Unbreakable Machine Doll – Tome 1 – Chapitre 5 – Partie 4

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Chapitre 5 : Depuis le début du commencement

Partie 4

Avec Yaya derrière lui, Raishin sortit du dortoir.

C’était bien au-delà du couvre-feu. Le responsable du dortoir lui avait crié par-derrière de s’arrêter et de faire demi-tour, mais comme c’était une urgence, Raishin l’avait ignoré. Devoir expliquer qu’il assistait le comité de discipline, et c’était une affaire importante était trop gênant.

Suivant les lampadaires à l’extérieur des bâtiments, il s’était précipité vers le dortoir du griffon. Le vent froid de la nuit caressait l’arrière de son cou, faisant frissonner son corps.

La conversation qu’il avait eue avec Félix s’était répétée dans l’esprit de Raishin.

« Hey, Félix. »

Raishin voulait poursuivre Charl, mais une main sur son épaule l’en empêcha.

Félix tendit la main dans un geste pacificateur.

« Je sais ce que vous allez dire, Raishin. D’abord, laissez-moi vous dire que je ne doute pas du tout de votre relation avec Charl, » déclara Félix.

« Alors pourquoi êtes-vous allé dire tout ça ? » demanda Raishin.

« Évidemment, c’était pour son bien, » déclara Félix.

« Qu’est-ce que vous voulez dire ? » demanda Raishin.

« Si je ne lui avais pas dit ça, elle aurait continué ses actions imprudentes, non ? Elle est mauvaise pour coopérer avec les autres, et travailler seule est emplie de dangers, » déclara Félix.

Raishin se tut. Il n’avait pas trouvé de réponse. Il avait raison de dire que Cannibal Candy était dangereux et que Charl n’était pas susceptible de suivre les instructions du comité de discipline.

Cependant, même si c’était logique, il ne pouvait toujours pas l’accepter, et Raishin continua avec acharnement.

« Même si vous dites ça, vous ne pouvez pas nier que Charl a été blessée, » déclara Raishin.

« Après nous être occupés de Cannibal Candy, je ferai amende honorable pour ce que j’ai dit, » déclara Félix.

Il y avait plus de sincérité dans ses yeux que d’habitude alors que Félix le disait.

Son souvenir s’achevant, Raishin claqua la langue.

Le temps qu’ils s’en occupent, il sera peut-être déjà trop tard.

Charl n’était pas aussi forte ou aussi distante qu’elle le prétendait.

Ne fais rien d’imprudent, effrayante fille-dragon… !!

« Raishin ! » Yaya avait crié un avertissement.

Il était perdu dans ses pensées et son attention quant à son entourage avait donc diminué. Soudain, il remarqua pour la première fois qu’il y avait une présence s’approchant d’eux directement en face.

Se préparant par réflexes au combat, il étendit la main vers Yaya. L’autre partie avait eu la même réaction et avait renforcé son corps. Captant la lumière des lampadaires autour d’eux, quelque chose scintillait dans leur main.

C’était l’éclat froid du métal — un couteau.

Quelque chose de suspect se fit sentir lorsque de l’avance de l’inconnu et cela fit penser un sentiment de déjà-vu. Le corps était mince et normal, avec des cheveux longs jusqu’aux épaules et une paire de lunettes dégageant un air intellectuel… cette personne était — .

« Lisette ! C’est moi ! » cria Raishin.

« Raishin Akabane…, » abaissant son couteau, elle alluma une lampe à la main pour vérifier le visage de Raishin.

Elle était seule. Comme toujours, son automate ne l’accompagnait pas.

« Vous cherchez Charl ? » demanda Raishin.

« Oui. En fait, j’allais justement au dortoir de la tortue, » déclara Lisette.

« Vous vous dirigiez vers moi ? » demanda Raishin.

« Vous connaissant, j’ai senti que vous viendriez en courant, » répondit Lisette.

« — est-ce que c’est de la foi en moi ? » demanda Raishin.

« Ne vous emportez pas trop, espèce de ver solitaire, » s’écria Lisette.

« C’est ma faute. Alors, qu’est-ce que vous me vouliez ? » demanda Raishin.

« Où alliez-vous comme ça ? » demanda Lisette.

« Dans votre direction. Je voulais entendre vos pensées, » déclara Raishin.

Lisette avait une expression troublée sur son visage alors qu’elle poussait un soupir exagérément fort.

« Charlotte n’avait pas un grand cercle d’amis. Si elle n’a pas pensé à aller vous voir, et qu’elle traîne dans le coin, alors la situation est désespérée, » déclara Lisette.

« Uhuh. Pouvez-vous formuler cela d’une meilleure façon ? » demanda Raishin.

« Tout simplement, je n’ai aucune idée de l’endroit où elle a pu disparaître…, » déclara Lisette.

Pressant son doigt sur ses lèvres, elle était profondément dans ses pensées. Après cela, quelque chose lui vint à l’esprit et elle se tourna vers lui.

« Vous êtes sorti avec elle toute la journée, n’est-ce pas ? A-t-elle dit quelque chose ? » demanda Lisette.

« Non, pas vraiment… En tout cas, je crois que Félix est la cause de sa disparition, » déclara Raishin.

« Était-ce une faible tentative de transférer la responsabilité à quelqu’un d’autre pour cacher votre propre incompétence, espèce de ver tubifex ? » demanda Lisette.

« Pourquoi toutes vos insultes se focalisent-elles sur les variations de vers longs et minces ? » demanda Raishin.

À ce moment-là, Raishin remarqua quelque chose du coin de l’œil et se retourna pour regarder autour de lui.

« Ça devient un peu turbulent ici, » déclara Raishin.

En regardant de près, il pouvait voir des ombres se déplacer furtivement au milieu des arbres et dans le couvert des bâtiments. Bien qu’ils aient habilement caché leur présence, les cinq sens de Raishin étaient plus aiguisés que ceux d’une personne normale. Tant qu’il s’arrêtait de bouger, il pouvait les sentir.

Lisette les regarda aussi, avant de parler avec hésitation.

« La vérité, c’est que… le comité de discipline met tous ses efforts à la recherche de Charlotte, » déclara Lisette.

« Quoi, est-elle si importante que ça ? Attendez ! Vous ne la soupçonnez pas, n’est-ce pas ? » demanda Raishin.

Si le comité de discipline la poursuivait, est-ce que ça voulait dire qu’ils pensaient que c’était Cannibal Candy ?

Lisette n’avait même pas bougé un sourcil, mais Yaya s’était couvert la bouche avec ses mains en état de choc.

Raishin fixa Lisette d’un regard interrogateur.

Lisette hésita un peu avant de finalement céder et d’avouer la vérité avec résignation. « Un peu plus tôt, plusieurs circuits magiques ont été découverts dans la chambre de Charlotte. »

— Des circuits magiques ?

Parlait-elle de ceux que Cannibal Candy avait enlevés… ?

« C’est impossible ! » déclara Raishin.

« C’est la vérité. Celui qui l’a découvert est le responsable du dortoir…, » déclara Lisette.

Il avait passé en revue les faits dans sa tête. On aurait dit que quelqu’un essayait de piéger Charl — non, ce n’était pas ça. Si Charl était vraiment Cannibal Candy, son art magique annihilerait les circuits magiques. Si quelqu’un essayait vraiment de la piéger, cela aurait l’effet contraire.

Alors, est-ce que cela signifiait que Charl mettait de côté des circuits magiques pour des raisons inconnues de Raishin… ?

Vu la force de Charl, il y avait aussi la possibilité qu’elle ait pu infliger une attaque qui aurait laissé les circuits magiques intacts.

« Nous n’avons pas encore vérifié si les circuits en question sont ceux que Cannibal Candy avait enlevés. L’un des professeurs est en train de les examiner, mais comme ils sont en assez mauvais état, les résultats ne seront connus que demain, » déclara Lisette.

Raishin se tut alors qu’il continuait à réfléchir.

Le jugeant inutile, Lisette lui fit un petit salut, « On se sépare ici. Je devrais retourner à la recherche maintenant — . »

« Attendez, » déclara Raishin.

Lisette s’était arrêtée avec une attitude indiquant qu’elle doutait de l’autre.

Voulant confirmer quelque chose, Raishin avait choisi ses mots avec soin et délibérément. « Est-il exact de dire que je suis actuellement quelqu’un qui assiste le comité de discipline ? »

« C’est vrai, » répondit Lisette.

« Dans ce cas, j’aimerais mener une enquête, avec votre coopération, » déclara Raishin.

Son intérêt s’éveilla, Lisette se tourna vers lui. « Qu’est-ce que vous voulez faire ? »

« J’aimerais confirmer quelque chose de mes propres yeux, » déclara Raishin.

Raishin lui avait dit où il voulait aller.

Lisette était choquée. Un regard troublé, rarement vu, apparut sur son visage.

« C’est… quelque part où je n’ai pas l’autorité de vous accorder l’accès, » déclara Lisette.

« De qui a-t-on besoin de l’autorisation ? » demanda Raishin.

« Donnez-moi une minute. Je dois d’abord en parler avec Félix, » déclara Lisette.

« Alors, allez-vous m’aider ? » demanda Raishin.

« Vu les circonstances actuelles, oui. Peu importe la quantité de larves de moustiques sans cervelle que vous êtes, pour que vous demandiez une telle chose lors d’une urgence comme celle-ci, il doit y avoir une raison à cela, non ? » demanda Lisette.

Bien qu’il ait été un peu dérangé par certaines des choses qu’elle avait dites, Raishin hocha la tête.

Lisette lui avait dit qu’elle devait passer un coup de fil et elle s’était retournée sur le chemin.

Pendant un court moment, Raishin et Yaya avaient été laissés seuls dans le froid.

Yaya s’accrochait à lui, donc le froid ne l’affectait pas tant que ça. L’attente, cependant, avait été quelque chose qui avait été excessivement difficile à supporter.

Peut-être que les négociations n’allaient pas bien, ou qu’elle avait complètement négligé de le mentionner, ou peut-être qu’elle avait rencontré un accident à mi-chemin, Lisette n’était toujours pas revenue.

L’attente anxieuse avait duré plusieurs minutes. Finalement, Lisette était revenue.

« Soyez reconnaissant. Félix a parlé au comité exécutif, » déclara Lisette.

Bref, on leur avait accordé la permission.

« Je vais vous guider. C’est le moins que je puisse faire depuis qu’on coopère, » déclara Lisette.

« Je vous suis redevable, » déclara Raishin.

« Je vais devoir décliner votre gratitude. Ce n’est qu’une partie de mon devoir, après tout, » après avoir parlé sèchement, Lisette commença à marcher devant Raishin.

Elle les avait conduits vers le bloc le plus important de l’académie.

En passant devant l’auditorium central, en passant par l’arrière de la tour de l’horloge et en coupant à travers la résidence du directeur, il y avait un grand bâtiment rectangulaire qui ressemblait à une pierre tombale.

Le bâtiment où toutes les machines importantes étaient entreposées, le Dépôt.

« Avant d’entrer, vous devez savoir que votre entrée est soumise à une condition, » déclara Lisette.

L’expression sur son visage était cinq fois plus sévère que la normale alors qu’elle parlait gravement.

« À l’intérieur, d’innombrables automates sont stockés en état d’hibernation. Inutile de dire qu’ils sont tous complètement sans défense. Si vous le vouliez, vous pourriez facilement les détruire, et leurs propriétaires ne pourraient pas participer à la Fête de Nuit, » déclara Lisette.

« Ne soyez pas ridicule. Je ne vais pas m’abaisser à ce niveau, » répondit Raishin.

« Je dis juste que la possibilité existe, espèce de microbe, » déclara Lisette.

« Donc j’ai été rétrogradé à un micro-organisme maintenant ? Très bien, j’ai compris. Je laisse Yaya ici, » déclara Raishin.

« Raishin…, » murmura Yaya.

Yaya leva les yeux vers lui avec un regard inquiet. Ses grands yeux brillaient, réfléchissant la lumière de la lampe. Elle avait l’air aussi innocente et impuissante qu’un chiot.

« Crie si quelque chose arrive. Ce serait tragique si tu étais attaqué par Cannibal Candy, » déclara Raishin.

« Yaya ira bien. Plus important encore, Raishin…, » déclara Yaya.

« Ne t’inquiète pas. Je serai avec Lisette, » déclara Raishin.

« Être seul avec cette femme signifie que ta chasteté est en danger…, » déclara Yaya.

« … Tu en parles toujours ? » demanda Raishin.

« Vous n’avez aucune raison de vous inquiéter, poupée obsédée par le sexe. Dans le cas peu probable où il m’attaquerait, je me mordrais la langue, » déclara Lisette.

« Je ne vais pas vous attaquer ! Arrêtez toutes les deux avec vos bêtises ! » s’écria Raishin.

À la fin de la conversation, Lisette avait repris le devant et s’était dirigée vers le bâtiment rectangulaire.

 

 

Il y avait des sentinelles affichées à l’entrée et encore plus de personnel de sécurité dans la salle de garde. Lisette avait pointé son brassard du doigt pour indiquer qu’ils étaient ici pour les tâches du comité de discipline.

On aurait dit que les gardes avaient déjà été informés. Après avoir traité l’information, ils avaient remis un passe-partout.

L’intérieur du bâtiment était identique à sa façade, sans aucune forme de décoration. Le son, ses murs et ses plafonds avaient tous été construits avec des lignes droites, ce qui lui donna l’impression d’étouffer et d’être confiné.

Les lumières à l’intérieur étaient toutes éteintes, alors ils s’étaient dirigés vers l’intérieur avec seulement leurs lampes allumées.

« Alors, quel emplacement voulez-vous confirmer ? » demanda Lisette.

« Un automate d’étudiant de troisième année. Si ma logique est correcte, cela pourrait s’avérer un indice décisif pour localiser Cannibal Candy, » déclara Raishin.

« Dans ce cas, on devrait aller au deuxième étage. Par ici, » déclara Lisette.

« … Puis-je vous demander quelque chose ? » demanda Raishin.

« Je n’ai pas de petit ami, mais je préfère mourir que de coucher avec un play-boy comme vous, » déclara Lisette.

« … »

C’était un moment embarrassant. Lisette avait toussé dans ce qui semblait être de l’embarras.

« C’était une blague. Qu’est-ce que c’est ? » demanda Lisette.

« Quel genre d’automate est celui de Félix ? » demanda Raishin.

Lisette avait réfléchi un moment, cherchant dans ses souvenirs avant de répondre.

« Je ne connais pas vraiment les détails, mais je l’ai déjà vu. Je ne sais pas si c’est vrai ou non, mais j’ai entendu des rumeurs selon lesquelles il aurait été fait à la Renaissance, » déclara Lisette.

« Alors c’est une antiquité ? » demanda Raishin.

« Ce n’est pas quelque chose qu’on peut rejeter à la légère. La Renaissance a été une période de l’histoire de l’humanité où d’innombrables génies exceptionnels ont marché sur la Terre. Les techniques qui nous sont aujourd’hui perdues existaient à l’époque, et il y a des arts magiques de cette période que nous n’avons pas encore détruits. L’automate de Félix est aussi théorisé comme étant l’un des miracles créés par ces génies, » déclara Lisette.

« … Ce n’est pas surprenant. Bref, je peux au moins dire que c’est un automate qui l’a inscrit dans la Fête de Nuit, » déclara Raishin.

Même s’il s’agissait d’un vestige d’il y a un siècle, il était toujours en service — un automate comme celui-là ne pouvait pas être simplement rejeté comme obsolète. Il était probablement de loin supérieur à l’artisanat moderne, et il devait y avoir un secret à cela.

« Alors quel genre de circuit magique est installé à l’intérieur ? » demanda Raishin.

« Eh bien, je ne sais pas grand-chose… Je suis peut-être son assistante, mais je suis aussi une participante à la Fête de Nuit. Il n’est pas prudent de révéler votre main à quelqu’un qui deviendra votre adversaire un jour, » déclara Lisette.

« Je suppose que ce n’est pas non plus surprenant, » déclara Raishin.

« C’est juste que —, » commença Lisette.

« Juste quoi ? » demanda Raishin.

« Quand nous faisions de la pratique sur le terrain avant, il a créé de la lave, » déclara Lisette.

« La lave ? » demanda Raishin.

« Oui. Il a chauffé la terre et l’a utilisée pour creuser des tranchées. Aussi, pendant un autre temps, il manipulait le brouillard dense pour jeter l’équipe ennemie dans la confusion, » expliqua Lisette.

« Le brouillard… vous êtes sûre que ce n’était pas juste de la vapeur ? » demanda Raishin.

Si c’était un circuit magique qui tournait autour de la manipulation de la chaleur, il était alors possible de générer à la fois de la lave et du brouillard.

« Non, c’était plus naturel, comme si c’était une extension de ses nerfs ou de ses sens, » déclara Lisette.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? À moins qu’il n’utilise plusieurs arts magiques ensemble en conjonction… mais pas possible, quelque chose comme ça doive être impossible, » déclara Raishin.

En tout cas, il était sûr d’être un adversaire gênant. La lave et le brouillard étaient tous deux des états fluides sans forme.

Arrivée en haut de l’escalier, Lisette s’arrêta.

« Le casier de Félix est dans la chambre la plus à droite, » déclara Lisette.

« C’est bon, je n’ai pas l’intention d’y aller, » déclara Raishin.

Les yeux de Lisette se plissèrent dans la perplexité.

D’après le déroulement de leur conversation, elle avait l’impression qu’ils allaient fouiller le casier de Félix.

Raishin prit le passe-partout de sa main et se mit à marcher dans la direction opposée.

Il avait déjà saisi la disposition du bâtiment.

« C’est…, » derrière lui, Lisette disait quelque chose. Raishin l’avait ignorée et avait ouvert la porte.

Les casiers ressemblaient à des cercueils et étaient alignés en rangées ordonnées.

S’appuyant sur les plaques signalétiques, il avait cherché le casier qu’il cherchait.

Très vite, il avait découvert ce qu’il cherchait.

Code d’enregistrement Brouillard Blanc — Lisette Norden.

Surprenant son impatience, il avait utilisé la clé passe-partout pour déverrouiller la serrure, et avait ouvert le couvercle avec un air de finalité.

« … ! »

À l’intérieur du casier, il y avait un grand cylindre de verre.

On aurait dit une éprouvette géante. Le liquide qui l’avait complètement remplie ressemblait à du formaldéhyde. Enveloppée dans ce liquide, comme un spécimen biologique, il y avait une fille complètement nue suspendue à l’intérieur.

Ce n’était pas un automate.

En regardant de sa poitrine fendue, il y avait du vrai tissu et de la vraie chair.

Raishin avait maudit sa propre folie.

Je suis vraiment idiot. Comment ai-je pu ne pas remarquer quelque chose d’aussi évident ?

En d’autres termes, depuis le début, elle était là depuis le début.

Suspendu à l’intérieur du cylindre de verre, c’était —

Le corps de Lisette Norden.

L’instant d’après, quelque chose avait frappé Raishin par-derrière avec assez de force pour l’assommer.

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