À la recherche sérieusement d’une sœur ! La Princesse Vampire Ultime – Tome 01 – Épisode 2 – Partie 9

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Épisode 2 : La fille normale autoproclamée retourne à la civilisation

Partie 9

« Sur cette note, ce sera donc la nouvelle fille qui s’occupera de tout le monde. »

Ristia avait été conduite dans une grande salle commune de l’orphelinat où elle avait rencontré en face à face les douze orphelins — Maria incluse — qui vivaient dans l’institution. Il y avait quatre garçons et huit filles. Alors qu’elle s’émerveillait de la façon dont Maria était jeune quand elle l’avait vue pour la première fois, les autres enfants étaient tous encore plus jeunes qu’elle. D’après ce que Maria lui avait dit, toute personne âgée de plus de 12 ans était habituellement « diplômée » de l’orphelinat. En tout cas, il y avait douze enfants, chacun d’eux étant probablement un diamant brut. La tête haute, ils regardaient Ristia avec une combinaison d’espoir et d’inquiétude peinte sur leur visage. Ristia s’agenouilla devant eux et parla à hauteur des yeux.

« Bonjour, tout le monde. Je m’appelle Ristia. Je veux aider les enfants dans le besoin, alors je vais travailler ici à l’orphelinat à partir de maintenant. Est-ce que tout le monde peut me dire leurs noms ? » Elle avait affiché son sourire angélique, qui fascinait les garçons et stimulait leur instinct de protection. C’était un sourire qui rassurait si bien les jeunes enfants que la majorité d’entre eux, qui avaient été sur leurs gardes, avaient commencé à céder face à ses charmes.

« Je m’appelle Mew ! »

« Je suis Ayane ! »

« Je m’appelle Glen ! »

Un cœur de présentations s’était fait en même temps.

« Allez, les enfants. Si vous parlez tous en même temps, vous allez confondre la dame, » déclara Maria en réprimandant tout le monde pour ses manières. Une fois qu’elle l’avait fait, ils s’étaient tous excusés à l’unisson avant de se taire. « Désolée, Grande Soeur Maria ! »

« Wôw…, » Ristia regarda Maria, son regard rempli de respect. Dans son esprit, elle pensait, « G-Grande Sœur Maria » ! Tu es incroyable, Maria ! Tous ces enfants t’adorent comme une Grande Sœur ! Je suis plus vieille que toi quand il s’agit d’années, mais tu es plus riche en expérience ! J’ai tant à apprendre de toi ! Je ferai de mon mieux, mais je ne vais pas prendre du retard non plus ! Ristia s’était trouvée motivée.

« Merci, Maria, mais c’est bon, » déclara Ristia.

« Hein ? Qu’est-ce que tu veux dire par c’est “bon”… ? » demanda Maria.

« C’est bon, parce que j’ai mémorisé les noms de tout le monde, » déclara Ristia.

« Qu’est-ce que tu racontes ? Se souvenir d’un tas de noms qui vous est crié dessus en même temps, c’est de la folie —, » avant que Maria ait pu finir le monde, Ristia avait dirigé ses yeux vers la fille qui se tenait le plus loin devant.

« Cet adorable garçon manqué aux oreilles de chien est Mew. » Ristia souriait, caressant les oreilles canines bleues et poilues de Mew, l’incitant à sortir un petit « woof » et à sourire de joie. « Et la fille mince s’appelle Ayane. Ses yeux violets sont tout simplement magnifiques. » En ce qui concerne Mew, les enfants ne semblaient pas très convaincus par les affirmations de Ristia, mais au fur et à mesure qu’elle continuait et commençait à réciter leurs noms, ils commençaient à avoir l’air étonnés.

« Alors qu’en est-il de moi ? »

« Des cheveux noirs comme les miens ? Ton nom doit être Glen, » dit Ristia, caressant la tête de Glen d’une manière très naturelle. Il n’avait que dix ans, mais le beau sourire de Ristia lui faisait rougir les joues. Et donc, à la suite de sa démonstration — . 

« Tu es incroyable, sœurette !! »

Ristia avait reçu des applaudissements et des louanges unanimes des enfants. Elle avait commencé à faire la fête dans sa tête. Oh mon dieu, on vient de m’appeler « sœurette » par une salle pleine d’enfants ! Et bientôt, ils m’adoreront tous. Je ne serai pas seulement « Sœurette », je serai au niveau de « Grande Sœur Extraordinaire » ! pensa Ristia, en gonflant son moral. En tout cas, Ristia avait correctement nommé dix des onze enfants.

« Et le dernier, mais non le moindre, c’est toi. Mais tu ne t’es jamais présentée, » s’était-elle adressée au garçon qui regardait dans l’air à une petite distance de là. Bien qu’elle ait essayé de parler au garçon, l’enfant aux cheveux bruns avait simplement réagi en se tortillant, refusant de se tourner vers elle.

« Allons, Allen. Tu le sais très bien. » Ne voulant pas laisser passer ça, Maria avait saisi les épaules du garçon et le regarda droit dans les yeux.

« Grande Soeur Maria… Comment peux-tu dire ça ? Cette fille est amie avec le directeur, n’est-ce pas ? » Qu’est-ce qu’il insinuait par là ? S’il voulait dire que Ristia était une « collègue » travaillant à l’orphelinat, alors cela aurait tout son sens… mais Maria avait fini par secouer la tête.

« Je ne pense pas que ce soit le cas, » répondit Maria.

« Comment peux-tu en être si sûre !? » demanda Allen.

« Comment ? » Maria avait commencé à jeter un coup d’œil à Ristia.

« Parce que… elle est un peu une tête en l’air, et elle n’a pas l’air très fiable, » déclara Maria.

Pas fiable !? Maria pense que je ne suis pas fiable !? Le cœur de Ristia semblait avoir été jeté par terre. Mon pauvre cœur. Il n’est pas rare qu’une personne que tu viens de rencontrer ne compte pas entièrement sur toi, mais je n’arrive pas à croire qu’elle ressente cela pour moi dès notre première rencontre. Si c’est ainsi, alors je ne me retiendrais pas ! Je vais faire mon possible ! Je vais aller jusqu’au bout et m’assurer que Maria m’adore ! Elle dira : « Grande Soeur, tu es incroyable ! » en un rien de temps ! pensa Ristia, jurant solennellement en secret. Rétrospectivement, c’était probablement ce moment qui avait décidé du sort de l’orphelinat — non, de toute la ville. Cependant, il n’y avait pas une âme présente qui s’en soit rendu compte.

Il n’y avait qu’un seul enfant qui s’était dit : C’est déjà assez bizarre quand elle a soudainement baissé la tête, mais maintenant, elle sert de ses mains en un poing. Qu’est-ce qu’elle a ?

« … Hé, sœurette, vas-tu bien ? » demanda Ayane.

« Merci de demander, mais je vais bien, Ayane, » Ristia avait fait semblant de ne pas être affectée dans l’espoir de ne pas être considérée comme encore plus : peu fiable… Ça ne l’avait pas empêchée d’avoir les yeux un peu embués. « Sais-tu ce qu’il voulait dire par “amis avec le directeur” ? » Ristia demanda à Ayane en laissant Maria et Allen se disputer, mais la fille secoua la tête en réponse.

Elle avait cependant chuchoté. « C’est peut-être dû au fait qu’Allen déteste le directeur. »

« … Pourquoi le déteste-t-il ? » demanda Ristia.

« Allen aime bien Grande Soeur Maria, mais Grande Soeur Maria est proche du directeur, » déclara Allen.

« Ils sont proches… ? » Ristia avait réfléchi, repensant aux deux individus qui interagissaient plus tôt. Cela ne lui donnait pas l’impression qu’il y avait du mépris, mais ils ne semblaient certainement pas proches, en aucun cas.

« Tu sais, je vois parfois le directeur sortir de la chambre de la Grande Soeur Maria quand je vais aux toilettes tard le soir, » déclara Allen.

« … Oh, c’est vrai ? » Ristia semblait avoir une idée de ce qui se passait et pensait demander plus de détails, mais…

« Hey, Ayane, non. On nous a dit de ne jamais en parler, tu te souviens ? »

« Oh, c’est vrai. Alors ouais. Désolé, sœurette, » déclara Ayane.

« hm-mm, non. Je suis désolée, » Ristia s’éloigna du sujet. Elle se tourna de nouveau vers Allen et Maria pendant qu’ils continuaient à se disputer.

« Le fait est que je n’adhère pas du tout à cette raison insensée ! » s’écria Allen.

« Je te l’ai dit, elle n’est pas le genre de personne que tu penses qu’elle est, All —, » Ristia avait touché l’épaule de Maria et avait souri.

« Je te remercie, » déclara Ristia.

« … Hein ? » s’exclama Maria.

« Merci de m’avoir défendu, mais c’est bon. » Elle voulait dire cela moins dans le sens où elle n’avait pas peur d’être soupçonnée, mais plutôt dans le sens où elle était assez fiable pour gérer la situation elle-même. Quelle que soit l’interprétation, Ristia avait fait face à Allen.

« Quoi ? Tu ne vas pas me piéger comme les autres, compris ? » déclara Allen.

« Ouais, je ne t’en veux pas de ne pas pouvoir me faire confiance. C’est notre première rencontre, après tout, » Ristia finit sa phrase, puis regarda simplement la paire d’yeux bleus d’Allen. Ces yeux la regardaient fixement, mais elle savait que c’était parce qu’il s’inquiétait pour Maria. « Ce n’est pas grave. Je suis cruelle envers ceux qui font de mauvaises choses aux gens que j’aime, mais je ne suis jamais cruelle envers ceux qui ne m’aiment pas, » déclara Ristia, tirant Allen dans sa poitrine pour un câlin. Avec les seins généreusement fournis de Ristia, toute la tête d’Allen avait rougi.

« Quoi !? Attends, qu’est-ce que tu fais !? » s’écria Allen.

« “Quoi” ? Je pensais que ça t’aiderait à te détendre, » déclara Ristia.

« D-Détendre ? Ce n’est pas ce dont je parle ici —, » Allen était revenu à la raison et avait repoussé Ristia loin de lui. « Je dis que je ne vais pas juste te faire confiance ! » Allen avait lâché sa remarque d’adieu avant de se précipiter hors de la pièce. Ristia le regarda faire, se lamentant, Oh non, il me déteste… Malgré sa peine, elle avait décidé que c’était une mauvaise idée de le laisser tranquille, alors elle avait essayé de le poursuivre, mais Maria l’avait arrêtée avant qu’elle ne le puisse.

« Je parlerai à Allen. Peux-tu divertir les autres enfants, ma sœur » déclara Maria.

« Mais…, » murmura Ristia.

« Ne t’inquiète pas. Il était juste un peu gêné, » déclara Maria.

« … Gêné ? Pourquoi ? » demanda Ristia.

« Peu importe ce que tu fais. Occupe-toi des choses ici, » déclara Maria.

« Eh bien… Je ne suis pas sûre de ce qui se passe, mais d’accord. Assure-toi qu’Allen va bien. » Après réflexion, Ristia décida de faire ce que Maria lui avait suggéré. Après tout, Maria était si mûre au-delà de son âge, et elle semblait savoir comment les enfants fonctionnaient plutôt bien. Elle avait donc décidé de laisser Maria s’occuper d’Allen pendant qu’elle divertissait et jouait avec les autres.

Ristia avait interrogé les enfants sur diverses choses ici et là après cela. Et une fois le dîner terminé…

« Peut-on reconstruire cet orphelinat ? » demanda Ristia, après être venue au bureau du directeur Georg pour lui parler directement.

« Ristia… Qu’est-ce que tu me demandes ? » demanda Georg.

« Je demande si je peux reconstruire l’orphelinat. J’ai parlé aux enfants, et ils m’ont dit qu’il peut y avoir des courants d’air ici. D’ailleurs, il semble que beaucoup de choses soient en train de s’effondrer ici, alors… euh, puis-je…, » en voyant l’expression choquée sur le visage du directeur Georg, Ristia s’était calmée. Son plan initial était d’obtenir la permission de reconstruire l’endroit d’abord, puis elle et le directeur discuteraient de la façon dont elle pourrait s’y prendre pour réparer certaines choses. Comme son plan était si bien établi, elle sentait qu’il était tout à fait inattendu qu’elle se heurte à un obstacle dès le départ.

« Écoute, Ristia, à partir d’aujourd’hui, je peux comprendre ton amour pour les enfants. Cependant, il y a certaines choses dans le monde que tu peux et ne peux pas faire. Tu devrais d’abord te concentrer sur ce que tu peux faire, » déclara le directeur.

« … Oui, Monsieur. Toutes mes excuses. » Mais reconstruire une maison est quelque chose que je peux faire ! Ristia pensa ça, mais elle n’était pas assez puérile pour s’y opposer à haute voix. Certes, elle n’était pas non plus assez adulte pour abandonner humblement son idée.

« En tout cas, tu as fait du bon travail aujourd’hui, mon enfant. Qu’est-ce que ça fait de travailler ici toute une journée ? » demanda Georg.

« C’était tellement amusant de passer du temps avec les enfants ! » déclara Ristia, rayonnante de joie. Le directeur Georg, d’un autre côté, semble avoir été embrouillé.

« C’est… Alors ? Il semble donc que tu es faite pour ce travail, » déclara le directeur Georg avec un sourire enjoué en prenant une bouteille et deux verres sur une étagère. « Ristia, tu sais boire de l’alcool ? » Elle n’avait jamais bu auparavant, mais elle savait ce que c’était que de boire de l’alcool — c’est pourquoi elle avait répondu par l’affirmative.

À noter que Ristia avait dix-sept ans, mais comme ce monde n’était liée par aucune loi interdisant aux mineurs de consommer de l’alcool, tout cela était parfaitement correct selon ces normes. En parlant de normes, c’était une princesse de Sang Véritable, donc les lois humaines étaient inutiles pour elle de toute façon.

« Alors, ce n’est pas grand-chose, mais fêtons ton arrivée avec un verre. » Le directeur Georg s’était détourné et avait commencé à verser le contenu de la bouteille dans la paire de verres. Lorsqu’il se retourna à Ristia, il lui présenta le verre qui lui était destiné, ce qu’elle accepta. La boisson semblait être une sorte de vin, et elle remplissait une bonne partie du verre.

« Portons un toast à ton nouvel avenir, » déclara Georg.

« Mon nouvel avenir, Monsieur ? » demanda Ristia.

« Eh bien, oui. J’espère que tu feras tout pour les enfants, » déclara Georg.

« Oui, Monsieur. Je ferai de mon mieux pour répondre à vos attentes ! » Elle leva son verre et imita les gestes du directeur Georg avant de prendre une gorgée de vin. L’arôme moelleux et l’astringence subtile du vin se répandent dans le palais de Ristia. C’était la première fois que Ristia buvait de l’alcool, mais elle s’était sentie attirée par ce vin.

« Ehehehe, c’est plutôt bon. » Ristia descendit le reste avec délice. C’est vraiment bon ! Je n’ai jamais fait d’alcool auparavant, mais je le ferai peut-être la prochaine fois que j’en aurai l’occasion… pensa Ristia en analysant les ingrédients du vin avec sa langue. Voyons voir, cette boisson « vin » semble être des raisins fermentés pour donner l’alcool. Hmm… Oui, le raisin et l’éthanol semblent être les ingrédients clés. Quoi d’autre ? Voyons voir… Cette astringence vient des tanins. Il y a aussi les acides aminés, et… hm ? N’est-ce pas… un extrait de plantes médicinales avec un agent somnifère ? C’est donc la cause de cette légère amertume. Ce n’est pas nécessaire pour la saveur, mais… peut-être que c’est ici pour que tu puisses passer une bonne nuit de sommeil ? Quoi qu’il en soit, cela ne m’affecte pas, alors peut-être que cet ingrédient n’est pas nécessaire pour éprouver la joie pure et simple du vin.

Ce seul ingrédient suffisait à rendre une fille normale complètement inconsciente, mais pour la fille normale autoproclamée, Ristia, il avait à peine le même effet qu’une herbe apaisante, et elle n’en était guère affectée. C’est ainsi qu’elle avait commencé à boire son vin, comme le directeur Georg l’avait suggéré en bavardant avec lui.

« Tu es si jeune, mais tu peux vraiment tout boire, » déclara Georg.

« Merci, Monsieur. C’est la première fois que je bois du vin, mais il est plus délicieux que je ne l’aurais jamais imaginé, » déclara Ristia.

« N’est-ce pas une gâterie ? Mais je crois qu’il est temps qu’on s’arrête pour ce soir. Ce serait terrible si cela entravait ton travail, après tout » déclara Georg.

« Vous avez raison, Monsieur. Alors, je vais y aller… Oh, Hmm…, » Ristia avait été informée qu’il s’agirait d’un poste avec logement, mais elle s’était soudain souvenue qu’on ne lui avait jamais montré ses quartiers. Georg semblait se souvenir et lui assura de ne pas s’inquiéter.

« Tes quartiers sont juste à côté. À partir d’aujourd’hui, c’est là que tu resteras, alors fait comme chez toi. Maintenant, retire-toi dans tes quartiers et repose-toi bien, mon enfant… Oui, extrêmement bien, » il lui avait donné la clé de ses quartiers. Peut-être que je devrais retourner chez Nanami et lui donner des informations sur ce qui se passe ? Ristia avait d’abord pensé cela, mais il était déjà tard, alors elle avait changé d’avis. Je peux le faire une autre fois.

« Hmm… C’est donc ma chambre, » se murmura Ristia d’un ton impressionné, en entrant dans la pièce comme on lui avait attribué. En y repensant, Ristia avait toujours vécu dans un château — et un château qui avait été construit avec une technologie bien au-delà de la portée des humains de cette époque. Alors que c’était probablement un sentiment qui blesserait les sentiments d’une personne si elle le disait à haute voix, Ristia appréciait un peu tout cela, car cela ressemblait à une excursion pittoresque à la campagne pour elle.

Oh, mais je pourrais ne pas être capable de dormir sur un lit aussi dur. Cette pièce sent aussi un peu la moisissure… Je devrais peut-être faire un peu de décoration intérieure. Ristia avait utilisé sa magie pour désinfecter et dépoussiérer la pièce. Puis, elle avait mis le vieux lit dans sa boîte à objets et avait déroulé un tapis doux et moelleux sur le sol. Après avoir posé des rideaux de dentelle sur la fenêtre, elle avait placé son fidèle lit de style princesse au centre de la pièce. Finalement, elle avait installé un lustre magique illuminé de pierres magiques et avait placé un objet magique contrôlant la température, l’humidité et la purification d’air sur le mur.

Ça devrait suffire. Maintenant, tout ce que j’ai à faire… Oh, ça me rappelle qu’il y a un bain ici ? Ristia avait réfléchi d’une manière adorable, mais c’était naturellement sans réponse — ou plutôt, même si elle obtenait une réponse, ce ne serait certainement pas une affirmation. S’il n’y en a pas ici, je devrais peut-être en préparer un ? Ristia avait réfléchi, mais elle avait reconsidéré la question, car n’importe quelle construction faite maintenant réveillerait très probablement les enfants. Je vais me dépêcher de dormir. Je commencerais à rénover la chambre demain. Elle avait ensuite décidé de purifier son corps avec de la magie pour ce soir. Après qu’elle l’ait fait, elle s’était changée en une jolie camisole comme pyjama, avait éteint les lumières et s’était jetée au lit. Cependant, peu de temps après…

« Y a-t-il quelqu’un à l’extérieur de la pièce… ? » Alors qu’elle était couchée dans son lit, Ristia remarqua qu’elle avait un visiteur non invité juste devant sa porte.

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Un commentaire :

  1. Merci pour le chapitre! Et voila le directeur qui va pas comprendre ce qui vas ce passer.

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