Chapitre 37 : Les intérêts nationaux et les esclaves orphelins
Partie 1
Quand j’avais regardé dans la direction de cette voix, j’avais vu la silhouette d’une femme en armure lourde qui se tenait là et qui affichait un sourire amical. Était-elle venue en courant jusqu’ici ? Elle avait l’air d’être un peu essoufflée. Elle devait avoir environ 20 ans avec des cheveux blonds assez longs. D’après ce que je voyais, l’arme qu’elle utilisait était une rapière.
« C-Commandante. Pourquoi êtes-vous ici !? » le chevalier qui se considérait avant ça comme si important avait laissé sortir une voix emplie de surprise.
« N’est-ce pas naturel que je sois là ? Je suis venue pour la même raison que vous dans ce village, » répondit-elle.
« Euh. Mais, n’étiez-vous pas censée venir qu’après avoir rassemblé les fournitures de secours pour le village ? » demanda le chevalier.
« Au départ, il s’agissait de mon intention. Mais quand j’ai entendu dire que vous étiez parti précipitamment ici, je suis venue ici en grande hâte. Est-ce que vous voyez ce que je veux dire ? Mais comme j’ai dû faire ça, je n’ai pas été en mesure de venir avec des provisions. Quel gâchis que cela ait fini ainsi ! » déclara-t-elle, en gardant tout le temps son sourire amical.
La voix de la femme était toujours restée douce, mais le chevalier qui tentait avant ça de m’intimider transpirait abondamment depuis qu’il avait vu l’autre chevalier arriver.
« Ah oui. J’aurais une petite question à vous poser, » déclara la chevalière. « Pourquoi avez-vous demandé ça à l’égard des aventuriers qui sont venus à la rescousse de ce village ? »
« Je... je l’ai fait afin d’obtenir les cadavres de monstres nécessaires pour pouvoir mener l’enquête..., » déclara le chevalier.
« Oh, je vois. Mais dans ce cas, pourquoi essayez-vous d’agir d’une manière qui ressemble à l’extorsion ? Ne vouliez-vous pas tout récupérer sans leur verser une compensation adéquate ? » demanda la chevalière.
« Eh-Eh bien, c’est..., » balbutia le chevalier.
Le chevalier hautain semblait après avoir perdu la parole. Peu importe comment on pouvait tourner la situation, il était impossible de le voir autrement que comme elle venait de le décrire, alors il lui était impossible de répliquer à ça.
« Un autre point que j’aimerais soulever, » continua la chevalière. « Pourquoi les subordonnés que vous avez pris avec vous ne sont-ils rien d’autre que des chevaliers spécialisés dans la récupération des pierres des monstres ? Je me pose vraiment des questions à ce sujet ? »
« ... »
À ce moment-là, je venais de comprendre la raison pour laquelle il avait essayé de nous chasser. Il était là pour récupérer les pierres de monstres, et pour cela, il devait les récupérer le plus tôt possible et sans avoir de témoins gênants. En d’autres termes, il devait avoir l’intention de récupérer secrètement les pierres magiques et de nous imposer la responsabilité du détournement de fonds. Mais c’était vraiment un plan déplorable.
« *Soupire*, c’est si simple de prédire ce que vous pensez, mais cela ne réussira absolument pas. Votre plan, c’est..., » elle le disait avec une voix emplie de confiance.
« Q-Qu’allez-vous..., » l’autre chevalier commença à parler.
Mais elle l’avait interrompu. « C’est quelque chose que vous auriez pu comprendre si vous y aviez un peu plus réfléchi. Ces aventuriers sont venus ici à la demande du royaume de Kastal. »
« Euh, tout à fait, » répondit l’autre chevalier qui ne voyait pas où elle voulait en venir.
« Comment ont-ils fait ça ? » demanda la chevalière.
« Euh ? » l’autre chevalier affichait en ce moment un visage vraiment stupide.
« Il faut deux semaines de voyage depuis la capitale royale de Kastal jusqu’ici, » déclara la chevalière. « Et alors même qu’une telle distance existe, ils ont reçu une requête... directement de la part du pays. À moins qu’ils n’aient une méthode de voyage à grande vitesse ou les moyens de communication à longue distance comme la pierre à communication de notre pays, ils ne seraient pas en mesure d’effectuer cette mission. »
« Ah... »
Oh, la pierre à communication dont ils parlent est cet objet magique de télécommunications dont on nous avait parlé et qui était difficile à utiliser sauf dans la région d’Ishtar.
« Pour couronner le tout, la communication d’urgence effectuée auprès de Kastal a été menée avec la famille royale. En d’autres termes, ces aventuriers ont un lien non négligeable avec la famille royale de Kastal, » continua la chevalière.
« Ahh... »
Après qu’elle ait annoncé ce fait, le teint de l’autre chevalier était devenu proche de celui d’un cadavre.
« Alors, je vous demande de m’excuser pour vous avoir fait attendre. Monsieur, auriez-vous l’amabilité de me dire votre nom ? » me demanda-t-elle.
« Je m’appelle Jin, » répondis-je.
« Je suis Maria, » répondit Maria qui se tenait en position défensive à côté de moi.
« Je vous remercie. Jin-san, Maria-san. Moi, Elincia, je vais humblement mener la conversation à partir de maintenant, » déclara Elincia.
Après avoir dit cela, Elincia s’approcha de nous. Au cours du trajet, le chevalier se plaça en position d’attaque alors qu’il dégaina son épée. Hé, tu sais, ce n’est pas bien d’être coléreux.
Elincia jeta un coup d’œil à ce chevalier et avant même que l’épée du chevalier ne soit sur elle, elle lui transperça le globe oculaire avec sa rapière. Après ça, le chevalier tomba à la renverse, mort.
Je crois que cela doit être une mort instantanée, pensai-je.
En un instant, Elincia avait moissonné la vie du chevalier et puis elle s’approcha de nous comme si rien ne s’était passé avant ça
« Je suis vraiment désolée pour ce qui vient de se produire. Une personne se trouvant dans les rangs des chevaliers a commis une faute grave. Je me suis débarrassée de lui comme vous pouvez le constater. Alors, pardonnez-nous pour l’incident, s’il vous plaît, » déclara Elincia.
Elincia s’inclina poliment devant moi. De notre côté, nous étions surpris par ces actions. Elle avait fait ça pendant tout ce temps avec une expression calme comme si rien ne s’était passé...
« Est-ce que c’est correct ? Ce que vous avez fait, c’est..., » commençai-je.
« Oui. Jusqu’à présent, il a agi seul. Même s’il ne m’avait pas attaquée, je l’aurais sûrement tué en raison de ce qu’il avait fait avant ça, » déclara Elincia.
« J-Je vois..., » répondis-je.
Cette femme était vraiment sans pitié.
« Je serais heureuse si vous pouviez oublier tout ce que le chevalier mort vous a dit, » déclara-t-elle.
« Je vois. On nous a dit de quitter ce village, alors nous pensions nous préparer pour le faire..., » déclarai-je.
« Vous demander de partir est absurde. S’il vous plaît, pourquoi ne restez-vous pas ici un peu plus longtemps ? » demanda-t-elle.
« D’accord. Je vais accepter votre offre, » déclarai-je.
« Alors, je vais me diriger vers le village. Et vous, Jin-san ? » demanda-t-elle.
« J’ai perdu la raison d’aller jusqu’à mon chariot, alors laissez-moi venir avec vous, » déclarai-je.
Nous étions retournés ensemble au village. Un autre groupe de chevaliers était arrivé entre temps et ils avaient réprimandé les chevaliers déjà présents ici. Il semblerait que ces derniers avaient essayé d’enlever les pierres magiques des monstres que nous n’avions pas vaincus.
« Mettez-vous à l’aise. On s’en débarrassera un peu plus tard, » déclara Elincia.
Eh bien, je ne t’ai pas dit d’aller aussi loin. Mais je n’ai pas non plus l’obligation de l’abroger.
« Et donc, cette fois, puis-je vraiment vous laisser vous occuper de la suite ? » demandai-je.
« Oui ! S’il vous plaît, laissez-moi m’en charger. Je n’ai peut-être pas apporté beaucoup de provisions comme je suis venue ici en toute hâte, mais les chevaliers qui sont venus après ça ont dû en transporter, » répondit-elle.
« Alors c’est génial. Pour être franc, j’étais mal à l’aise de laisser ça à ces personnes-là, » répondis-je.
R : C’est parce qu’ils se sont uniquement concentrés sur la recherche des pierres magiques avant de prendre le poste de garde.
Ils n’allaient dans tous les cas jamais aider.
« Je suppose que c’est tout à fait normal de penser ainsi, » déclara Elincia. « J’ai essayé d’envoyer rapidement un certain nombre de personnes pour faire office de garde et leur apporter des fournitures de secours dans un deuxième temps, mais j’ai pensé qu’ils agiraient de cette façon, car c’était... Non, il s’agit d’une insouciance quant à ma supervision, n’est-ce pas ? Je vous ai vraiment causé des ennuis sans fin. »
« Même si vous me dites ça maintenant, ce qui est fait est fait. Ce qui est plus important maintenant, c’est ce que vous allez faire à l’avenir, » répondis-je.
« Oui, j’ai actuellement laissé les autres établir un quartier général d’urgence temporaire, alors nous continuerons notre conversation là-bas..., » déclara Elincia.
Les chevaliers nouvellement arrivés avaient préparé une tente. Il y avait également une table préparée à l’intérieur de la tente. Je m’étais assis à la chaise qui avait été préparée pour moi.
« Alors, pourrions-nous continuer la discussion ? » me demanda-t-elle.
« D’accord, » répondis-je.
« Tout d’abord, veuillez expliquer la situation. Oh, il ne vous sera pas demandé ce qui concerne les déplacements à grande vitesse ou de la communication à longue distance dont j’ai parlé tout à l’heure, » déclara-t-elle. « Ce n’est pas quelque chose dont nous pouvons parler ouvertement et il s’agit en plus d’un sujet qui se trouve au niveau le plus haut des pays. »
Je vous en suis reconnaissant. Ou peut-être devrais-je dire qu’elle est très compétente pour ce genre de situation.
« Quand nous sommes arrivés dans cette ville, il y avait une dizaine de monstres de Rang B et une trentaine de monstres de rang inférieur. Avez-vous besoin d’un compte précis des monstres ? » demandai-je.
« Non, ce n’est pas nécessaire, » répondit-elle.
« D’accord. Notre groupe compte 14 personnes et nous nous sommes déplacés par paires pendant l’extermination des monstres, » expliquai-je. « Nous nous sommes divisés en deux zones de départ, un groupe est allé vers le centre depuis l’extérieur et l’autre groupe du centre vers l’extérieur. Ainsi, nous n’avons rien manqué. Nous avons ramassé les monstres que nous avons tués et nous avons laissé derrière nous les autres. »
« D’accord, » Elincia inscrivait toutes mes déclarations sur papier.
« Après l’extermination, nous avons procédé à la lutte contre les incendies et aux premiers soins sur les victimes. Les monstres de Rang B avaient mis le feu partout, puisqu’ils possédaient l’attribut du feu. En ce qui concerne les premiers secours, nous avons appliqué de la magie curative aux personnes gravement blessées. Il semblerait qu’il n’y ait plus eu de morts après notre arrivée ici. »
« Est-ce, car vous pouvez utiliser la magie curative ? » me demanda-t-elle.
« Fort possible. Après cela, nous étions en attente et nous avons surveillé afin qu’aucun autre monstre ne vienne du donjon. Pendant ce temps, les villageois survivants sont sortis des bâtiments et ont commencé à récupérer les villageois décédés. »
« Est-ce tout ce qui s’est passé ? » me demanda-t-elle.
« Oui, » répondis-je.
Après ça, Elincia arrêta d’écrire.
« Je suis contente. Le fait d’avoir tué ce chevalier plus tôt était une bonne chose, » déclara-t-elle.
Encore une fois, elle dit des choses dangereuses.
« Je n’ai nullement à me plaindre de vos actions, » déclara-t-elle. « Vous êtes des aventuriers qui avez des compétences et des liens avec les plus hautes sphères du Royaume de Kastal. Le fait d’agir avec tant de discourtoisie envers de tels aventuriers affectera nos intérêts nationaux. »
J’avais soupiré en entendant ça. Si vous vous contentiez de la regarder, elle pourrait sembler être une fille douce. Mais avec ses paroles qui reflétaient ses pensées, ainsi que ses actions, c’était quelque chose de beaucoup plus dérangeant.
« J’ai parfaitement compris ce qui s’est passé ici, » déclara-t-elle. « De notre côté, nous allons prendre la relève de la surveillance de la zone. Et en ce qui concerne les cadavres des monstres, nous les achèterons à un prix raisonnable, non, nous ajouterons un bonus en tant que frais pour vous avoir causé des problèmes. Bien que je vous dise ça, nous ne pouvons pas payer avec ce que nous avons sur nous, alors nous ferons le paiement en ville. Pour l’instant, nous allons accepter quelques monstres. »
Au moins, il s’agit d’une réponse plus honnête que celle du chevalier mort, pensai-je.
« Vous n’avez pas à payer de prime supplémentaire. Ne pourrais-je pas à la place acheter des permis pour accéder au donjon de ce pays ? » lui demandai-je.
« Êtes-vous d’accord juste avec ça ? Ce serait... impossible dans ce village, mais vous pouvez habituellement les acquérir dans n’importe quelle ville, » me répondit-elle.
« D’accord. Mais est-ce que les cartes émises sur la recommandation d’un chevalier ne sont-elles pas supérieures ? » lui demandai-je.
Alta m’avait donné avant ça une très bonne information. Un certificat différent de la carte de guilde d’un aventurier appelé carte de « Donjon » était nécessaire pour entrer dans le donjon. Je pouvais en demander dans une ville ordinaire, mais si vous aviez la recommandation d’un chevalier, vous pouviez leur faire émettre une carte de donjon légèrement supérieure selon cette information.
Si vous aviez une carte de donjon supérieur, vous n’aviez pas besoin de payer pour entrer dans le donjon. Il était chiant de payer chaque fois et avec l’une de ces cartes, nous n’aurions pas à nous inquiéter de cela.
« Oui, c’est exact. Compris. S’il vous plaît, laissez-moi faire la recommandation pour des cartes de donjon pour plusieurs personnes, » déclara-t-elle.
Après avoir dit ça, Elincia avait sorti une enveloppe de haute qualité de ses bagages et avait écrit quelque chose sur un papier tout en murmurant. Je pense que cela doit probablement être la lettre de recommandation.
« S’il vous plaît, gardez ceci avec vous. Cela devrait suffire si vous allez dans la ville voisine. Il faudrait un peu de temps en vérification si vous allez dans une ville plus éloignée..., » me déclara-t-elle.
« Non, c’est parfait. Merci, » répondis-je.
« Non, je suis vraiment contente d’avoir pu être utile, » déclara Elincia.
Je m’étais déjà demandé comment mettre la main dessus. J’aurais pu le faire avec l’aide de Sakuya, mais je pensais que c’était un peu trop... Eh bien, ce n’était pas comme si le prix d’entrée était si élevé, c’est juste que je préférais avoir une édition spéciale s’il y en a une, n’est-ce pas ? Il n’avait pas de démérite à l’avoir, contrairement à la carte de guilde de Rang S...
« Oh, c’est vrai. Je devrais vous donner ces monstres... Est-ce que je peux le faire ici et maintenant ? » lui demandai-je.
« Oui, s’il vous plaît. Et mettez-les sur ce tissu, » déclara-t-elle.
« D’accord, » lui répondis-je.
Il y avait un drap bleu à proximité et les cadavres de monstre y avaient été posés. J’avais mis le cadavre du Croc de Feu dans l’un des coins.
« C’est donc le Croc de Feu dont vous m’aviez parlé..., » déclara-t-elle.
« Oh, il y a aussi la Queue de Flammes, » déclarai-je.
« Ce sont sans aucun doute des monstres avancés du donjon, » déclara-t-elle.
Pouvez-vous vraiment le savoir avec un œil averti ?
R : Elle semble savoir, n’est-ce pas ? Son statut devrait dans ce cas le démontrer.
Elincia
Niveau : 52
[Maîtrise des Épées, Niveau5] [Maîtrise des Boucliers, Niveau 2] [Magie du Vent, Niveau 2] [Renforcement Corporel, Niveau 4] [Adaptation au Donjon, Niveau 2]
Se pourrait-il que ce soit de la compétence Adaptation au Donjon qui l’informe sur ça ? Ainsi, vous pouvez aussi l’avoir sur des personnes... Attends, euh ? Mais je n’ai pas l’air de pouvoir les ajouter sur moi, n’est-ce pas ? Me dis-je après avoir testé cela.
R : Il y a une condition à l’ajout de la compétence.
Qu’est-ce que c’est ?
R : Premier indice, il est décidé avant la naissance si on peut posséder ou non la compétence d’Adaptation au Donjon et elle leur sera attachée au moment de leur naissance. Deuxième indice, L’Adaptation au Donjon est attachée à ceux qui sont nés dans le donjon. Troisième indice, le donjon est rempli d’endroits sombres et de monstres, donc il se peut qu’il faille y avoir vécu un moment pour y avoir accès.
Oh, d’accord. Je comprends un peu... Mais, c’est tout à fait le sujet des scandales.
R : C’est pour cette raison que j’ai utilisé cette manière de le dire.
Cela veut-il dire qu’Elincia l’a acquise ainsi ?
R : Eh bien, c’est ce que cela signifie.
« Il y a un problème ? » me demanda-t-elle.
« Non, rien du tout, » déclarai-je.
« Je vois. Voici votre paiement, » me déclara-t-elle.
« D’accord, » répondis-je.
J’avais reçu le sac et j’avais vérifié son contenu.
« Jin-san, votre travail ici est plus ou moins terminé, mais que ferez-vous dès maintenant ? » me demanda-t-elle.
« Voyons voir. Comme il s’est passé des choses étranges, nous prévoyons donc de rester dans ce village pour une nuit et demain, nous allons nous rendre dans une ville voisine, » lui répondis-je.
« Je vois. Dans ce cas, venez à la Cité de Lilia, notre base. Il s’agit de la grande ville dans cette région, alors je peux vous recommander d’y aller, » déclara-t-elle.
« Oui, j’y réfléchirai, » lui répondis-je.
Après ça, j’étais sorti de la tente temporaire et j’étais retourné au chariot. Comme notre chariot transportant nos provisions était arrivé avant la nuit, j’avais décidé d’aider Mio et les autres à cuisiner. Puis nous avions distribué une partie du riz cuisiné aux villageois vu que nous en avions fait exprès bien plus.
Merci pour le chapitre.
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