Rakudai Kishi no Cavalry – Tome 9 – Chapitre Final B – Partie 3

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Chapitre Final B : Debout côte à côte

Partie 3

Après lui avait promis cela et avoir acquiescé, Ikki le prit de la main de Stella.

Hein ? C’est plus épais que je ne l’aurais cru…, puis cela avait commencé à se séparer en dix morceaux assez rapidement.

Qu’est-ce que c’est que ce bordel !? Il semblait qu’il y en avait dix emballés ensemble, mais il avait pris un peu de temps pour s’en rendre compte, étant donné la situation et son état.

Ce n’est pas parce qu’ils ont été emballés comme ça qu’ils doivent tous être utilisés en même temps. C’est évident. Ça ne peut pas être comme ça, pensa Ikki.

Alors qu’il tentait de calmer son cœur agité, Ikki avait pris l’un d’eux puis il avait déchiré les lignes sur le dessus de l’emballage avec ses doigts et le bruit du plastique s’était fait entendre. C’était… le signal que la préparation était termine.

« … On va vraiment… le faire… tout de suite… ? »

« O... Oui… »

Maintenant que la préparation était terminée, leurs cœurs étaient à nouveau remplis d’embarras. Il ne pouvait pas regarder directement le visage de Stella. Stella était aussi dans le même cas, même si elle regardait Ikki en jetant un coup d’œil rapide avec ses yeux humides, ils détourneraient immédiatement le regard si leurs yeux se rencontraient. Ils avaient continué ainsi pendant trois minutes en silence.

Que faisons-nous...? Se demanda Ikki.

Ils ne pouvaient pas continuer à s’éviter, pas après tout le courage qu’ils avaient déjà eu.

Dans un moment comme celui-ci, l’homme a besoin de se ressaisir… ! Ikki avait donc pris une grande respiration et avait fait face Stella couchée sur le lit.

« Stella ! » déclara Ikki.

« O-Oui ! » répondit Stella.

« Je ne suis pas grand-chose… mais je serai à tes soins ! » déclara Ikki.

« Et toi aussi, prends soin de moi, s’il te plaît, » répondit Stella.

Et alors qu’ils ressentaient beaucoup de choses qui semblaient inutiles, leur première nuit ensemble avait commencé.

Le haut du corps de Stella était étendu sur les draps bouclés du lit blanc pur. La lune bleue l’illuminait légèrement. Tout en portant la simple robe blanche d’une seule pièce qui avait dû lui être mise lors de son admission à l’infirmerie, cette faible lumière projetait des ombres sur chaque courbe de son corps. Rien que cela suffisait à enflammer l’esprit de quelqu’un. C’était bizarre. Il aurait déjà dû la voir d’un air plus immodeste, mais en la regardant comme ça, il ne pouvait pas s’arrêter. Il voulait passer le bout de ses doigts, ses paumes, ses lèvres sur chaque centimètre d’elle. Rien que d’y penser l’avait rendu excité et son cœur n’avait pas pu s’arrêter de s’emballer en se retrouvant hors de contrôle. C’était compréhensible. Depuis qu’il avait commencé à aimer cette fille, il désirait ardemment que ce jour arrive.

« C’est embarrassant…, » murmura-t-il. C’était probablement la même chose pour Stella. Que son buste soit ou non trop grand pour sa stature, sa poitrine se soulevait de haut en bas indiquant qu’elle était nerveuse, mais ses yeux étaient levés vers Ikki avec une lueur d’anticipation. Elle se sentait anxieuse et excitée de ne pas savoir ce qui allait lui arriver. La lumière dans ses yeux reflétait la combinaison de ces deux émotions. Ikki se devait de répondre à cela. Il cacha son hésitation et son embarras, se pencha sur Stella et étendit la main sur ses vêtements.

« A-Attends…, » juste au moment où les doigts d’Ikki étaient presque sur le bouton du haut, sa petite voix l’arrêta.

« H-hey… en ce moment, je ne porte pas de soutien-gorge… alors c’est embarrassant si soudainement… par le bas… s’il te plaît…, » demanda Stella.

« D-Désolé…, » il s’était automatiquement excusé en réponse à la demande de Stella, bien que ce ne soit pas vraiment le moment pour lui de s’excuser. Rien n’avait plus beaucoup de sens pour lui. Mais si Stella n’aimait pas ça, ce n’était pas bon de commencer par le haut. En commençant par le haut ou le bas, c’était la même chose selon lui. Dans ce cas, c’est probablement mieux de rendre les choses plus agréables pour Stella. Après l’avoir décidé, Ikki tendit la main vers le bouton proche du genou de Stella, et commença à les déboutonner un par un. C’était comme déballer un cadeau précieux sans l’abîmer.

Alors que chaque bouton était défait, le corps de Stella avait été révélé par le bas. Ses genoux ronds. Ses cuisses voluptueuses, très blanches et lisses. Son entrejambe caché par l’intérieur de ses cuisses serrées ensemble, protégé par de simples sous-vêtements d’hôpital. Puis, au-dessus de son estomac d’un blanc pur, il y avait quelque chose qui bougeait et se contractait quand elle respirait.

Wôw… ce n’est… pas bon…, pensa Ikki.

Alors qu’il était tellement excité qu’il pensait qu’il allait transpirer du sang, Ikki s’en était rendu compte. Il marchait sur une mine antipersonnel impensable. En vérité… il l’avait imaginé en les déboutonnant petit à petit depuis le sommet. Il s’attendait à ce que ça se passe comme ça. Il avait de l’expérience depuis qu’il l’avait fait dans la cabane de montagne, donc il était prêt. Mais il n’avait pas prévu que les choses se passeraient ainsi. Même si c’était la même chose, c’était différent de changer l’ordre. En conséquence, il n’était pas préparé, et son raisonnement s’était perdu peu à peu à mesure que ce qu’il la voyait devenait plus exposé. Il voulait forcer l’ouverture de ses cuisses frissonnantes qui étaient fermées en raison de la timidité. Il voulait frotter ses mains sur ce ventre d’un blanc pur et attraper la partie inférieure vraiment nette avec ses ongles. Ses désirs sauvages le brûlaient de l’intérieur de tout son corps. Puis… quand il avait défait le bouton au-dessus du nombril, des feux d’artifice avaient éclaté dans sa tête. Pendant que Stella respirait et que sa poitrine se levait, sa robe s’était écartée, toujours maintenue par un bouton, le tenu restant accroché de chaque côté, posé sur les seins. Le bas de ses seins était exposé avec la robe qui s’y accrochait.

« … !! » Ses yeux étaient fixés sur la chair blanche douce et ronde… Sont-ils si doux que ça ? Son désir bouillant et sa curiosité l’avaient poussé à tenter de la toucher du bout des doigts.

« … !! »

Quand le bout de son majeur toucha la peau de sa poitrine, le corps de Stella trembla. Elle avait serré les yeux fermés et plissé ses lèvres comme pour s’empêcher de crier. Mais elle n’avait pas résisté et elle ne s’était pas débattue. Alors il l’avait vu comme une bonne chose. Il avait légèrement renforcé la pression de son doigt. Puis, son doigt s’était enfoncé dans la chair molle sans résistance. La sensation envers le sexe opposé que son corps n’avait jamais ressentie auparavant lui avait fait frissonner la colonne vertébrale. Ensuite, l’index d’Ikki avait accompagné son majeur sur cette poitrine. Il passa ses doigts contre la ligne du bas de sa poitrine aplatie et ils glissèrent sur la zone.

« Hyu ! »

Le dessous de ses seins avait été touché. La sensation qu’elle ressentit pour la première fois avait fait ouvrir les yeux rubis de Stella avec étonnement. Mais elle n’avait pas fait d’objection. Donc Ikki ne s’était pas arrêté. Il glissa doucement ses doigts plus loin. Sa peau était tout à fait lisse. Sa poitrine sur laquelle ses doigts étaient posés était si molle comme si elle fondait et qu’ils avaient un poids considérable. Tout cela était chaud. Ses doigts avaient l’impression qu’ils allaient fondre.

« ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ !! aah... !! »

Le corps de Stella avait montré une petite réaction après qu’on lui ait caressé les seins par le dessous. Une voix adorable s’était échappée de ses lèvres humides. Il voulait en entendre plus. Alors il tourna ses doigts sous sa poitrine et les recourba pour soulever doucement les seins. Et à cet instant.

« ... k, kuuu !! »

Tout le corps de Stella se souleva, et en même temps le dernier bouton de sa robe s’enleva. Puis, ses seins poussés vers le bas avaient rebondi comme de la gelée et sa robe s’était ouverte grandement en raison de l’impact. Mais tout n’avait pas été révélé. La robe qui était fendue des deux côtés s’était arrêtée au sommet de ses seins. Oui, c’était resté coincé, mais à peine. Par conséquent, bien qu’il ne puisse pas voir les pics, les parties environnantes qui étaient la moitié de ses seins blancs avaient été exposées, et leur couleur était devenue très différente plus près des pics.

C’est correct de mordre, pensa Ikki.

Ikki se souvint alors soudainement des mots que Stella avait prononcés il y a quelque temps dans une situation similaire. Oui. C’est vrai. Elle avait déjà dit quelque chose comme ça. — En d’autres termes, il avait déjà obtenu son accord. C’était déjà permis. Il n’était donc pas nécessaire de se retenir. Mordons à l’hameçon.

« A-Attends… ! » demanda Stella.

Il n’avait pas voulu attendre… parce que Stella avait dit que c’était bon. Il n’attendrait certainement pas. Alors qu’Ikki s’apprêtait à enlever les vêtements collés sur les pointes de ses seins,

« … C’est tellement embarrassant que… j’ai l’impression que ma poitrine… va se briser… ! » murmura Stella.

« … »

Il arrêta ses mouvements face à cette belle voix qui était presque un cri qu’elle réfrénait. Il déplaça son regard des seins de Stella vers son visage, et de petites larmes se mirent à couler depuis ses yeux écarlates mouillés alors qu’elle respirait avec une faible amplitude. La quantité présente n’était pas assez pour que des larmes en débordent en masse, mais ses cils inférieurs étaient mouillés, et les sentiments présents… étaient la peur. Bien qu’elle ait dit que c’était bon, comme prévu, les choses effrayantes restaient effrayantes. En y repensant, Stella avait aussi dû toujours agir avec force avant aujourd’hui. Elle avait rassemblé son courage et lui avait montré qu’elle était une femme. Pour être plus fort, pour être plus proche, pour qu’ils puissent faire l’amour l’un avec l’autre.

Tu sais depuis combien de temps j’attends que tu dises ça ? Elle l’attendait vraiment depuis le début. En pensant à cette dévotion, l’émotion forte, connue sous le nom de convoitise, qui réchauffait tout son corps s’était évanouie. Ce qui avait bouilli à la place, c’est l’amour qui pouvait même les mettre mal à l’aise. Il voulait traiter cette fille avec douceur. Il ne voulait pas qu’elle ait un souvenir effrayant de cette journée qu’elle attendait depuis toujours. Alors,

« Stella…, » murmura Ikki.

« … !? »

Ikki retira sa main de la robe et se pencha en avant, joignant ses lèvres à celles de Stella. Ce n’était pas un baiser sexuel comme pour mordre, mais un baiser qui échangeait l’humidité de l’autre comme ceux qu’il faisait toujours avec Stella.

« … »

Il l’avait répété plusieurs fois, et la raideur du corps de Stella s’était estompée. La sensation du baiser habituel semblait la rassurer. Mais… ce n’était pas bon. Parce qu’aujourd’hui, ils ne laissaient pas les choses au même endroit. Donc Ikki… avait rendu le baiser plus profond et intense.

« … ! »

Il avait glissé sa langue entre les lèvres de Stella et avait envahi sa bouche. Le corps de Stella avait bondi face à la stimulation sensuelle soudaine. Mais ce genre de baiser profond n’était pas leur premier. Stella n’avait pas non plus montré de peur. Elle bougea aussi immédiatement sa langue, comme si elle accueillait la langue d’Ikki. Comme d’habitude. Mais… c’était la fin de l’habituel.

« … »

Stella avait fini par comprendre. Bien que l’action elle-même ait été l’action habituelle, la durée de l’action avait été différente. Si c’était comme d’habitude, ils auraient déjà séparé leurs lèvres, mais Ikki n’avait pas arrêté. Il ne lâchait pas ses lèvres. Il ne l’avait pas laissée s’échapper. Sa langue s’était glissée chez elle, la faisant fondre comme si c’était un bonbon. Il ne cessait de la faire fondre.

« ~ ~ ~ ~ ~ ! »

Les bruits humides de leurs baisers se faisaient entendre dans l’infirmerie la nuit. Leurs salives bouillonnaient d’être mélangé et débordaient de leurs lèvres. Mais Ikki ne les autoriserait pas à se déverser comme ça. Il avait soulevé le menton de Stella et les avait tous versés dans sa gorge. Stella avait avalé les fluides fondus de leur passion. La passion ardente réchauffait les tissus à l’intérieur de la gorge de Stella.

Puis, au même moment, Ikki fit glisser et ramper ses doigts du genou de Stella jusqu’à ses cuisses. Cependant, il ne lui avait jamais touché l’entrejambe. Il ne savait pas s’il devait y toucher ou non, mais cela l’avait incité à tracer les lignes entre ses cuisses. Ses doigts se déplaçaient lentement en commençant près des genoux et en direction de l’entrejambe, en avant et en arrière à plusieurs reprises. Et quand ses doigts avaient finalement atteint le bord de ses sous-vêtements, Ikki pouvait sentir du bout de ses doigts que ses cuisses commençaient à trembler. En la regardant dans les yeux, il pouvait voir que la peur avait déjà commencé à se fondre dans la passion, ce qui rendait même sa vision peu claire. Son corps était chaud en raison des stimulations intérieures et extérieures, et ses joues rougissaient de rose. De la sueur et une odeur sucrée indiquant que Stella était fortement excitée avaient été libérées. C’était la preuve que son cœur et son corps étaient prêts.

« Est-ce que ça va maintenant ? » demanda Ikki.

« … Oui…, » répondit Stella.

« Si tu as peur, dis-le-moi. Je le ferai autant de fois que possible jusqu’à ce que tes sentiments se soient calmés, » répondit Ikki.

« … Je vais… bien, » déclara Stella.

Il semblerait qu’elle n’avait plus de force. Stella avait fait un sourire qui semblait se fondre. Son regard était doux à cause du désir, mais malgré cela, il tenait Ikki en place et ne voulait pas le laisser partir. Sa bravoure était si belle qu’Ikki embrassa doucement Stella trois fois de plus. — Puis, quand leurs lèvres s’étaient séparées, il avait posé une main sur son épaule,

Et elle s’était déshabillée totalement.

Sous le clair de lune, son corps nu, rougeoyant d’un rose de cerisier avait été révélé. Les lignes délicates de son cou. Ses bras fins et féminins. Et, la partie d’elle qui semblait la plus contrastée — ses seins qui tremblaient beaucoup, mais restaient attachés à son corps, et les mamelons roses de fleur de cerisier qui étaient exposés et légèrement secoués par la stimulation de ses vêtements qui étaient enlevés. Devant une telle beauté, Ikki oublia de respirer.

« Tu es si belle…, » murmura Ikki.

 

 

Son esprit était tellement submergé que seuls de tels mots communs pouvaient sortir. Même en ce moment, il voulait s’accrocher à elle. La moitié de son corps, à l’intérieur de son pantalon, était déjà douloureusement excité. Mais malgré tout, Ikki avait dû se retenir. Même s’il oubliait de respirer, il n’oublierait pas de faire attention à Stella. Il avait tenu bon et avait procédé à la confirmation finale.

Il avait ramassé un peu de salive qui s’était égouttée de sa bouche sur le cou de Stella avec son doigt et l’avait étalée sur son mamelon droit. Il l’avait frotté avec la paume de son doigt. Alors,

« Aahh… nnn…, » pour la première fois, une voix claire et langoureuse était sortie de la bouche de Stella.

Lorsqu’il éloignait ses doigts, il pouvait voir que la forme de son mamelon était nettement différente de celle de son sein gauche. Son sein gauche n’avait pas de main dessus, et son sein droit était gonflé et mouillé de salive. Cette différence sensationnelle avait durement frappé le raisonnement d’Ikki.

— C’était angoissant. Sa respiration était difficile. Son front lui faisait mal. Honnêtement, c’était trop douloureux pour continuer ainsi plus longtemps.

— Mais, était-ce bien maintenant ? Était-ce vraiment bien d’aller plus loin maintenant ? Après tout, il n’avait aucune expérience. Il n’en avait aucune idée parce qu’il n’avait aucune expérience. Bien que Stella ait dit que c’était bon, il se demandait s’il lui ferait du mal s’il commençait maintenant. Comme Ikki s’en inquiétait,

- Stella s’était étendue et lui avait enroulé les bras autour du cou.

Puis, elle parla en souriant. « Merci… d’être si gentil avec moi. C’est vraiment bon maintenant. »

 

 

Ainsi, il n’avait plus à endurer. « Ikki, tu peux me faire ce que tu veux, tous… »

« … ! »

Ces mots avaient été le déclencheur. Il n’hésitait plus. Il n’allait pas vouloir faire demi-tour. Sous le clair de lune, deux ombres se fusionnèrent, se chevauchèrent avec passion. Qui était qui, ce n’était pas possible de le percevoir. Ils s’étaient enlacés si fermement et profondément que ce n’était plus clair. Leurs voix n’avaient plus aucun sens et leurs lèvres cherchaient désespérément leur partenaire bien-aimé. Au milieu de tout ça, Ikki Kurogane… s’était juré.

Je ne laisserai pas cette fille être malheureuse.

Il ne la laisserait jamais regretter d’avoir choisi l’homme nommé Ikki Kurogane. Il avait fait un vœu très fort sur sa propre âme.

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Un commentaire :

  1. merci pour le chapitre

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