Bienvenue au Japon, Mademoiselle l’Elfe – Tome 3 – Chapitre 2 – Partie 3

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Chapitre 2 : Début du raid

Partie 3

Le trou béant dans le sol semblait être un abîme sans fin, avec des escaliers le long de ses bords en spirale allant vers le bas. Le vent, comme les souffles anciens qui soufflaient des profondeurs, était resté inchangé par rapport à la dernière fois où nous étions venus.

Ça fait si longtemps. J’avais pris un moment pour réfléchir tranquillement à cette pensée. Pour être honnête, je voulais entrer là-dedans et commencer immédiatement à explorer chaque recoin. Mais à partir de ce moment, je pouvais visiter cet endroit quand je le voulais. Quand je pense que je pourrais rentrer du travail et aller directement explorer le donjon. Comme j’ai été béni… Je me tenais debout en regardant l’abîme, ce qui donnait apparemment l’impression que j’avais des doutes. L’homme qui gérait l’ordre d’entrée m’avait parlé, comme pour m’encourager.

« Vous êtes la dernière équipe qui reste. Je prie pour votre retour sain et sauf. »

« Je vous remercie. J’en profiterai à cœur joie. » J’avais souri, et l’homme avec le turban autour de sa tête m’avait regardé les yeux écarquillés. Eh bien, j’y étais enfin. Le donjon souterrain dont tout le monde rêvait. Aventure, bataille, trésor inestimable et magie ancienne perdus. L’idée de savoir que tout ce qui nous attendait était un mystère total était absolument merveilleuse. Nous nous étions regardés tous les trois, chacun avec le même sourire d’attente sur nos visages. Il me semblait qu’il y avait un soupçon d’avidité dans nos sourires. Mais il n’y avait rien de mal à cela. C’est la cupidité qui avait alimenté des choses comme l’aventure et la création de nouveaux chemins. Nous nous étions tous parlés les uns et les autres, « Prêt ? Allez ! » et nous avions fait le premier pas ensemble.

Nos pas semblaient plus rigides que prévu alors que nous descendions les escaliers sinueux et descendions dans le donjon. À chaque claquement, la lumière et le son autour de nous semblaient disparaître. En levant les yeux, le trou d’entrée était bien au-dessus de nous. Je pouvais voir le sable couler comme un rideau vacillant. L’humidité qui s’accrochait à ma peau venait probablement de l’oasis voisine. L’air était froid et il était difficile de croire qu’il y avait un vaste désert juste au-dessus de nous.

« Attends, laisse-moi éclairer le chemin. » La voix d’une fille résonnait comme pour enraciner mon esprit impatient. J’avais arrêté de marcher et je l’avais entendue chanter quelque chose aux esprits. Marie leur avait demandé de l’aide dans leur langue, puis avait tapoté le sol avec son bâton. Des esprits entourés de particules de lumière apparurent. Maintenant, nous avions trois sources de lumière qui avaient été invoquées par Marie. Elle les avait dirigés avec son bâton, puis avait tourné ses yeux vers moi. « Je vais fixer leurs positions au-dessus de nos têtes pour qu’on ne soit pas séparés. Ne bougez pas. »

« Oh, je ne savais pas que tu pouvais faire ça. Cette compétence de Travail d’Équipe est déjà utile, hein ? » déclarai-je.

« Oui, et mon pouvoir magique ne s’épuise pas, grâce au bâton. C’est peut-être une bonne occasion pour moi d’augmenter mon niveau de compétence. » Elle sourit joyeusement, puis toucha chaque esprit avec le bout de son bâton. Marie était de la rare classe des sorcières spirituelles, et elle possédait donc la capacité de donner de la magie à chacun de ses esprits. C’était son avantage de pouvoir se préparer, comme je l’avais déjà dit. Maintenant qu’on leur avait appliqué une sorte de symbole sur ses esprits, ils étaient prêts à déclencher sa magie à tout moment.

« Whoa, ma magie est devenue beaucoup plus puissante. C’est incroyable, Wridra ! C’est comme la différence entre le jour et la nuit quand j’utilise ton bâton, » déclara Marie.

« Hah, hah, hah, bien sûr que c’est plus puissant avec mon soutien. Plus important encore, tu as toujours un créneau de compétence secondaire ouvert. Il semble que tu n’as pas encore décidé à quoi l’utiliser, » déclara Wridra.

« Oui, je ne voulais pas en choisir un jusqu’à ce que ce soit nécessaire. Je ne veux pas finir par regretter de ne pas avoir choisi ce dont j’ai besoin plus tard, alors je vais attendre maintenant. » J’avais acquiescé d’un signe de tête. Le créneau de compétence pouvait être défini à tout moment, il n’y avait donc pas de mal à attendre.

Le chemin avait continué à tourner vers le bas autour du trou au centre. Bien qu’il y ait eu de temps en temps un grondement d’air venant du fond du trou, nous n’avions pas encore rencontré d’ennemis. Nous avions simplement continué à descendre, en admirant la vue comme un groupe de touristes. Il n’y avait aucun signe de quelqu’un qui était entré avant nous. Ils étaient probablement déjà loin devant.

« Je pensais qu’on se dépêcherait d’arriver, mais jusqu’à présent, tout s’est plutôt bien passé. Tous les monstres ici ont probablement été éliminés par les groupes avant nous, alors nous devrions être tranquilles pour un moment, » déclarai-je.

« Je ne sens plus personne. C’est comme si nous étions les seuls ici. Mais c’est bien qu’on puisse profiter de l’ambiance comme ça. » J’avais hoché la tête en réponse aux paroles de Marie. Nous n’avions pas eu à faire face à des gens qui nous suivaient comme tout à l’heure, et c’était bien que nous puissions avancer à notre propre rythme. Après avoir avancé pendant un certain temps encore, les esprits de lumière devinrent la seule source d’illumination en vue. Ils avaient faiblement éclairé leur environnement comme un distributeur automatique à la campagne, et nous avions finalement commencé à voir des textes anciens tels que des symboles cryptiques gribouillés sur les murs. L’écriture était peu abondante au début, mais sa densité augmentait au fur et à mesure que nous avancions. Je les fixais distraitement, quand Marie commença à parler tranquillement.

« Nuit, étoile fixe, monde… Hmm, il s’agit de mythologie ancienne. On dirait que l’histoire est présentée dans l’ordre au fur et à mesure que vous marchez sur le chemin, » déclara Marie.

« Texte ancien… Je les étudiais beaucoup avant ça, alors ça me ramène en arrière, » déclarai-je.

Les filles m’avaient regardé avec des visages emplis de surprise. Ces visages semblaient dire sans paroles. « Mais je pensais que tu étais un raté scolaire ? »

« Hein ? N’as-tu pas déjà vu ma liste de compétences, Marie ? » demandai-je.

« Je ne comprends pas pourquoi tu as appris le texte ancien alors que tu n’es pas un utilisateur de magie. Je ne peux pas l’imaginer très utile pour toi, » déclara Marie.

« Rien que le son du terme “langue ancienne” m’excite, et je pensais que la comprendre rendrait les donjons encore plus amusants à vivre. Il peut aussi être utile à certains moments. Comme quand il y a des signes écrits. » Elles me regardaient comme si elles étaient impressionnées, mais en même temps, elles me trouvaient toujours étrange. J’étais un peu triste qu’elles ne puissent pas comprendre l’esprit d’aventure d’un homme. Mais encore une fois, j’avais probablement un plus grand sens de la curiosité que la plupart des gens. J’étais même tombé sur une écriture sur le mur et j’avais du mal à dormir parce que j’étais tellement obsédé par ce qu’elle disait. Mais c’était dans mon rêve, alors je dormais déjà.

Quant à l’ancienne mythologie écrite ici, l’essentiel était : la flèche déchaînée de l’étoile du matin a vaincu les démons. Le tir atteignit jusqu’à l’étoile fixe avec une puissance qui n’appartient pas à ce monde. Même les pensées du démon furent anéanties en un instant, et il finit par revenir dans le monde, car l’étoile du matin est la chose même qui l’a amenée à exister. J’avais continué à lire avec Marie pendant que nous avancions dans le couloir sinueux et j’avais trouvé à la fin une image d’un démon qui tentait de se réveiller.

« C’est un peu effrayant, mais il est dessiné avec de si belles couleurs, » déclara Marie.

« Cette couleur bleue profonde me donne l’impression qu’elle va me tirer vers l’intérieur… C’est étrangement calmant. » J’avais mis ma main contre le mur, et Marie m’avait suivi. Nos visages se tournèrent l’un vers l’autre, et nous levâmes les yeux une fois de plus vers l’art mural. La couleur de la nuit était si captivante et pure que j’avais vraiment l’impression qu’elle allait nous aspirer.

Après avoir avancé pendant un certain temps, nous avions arrêté de marcher. Une porte si grande que nous avions dû nous tordre le cou pour tout voir se tenait devant nous, indiquant que c’était la fin du couloir d’entrée et le point de départ du donjon. Les portes métalliques avaient conservé leur forme sans un soupçon de pourriture, avec des perles d’eau recouvrant leur surface. Les motifs épouvantables et quelque peu érudits qui s’y trouvaient me disaient que cela venait d’une culture ancienne que l’on ne trouverait dans aucun autre donjon. Je m’étais retourné pour trouver deux femmes aussi excitées que moi.

« C’est vraiment l’ancien donjon. Rien que de penser à la façon dont nous sommes sur le point de l’explorer m’excite, » déclarai-je.

« Ohhhh, je n’ai jamais rien vu fait de tel ! Regardez les créatures ici. Aucun d’entre eux n’est répertorié dans les livres. On pourrait gagner beaucoup d’argent rien qu’avec ça, » déclara Marie.

« L’air lui-même est ancien ici. Ah, quelle nostalgie. Je n’ai pas respiré l’air des générations précédentes depuis un certain temps. » Nous avions tous gloussé pour nous-mêmes, puis nous avions ouvert les portes de métal sans hésitation. Bien que d’autres soient passés devant nous, nous n’étions malheureusement pas les premiers visiteurs. Cela allait sans dire, mais comme nous étions arrivés après les autres, il n’y avait pas d’obstructions ou de pièges qui nous barraient la route. La porte s’ouvrit d’un bruit sourd et un couloir complètement enveloppé dans l’obscurité nous attendait. L’air lourd, l’obscurité plus noire que la nuit, et un grondement que l’on pouvait entendre de loin… L’atmosphère était si propice à un donjon que nous avions failli faire des applaudissements.

« Oooh, c’est tellement authentique. J’ai déjà visité plusieurs donjons, mais c’est la première fois que j’en vois un qui est aussi intact. Les décorations dans les couloirs sont si compliquées, aussi. Wôw… Il n’y a même pas un grain de poussière, » déclarai-je.

« Hehe, il y a tant de choses anciennes sur lesquelles nous devons enquêter. Décidons de l’approche que nous allons adopter tout en continuant à marcher. » Le chemin était assez large pour que nous puissions nous aligner côte à côte, les mains tendues, pour marcher lentement et prendre notre temps pour explorer. Wridra et moi nous étions tournés vers Marie et nous lui avions demandé. « Quelle approche ? »

« Oui. Essayons-nous de nettoyer le labyrinthe le plus rapidement possible, de donner la priorité à la montée de niveau ou de prendre notre temps et de nous amuser ? Ce genre de direction générale. »

« Normalement, je choisirais la première option, mais je n’aime pas qu’on me presse, » déclara Wridra.

« On pourrait monter de niveau n’importe où, alors pourquoi ne pas prendre notre temps ? Marie pourrait aussi probablement apprendre une chose ou deux en chemin, » nous avions tous levé les poings ensemble en accord avec un « Ouais ! » Être dans le groupe de tête nous aurait aidés à trouver un meilleur butin, mais il aurait été dommage de se précipiter dans un donjon aussi bien fait. Une compétition impitoyable avec plus d’une centaine de guerriers aguerris m’avait semblé pénible, et j’avais déjà un emploi important au Japon. Je devais gérer mon emploi du temps pour me réveiller à l’heure.

« Il y a des gens ici qui sont plusieurs fois plus élevés que moi, donc je pense que je vais renoncer à l’honneur d’obtenir la conquête la plus rapide, » déclarai-je.

« Oh, tu abandonnes, n’est-ce pas ? Tu dis ça comme si tu pouvais le faire en premier lieu. » Elle avait marché jovialement avec des pas légers, puis elle m’avait regardé. Les esprits de lumière qui flottaient autour d’elle semblaient être l’expression de sa bonne humeur. Quant à la course pour le meilleur temps, elle n’aurait pas été impossible à réaliser si j’avais vraiment voulu y aller. Je veux dire, j’avais des capacités de mouvement, et Marie avait l’ultime garde du corps pour la protéger. Si j’avais accéléré jusqu’au but, j’aurais pu y arriver plus vite que n’importe qui d’autre… probablement.

« Non, on ne va pas faire ça ! Cela n’a rien d’étonnant, et je suis sûr que nous manquerions beaucoup de choses importantes. On n’est pas là pour courir un marathon, » déclarai-je.

« Ouais, bien sûr. On a cet objet magique, alors vérifions la carte et avançons lentement. Je veux si possible voir les endroits que les autres groupes n’ont pas encore vus, » déclara Marie.

« Alors, nous devrions nous diriger vers l’est. Si ces lumières représentent les autres, nous devrions aller là où il y en a moins. » Apparemment, cela nous avait même dit où se trouvaient les autres groupes. L’Outil magique de cartographie automatique était très pratique. C’était beaucoup plus facile, et c’était bien de pouvoir voir la disposition du donjon en trois dimensions. Je me demandais si nous pouvions convaincre Aja de nous laisser le garder après avoir exploré les ruines.

« Oh, un monstre. »

À ce moment-là, plusieurs yeux brillèrent dans les ténèbres loin de la lumière des esprits. Au total, trois monstres s’étaient précipités vers nous avec des pas lourds et bruyants. Dès qu’ils étaient entrés dans le champ de l’illumination, leurs formes trapues étaient apparues. C’était Koopah, un monstre que nous connaissions depuis l’oasis. C’était une créature bipède avec une grosse tête, et elle ressemblait à un lézard rond et surdimensionné. Apparemment, les monstres ici étaient encore au niveau 40. J’avais toujours son point faible mémorisé avec ma compétence de précision, alors je l’avais utilisé pour découper les Koopahs en rondelles avec facilité. J’avais été impressionné par l’épée que Wridra m’avait donnée. Elle avait expliqué qu’elle était tranchante et incassable, mais souple, et elle était exactement comme annoncée. La lame émettait une fumée blanche, et quand cela s’était dissipé, les huiles qui l’avaient recouverte en vainquant les monstres s’évaporèrent. Son facteur de commodité était tout simplement merveilleux. Sans parler de son magnifique lustre noir, tout simplement captivant à voir. Je me sentais plutôt exalté, mais pour une raison quelconque, les côtés des sourcils de Marie avaient commencé à s’affaisser graduellement. Elle avait poussé un soupir, puis m’avait regardé comme si elle était prête à se plaindre.

« Ce n’était pas drôle du tout. Je n’ai même pas eu le temps d’utiliser les sorts que j’avais préparés. La musique de la bataille a à peine joué pendant quelques secondes avant de se terminer. Comme c’est triste, » déclara Marie.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Mais tu as déjà vaincu une bande de Koopahs avant. Je suis sûr qu’il y a des ennemis beaucoup plus forts devant nous, alors pourquoi ne pas profiter des batailles qui s’en viennent ? » J’avais répondu en rengainant mon épée, mais c’était trop tard. Elle faisait déjà cette tête qu’elle faisait chaque fois qu’elle était contrariée. Temporairement, je lui avais demandé quel genre d’expérience elle recherchait.

« Voyons voir… Quelque chose du genre : “Derrière moi ! Je vais essayer de gagner du temps pour que tu puisses appeler tes Salamandres !”, » elle m’avait répondu avec des détails plus précis que ce à quoi je m’attendais. Nous avions continué à parler de ces bêtises en marchant sans jeter un second coup d’œil aux monstres que nous avions transformés en poussière. Mais en écoutant notre conversation, Wridra avait l’air d’avoir une pensée profonde, la main sur le menton. Elle avait ensuite applaudi et avait tourné son regard d’obsidienne vers nous. La lueur dans ces yeux me disait que ce ne serait que des ennuis, et j’avais raison.

« Hah, hah, hah, alors je vais fournir une formation jusqu’à ce que les choses deviennent plus occupées. Oh, il n’y a pas besoin de me remercier. J’ai toujours eu peur que ton niveau d’armes soit trop bas, » déclara-t-elle.

« Quoi ? Tu veux nous entraîner ici ? Pendant que nous marchons dans le donjon ? » Pourquoi ? Pourquoi voudrait-elle faire ça pendant qu’on s’amusait à explorer le labyrinthe ? N’avons-nous pas décidé en tant que groupe d’y aller doucement ? L’ajout de l’entraînement à l’épée pendant que nous continuons ne gâchait-il pas l’expérience ?

Le son métallique du déplacement de l’armure retentit en réponse. Elle s’abaissa, les genoux de sa robe blindée se pliant alors elle le faisait, et une poignée droite apparut devant elle. Wridra le prit dans sa main, et le bruit du métal glissant le long d’un fourreau résonna. Le sourire joyeux sur son visage me disait qu’il n’y avait personne qui pouvait l’arrêter maintenant. C’était à mon tour de soupirer maintenant, et le regard de Marie semblait dire que cela ne la concernait pas du tout. Mais il était important d’avoir un professeur de maniement de l’épée. Mon habileté avec une épée à une main était actuellement de 52, et il n’y avait pas beaucoup de gens qui étaient beaucoup plus haut que ça. En fait, tous ceux qui maîtrisaient le maniement de l’épée avaient tendance à se battre, mais pas sans raison. Cela signifiait que si je voulais qu’ils me forment, je devais leur donner plus d’argent qu’ils n’en auraient gagné en allant explorer, et je n’avais évidemment pas autant d’argent. J’avais déjà à moitié abandonné, mais mes lèvres s’étaient courbées en un sourire quand j’avais dégainé mon épée.

« Alors, Maître, allez-y doucement avec moi, » déclarai-je.

« Hah, hah, hah, ne pense pas que tu peux garder ce visage somnolent tout en me faisant face, » déclara-t-elle.

En fait, ça aurait été sympa qu’elle puisse faire quelque chose pour mon visage, mais j’espérais vraiment qu’elle y aille doucement avec moi. Nous nous étions inclinés l’un devant l’autre, puis nous avions commencé notre combat dans les profondeurs de l’ancien donjon.

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Un commentaire :

  1. amateur_d_aeroplanes

    Merci pour le chapitre.

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