée, Hatsune semblait plutôt heureuse. Quand Masatsugu avait essayé d’avertir Hatsune depuis le côté, Taisei avait également hoché la tête avant de déclarer. « Si une fille correspondant à cette description existait réellement, elle serait devenue depuis longtemps une idole nationale. »

« Pfff ! Onii-sama et Taisei-san, vous êtes bien trop obsédé par les chiffres ! » Après avoir été tournée en dérision par Masatsugu et Taisei, Hatsune ronchonna tristement.

Alors qu’ils se trouvaient pendant leur pause déjeuner, tous trois étaient en train de prendre leur repas à la cafétéria. Le lendemain de sa visite de la maison de Masatsugu, Hatsune avait été transférée au Lycée Rinzai.

En tant que première année, Hatsune était une étudiante junior par rapport à Masatsugu qui était en deuxième année.

Tout en mangeant le plat du jour, un plat d’escalope de jambon, Taisei déclara cela. « Laissez-moi deviner. »

« Tout le monde réagit excessivement sur certains détails comme “une jeune fille bien élevée qui avait fréquenté le palais impérial” et ils ont projeté leurs fantasmes sur vous, ce qui entraîne l’illusion d’avoir devant nous une idole de l’école, » continua Taisei.

« T-Taisei-san, parfois vous parlez vraiment sans aucune délicatesse..., » déclara Hatsune.

« Ne laisse pas cela te déranger, Hatsune, » déclara Masatsugu. « Taisei ne veut rien dire de particulier là-dedans, il aime simplement analyser des choses comme ça. Finalement, tout ce qu’il a fait était de partager ses déductions. »

Après avoir offert des mots réconciliateurs qui n’avaient pas totalement réparé la situation, Masatsugu avait pris une boule de riz et en avait pris une bouchée.

Il avait acheté des boules de riz fourrées à la prune marinée dans un magasin de casse-croûte. Il s’agissait de l’intégralité de son déjeuner. Pour le dire franchement, il n’était nullement un petit mangeur, mais il avait une étrange habitude qui lui était venu naturellement qui faisait qu’il se sentait mal à l’aise à moins qu’il ne mange d’humbles repas qui ne le rendaient qu’au deux tiers pleins.

« Quand tu as mentionné des qualités telles que “collet monté”, “adorable” ou encore “extravertie et animée”, je croyais que cela correspondait à tes quatre-vingt-cinq pour cent de précision, » déclara Masatsugu.

« Vraiment !? Je suis si contente, Onii-sama ! » s’exclama Hatsune, tout enjouée.

« Mais en ce qui concerne le comportement vertueux ou le fait d’être l’idole de l’école, je dirais qu’on oublie ça..., » déclara Masatsugu.

« Haa ! T-Tu aurais dû garder ce commentaire pour toi, Onii-sama ! » s’exclama Hatsune.

Alternant entre la joie et le désespoir, Hatsune prenait un repas composé de thon cru posé sur un lit de riz à sushi, avec comme accompagnement une salade d’algues, du mini udon, ainsi qu’un bol rempli d’un ragoût de viande et de pommes de terre.

Il s’agissait là d’un très gros repas pour une fille. Naturellement, Hatsune n’avait nullement mangé sa nourriture comme l’aurait fait un garçon sans raffinement.

Elle savourait avec soin chaque plat qu’elle avait devant elle tout en affichant un sourire empli de joie.

Il était évident au premier coup d’œil qu’elle appréciait sincèrement son repas.

« Cependant, votre famille a un statut social extraordinaire puisque vous avez pu accéder au palais impérial, » déclara Taisei.

« C’est la première fois que j’entends parler de ça. Auparavant, je savais seulement que nos ancêtres étaient des samouraïs au service direct du shogunat, » répondit Masatsugu.

« Notre clan ne détient qu’un statut social vide sans aucune richesse, » déclara Hatsune. « Heureusement, nous sommes appréciés pour nos compétences et notre valeur, ce qui nous a permis d’avoir des relations avec la classe supérieure. »

Plus récemment, il n’y avait plus vraiment eu de célèbre exemple de samouraï au service de la haute société après Yamaoka Tetsushuu. Un maître-épéiste renommé et un calligraphe, il avait servi à l’époque du Bakumatsu [1] en tant que vassal du shogunat puis comme serviteur de la famille impériale après la Restauration Meiji. Le clan Tachibana devait également avoir eu des individus avec des exploits similaires.

« Mon père m’a conseillé d’être une bonne apprentie dame d’honneur, d’apprendre l’étiquette et de bien m’entendre avec la haute société, puis de prendre un emploi à temps partiel après l’école, » déclara Hatsune.

En fait, au cours des repas, la manière de manipuler les baguettes d’Hatsune était vraiment très coquette.

Sa posture était très droite alors qu’elle était assise sur une chaise de la cafétéria. Même si elle était une fille très amicale et abordable, son comportement et son élégance laissaient présager une excellente éducation.

« Alors comme prévu, Hatsune-san, cette rumeur est-elle liée à la façon dont vous avez reçu un traitement spécial ? » demanda Taisei

« Traitement spécial ? Que veux-tu dire par là ? » demanda Masatsugu par curiosité, incitant Taisei a donné immédiatement une explication.

« Euh, je parle essentiellement de l’uniforme de Hatsune-san, » répondit Taisei.

« Est-il interdit ? Ce style d’uniforme féminin plus ancien est approuvé dans toutes les écoles de Tokyo. Il n’y a rien dans les règles de l’école qui l’interdisent vraiment, » demanda Hatsune.

Comme la première fois, Hatsune était vêtue dans un style rétro comme dans le manga Haikara-san [2].

Cette combinaison d’un kimono Meisen [3] avec un hakama était l’apparence classique d’une étudiante avant la Deuxième Guerre Mondiale.

« Récemment, il y a une vague de mode rétro là-bas et j’ai vraiment adoré ce style après l’avoir essayé, » déclara-t-elle.

« Malheureusement, cela compte comme un uniforme modifié qui n’est pas officiellement reconnu, » déclara Taisei. « Cependant, Hatsune-san, l’école a donné son consentement tacite puisque les membres du personnel ne vous ont pas réprimandée. »

Cinq jours s’étaient écoulés depuis le transfert de Hatsune, et donc l’excuse de ne pas en avoir été informé à propos de cet uniforme n’était plus justifiable.

Taisei avait alors continué à parler. « Durant cette période peu opportune d’octobre, la raison de votre déménagement ici depuis la Capitale ne serait-elle pas liée à “une certaine VIP” venant bientôt à Suruga ? »

Hatsune se mit alors à frissonner. Il semblerait que l’intuition de Taisei soit correcte, alors Masatsugu demanda cela à son ami. « De qui parles-tu ? »

« Selon les rumeurs, une princesse de la famille impériale — Shiori-sama, une fille de haute lignée de la Maison Fujinomiya — a récemment quitté la capitale pour venir à Suruga, la ville natale de son défunt père, » expliqua Taisei.

« Une princesse de la Maison Fujinomiya... ? » demanda Masatsugu, inclinant la tête en raison de l’étonnement qu’il avait face à ce nom inconnu. « C’est vrai qu’à part l’actuelle Impératrice — Sa Majesté Teruhime — je n’ai jamais entendu le nom de quelqu’un d’autre dans la famille impériale. »

« Les membres de la royauté dans certains pays participent à des événements publics ou diplomatiques, mais il semble que ce soit différent au Japon, » déclara Taisei.

En raison de certaines circonstances, Masatsugu avait quelques légers manques en ce qui concerne les connaissances communes. Bien conscient de tout cela, Taisei avait donc patiemment expliqué en détail la situation.

« Son nom et les informations la concernant n’ont été publiés que dans une certaine mesure, mais il n’y a pas de photos disponibles, » expliqua Taisei. « Les médias ont également l’interdiction de faire des reportages sur elle de la même manière qu’ils le font avec les célébrités, de sorte que la politique de confidentialité est maintenue très minutieusement. »

Avant la Seconde Guerre Mondiale, alors que le Japon était encore le « Grand Empire du Japon », même les familles ordinaires arboraient des portraits de la haute société, mais maintenant, la situation était complètement inversée. Après leur défaite lors de cette guerre, le Japon avait subi de monumentaux changements.

Le Japon original s’était alors transformé en un Japon Impérial, un pays qui adorait la Bête Sacrée, le Seigneur Tenryuu comme leur divinité protectrice.

De nos jours, il s’agissait de l’impératrice — la prêtresse dont le destin était étroitement lié au Seigneur Tenryuu — qui gouvernait la nation du Japon.

« Jusqu’à récemment, Shiori-sama étudiait à l’étranger à Rome, c’est probablement l’une des raisons, » continua Taisei. « En outre, ces soi-disant études à l’étranger sont en fait plus proche du fait d’être prise en otage. »

« Autrement dit, un outil utilisé pour les relations diplomatiques, » déclara Masatsugu.

« Peut-être qu’après avoir été fatiguée d’une telle vie imprégnée de politique, elle espère passer sa vie dans un endroit plus paisible... C’est ce que j’entends parfois, » déclara Taisei.

Le père de Taisei travaillait dans une agence de presse, donc en tant que son fils, Taisei travaillait à temps partiel chaque fois qu’il y avait une accalmie dans son travail dans le conseil étudiant. Il avait ainsi souvent récupéré des informations privilégiées à la maison ou au travail.

D’un autre côté, Hatsune toussa légèrement avant de dire.

« Hmm, en tout cas, la raison pour laquelle je suis revenue ici est top secret, » déclara Hatsune. « Onii-sama, pourrais-tu ne pas commencer à rependre d’étranges rumeurs, d’accord ? S’il te plaît. »

L’idole de l’école (provisoire) avait apparemment simplement averti Masatsugu avec une expression froide sans prendre la peine de nier quoi que ce soit.

***

Quelques jours plus tard, les rumeurs au sujet de Shiori Fujinomiya, la mystérieuse princesse, étaient devenues l’actuel principal sujet de discussion dans la ville. Tout comme Taisei, d’innombrables personnes discutaient sur différentes informations la concernant.

La princesse qui était revenue de la Rome Orientale était sur le point de revenir dans sa ville natale ancestrale qui se trouvait être la ville de Suruga...

Masatsugu avait également entendu beaucoup d’informations la concernant grâce aux filles de sa classe qui discutaient de l’histoire du « Retour de la Princesse ».

Cependant, personne n’avait la moindre information détaillée concernant le passé de Shiori.

Il y avait vraiment une pénurie d’informations publiées... Actuellement, les faits connus étaient qu’elle était une jeune princesse, qu’elle avait actuellement seize ans, et que sa mère était la plus jeune sœur de la deuxième impératrice.

« Hatsune, à quoi ressemble la princesse en tant que personne ? » demanda Masatsugu.

Après l’école, Masatsugu avait demandé ça à sa parente qui était avec lui sur le chemin du retour.

Masatsugu vivait dans un dortoir pour garçons se trouvant à pied à vingt minutes de l’école. Hatsune vivait également dans la même zone, mais quant à elle, il s’agissait d’un dortoir pour filles.

Son père, Genzou Tachibana, était toujours à Tokyo.

Son lieu de travail était la villa impériale de la Maison Fujinomiya — En d’autres termes, Hatsune était seule pour la tâche qui lui avait été attribuée.

« La princesse est très jolie et également intelligente... Attends ! Pourquoi demandes-tu cela, Onii-sama ? » demanda-t-elle. « Ce n’est pas comme si j’avais une possibilité d’être particulièrement proche des VIP comme elle. »

Après avoir remarqué que sa cousine lointaine avait fait un lapsus, Masatsugu la pressa de questions. « Taisei a spéculé que tu es revenue ici pour servir comme demoiselle d’honneur de la princesse afin que tu t’occupes de sa vie quotidienne, n’est-ce pas le cas ? »

« Là là là ! Je ne t’entends pas. Onii-sama ! Parlons plutôt d’autre chose ! » déclara Hatsune.

Comme prévu, la naïve Hatsune n’était pas très bonne quand il fallait cacher des choses. Elle avait changé de force le sujet.

« Le vieux magasin de bonbons est-il toujours là, je parle de celui que nous avions l’habitude de visiter tous les deux ? » demanda-t-elle, très gênée. « Veux-tu aller le voir maintenant avec moi ? »

« Un magasin de bonbons, hein..., » déclara Masatsugu.

« A-t-il fait faillite ? Ou ne peux-tu pas t’en souvenir ? » demanda Hatsune.

« En vérité, je n’ai aucun souvenir de tout ça, » déclara Masatsugu.

« Bon sang, Onii-sama. Donc tu as oublié beaucoup plus de choses que juste ce qui me concernait, » déclara Hatsune.

« Tu as raison. Permets-moi d’être honnête avec toi. Il y a deux ans, j’ai totalement perdu la mémoire, donc je ne me souviens de rien de ce qui s’est passé avec ce jour d’il y a deux ans, » avoua Masatsugu.

« Hein !? » s’exclama Hatsune, surprise face à cette révélation. La confession soudaine de Masatsugu fit sursauter Hatsune.

Il avait alors continué, imperturbable. « Les médecins ont dit que j’étais tombé dans les escaliers et que j’avais eu une importante commotion cérébrale ce qui a entraîné une amnésie totale. »

« Al-Alors, même à propos de tes parents..., » demanda Hatsune.

« Je les ai également oubliés, » répondit Masatsugu. « Heureusement, je sais quand même à quoi ils ressemblent grâce aux photos se trouvant dans la salle de l’autel bouddhiste. »

Après la perte de sa mémoire, des proches de Masatsugu se trouvant dans la région s’étaient occupés de lui.

Initialement, l’ignorant Masatsugu avait alors passé ses jours dans un état second. Ces proches lui avaient alors dit cela. « Masatsugu Tachibana est ce genre de personne » et ils lui avaient enseigné les compétences de base nécessaire à sa vie.

Et grâce aux soins attentionnés prodigués par ces proches, maintenant il était maintenant capable de gérer sa vie de lycéen.

L’amnésie ne le troublait pas particulièrement, mais il devrait au moins se souvenir de quelque chose au sujet de ses propres parents... Dès lors, cette pensée avait occupé plusieurs fois l’esprit de Masatsugu.

Hatsune fut stupéfaite pendant un moment, puis elle hocha lentement la tête avant de dire. « Je vois... Voilà pourquoi mon père me l’a dit de cette façon. »

« Qu’est-ce que ton père t’a dit ? » demanda Masatsugu.

« Il y a quelques jours, il m’a téléphoné et m’a dit qu’il viendrait bientôt à Suruga afin de pouvoir m’expliquer quelque chose d’important à propos de toi, Masatsugu-oniisama, » déclara-t-elle.

Le père de Hatsune travaillait en tant que majordome dans la Maison des Fujinomiya.

Quant à Masatsugu, il ne l’avait jamais rencontré. Pour être plus précis, Masatsugu ne l’avait pas rencontré depuis deux ans.

Peut-être que le père de Hatsune avait entendu parler de lui par l’intermédiaire d’autres membres de sa famille... Alors que Masatsugu était tombé dans une profonde réflexion...

Soudainement, Hatsune murmura. « P-Princesse !? Pourquoi êtes-vous ici à l’école ? »

Masatsugu avait alors suivi le regard de Hatsune. Ils étaient tous deux près des portes de l’école et une fille venait d’entrer dans l’enceinte de l’école depuis l’extérieur.

La jeune femme qui se trouvait devant lui n’était probablement pas une Japonaise native étant donné ses beaux yeux bleus et ses magnifiques cheveux de couleur platine. Elle était d’une beauté tout à fait frappante. Elle s’approcha d’eux en marchant avec grâce et avec fermeté.

« Hatsune, connais-tu cette fille ? » demanda Masatsugu.

« A-Arrête de parler si grossièrement ! Il s’agit de Shiori-sama, et en d’autres termes, la princesse que je sers. Nous devons l’accueillir avec soin ! » s’exclama Hatsune.

« Quoi !? » s’exclama Masatsugu.

La fille aux cheveux étincelants se mit alors à sourire chaleureusement face à un Masatsugu perplexe et à une Hatsune paniquée.

La noble princesse du Japon Impérial, Shiori Fujinomiya. Cependant, cette fille possédait des cheveux d’un blond platine qui n’appartenaient pas à ceux d’ascendance japonaise.

En outre, Masatsugu avait remarqué quelque chose d’étrange.

Pour une raison inconnue, la princesse était vêtue de l’uniforme féminin du Lycée Rinzai.

Hatsune se précipita vers le côté de la princesse avant que Masatsugu puisse trouver une réponse. La maîtresse et sa dame d’honneur personnelle se livrèrent alors à des murmures.

« Je suis désolée, Onii-sama. Mais quelque chose vient d’apparaître et je dois maintenant partir ! »

Hatsune fit un au revoir énergiquement à Masatsugu.

La beauté d’un blond platine à ses côtés acquiesça élégamment face à Masatsugu avant de partir. Naturellement, Hatsune la suivit.

Elles se dirigeaient toutes les deux vers le bâtiment principal du Lycée Rinzai.

Notes

  • 1 Bakumatsu : La fin du shogunat Tokugawa ou Bakumatsu (幕末) est la période de 1853 à 1868 durant laquelle le Japon mit fin à sa politique isolationniste, le sakoku, et modernisa le système féodal du shogunat pour donner naissance au gouvernement Meiji. Cette période marque ainsi la fin de l’époque d’Edo et précède l’ère Meiji.
  • 2 Fait référence à ce manga nommé Haikara-san ga Tooru.
  • 3 Kimono Meisen : Le tissu utilisé pour le Kimono Meisen a été produit à partir de 1868 et a été le premier kimono bon marché disponible dans les grands magasins au Japon au début du 20e siècle. Au début, il était produit à la main, mais il fut rapidement produit par un processus mécanisé.

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